jeudi 17 février 2022

IFQ88 - Émission du 17 février 2022 avec Dr Christian Perronne

Au menu de cette émission, une ébauche de débat respectueux entre provaxx et antivaxx assumés :-) ! 



Vidéo ici 

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Dans cette 88e édition de votre émission hebdomadaire, nous avons le plaisir d'accueillir pour la deuxième fois Christian Perronne, médecin et professeur des universités-praticien hospitalier français. Il est spécialisé dans les pathologies tropicales et les maladies infectieuses émergentes. Il a été président de la commission spécialisée « Maladies transmissibles » du Haut Conseil de la santé publique.

L’émission hebdomadaire « l'info en QuestionS » est une émission née d'une demande grandissante d'informations libres et échappant à la censure. Les conflits d'intérêts étant désormais légion dans le monde médiatique, une équipe de lanceurs d'alerte s'est mobilisée pour partager ses dernières informations et les questions qu'elles suscitent.
Le but de l'émission « l'info en QuestionS » est également d'inviter des experts, des scientifiques et professionnels dans différents domaines afin qu'ils répondent aux questions des citoyens. Notre équipe est à géométrie variable, en fonction des disponibilités de chacun-e.

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Reiner Fuellmich s'adresse au Grand Jury

 Published February 6, 2022 



Vidéo ici 


Rumble — La vidéo originale ne m'appartient pas, je n'ai fait que traduire. Le lien de "The vigilant fox" est ci-dessous.

https://rumble.com/vu5e9x-grand-jury-the-court-of-public-opinion-dr.-reiner-fuellmichs-opening-statem.html

Aussi, je suis désolée pour les voix et les images inopportunes.
Je n'ai pas le matériel pour découper proprement la vidéo de 1h25 qui se trouve sur le site du Grand Jury.

https://www.grand-jury.net/

Premier jour du procès. Reiner Fuellmich s'adresse au Jury, et expose les faits.

Si vous souhaitez me soutenir dans mon travail, merci 🙏🏻

https://paypal.me/JocePaulTrad?locale.x=fr_FR

ma chaîne Rumble où je regroupe toutes les vidéos :
https://rumble.com/c/c-1124153

Jérôme Rodrigues - Structuration (Tout sauf Macron)


 SEBEAT PRODUCTION

Gilets Jaunes, notre devoir est de rencontrer nos maires. - Fabrice Grimal: https://laconcordecitoyenne2022.fr - Jérôme: https://www.facebook.com/lafamillejerome - Faouzi: https://www.facebook.com/faouzi.sevran Source Jamel: https://www.facebook.com/profile.php?...

Convoi de la liberté, etc. La main invisible

 

  • https://radioquebec.tv/sociofinancement/
    Les forces mondialistes sont en déroute partout, malgré leur domination apparente. Quelles forces opèrent en coulisse contre le Nouvel Ordre Sanitaire?

    « Tous les contre-pouvoirs ont disjoncté en France », s'alarme François Asselineau


     Sputnik France

    Cinq ans après sa première candidature à l’élection présidentielle et un score de 0,92% des suffrages, François Asselineau brigue à nouveau l’Élysée. En première ligne contre la politique sanitaire menée par le gouvernement et défenseur acharné du « Frexit », le président de l’Union populaire républicaine (UPR) joue son va-tout en 2022. Peut-il vraiment créer la surprise ? Pass vaccinal, climat social, Union européenne, politique nationale et internationale, celui qui s’estime insuffisamment relayé dans les médias livre ses vérités à Sputnik.

    Levée des restrictions ? Oliv Oliv En Direct 17/02/2022/ 🔴👉Le Gouvernement a été clair attention ⚠️.


     

    Donbass - mercredi 16 février 2022 - SITREP (situation report) du 15 février 2022

     Dernière minute !

    Les renseignements militaires républicains signalent 
    plusieurs colonnes militaires ukrainiennes sortant de 
    Mariupol (front Sud de la RPD) en direction de Granitnoe 
    (secteur Telmanovo) et Dokuchaievsk (40 km Sud Donetsk).


    Ailleurs (plus au Nord à priori, au vu des plaques de neige encore visibles)

    Renseignements confirmés par plusieurs sources civiles rendant compte de la progression des forces ukrainiennes vers la première ligne du front.

    A suivre !

    ________________________________


    Au lendemain du vote des députés de la Douma majoritairement favorables à  la reconnaissance des républiques du Donbass (voir article précèden), la situation diplomatique et militaire est loin de s'être calmée, surtout au milieu de l'hystérie collective occidentale actuelle.

    Sur le front psychiatrique

    Après l'avoir annoncé pour le 15 janvier, le 4 février, le 14 février puis le 15 puis le 16 les pitoyables prophètes de la propagande de guerre occidentale nous remettent une nouvelle couche d'hystérie dans ce matin calme où un soleil chargé d'espérances printanières achève les dernières résistances neigeuses à l'ombre des bosquets serrés.

