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samedi 11 septembre 2021

L'actrice Catherine Frot témoigne d'un cas de maltraitance d’une maman à l'hôpital.

"Hospitalisée le 10 mars 2020 suite à une chute, tests négatifs à plusieurs reprises, interdiction de la visiter, elle a subi une intervention afin qu on lui pose un pacemaker. Fièvre et toux, nouveaux tests COVID positifs, son état se dégrade elle n'a plus la force de parler, nous ne parvenons plus à l'apaiser à distance, mise sous oxygène elle ne répond plus du tout, son médecin est inquiet m'explique qu'elle ne pourra pas aller en réanimation à cause de son âge elle n'est pas prioritaire et elle ne supporterait pas, nos sentiments sont partagés entre l'angoisse ne plus pouvoir la réconforter, ni pouvoir la visiter et la peur de ce nouveau virus. Abrutis par la douleur et la peur, nous avons accepté l'inacceptable, elle nous quittera dans la matinée du 29 mars, seule..."


Source : https://twitter.com/TenirTaMain/status/1391417174334509056


Je crois que dans certaines conditions, il devient plus humain de mourir à la maison... C'est en tout cas la décision prise par mes parents.  

jeudi 28 janvier 2021

Le point de vue de Wim Hof ​​sur le coronavirus (COVID-19)


 


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Tout le monde a demandé ce que je pense du Coronavirus, et le voici. Restez en sécurité tout le monde! Vous envoyer tous les gros câlins à distance. Tout l'amour et tout le pouvoir pour vous! X Si vous voulez pratiquer la méthode Wim Hof ​​à la maison pendant cette période et renforcer votre système immunitaire, consultez nos cours vidéo en ligne: https://www.wimhofmethod.com/elearning Vous voulez découvrir et en savoir plus sur la méthode Wim Hof? REJOIGNEZ LA MINI CLASSE GRATUITE: https://www.wimhofmethod.com/free-min... TÉLÉCHARGEZ L'APPLICATION MOBILE GRATUITE: https://www.wimhofmethod.com/wim-hof-... VISITEZ LE SITE: https://www.wimhofmethod.com/ CONNECTEZ-VOUS AVEC WIM: YouTube: https://www.youtube.com/subscription_... Facebook: https://facebook.com/icemanwimhof/ Instagram: https://instagram.com/iceman_hof Twitter: https://twitter.com/iceman_hof E-BOOK GRATUIT: https://www.wimhofmethod.com/ebook-jo... POUR LES ATELIERS / SEMINAIRES / VOYAGES: https://www.wimhofmethod.com/activities ===== À PROPOS DE WIM HOF ===== «The Iceman» Wim Hof ​​est un athlète néerlandais et détenteur de plusieurs records du monde Guiness connu pour sa capacité à résister au froid extrême et ses réalisations extraordinaires. Wim croit que TOUT LE MONDE est capable de faire les mêmes choses exceptionnelles que son corps lui permet de faire. C'est pourquoi il a développé la méthode Wim Hof ​​- une combinaison d'exercices de respiration, de thérapie par le froid et d'engagement - pour VOUS donner les outils pour prendre le contrôle de votre corps. Il a pour mission de partager les avantages potentiels de sa méthode pour la santé, travaillant avec des scientifiques du monde entier pour prouver que ses techniques fonctionnent. Découvrez-en plus sur wimhofmethod.com



samedi 5 septembre 2020

« Au rythme actuel avec nos tests RT-PCR, nous allons confiner des dizaines de milliers de gens pour rien », alerte le Dr. Yvon Le Flohic

  Source : https://www.industrie-techno.com/article/au-rythme-actuel-avec-nos-tests-rt-pcr-nous-allons-confiner-des-dizaines-de-milliers-de-gens-pour-rien-alerte-le-dr-yvon-le-flohic.61409

 
  « Au rythme actuel avec nos tests RT-PCR, nous allons confiner des dizaines de milliers de gens pour rien », alerte le Dr. Yvon Le Flohic
 

Membre du collectif de professionnels de santé auteur de deux tribunes publiées cet été pour pousser à la prise en compte de la contamination par aérosol avec notamment le port du masque en lieux clos, le Docteur Yvon Le Flohic est médecin généraliste et ancien membre de la cellule de veille épidémiologique de la grippe H1N1. Depuis plusieurs mois déjà, il questionne la stratégie de dépistage fondée sur les tests RT-PCR. Il explique aujourd’hui pour Industrie & Technologies en quoi l’usage actuel de ces tests de diagnostic pour évaluer la contagiosité des personnes est inefficace et impose des quatorzaines inutiles. Avec la croissance du nombre de nouveaux cas, il alerte sur le coût socio-économique de la multiplication des confinements individuels. Repenser la doctrine française s’impose.

