Traduction et synthèse de l’Étude du Dr Campra qui a effectué la première et unique analyse
indépendante sur des vaccins COVID – Découvertes effrayantes !
Travaux de synthèse réalisés par un scientifique en Suisse, expert en nanoparticules et auteur d’une thèse
Travaux de synthèse réalisés par un scientifique en Suisse, expert en nanoparticules et auteur d’une thèse
sur le graphène. Pour des raisons de sécurité, le chercheur préfère rester anonyme. D’autres analyses suivront...
Mise à Jour du 24/12/2021 Vidéo traduite en Français
Réseau de communication sans fil dans le corps humain
Version originale en Espagnole
Pourquoi mettent-ils des nanopuces dans les pseudo vaccins ?
Tout est prouvé et documenté.
Partagez l’information à vos proches, les gouvernements vous mentent depuis le début. Ce n’est pas
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Le système de routage CORONA pour les nanogrids
Routage CORONA pour les nanogrids
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Pourquoi mettent-ils des nanopuces dans les pseudo vaccins ?
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pour lutter contre un virus mais vous insérer une puce pour vous contrôler.
Il est encore possible de refuser le projet des milliardaires psychopathes en refusant les doses
Il est encore possible de refuser le projet des milliardaires psychopathes en refusant les doses
contaminées.
Vaccination : non, "des chercheurs espagnols" n'ont pas montré
que Pfizer "contient un produit inconnu"
Felicia Sideris
TOXIQUE - "Étude" à l'appui, des internautes assurent qu'une équipe de chercheurs espagnols aurait démontré qu'un produit prétendument toxique - l'oxyde de graphène - se cache dans les flacons des
vaccins Pfizer. C'est faux.
Felicia Sideris - Publié le 8 juillet 2021 à 17h29
Ces opposants à la vaccination ont découvert ce qu'aucune agence sanitaire au monde n'est arrivée à
repérer. Les vaccins du laboratoire Pfizer/BioNTech cacherait un produit toxique. Un internaute
coutumier des fausses informations croit ainsi savoir qu'il y aurait un "excipient caché" dans les doses
du vaccin américain contre le coronavirus. Ce mardi 6 juillet, il a assuré sur les réseaux sociaux que "
des chercheurs espagnols" avaient trouvé un "produit inconnu" dans une fiole du vaccin, et qu'il s'agirait "d'oxyde de graphène connu pour être très toxique". Qu'en est-il réellement ?
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Les Vérificateurs, une équipe de fact-checking commune aux rédactions de TF1, LCI et LCI.fr
Un seul et très hypothétique flacon
Le document auquel fait référence cet internaute n'a rien d'une étude scientifique. Il s'agit, comme l'écrit l'auteur lui-même, d'un simple "rapport intermédiaire", mis en ligne le 28 juin, en espagnol dans sa
version originale. Ce fichier PDF n'a pas été publié dans une revue scientifique, ni évalué par des pairs, méthode de référence pour valider les nouvelles découvertes scientifiques.
Les travaux ont été menés par un seul chercheur, le Dr. Pablo Campra, professeur à l'Université
d'Almería. Ils ont pour but "l'identification microscopique de dérivés du graphène" dans un échantillon présumé du vaccin Comirnaty, produit par le laboratoire Pfizer pour lutter contre le coronavirus. Pour
cela, des images de l'échantillon sont comparées à celles d'images d'"oxyde de graphène réduit" issues
de la littérature scientifique. Seulement, ces trouvailles possèdent plusieurs biais.
LES VÉRIFICATEURS - Trouve-t-on vraiment des nanoparticules dans le vaccin Pfizer ?
Tout d'abord, la qualité de l'échantillon pose problème. Il n'y a en effet aucune preuve que le liquide
analysé soit le vaccin contre le coronavirus. L'auteur écrit à propos de l'origine de l'échantillon passé
sous le microscope qu'elle est "inconnue". Il précise que le liquide est arrivé pour analyse d'un certain Ricardo Delgado Martín. Or, selon la presse espagnole, il est un désinformateur notoire, dont le nom est connu dans la sphère anti-vaccin du pays.
Le produit testé n'est donc pas nécessairement un liquide issu du vaccin. C'est pourquoi le professeur
Pablo Campra reconnaît dans ses écrits qu'il est encore nécessaire "de procéder à un échantillonnage significatif de flacons similaires (…) en enregistrant l'origine, la traçabilité et le contrôle qualité lors de
la conservation et du transport avant analyse".
Ensuite, contrairement à ce que pensent les internautes, l'auteur n'est aucunement conclusif dans ses observations. De son propre aveu, si les images du produit ainsi que celles de l'oxyde de graphène
présentent "une forte similitude", cette simple comparaison ne "fournit pas de preuves concluantes".
L'Université dénonce de "fausses informations"
Tant d'aspects problématiques qui sont soulignés par le chercheur lui-même. Malgré ses précautions, ces travaux servent désormais de preuve d'une prétendue toxicité d'un vaccin pourtant déjà inoculé à plus
de 44 millions de reprises en France. Face à ces "fausses informations", l'Université espagnole à
laquelle est rattaché ce professeur a dû communiquer sur le sujet. Le 2 juillet, elle a rappelé ne pas avoir "réalisé d'étude scientifique avec les résultats publiés sur les réseaux sociaux". Dans un communiqué,
elle regrette que ces derniers "déforment le contenu d'un rapport non officiel d'un professeur d'université
sur l'analyse d'un échantillon d'origine inconnue avec une absence totale de traçabilité".
Il s'agit donc d'une simple observation d'un professeur espagnol, sur un seul flacon intraçable. Pour le moment, impossible d'assurer que l'oxyde de graphène fasse partie de ce vaccin autorisé contre le
covid-19. Pour rappel, sa composition, totalement publique, a été rigoureusement examinée par les
autorités sanitaires nationales, européennes et internationales.
source : https://www.lci.fr/sante/vaccination-non-des-chercheurs-espagnols-n-ont-pas-montre-que-pfizer-contient-un-produit-inconnu-ou-de-l-oxyde-de-graphene-2190958.html
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