    Cette fois c'est FOX News qui rapporte que l' "invasion russe" de l'Ukraine peut commencer dans les 24 à 36 heures prochaines d'abord par une capture rapide de Kiev par des forces spéciales, une utilisation massive de la guerre électronique et des frappes aériennes contre les infrastructures critiques, les installations de commandement et de contrôle ainsi que les dépôts de munitions, puis l'offensive majeure commencera depuis la République de Belarus tandis que la flotte de la Mer Noire assiègera Odessa et d'autres villes côtières jusqu'en Transnistrie... Et tant qu'à faire affirme les tarés de FOX News la Russie pourrait même en profiter pour envahir la Moldavie (et pourquoi pas Mars et Jupiter ?).
    Et tout cela bien sûr pour permettre au méchant Vladimir de restaurer la méchante URSS....

    Quand, pour justifier ce type de simplisme, on me rétorque qu'il faut "se mettre à la portée du public", alors j'apprends avec stupéfaction que les taupes savent lire...

    Sérieusement, si j'étais un journaliste avec un minimum de conscience professionnelle et travaillant pour une officine occidentale de cet acabit j'aurais honte de servir un tel niveau de connerie ambiante ! 

    Et FOX News n'est pas malheureusement le seul fou échappé de l'asile: 

    The Sun, dans une mise à jour de son délire, 
    annonce maintenant l'invasion russe pour le 16, à 4h00 du matin sachant qu' "Il est à craindre qu'aujourd'hui pourrait venir le jour de l'attaque de la Russie sous  "faux drapeau" - un incident simulé, qui sera utilisé comme une excuse pour l'invasion"... et que "cette guerre pourrait provoquer la mort de millions de personnes"  

    Vraiment déçu que les rosbifs n'ait pas eu l'autorisation de nous dévoiler l'âge du pilote du premier char russe qui va rentrer à Kiev !...

    Et après cela il ne faut pas s'étonner que les populations occidentales amputées de tout esprit critique dégringolent chaque jour un peu plus dans une inculture affligeante concernant l'Histoire des idées et la métapolitique, dans la croyance aveugle à une pensée unique dogmatique, dans une psychose protéiforme organisée par des propagandes de guerre, sanitaires ou politiques. 

    Mais, au-delà des frustrations des uns et soulagements des autres de ne pas voir les horizons pontiques s'embraser, la psychose générale que la doxa anglo-étasunienne tente de maintenir coûte que coûte la doxa par des communiqués fantassues et repris stupidement par la plupart des médias occidentaux, est symptomatique avant tout de la volonté de Washington de maintenir et entretenir une division de l'Europe. Et cette volonté thalassocratique d'empêcher la constitution d'un bloc européen non aligné et articulé autour d'un axe Paris/Berlin/Moscou  n'est pas nouvelle. De la stratégie du "Containment" de Mac Kinder à celle de "l'isthme Baltique/Mer Noire" de Pildsutsky  les anglo-étasuniens ont toujours cherché à empêcher les européens de créer un bloc indépendant autour d'une puissance économique et militaire commune.


    Sur le front du Donbass

    Comme je le répète depuis plusieurs mois, la seule véritable menace d'attaque militaire se situe sur ce front du Donbass dont la situation militaire, bien que globalement silencieuse, montre cependant d'impoortants signes de tensions et notamment: 

    • Une augmentation drastique des effectifs ukrainiens sur la première ligne du front, arrivant à un effectif global de 150 000 hommes environ avec des renforts blindés,
    • L'arrivée sur le front de plusieurs groupes de mercenaires polonais et étasuniens notamment, ainsi que des unités de volontaires nationalistes ukrainiens (DUK),
    • Sur la ligne de contact les activités de reconnaissance ukrainienne augmentent, avec notamment les drones tactiques utilisés pour l'observation, la correction des bombardements ou l'attaque ciblée.

    Hier 15 février à l'issue du vote de la Douma russe qui a marqué le soutien populaire russe a la cause du Donbass, sur le front un énervement ukrainien s'est fait connaitre, notamment avec un accroissement sensible des tirs de snipers ukrainiens, ce qui a généré des échanges de tir, ici etvlà jusqu'au milieu de la nuit. 

    Ainsi, sur le front de Lugansk, à Golubovskoe (secteur entre Gorlovka et Lugansk, au Nord de Pervomaïsk), un défenseur républicain a été abattu par un sniper ukrainien. Plus tard une riposte républicaine a été déclenché sur une position de l'unité concernée et 2 soldats ukrainiens ont été tués en retour. 

    Pour rester dans le même secteur du front de Lugansk, le renseignement républicain a signalé le déploiement d'une vingtaine se chars de combat ukrainiens,  infirmation confirmée par les observateurs de l'OSCE :

    22  chars ukrainiens T72  arrivés en première ligne sur le secteur de Podlesnoe (Nord Pervomaïsk)

    A Donetsk, une nouvelle vague d'alertes à la bombe, visant cette fois 11 bâtiments n'a encore révélé du côté des unités d'intervention du Ministère des Situations d'urgence de la RPD.