Industrie & Technologies : Vous vous interrogez sur l’inadéquation du dépistage par RT-PCR du Covid-19 pour identifier les patients contagieux. Pourquoi ?

Dr. Yvon Le Flohic : Le test RT-PCR sur prélèvement naso-pharyngé est le principal, sinon le seul, test dont nous disposons. C’est lui qui façonne notre vision de l’épidémie. Mais comme tout test médical, il a ses caractéristiques et ses limites, notamment en termes de sensibilité et de spécificité, qui doivent déterminer son usage. Il n’est pas question de remettre en question la puissance de la technique de RT-PCR, mais il faut comprendre que l’on utilise les tests RT-PCR comme un test de contagiosité sans prendre en compte leurs limites en la matière. Ce qui fait que les tests RT-PCR pratiqués actuellement en France sont de mauvais tests de contagiosité. Or c’est sur eux que l’on se base pour isoler les personnes infectées – ce qui peut avoir de lourdes conséquences personnelles et sociales –  et pour, conjointement avec les mesures de prévention comme le port du masque, ralentir la propagation de l’épidémie. L’enjeu est donc majeur, d’autant plus que l’augmentation des nouveaux cas continue.

En quoi les tests RT-PCR sont-ils de mauvais tests de contagiosité ?

Tout d’abord, le test RT-PCR n’est pas un test de la présence du virus mais un test de la présence de séquences génétiques du virus. Or les personnes peuvent excréter des séquences virales sans pour autant excréter de virus vivants. C’est une première raison qui fait que l’on peut être positif à la RT-PCR sans pour autant être contagieux. Par exemple 20, 30 voire 45 jours après le début des symptômes. Deuxième raison : la RT-PCR fonctionne par répétition de cycles de multiplication de la quantité des séquences génétiques cibles présentes dans l’échantillon d’origine jusqu’à atteindre une quantité détectable. C’est ce qui fait la puissance de cette technique : en poussant le nombre de cycles, on peut arriver à détecter de très petites quantités de matériel génétique. Mais c’est aussi un écueil pour mesurer la contagiosité. Car il faut qu’une personne excrète une dose minimale de virus pour qu’elle puisse être contagieuse. C’est le cas pour toute maladie virale : il faut être en contact avec une quantité minimale de virus, ce que l’on appelle l’inoculum, pour être infecté. Avec les dizaines de cycles de PCR utilisés dans les labos pour les tests, on peut très bien sortir positif alors qu’on n’excrète qu’une trop faible quantité de virus pour être contagieux ou à tout le moins pour être fortement contagieux.

Il y a aussi une question de « timing » : on teste parfois trop tôt et souvent trop tard…

La cinétique de l’excrétion du virus n’est effectivement pas bien prise en compte. La quantité de virus excrétée par une personne infectée part de zéro, augmente, atteint un pic puis redescend progressivement, avec parfois des oscillations autour du niveau bas. La pertinence d’un test RT-PCR dépend donc du moment auquel il est réalisé. Si c’est trop proche de la date de contamination, la quantité de virus sera trop faible pour être détectée par la PCR. Le test sera négatif alors que, quelques jours plus tard, la personne excrètera plus de virus et sera contagieuse. C’est pour cela que l’on préconise généralement pour les cas contacts un test 7 jours après la contamination potentielle. D’autre part, on estime aujourd’hui que la plupart des contaminations interviennent entre 2 jours avant l’apparition des symptômes et 7 jours après (hors cas sévères). Environ 50% des contagions auraient  lieu avant le début des symptômes. Cette cinétique est à mettre en relation avec la politique actuelle envers les clusters : le temps de constater des symptômes, d’enregistrer au moins 3 cas positifs, de retracer leurs contacts, de les faire tester et d’obtenir les résultats, on va probablement finir par mettre en quatorzaine des personnes au moment où ils ne sont plus ou presque plus contagieux. C’est à la fois peu efficace pour éteindre les clusters et inutilement pénalisant pour la société.

Est-il possible de mieux tester la contagiosité ? Y a-t-il des alternatives à la RT-PCR ?

