"Il n'existe rien de constant si ce n'est le changement" BOUDDHA; Nous devons apprendre à vivre ensemble comme des frères, sinon nous allons mourir tous ensemble comme des idiots." MARTIN LUTHER-KING; "Veux-tu apprendre à bien vivre, apprends auparavant à bien mourir." CONFUCIUS ; « Nous savons qu’ils mentent, ils savent aussi qu’ils mentent, ils savent que nous savons qu’ils mentent, nous savons aussi qu’ils savent que nous savons, et pourtant ils continuent à mentir ». SOLJENITSYNE
RSF accuse Israël d'être responsable d'un tiers
des journalistes tués en 2024, principalement à Gaza, qualifiée de
région la plus dangereuse au monde pour les médias. Des plaintes pour
crimes de guerre ont été déposées auprès de la CPI.mise à jour le 12/12/24
Gaza,
symbole de la violence contre les journalistes : 30 % des
professionnels tués en 2024 y ont perdu la vie. RSF dépose plainte pour
crimes de guerre.
L’organisation internationale Reporters sans frontières (RSF) a publié un rapport alarmant affirmant qu’Israël
est responsable de la mort d’un tiers des journalistes tués dans le
monde en 2024. Selon les données de RSF, 54 journalistes ont trouvé la
mort cette année, dont 31 dans des zones de conflit. Parmi eux, près de
30 % ont péri dans la bande de Gaza, qualifiée de « région la plus dangereuse au monde pour les journalistes ».
Gaza, épicentre des pertes humaines dans le journalisme
Dans son rapport, RSF souligne que la bande de Gaza a été
particulièrement meurtrière pour les professionnels des médias. « Ces
journalistes ont été tués dans l’exercice de leurs fonctions, la plupart
par les forces israéliennes », précise l’organisation. Cette région est
devenue un symbole tragique de la vulnérabilité des journalistes en
zones de conflit.
RSF dépose des plaintes pour crimes de guerre
RSF décrit la Palestine comme « le pays le plus dangereux pour les
journalistes » au cours des cinq dernières années. Depuis octobre 2023,
plus de 145 professionnels des médias ont perdu la vie dans cette
région. Ce chiffre effarant reflète une escalade des violences envers
ceux qui s’efforcent de documenter les réalités du terrain.
Face à cette situation, RSF continue d’enquêter sur les circonstances
de ces décès. L’organisation s’est engagée à identifier et à condamner
les attaques ciblées contre les journalistes. Jusqu’à présent, quatre
plaintes pour crimes de guerre ont été déposées par RSF auprès de la
Cour pénale internationale (CPI). Ces démarches visent à obtenir justice
pour les victimes et à renforcer la protection des journalistes dans
les zones de conflit.
Un appel urgent à la responsabilité internationale
Le rapport de RSF met en lumière l’urgence de garantir la sécurité
des journalistes dans le monde, en particulier dans les régions en proie
aux conflits. En qualifiant Gaza de « tombeau des journalistes » et la
Palestine de « zone rouge » pour la profession, l’organisation appelle
la communauté internationale à prendre des mesures concrètes pour
protéger ces acteurs clés de la liberté d’information.
Entretien exclusif avec Aurélien Poirson-Atlan ! Il
dévoile les coulisses de la création de Zoé Sagan, les défis de la
censure et plus encore. Avec les interventions de Xavier Poussard et
Christian Combaz.
Xavier Poussard et Christian Combaz rejoignent Aurélien Poirson-Atlan pour discuter de la création de Zoé Sagan.
Nous avons l’honneur de recevoir Aurélien Poirson-Atlan, le créateur du personnage Zoé Sagan.
Dans cet entretien exclusif, réalisé par Marcel D. et Kate pour Le Média en 4-4-2, Aurélien
Poirson-Atlan dévoile les motivations derrière la création de Zoé Sagan
et explique pourquoi il a choisi de faire face à la censure et aux
menaces. Cet entretien de plus de deux heures est enrichi par les interventions d’invités prestigieux, tels que Xavier Poussard, directeur de la rédaction de Faits et Documents, et Christian Combaz, journaliste, écrivain et romancier.
Nous découvrirons également comment leur collaboration est
née et en quoi elle était cruciale pour aborder des sujets sensibles,
voire dangereux
Enfin, nous aurons le plaisir d’écouter la toute première
interview accordée par une IA. Il s’agit de Laura Py, confidente et amie
de Zoé Sagan.
Rejoignez-nous pour une discussion passionnante avec Aurélien Poirson-Atlan et nos invités de marque.
Sergueï Choïgu, secrétaire du Conseil de sécurité
russe, est en visite en Iran pour renforcer la coopération bilatérale à
la veille d'une riposte iranienne contre Israël. Les discussions
porteront sur la sécurité régionale et mondiale, avec des implications
cruciales pour l'avenir des relations internationales.
Sergueï Choïgu en Iran pour des discussions stratégiques avant une riposte iranienne contre Israël.
Une visite stratégique à la veille d’une riposte iranienne contre Israël
RIA Novosti
rapporte que Sergueï Choïgu, secrétaire du Conseil de sécurité russe,
est arrivé en Iran. Cette visite intervient à un moment crucial, à la
veille d’une potentielle riposte de l’Iran contre Israël. Cette
rencontre stratégique pourrait influencer significativement les
relations internationales dans les jours à venir.
À Téhéran, Choïgu s’entretiendra avec des figures clés du
gouvernement iranien, notamment le secrétaire du Conseil suprême de
sécurité nationale, Ali Akbar Ahmadian, et le chef d’état-major,
Mohammad Bagheri. De plus, il sera reçu par le nouveau président, Masoud
Pezeshkian. Les discussions porteront sur un large éventail de sujets,
de la sécurité bilatérale aux projets commerciaux et économiques, en
passant par divers aspects de la sécurité mondiale et régionale.
Une collaboration renforcée entre Moscou et Téhéran
Ali Ahmadian avait invité Sergueï Choïgu en Iran lors d’une
conversation téléphonique fin mai. À l’issue de cet entretien, Choïgu a
déclaré que Moscou et Téhéran continueraient leur coopération au plus
haut niveau. Cette visite renforce les liens entre les deux nations,
particulièrement en matière de sécurité et de défense.
L’impact de la rencontre sur la sécurité régionale
Cette rencontre à Téhéran pourrait avoir des répercussions
significatives sur la sécurité régionale. Les discussions entre les
hauts responsables russes et iraniens aborderont non seulement la
coopération bilatérale mais également des questions stratégiques liées à
la sécurité mondiale. Avec l’Iran prêt à riposter contre Israël, les
implications de cette réunion sont d’autant plus cruciales.
Sergueï Choïgou a condamné le lâche assassinat du chef du Hamas Ismail Haniyeh, ajoutant :
« Il ne fait aucun doute que les auteurs d’un tel crime veulent accroître les tensions dans la région. »
Le général André Coustou, ancien militaire français, a
accordé une interview à NEXUS dans laquelle il a exprimé ses inquiétudes
concernant la situation intérieure de la France et a critiqué la
politique du président Emmanuel Macron.
Mise à jour le 15/03/24
Le
général Coustou critique sévèrement Emmanuel Macron pour ses propos sur
l’envoi de troupes en Ukraine, le considérant comme l’ennemi de la
France.
Le général Coustou a récemment exprimé son désaccord avec les propos
d’Emmanuel Macron concernant l’envoi possible de troupes françaises en
Ukraine. Il a souligné que cette suggestion a été officiellement
contestée par de nombreux partenaires de l’OTAN et a interprété cela
comme un signe de faiblesse et de vulnérabilité de la France face à la
Russie.
Selon lui, le véritable ennemi de la France n’est pas la Russie, mais
Emmanuel Macron lui-même. Il a cité plusieurs ouvrages critiquant la
politique du président, tels que « Macron, le fossoyeur de la France »,
« Macron le grand liquidateur », « La France vendue à la découpe »,
« Les liquidateurs » et « Le Traître et le Néant » de Gérard Davet et
Fabrice Lhomme.
Le général Coustou a rappelé que l’armée est chargée de défendre le
peuple français et la France. Il a également mentionné qu’il est
président d’honneur de Place d’Armes, une association dont la raison
sociale est d’entretenir le lien entre l’armée et la nation. Il a conclu
en exprimant son opinion selon laquelle Emmanuel Macron est le
liquidateur et le destructeur de la France, et a suggéré que ce dernier
devrait démissionner s’il avait un peu d’honneur.