Il n’y a pas vraiment d’alternative à la détection du virus par son matériel génétique via la RT-PCR. Les tests sérologiques n’ont pas d’utilité en matière de contagiosité et la troisième catégorie de tests, la détection antigénique, n’est pas là. Mais on peut utiliser la RT-PCR différemment et modifier la politique de dépistage (la doctrine d'emploi) pour tenir compte des caractéristiques des tests et de ce que l’on sait de la contagiosité. En termes de stratégie, plutôt que le dépistage massif et aveugle vers lequel on s’est orienté, il serait plus judicieux de réellement intégrer le fait que l’épidémie se propage majoritairement de lieux clos en lieux clos plutôt que de façon inter-individuelle. Cela voudrait dire cibler le dépistage sur les clusters potentiels. En réalisant des tests plus rapidement, plus facilement et de façon répétée dans le temps pour être le plus réactif possible. Voire pour être préventif. C’est possible d’aller dans cette direction.

Comment faire concrètement ?

Tout d’abord avec des tests salivaires. Les études s’accumulent pour montrer que la RT-PCR pratiquée sur des prélèvements salivaires donne des tests presque aussi performants qu’avec des prélèvements naso-pharyngés. Passer aux salivaires facilite énormément le déploiement de tests : pas besoin d’un technicien en tenue de cosmonaute pour faire un prélèvement. On pourrait le faire chez soi. Donc bien plus rapidement et de façon répétée. Deuxièmement, il serait intéressant d’utiliser une méthode bien connue appelée le pooling : on mélange les échantillons d’un groupe de personnes et on teste le tout. Ce qui permet de dire soit tout le monde est négatif, soit il y a au moins une personne positive dans le lot. C’est moins précis que des tests individuels, évidemment, mais l’intérêt est notamment de pouvoir sécuriser préventivement les communautés les plus à même de devenir des clusters. Prenez par exemple un Ehpad : on pourrait faire deux fois par semaine des prélèvements salivaires de tous les résidents et personnels, mélanger le tout et tester. Cela permettrait de détecter un cluster potentiel au plus tôt. On pourrait faire de même avec des entreprises, des écoles…

Vous remettez aussi en question l’isolement de 14 jours. Pourquoi ? Quelle serait l’alternative ?

Il s’agit de viser des mesures réellement efficaces mais aussi proportionnées. Aujourd’hui, les personnes mises en quatorzaine ne sont souvent pas ou plus contagieuses – rappelons que la contagiosité chute 7 jours après le début des symptômes. Une analyse publiée par le New-York Times le 29 août estime que, sur des ensembles de cas testés positifs – et donc placés en isolement - cet été sur la côte Est des Etats-Unis, 90% n’étaient pas contagieux… Une étude de Harvard Medical School publiée quelques jours plus tôt permet de comprendre pourquoi : des patients non contagieux portant de très faibles quantités de virus ou de simples débris de virus peuvent être positifs à la PCR. Il ne s’agit pas de faux positifs, mais de l’usage à contre-emploi d’un test diagnostic comme un test de contagiosité. En Allemagne, le virologue Christian Drosten, très écouté, propose une approche différente pour les clusters : plutôt que de retracer et tester laborieusement les cas contacts pour mettre les positifs en quatorzaine, isolons immédiatement tous les cas contacts, sans les tester, mais seulement pendant 7 jours. Après quoi, on les teste par RT-PCR en définissant un niveau d’amplification, c’est-à-dire un nombre de cycles de PCR, au-delà duquel on considère qu’il n’y a plus de risque significatif. Ils peuvent alors reprendre leurs activités.

N'est-ce pas risqué ?

Quand bien même on laisserait ainsi passer certaines personnes potentiellement contagieuses, le surcoût sanitaire serait faible puisqu’elles seraient loin d’excréter beaucoup de virus. En revanche, pour ces personnes et la société, le gain de passer de 14 à 7 jours d’isolement serait élevé. C’est une piste. L’idée au fond est d’éviter un confinement individuel qui n’est pas vraiment utile tout en étant plus efficace. Si l’on ne change pas la façon d’utiliser les tests RT-PCR pour prévenir les contagions, nous allons confiner des dizaines de milliers de gens pour rien ou presque. Au rythme actuel, on atteindra dans deux semaines 10 000 à 15 000 nouveaux cas par jour en France. Et autant de personnes isolées pendant 15 jours. L’impact social va finir par être très lourd, avec des entreprises pénalisées, des classes et écoles qui ferment. Il s’agit de mettre en œuvre un confinement à la fois plus efficace, plus déployable, et à la fois moins pénalisant. En utilisant toujours la RT-PCR : nous entendons que les tests RT-PCR donnent de nombreux faux positifs, c'est faux. Ce test est très fiable mais son usage comme test de contagiosité impose des adaptations, et notamment de prendre en compte le niveau d'amplification pour avoir une mesure plus quantitative. Espérons enfin que l'apport rapide de nouvelles techniques nous permette d'agir plus en amont, préventivement, pour sécuriser les communautés et maintenir le plus possible les activités, de façon sécurisée.

samedi 8 août 2020

Masque & Covid / La perspective d'un scientifique et chercheur : Denis Rancourt


De passage à Ottawa la semaine dernière, ThéoVox Actualités à eu l'honneur et le privilège d'échanger avec M. Denis Rancourt Scientifique et Chercheur qui nous a reçu à son domicile. M. Denis Rancourt a été : - Scientifique, chercheur et ancien professeur à l'université d'Ottawa - Il pratiqué plusieurs domaines de la science - Il a été financé par une agence nationale - Il a dirigé un laboratoire reconnu internationalement - Il a publié plus de 100 articles dans des revues scientifiques importantes - Il a publié plusieurs essais de commentaires sociaux Il travaille aujourd'hui comme scientifique et chercheur à l'Association des libertés civiles de l'Ontario. Il est sans contredit un chercheur émérite ayant fait sa marque non seulement chez nous au Canada mais à travers le monde. Ayant fait plusieurs recherches sur diverses controverses rattachées à la pandémie de la covid-19, il vient répondre aujourd'hui à nos questions notamment sur le port du masque, le confinement et la distanciation sociale. Bonne écoute ! l'Équipe ThéoVox ! Vous trouverez ci-dessous quelques articles intéressants en concordance avec le travail de recherche derrière les positions de M. Rancourt. Vous trouverez des liens vers des entrevues qu'il a également performé sur d'autres chaînes. Vous trouverez également sa lettre à l'OMS en concordance avec le port du masque ainsi qu'un article décrivant que tout a été résolu dans une entente à l'amiable qui est tenue confidentielle entre lui et l'université d'Ottawa… Voilà !!! https://guyboulianne.com/2020/07/09/d... https://dissidentvoice.org/2020/06/ac... https://fr.sott.net/article/35687-La-... https://lesakerfrancophone.fr/critiqu... https://lesakerfrancophone.fr/mortali... https://lesakerfrancophone.fr/re-loms... https://youtu.be/C1ODBTdNiG0 https://youtu.be/Fvp6uah-2hY http://ocla.ca/ocla-letter-who/ http://ocla.ca/wp-content/uploads/202... https://lesakerfrancophone.fr/mortali... https://lesakerfrancophone.fr/critiqu... https://vixra.org/abs/2006.0044 http://ocla.ca/ocla-recommends-civil-...

mardi 4 août 2020

Belgique, masques et confusion entre tests positifs (dits « cas ») et vrais malades. Dommage !


 Publié le 03/08/2020 à 14:40 - Mise à jour à 15:30
Belgique
Pixabay
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  • Auteur(s): Dr Gérard Delépine pour FranceSoir
    TRIBUNE : Les responsables belges sont-ils encore plus fous que les français ?  L’erreur est humaine, mais la persévérance dans l’erreur est diabolique        

    La Belgique a le triste privilège de la plus forte mortalité Covid19 du monde, mais au lieu de s’interroger sur le bien-fondé de leur politique sanitaire passée (confinement aveugle et refus du traitement efficace par chloroquine) leurs autorités persistent dans leurs erreurs et leur attitude dictatoriale sous prétexte d’une augmentation des taux de contaminations qui ne sont que la comptabilisation des tests positifs de signification mondialement reconnus comme douteux.[1] [2] [3]