Six jours plus tard, Armel Joubert des Ouches, journaliste pour le
magazine Nexus, est retourné chez le général André Coustou pour une
nouvelle interview. Lors de cette rencontre, le général a révélé que
pendant la crise des Gilets Jaunes, le président Macron avait donné
l’ordre à l’armée de protéger le Palais Bourbon et l’Élysée, en
utilisant la force si nécessaire, y compris en tirant sur la foule.
Depuis que le général Coustou a rendu publiques ses déclarations sur
les ordres donnés à l’armée pendant la crise des Gilets Jaunes, il a
reçu des menaces de mort et a été contraint de se mettre sous protection
policière. Certaines personnalités politiques et militaires ont remis
en question ses propos, affirmant qu’il n’avait pas reçu d’ordre de
tirer sur les manifestants. Cependant, le général Coustou maintient ses
allégations et affirme avoir des preuves à l’appui.
Le général Coustou a également exprimé ses inquiétudes quant à la
situation politique en France, dénonçant une dérive autoritaire du
pouvoir en place. Selon lui, les libertés publiques sont menacées et la
démocratie est en danger. Il a appelé les citoyens à se mobiliser pour
défendre leurs droits et leurs libertés, et à rester vigilants face aux
atteintes à la démocratie.
Dans l'arène impitoyable des débats en ligne, un
affrontement sur la question épineuse d'Israël et de la Palestine n'a
pas laissé les spectateurs sur leur faim. Organisé par le journaliste
Eric Morillot sur la chaîne "Les Incorrectibles", le débat promettait un
duel d'idées vives entre Youssef Hindi, écrivain et historien, et le
bien connu Jean Messiah, habitué des plateaux de C8 et de CNews.
mise à jour le 19/02/24
Jean Messiah et Youssef Hindi s’affrontent sur le sujet brûlant d’Israël/Palestine.
Dès le départ, la confrontation à pris une tournure prévisible. Jean
Messiah, fidèle à sa réputation de pourfendeur des idées jugées
« inacceptables », n’a pas tardé à dégainer ses arguments habituels.
Accusations de complotisme, de conspirationnisme, d’antisémitisme… un
véritable festival d’anathèmes visant à disqualifier son adversaire. Car
pour Jean Messiah, toute voix discordante est non seulement erronée
mais également contraire aux « valeurs françaises », une notion qu’il
semble ériger en étalon de la pensée juste.
Pourtant, Youssef Hindi, avec son bagage d’historien géopolitologue
et son expertise du messianisme, ne s’est pas laissé impressionner. Armé
de vérités sources et de références solides, il a tenu bon face aux
assauts verbaux de son contradicteur. Un combat entre un intellectuel et
un chroniqueur télé, comme le décrit si bien cette joute verbale.
Certes, Jean Messiah a tenté de prendre le contrôle du débat en haussant
le ton, mais ses attaques n’ont guère fait fléchir son adversaire sur
le fond. Et au final, ce débat sur la plateforme YouTube s’est résumé à
une lutte entre deux mondes : celui de la pensée complexe et documentée
contre celui des clichés télévisuels et des slogans faciles.
On saluera tout de même la présence de Jean Messaiha pour avoir
accepté de participer au débat. En effet, dans un environnement où la
confrontation des idées est souvent évitée, sa volonté de se confronter à
des opinions divergentes mérite une certaine reconnaissance.
Les dernières images de Gaza diffusées par Al Jazeera
nous confrontent à l'horreur de la violence infligée aux civils. Une
mère et son bébé, pris pour cibles par les tireurs israéliens, sont le
symbole de l'innocence brisée. Il est temps d'exiger la justice pour
Gaza.
Al Jazeera a obtenu des images choquantes montrant les forces
d’occupation israéliennes ouvrir le feu sur des civils dans le quartier
de Sheikh Radwan, à Gaza, avant de se retirer. Ces images révoltantes
sont insoutenables : une mère gît inerte au sol, tandis que son bébé
montre encore quelques signes de vie, mais succombe finalement. Au loin,
des hommes tentent désespérément de lancer une corde pour atteindre les
deux victimes et les secourir. Les tireurs d’élite israéliens ont
délibérément visé cette mère et son fils, ajoutant ainsi une tragédie
insoutenable à la longue liste des injustices subies par les habitants
de Gaza.
C'est sans aucun doute l'interview la plus attendue,
une conversation qui va influencer l'opinion mondiale. Le célèbre
journaliste Tucker Carlson a interrogé le président russe Vladimir
Poutine, en abordant les sujets cruciaux de la crise ukrainienne, des
relations internationales et des défis géopolitiques actuels.
mise à jour le 09/02/24
Vladimir Poutine partage ses perspectives sur la crise ukrainienne et les relations internationales.
La
Russie n’a jamais refusé les négociations sur l’Ukraine et est
convaincue que le conflit se terminera tôt ou tard de manière pacifique
et que les relations entre les résidents des deux pays seront rétablies.
Le président russe Vladimir Poutine l’a déclaré dans une interview avec
Tucker Carlson, publiée sur le site Internet du journaliste américain .
Le
dirigeant russe a expliqué à son interlocuteur ce qu’est la
dénazification, a admis la possibilité de libérer l’Américain Evan
Gershkovich, accusé d’espionnage, et a partagé son avis sur l’homme
d’affaires Elon Musk.
Vous pouvez voir l’interview avec les sous-titres ou doublé en français ci-dessous.
Avec doublage en français : https://twitter.com/i/status/1755768431746392425
L’agence TASSa rassemblé les principales thèses du chef de l’Etat.
À propos des négociations sur l’Ukraine
La Russie n’a jamais refusé le dialogue
sur l’Ukraine, mais après la fin des négociations à Istanbul en mars
2022, elle ne prendra pas l’initiative de relancer le processus : « Pourquoi devrions-nous nous donner la peine de rectifier les erreurs de quelqu’un d’autre ? »
Les termes d’un accord, y compris
la possibilité de maintenir la situation telle qu’elle est
actuellement, doivent être discutés. Poutine souligne :
« Il s’agit d’un sujet de
négociation que personne ne semble vouloir aborder avec nous, ou du
moins, ils le veulent, mais ne savent pas comment s’y prendre. Je sais
ce qu’ils veulent, je le vois clairement, mais ils semblent simplement
incapables de comprendre comment y parvenir. »
Pourquoi Londres a perturbé les négociations à Istanbul
« Qui sait vraiment, même moi, je
ne saurais le dire. Il y avait une attitude générale. Pour une raison
quelconque, tout le monde était convaincu que la Russie pouvait être
vaincue sur le champ de bataille – par arrogance, par pure naïveté, mais
certainement pas par un esprit éclairé. »
Sur l’avenir des relations avec les Ukrainiens
En Occident, il est vain de croire que les conflits en Ukraine ont définitivement divisé le peuple russe. « Tôt
ou tard, nous parviendrons à un accord. Il est même possible que, dans
la situation actuelle, cela semble improbable, mais les relations entre
les peuples seront rétablies. Cela demandera du temps, mais ce
rétablissement aura lieu. »
À propos des frontières de l’Ukraine
« L’Ukraine, dans un certain sens, est un État artificiel créé par la volonté de Staline« , notamment à partir des territoires hongrois, polonais et roumains. Poutine n’a jamais discuté avec
le Premier ministre hongrois Viktor Orban de la possibilité de
restituer les terres hongroises transférées à l’Ukraine sous Staline. La région de la mer Noire , « La
région de la mer Noire n’a en réalité aucun lien historique avec
l’Ukraine. Il n’y a tout simplement pas grand-chose à dire à ce sujet. »
À propos de la dénazification
La Russie s’efforce de faire en
sorte qu’en Ukraine, ils ne fassent plus de héros nationaux ceux qui ont
collaboré avec Hitler : « Nous devons nous débarrasser de ces gens
qui abandonnent cette théorie et cette pratique dans la vie et essaient
de les préserver, c’est ça la dénazification.Nous avons réussi à nous mettre d’accord sur ce point à Istanbul. »
Sur la responsabilité dans la crise ukrainienne
« Je comprends, on peut dire que
c’est notre erreur d’avoir […] décidé, avec l’aide des armes, de mettre
fin à cette guerre […] qui a commencé en 2014 dans le Donbass. »
Cependant, il est important de
rappeler l’expansion de l’OTAN en violation des promesses et des accords
sur le territoire ukrainien : « Revenons au fait qu’un coup d’État a eu
lieu en Ukraine en 2014. Cela n’a aucun sens, n’est-ce pas ? C’est
comme un mouvement perpétuel, sans fin.