    Rappel du début de l’épidémie Covid19 en Belgique
    Les autorités sanitaires belges ont cru aveuglément les prédictions apocalyptiques de l’OMS et de Ferguson, suivant en cela les tristes décisions de la France et imposé très tôt un confinement policier sévère à leur population contrairement à leurs voisins néerlandais. Les conséquences sur la mortalité seront tragiques en France, en Italie et évidemment en Belgique.
    Ce confinement a été suivi d’une augmentation rapide des infections alors que leurs voisins (Pays-Bas), non confinés, bénéficiaient une progression moins rapide et moins importante qu’eux.
    Cette augmentation brutale des contaminations survenue 8 à 10 jours après le confinement belge s’explique par la non-séparation des infectés de la population saine[4], ce qui est un contre-sens sanitaire incroyable (idem France, Italie). En Italie ils ne séparaient pas dans les salles d’attente les malades qui toussaient ou étaient fébriles. Des heures durant, les personnes présentes se contaminaient allègrement à une époque où le virus était virulent (ce qui n’est plus le cas actuellement). Quelle fut la situation en Belgique dans les consultations ?
    L’astreinte à résidence des infectés avec les autres constitue en effet le meilleur moyen d’infecter les sujets sains comme l’ont confirmé récemment les exemples du Diamond Princess et des porte-avions américains et français[5].
    Cette surcontamination liée au confinement a été suivie d’une surmortalité d’autant plus forte que, comme en France, les autorités ont empêché les médecins de traiter les malades pour des raisons que les Belges voudront un jour éclaircir.[6]
    D’après l’OMS, au 28 juillet 2020, les belges déplorent 848 morts liés au covid19/million d’habitants, alors que leurs voisins néerlandais n’en comptent que 359/million d’habitants et que les pays asiatiques qui n’ont pas confiné leurs populations et utilisé la chloroquine précocement peuvent s’enorgueillir d’une mortalité inférieure à 10/ million d’habitants[7]. Et tous ces pays ne pâtiront pas de la surmortalité liée à l’absence de soins et aux troubles psychiatriques que nos gouvernants songent déjà à mettre sur le dos du covid. Non eux seuls et leurs mesures délétères en portent la responsabilité.
    Mais plutôt que de tirer des leçons de leur triste expérience, les autorités belges et leurs politiques continuent de croire contre toute vraisemblance scientifique à l’efficacité du confinement aveugle et n’ont que cette mesure contre-productive à proposer à leur population. Comment réagissent les Belges ?

    Y-at-il une reprise de la maladie ?
    Une maladie existe lorsqu’elle entraîne des malades, des personnes qui souffrent de signes cliniques, qui nécessitent des soins, des hospitalisations, voire des morts. Or, lorsqu’on consulte les données officielles de l’’institut belge de santé Sciensano, on constate depuis 3 mois une baisse continue du nombre des entrées à l’hôpital pour Covid19, qui se situe très bas depuis plus de deux mois.
    De même que le taux d’entrée en réanimation est très bas, avec une incidence très faible depuis la mi-juin.
      
    De même que la mortalité, devenue infime
    Le nouveau critère d’alarme mondial trompeur : « les cas » en lieu et place des vrais malades
    Au début de l’épidémie, lorsque les tests auraient pu éventuellement être utiles pour dépister les sujets contagieux et les mettre en quarantaine, seules les personnes les plus atteintes pouvaient les faire pratiquer.
    Maintenant que l’épidémie a quitté l’Europe, le lobby de la peur base sa campagne d’entretien de la terreur sur ces tests non fiables et les multiplie à foison pour que « les cas » augmentent.  En France par exemple, le gouvernement joue le même jeu mensonger inspiré probablement par une entente mondiale entre les responsables (oserais-je dire nouvel ordre mondial que le président Sarkozy appelait déjà de ses vœux et que le président actuel revendique ?). Mais si on regarde le pourcentage de contaminations dépistées par tests (la date de contamination est inconnue et peut dater de nombreuses années via un cousin du coronavirus de l’année), on démontre via les chiffres officiels de l’agence française santé-France que ce % ne bouge pas. On augmente le nombre de testés mais pas le % de positifs. Intéressant !
    Créer la confusion pour entretenir la peur
    Gouvernement et médecins trop liés à l’industrie pharmaceutique ne parlent donc plus de malades, d’hospitalisations, d’entrées en réanimation ou de morts mais de « cas », de tests positifs. Ils créent volontairement la confusion entre la positivité des tests au virus et le fait d‘être malade.  Ce qui est grave pour les naïfs testés qui se croient malades et courent de consultations en hôpitaux pour obtenir un traitement inutile pour un rhume, d’il y a quelques années le plus souvent. Manipulation honteuse des peuples à travers le monde.