À propos de la « menace russe »
« Toutes les déclarations
concernant la ‘menace russe’ ne sont que des récits d’horreur destinés
au grand public. Nous n’avons aucun intérêt, que ce soit en Pologne, en
Lettonie, ou ailleurs. Ce ne sont que des menaces vides. »
Sur la possibilité d’une conversation avec Biden
Poutine a averti à plusieurs reprises le président américain Joe Biden qu’il commettait « une énorme erreur aux proportions historiques en repoussant la Russie ».
Les dirigeants n’ont pas de
communiqué depuis, mais ils ont établi « certains contacts » à travers
différents départements. Avec leur aide, la Russie explique aux
États-Unis qu’il est impératif de cesser de fournir des armes à Kiev et
que ‘tout se résoudra d’ici quelques semaines’. »
À propos de l’affaire Gershkovich
Gershkovich
était sans aucun doute impliqué dans des activités d’espionnage en
Russie. Moscou ne sera prêt à le libérer qu’en échange de concessions de
la part de nos partenaires. « Nous avons déjà fait tellement de gestes de bonne volonté qu’il semble que nous avons épuisé toutes les limites ».
Les agences de renseignement russes et américaines sont en négociation. « Je n’exclus pas que […] M. Gershkovich se retrouve dans son pays natal. Pourquoi pas ? »
Il
y a des individus en prison en Occident qui, selon Moscou, n’ont aucun
lien avec les services de renseignement. En particulier, il y a une
personne (peut-être le prétendu citoyen russe Vadim Krasikov, condamné
en Allemagne – selon TASS), qui, pour des raisons patriotiques, a
éliminé un bandit dans l’une des capitales européennes » qui a combattu
dans le Caucase.
À propos de Nord Streams
Carlson : Qui a fait exploser Nord Stream ?
Poutine : Vous, bien sûr.
Carlson : J’étais occupé ce jour-là. Je n’ai pas fait exploser Nord Stream.
Poutine : Vous avez peut-être personnellement un alibi, mais la CIA n’en a pas.
La Russie ne présente pas au monde ses données sur l’explosion du Nord Stream, car « il est très difficile de vaincre les États-Unis dans la guerre de propagande.Vous pouvez vous impliquer dans ce travail, mais ceci, comme on dit , est plus cher pour vous-même. […] »
À propos de la coopération avec la Chine
« Les affirmations selon
lesquelles la coopération avec la Chine serait dangereuse pour la Russie
ne sont rien d’autre qu’une histoire d’horreur. L’Europe collabore même
plus étroitement avec elle : ‘Demandez aux Européens s’ils ne sont pas
effrayés ?' »
À propos de la Russie au sein de l’OTAN
Moscou était intéressé
par la possibilité d’adhérer à l’OTAN et a proposé à Washington de
construire ensemble une défense antimissile. Les présidents américains
l’ont soutenu, mais leurs administrations ont refusé. « En fin de
compte, nous avons été rejetés. […] Et en réponse, nous avons développé
des systèmes hypersoniques à portée intercontinentale, et continuons à
les développer. »
Les États-Unis ont constamment fait pression sur la Russie, notamment parce qu’il y avait trop de spécialistes de la lutte contre l’Union soviétique aux États-Unis, «
relativement parlant, une capacité de production excédentaire a été
créée ». « Nous devons nous défaire de cela. Il faut qu’il y ait de
nouvelles forces qui regardent vers l’avenir et comprennent ce qui se
passe dans le monde. »
À propos de la politique américaine
La politique de Washington ne dépend pas de celui qui occupe le poste présidentiel : « Il ne s’agit pas de la personnalité du dirigeant, mais de l’humeur des élites. » Aujourd’hui, les États-Unis tentent sans succès de s’adapter par la force à un monde en évolution, mais « les outils qu’ils utilisent ne fonctionnent pas ».
« Le monde changera de toute façon ,
quelle que soit la fin des événements en Ukraine. La place des
États-Unis va également changer, la seule question est de savoir comment
cela se produira : douloureusement, rapidement – ou doucement,
progressivement ».
À propos du développement technologique et d’Elon Musk
L’humanité
doit s’entendre sur une réglementation dans le domaine de
l’intelligence artificielle, de la recherche génétique et d’autres «
tendances modernes qui ne peuvent être arrêtées ».
« Maintenant,
on dit qu’aux États-Unis, Elon Musk a déjà implanté une puce dans le
cerveau d’une personne. […] Je pense qu’on ne peut pas arrêter [Elon]
Musk – il fera toujours ce
qu’il juge bon. Mais nous devons traiter avec lui d’une manière ou
d’une autre pour parvenir à un accord, nous devons chercher des moyens
de le convaincre. »
Moins enclin à condamner les Américains en Irak, en Afghanistan ou bien Israël en Palestine., le Parlement européen, qui donne des armes lourdes aux oligarques ukrainiens et aux nazis d’Azov, n’hésite pas à accuser la Russie de soutenir le terrorisme.
Nous sommes à quelques jours du bombardement délibéré de la centrale nucléaire de Zaporijia par le régime ukrainien et du missile tiré par les forces ukrainiennes sur la Pologne au risque d’une Troisième Guerre mondiale. Le Parlement européen n’a pas cru bon de condamner ces faits d’une gravité extrême… Les députés demandent un isolement plus grand de la Russie au niveau international. Selon eux, elle commet des crimes de guerre et a recours aux moyens du terrorisme : « Il faut fermer et interdire les institutions affiliées à l’État russe dans l’Union européenne qui diffusent de la propagande […] Le neuvième paquet de sanctions de l’UE contre Moscou doit être complété. »
Le Parlement souhaite mettre en place un nouveau cadre juridique, afin d’ajouter la Russie à une liste officielle des États commanditaires du terrorisme. Le but est de déclencher « un certain nombre de mesures restrictives importantes à l’encontre de Moscou ». Ainsi, l’organisation paramilitaire « groupe Wagner », le 141e régiment spécial motorisé, sera sur la liste de l’Union européenne et désignée comme groupe terroriste. La résolution a été adoptée par 494 voix pour, 58 contre et 44 abstentions.
Moscou a qualifié d’absurde une résolution du Parlement européen qui qualifie la Russie de « sponsor d’État du terrorisme ». La porte-parole du ministère russe des Affaire étrangères, Maria Zakharova, a réagit à sa manière sur sa chaîne Telegram «Je suggère de reconnaître le Parlement européen comme un promoteur de la débilité ».
De son côté, Xavier Moreau, du site Stratpol, estime que l’Union européenne n’est plus qu’une chambre d’enregistrement qui ressemble à l’assemblée populaire d’Union soviétique : « Elle prend des décisions qui n’ont aucune conséquence juridique, parce que tout est décidé au sein de la Commission européenne. Ce n’est que de la gesticulation de parlementaires qui n’ont aucun pouvoir. Nous sommes dans la communication. »
Pour l’analyste politico-stratégique, la Russie ne souhaite plus converser avec l’Union européenne — et encore moins avec la France depuis le déballage dans les médias français d’une conversation privée du 20 février 2022 entre entre Poutine et Macron. « La solution au problème ukrainien se décidera entre Moscou et Washington. Mais il est évident que ni la Commission européenne et encore moins le Parlement européen, qui n’a aucun pouvoir, n’auront leur mot à dire sur ce que décideront Moscou et Washington. »
Pour Thierry Mariani accuse l’Union européenne de contribuer à l’escalade du conflit, plutôt qu’à proposer la paix.
Notre démocratie a décidé démocratiquement de censurer les médias russes. L’idée est de nous protéger de la propagande mensongère. Mais comme j’aime pas qu’on crame les livres et qu’on m’interdise de regarder derrière la porte, forcément j’la défonce. Et ce qui vous attend dans ce 4-4-2, c’est un voyage dans le monde de la vérité, la virilité et de la tartinade à volonté. Ma générosité en terme de vannes s’est distribuée comme le Christ a multiplié les pains. Vous vouliez mon point de vue sur la Russie, l’Ukraine, Poutine et les médias du pouvoir ? Vous allez être servi.
Bon voyage les amis et partagez autour de vous — la vérité ne se garde pas pour soi :
La vidéo étant été censurée sur Youtube, défendre le Donbass et accuser l’OTAN des guerres en Irak, Libye… est devenu de l’incitation à la haine. Mais vous pouvez la voir sur Odysee ou Rumble :
Rectification : (la dette de la France est de 2 843 milliards d’euros et non 2 milliards — à 11min 24sec de la vidéo ! Les 2 milliards c’est juste pour le coiffeur de Brigitte… au temps pour moi !)