    Les porteurs de traces du SARS-CoV2 (ou de virus proches) sont relativement nombreux, les malades du Covid-19 le sont beaucoup moins car la plupart des porteurs de virus actuellement dépistés ne souffrent d’aucun symptôme et, dans ces conditions, ne peuvent transmettre que très exceptionnellement voire jamais la maladie.
    Si l’épidémie progressait, le pourcentage de tests positifs dans la population devrait augmenter. Or ce n’est pas le cas.
    Des tests positifs ne correspondent pas à des malades et peuvent n’être que la trace d’une rencontre plus ou moins ancienne avec un virus de la même famille que le coronavirus actuel (résidus d’ARN etc.).

    Le drame d’Anvers
    Sous prétexte d’une augmentation des cas de tests positifs, ils viennent de décider de reconfiner Anvers et quelques localités qui ont eu le malheur d’être testées plus que les autres et ainsi de révéler des contaminations asymptomatiques. 
    Drame politique par mensonges, économique par blocage des échanges et détérioration de la santé mentale d’un peuple avec décompensation pour certains, suicides, délires, violences. La population acceptera-t-elle longtemps de se faire infantiliser, d’autant qu’elle va finir par constater directement par elle-même qu’il n’y a plus de malades.
    Malgré tout, les menteurs ne manquent pas de ressources : le diagnostic actuel de toutes les infections et affections respiratoires (autres grippes, infection bactérienne, allergie respiratoire, voire affections cancéreuses avec localisation pulmonaire primitive ou secondaire) reste « covid » et il y a encore beaucoup de victimes de désinformation ! Ainsi peut-on lire sur tweeter ‘ma voisine est morte de covid cette nuit, donc portez le masque ». Curieux ces conclusions sur un cas sans autopsie, ni même histoire clinique, antécédents, alors même que le PR Raoult aurait dû aligner des milliers de malades tirés au sort (donc la moitié sacrifiée) pour être cru…

    Les médecins belges devraient parler, ils se sentiraient mieux
    Il est urgent que les médecins belges (et français) rejoignent les collègues étrangers qui en ont assez de se taire, de voir mourir leurs patients sur interdiction du traitement efficace connu depuis fin février grâce aux vidéos du Pr Raoult et de ses collègues.
    Comme les mêmes causes produisent habituellement les mêmes effets, on peut craindre que ces nouveaux confinements risquent d’entraîner une accélération des contaminations, probablement peu dangereuses, vu la mutation du virus vers l’atténuation de sa virulence, mais surtout de la crise économique et psychique[8] et médicale. Tant de malades non soignés, non opérés, non dépistés pour cause de covid vont-ils être à nouveau privés de soins. Les médecins belges rejoindront-ils bientôt les collègues allemands, espagnols, américains qui crient au mensonge, à l’abandon des malades voire à leur euthanasie imposée et surtout au refus du traitement mondialement reconnu efficace, l’association chloroquine-azithromycine.[9] [10]
    Tout cela parce que les dirigeants belges comme français se laissent guider par des simulations fausses[11] ou des pressions internationales, au lieu d’appliquer les règles médicales forgées par l’expérience des épidémies anciennes et aussi de celles des pays asiatiques qui ont vaincu l’épidémie sans confinement aveugle : informer loyalement, dépister, isoler, traiter. Il est possible encore de résister comme l’exemple du gouvernement suédois vient encore de nous le rappeler.
    Comme l’aurait expliqué William Henry, dit Bill Gates, en 1990 « l’erreur est humaine mais un véritable désastre nécessite un ordinateur ».
    Espérons que la raison prévaudra en Belgique avant que de trop nombreux morts ne surviennent.
    La Belgique étant la Belgique, on finira sur une anecdote savoureuse : « Luc et Stijn habitent tous les deux dans la Bormstraat à Willebroek. Depuis hier, les deux hommes sont pourtant confrontés à une situation pour le moins spéciale, comme le rapportent nos confrères du Nieuwsblad. Alors que Stijn doit obligatoirement porter un masque buccal pour se balader de son côté de la rue, Luc, lui, ne doit pas en porter du sien. Cela s’explique par le fait que la Bormstraat traverse à la fois la province d’Anvers et celle du Brabant Flamand. Or, on le sait, Anvers a décidé de prendre des mesures drastiques pour lutter contre la recrudescence de l’épidémie de coronavirus.[12] »