Notre équipe du Média en 4-4-2 est partie dans ce magnifique coin de la France qu’est l’Ariège, à la rencontre de femmes et d’hommes de la résistance qui s’activent à distribuer des graines à travers le monde. A la tête de cette exception française : Ananda Guillet, directeur de l’association Kokopelli. La particularité de cette association réside dans sa non-soumission au système, aux multinationales. En ces temps de dictature sanitaire, Kokopelli est certainement l’exemple à suivre. Il y a de cela vingt ans, le fondateur, Dominique Guillet, se faisait traiter de complotiste et de tous les noms d’oiseaux qui servent à diaboliser un ennemi. L’association a dû faire face aux insultes, aux mensonges, aux procès… mais elle n’a pas courbé l’échine ! Pendant que se couchait le Groupement national interprofessionnel des semences et plants (GNIS), l’association prend le maquis. Résultat, après ce combat que l’on annonçait perdu d’avance, aujourd’hui Kokopelli peut s’enorgueillir d’être là, bien implanté à distribuer ses graines que les multinationales voulaient pour elles et elles seules… Dans ce documentaire, vous allez découvrir les petites gens qui font le boulot, qui croient encore au combat pour la vérité et qui œuvrent pour le bien de tous… nous tous. Au départ, ils n’ont planté qu’une seule petite graine, la récolte est aujourd’hui fabuleuse…
Un grand merci à Ananda Guillet et à toute l’équipe qui se sont prêtés au jeu des questions avec en cadeau le sourire aux lèvres.
Le premier invité de "Appel à Témoins" est Ananda Guillet, président de l'association Kokopelli, refuse de masquer les centaines de personnes au sein de Kokopelli, il refuse de faire le policier, il refuse tout simplement de se soumettre à la dictature sanitaire, c'est un geste extrêmement courageux. Il faut le courage d'un homme pour que les autres suivent.
Un soutien total à Ananda Guillet qui a décidé d'agir concrètement contre la dictature.
Site Kokopelli : https://kokopelli-semences.fr/fr/
Appel à la mobilisation contre la loi la plus liberticide jamais adoptée en France
Kokopelli, semeur de Vie
Nous étions déjà des millions samedi dernier, demain soyons encore plus nombreux à dire STOP au totalitarisme. Mobilisons-nous !
Kokopelli, par la voix de son Président, lance un appel à rejoindre un mouvement populaire historique, demain samedi 24 juillet, contre la loi la plus liberticide jamais adoptée par l'Assemblé et le Sénat.
Mes amis, Michel Onfray continue sa cavalcade. Après avoir trahi ceux qui l'ont rejoint sur Front Populaire, accompagné par son acolyte et producteur Stéphane Simon, rien ne va plus. Si t'as mis tes billes dans sa boutique alors que tu pensais sauver la France face à la dictature sanitaire qui pointait son blair via le Covid-19, tu dois certainement te dire que tu t'es fait enfiler sévèrement. Alors je vais pas te mentir : oui, et bien profond. T'aurais mieux fait d'mettre tes billes chez moi, elles n'auraient pas servi à faire la promotion de la vaccination ou du Pass sanitaire. On en voit d'la trahison, mais il faut avouer que celle-là est costaud.
Le philosophe s'est mis du jour au lendemain avec le camp d'en face en se positionnant pour la picouse et le Pass sanitaire et critique désormais ceux qui ne se soumettent pas à la dictature sanitaire, comme étant des capricieux « d'enfants rois ».
Comme notre anarchiste du dimanche patauge dans sa trahison la plus crasse et ayant conscience que ses soutiens prennent leur cliques et leur claques après leur avoir fait miroiter une révolution qui s'est terminée à servir Macron et les élites — on est loin, très loin du libertarien anarchiste proudhonien — , c'est donc au tour de la philosophie du bégaiement et du non-sens de faire surface (à découvrir dans les vidéos ci-dessous). Car, comprenez bien une chose, quand tu mens, que tu trahis les tiens, que tu persistes dans le mensonge, tu auras beau nous sortir toutes tes histoires à la con, ça sentira comme dans les ruelles où tout le monde pisse pas loin d'la boîte de nuit. Mon pauvre Onfray, t'auras beau t'laver les mains quinze fois à l'hydroalcoolique, y'aura toujours cet arrière goût d'pisse.