    Le Team Apocalypse est-il roi en Belgique ?
    Le team Apocalypse sévit en Belgique malgré une chute des hospitalisations et des décès en rapport avec le covid. Malheureusement les mesures prises le 27 juillet sont liberticides et injustifiées : 
    La Belgique durcit ses mesures sanitaires face à la hausse des cas de #COVID19 :  faire ses courses seul et en 30 minutes. Ne fréquenter que les 5 mêmes personnes au cours des 4 prochaines semaines. Télétravail si possible.[13]
    Pas d’angoisse, il existe un traitement à exiger de vos médecins, le protocole Raoult et dérivés
    Tout ça pour ça ! Répétons qu’il ne s’agit que de « cas » et pas de malades et que de toute façon la Belgique devrait savoir qui si malades il y avait, il faudrait tout simplement les soigner en début de symptômes avec l’association chloroquine azithromycine et zinc, comme le proclament des milliers de médecins allemands, américains, espagnols et bien d’autres qui se rallient à leur collectif. S’ils refusent, il faudra leur expliquer le concept juridique de perte de chances de survie et de non-assistance à personne en danger.[14]

    L’épidémie est terminée et aucune vague à l’horizon ! La peur doit disparaitre au profit du traitement des malades quand ils existent par des médicaments efficaces peu dangereux et peu chers. Trop simple ? La Belgique est -elle sous l’influence de big pharma autant que la France ?

    [3]https://www.youtube.com/watch?v=xsJToXqrHoY  his is a 15-minute presentation [extracted from a longer debate] by former full Professor of Physics, Denis Rancourt on the randomised controlled studies on masks, illustrating that masks are ineffective in preventing viral transmission. 29/07 /2020
    [4] Appelée aussi quarantaine et qui constitue depuis toujours la seule mesure non médicamenteuse qui ait fait ses preuves avec l’hygiène.
    [5] A bord du Charles de Gaulle 70% des marins totalement confinés dans cet espace parfaitement clos ont été infectés. Heureusement ils furent tous guéris, sauf un encore en réanimation il y a quelques jours. Ont-ils reçu de la chloroquine comme cela fut dit initialement et contredit tardivement par la ministre… On sait que l’armée a acheté des provisions impressionnantes de chloroquine et que même l’ex-ministre Agnès Buzyn a avoué en avoir prescrit à l’hôpital militaire de Percy. Au jeu des mensonges, on se perd.
    [7] Corée 6/ million d’habitants, Japon 8/ million d’habitants, Singapour :5/ million d’habitants, Malaisie :4/ million d’habitants
    [11] Celles de Ferguson et de ses élèves dont les calculs sont justes mais qui reposent sur des hypothèses grossièrement fausses.
    [13] https://leparisien.fr/societe/sante/coronavirus-les-belges- devront-faire-leurs-courses-seuls-et-en-30-minutes-27-07-2020-8359509.php »

    Confinement, traitement : Où en est on avec le COVID19 ?


    dimanche 2 août 2020

    Coronagates : nouvelles vidéos de Jean-Jacques Crèvecoeur sur sa chaîne privée

    Bonjour,

    Il y a une nouvelle annonce pour le bloc de formation « CHAÎNE PRIVÉE GRATUITE DE JJC ! » :
    Voici le contenu de cette annonce ;
    Que d'aventures la semaine dernière !
    Sept vidéos supprimées en trois jours, notre session en direct de mercredi, puis la suppression de ma chaîne YouTube !
    Pourtant, comme je le dis dans ma nouvelle conversation du lundi, j'ai opté pour une autre forme de conditionnement… Plutôt que de me lamenter sur mon sort, j'ai choisi de chercher les nombreux cadeaux que la Vie me faisait pour que ma vie soit encore plus riche et meilleure…
    Alors que nous sommes conditionnés depuis des centaines d'années à nous plaindre chaque fois qu'une épreuve nous tombe dessus, il est possible de choisir une autre voie. C'est ce que je vous partage ce lundi !
    Ah oui… Si tu connais des personnes qui veulent continuer à me suivre, transmettez-leur cette adresse : https://formations.emergences.net/iln0002-chaineprivee. Ce sera la meilleure façon de poursuivre le cheminement avec moi… Je compte sur toi !
    Pour le reste, je te laisse découvrir les dernières vidéos de la semaine (CDL48BisSession en direct #4Info en questionS #8 et la CDL49). Bons visionnages !
    Cordialement
    Jean-Jacques