Heureusement, cette époque malheureuse est révélatrice, nous pouvons contempler nos alliés et nos ennemis d'un seul coup d'œil... tout remonte à la surface et voici à quoi ressemblent aujourd'hui les non-vaccinés pour Onfray : « Des racailles, des contaminateurs conscients d'avoir le Sida ou des violeurs de jeunes filles. » Rien que ça !
Point Godwin atteint.
Pour terminer sur une anecdote sympatoche, le producteur Stéphane Simon m'avait contacté à plusieurs reprises pour rejoindre l'équipe d'Onfray et le joli casting en devanture — le p'tit Marcel du peuple qui a la gouaille pour faire rire, c'est le bon plan pour ratisser large —, mais voilà, j'avais refusé pour une simple et bonne raison, je savais que le « très radical » Michel, allait faire volte-face et dévier la colère populaire afin de la canaliser pour, au final, la trahir et rejoindre le camp ennemi. Pile-poil ce qui s'est passé ! Pour faire clair, le Front Populaire c'est clairement de la merde, c'est la « Résistance » contrôlée par le pouvoir. Barrez-vous de là et rejoignez Le Média en 4-4-2, là où la liberté n'est pas d'avoir un Qr-code ou un pass vaccinal pour bouffer une andouillette dans le resto du coin.
Commentaire : Sur la 4e de couverture de son ouvrage sorti en 2019, Théorie de la dictature, Michel Onfray écrivait :
Il est admis que 1984 et La Ferme des animaux d'Orwell permettent de penser les dictatures du XXe siècle. Je pose l'hypothèse qu'ils permettent également de concevoir les dictatures de toujours. Comment instaurer aujourd'hui une dictature d'un type nouveau ? J'ai pour ce faire dégagé sept pistes : détruire la liberté ; appauvrir la langue ; abolir la vérité ; supprimer l'histoire ; nier la nature ; propager la haine ; aspirer à l'Empire. Chacun de ces temps est composé de moments particuliers. Pour détruire la liberté, il faut : assurer une surveillance perpétuelle ; ruiner la vie personnelle ; supprimer la solitude ; se réjouir des fêtes obligatoires ; uniformiser l'opinion ; dénoncer le crime par la pensée. Pour appauvrir la langue, il faut : pratiquer une langue nouvelle ; utiliser le double langage ; détruire des mots ; oraliser la langue ; parler une langue unique ; supprimer les classiques. Pour abolir la vérité, il faut : enseigner l'idéologie ; instrumentaliser la presse ; propager de fausses nouvelles ; produire le réel. Pour supprimer l'histoire, il faut : effacer le passé ; réécrire l'histoire ; inventer la mémoire ; détruire les livres ; industrialiser la littérature. Pour nier la nature, il faut : détruire la pulsion de vie ; organiser la frustration sexuelle ; hygiéniser la vie ; procréer médicalement. Pour propager la haine, il faut :se créer un ennemi ; fomenter des guerres ; psychiatriser la pensée critique ; achever le dernier homme. Pour aspirer à l'Empire, il faut : formater les enfants ; administrer l'opposition ; gouverner avec les élites ; asservir grâce au progrès ; dissimuler le pouvoir. Qui dira que nous n'y sommes pas ? M.O.
Ce serait risible, si ce n'était pas aussi tragique. L'homme, au discours schizophrène et visiblement atteint de dissonance cognitive, semble avoir perdu tous ses repères (pour être gentil et lui laisser le bénéfice du doute). Son AVC et le COVID qu'il a contracté l'année dernière auraient-il endommagé ses facultés mentales de manière irréversible ? L'avenir nous le dira.
Commentaire : Sur la 4e de couverture de son ouvrage sorti en 2019, Théorie de la dictature, Michel Onfray écrivait : Ce serait risible, si ce n'était pas aussi tragique. L'homme, au discours schizophrène et visiblement atteint de dissonance cognitive, semble avoir perdu tous ses repères (pour être gentil et lui laisser le bénéfice du doute). Son AVC et le COVID qu'il a contracté l'année dernière auraient-il endommagé ses facultés mentales de manière irréversible ? L'avenir nous le dira.