    Du côté de l'OTAN

    Le vote de la Douma demandant la reconnaissance des républiques de Donetsk et Lugansk a provoqué des réactions indignées en chaîne dans le troupeau de Biden, et notamment au.niveau de l'OTAN dont le Secrétaire Général Stoltenberg à déclaré:

    • "La Russie, en cas de reconnaissance de la RPD et de la RPL, violera le droit international et compliquera le règlement dans le cadre des accords de Minsk"  

    Ici on comprend mieux l'expression "vaut mieux entendre ça qu'être sourd", car par exemple, pour créer le Kosovo ou amputer les Grandes Comores de l'île de Mayotte, le "droit international" n'a pas dérangé les mêmes vautours occidentaux, pas plus que 

    • Stoltenberg : "Nous ne voyons pas de désescalade sur le terrain, nous ne voyons aucun signe de réduction de la présence militaire russe aux frontières de l'Ukraine."

    Lui, c'est clair, il a de la merde dans les yeux !: Depuis 2 jours une partie des unités russes ayant déjà achevé leurs exercices au Belarus ou en Crimée par exemple ont commencé leur retour vers leurs zones de garnison. Et ceci est même visible sur les photos satellite étasuniennes quotidiennes en plus des communiqués de presse. 

    15 février, avant le lever du soleil,  un drone de reconnaissance stratégique 
    Northrop Grumman RQ-4A "Global Hawk" de l'US Air Force, numéro 04-
    2015, de la base aérienne Sigonella, vient renifler la région du Donbass

    Si le verglas  a disparu sous l'assaut d'un soleil audacieux, en revanche la situation militaire est on ne peut plus scabreuse.

    Et je partage pour finir cette déclaration du jour de Sergei Lavrov, le Ministre russe des Affaires étrangères, pourtant pas réputé pour être alarmiste :

    "La situation actuelle peut être utilisée par Kiev 
    pour une agression suicide contre le Donbass."

    A suivre... 

    Erwan Castel

    Source :http://alawata-rebellion.blogspot.com/ 

    Indépendance du Donbass : hésitation du Kremlin et reprise de l'activité militaire ukrainienne sur le front

     

    jeudi 17 février 2022



    Ces dernières 24 heures, la situation s'est sensible dégradée sur la ligne de front, l'armée ukrainienne reprend de l'activité. Il est vrai que la marche-arrière toute opérée par le Kremlin concernant la reconnaissance de l'indépendance des républiques de Donetsk et Lougansk ouvre à nouveau la voie à l'activité armée ukrainienne. Ou comment le tout-communicationnel du Kremlin conduit à un suicide politique : on ne gouverne pas par la comm.

    Les renseignements venant du front du Donbass, ces dernières 24 heures, ne sont pas positives. L'emballement médiatique de "l'agression russe" est tombée, le public retourne à son quotidien, l'activité de l'armée ukrainienne, elle, continue son oeuvre de sape.

    Jeudi, à 5h30 du matin, l'artillerie ukrainienne a attaqué 4 zones d'habitation de la région de Lougansk. Les forces de défense de Lougansk notent que la situation s'est fortement dégradée, une escalade est en cours. A Donetsk, c'était la même chose ce matin :

    "Ils ont tiré 8 mines sur Petrovsky et 12 mines sur Novolaspa. Le feu a été tiré à partir de mortiers de 120 mm. En outre, les forces armées ukrainiennes ont tiré sur les villages de Kominternovo et d'Oktyabr à l'aide de lance-grenades automatiques lourds. Au total, 42 grenades ont été tirées."

    C'est un exemple parmi d'autres. Etrange recrue des agressions militaires ukrainiennes ? Non, conséquence logique de la marche arrière politico-médiatique opérée par le Kremlin, concernant la reconnaissance de l'indépendance de Donetsk et Lougansk.

    Macron demande à Poutine de ne pas le faire, le Département d'Etat estime que ce serait une erreur, que la Russie "violerait" ses engagements dans les accords de Minsk, ce qui appellerait une réponse forte. 

    Ils sont manifestement en phase avec le Kremlin, entre Poutine, qui immédiatement en appelle aux Accords de Minsk, faisant passer le refus d'action réelle avec une tirade de comm sur le "génocide" dans le Donbass, Peskov, qui ne peut imaginer que la Russie viole les accords de Minsk.

    Finalement, par ce discours, le Kremlin récuse sa position de garant et, comme l'Occident l'y incite, se positionne en "partie", qui a des obligations juridiques découlant de ces Accords. Outre le fait que, la reconnaissance de l'indépendance par la Russie du Donbass n'entraîne pas une violation juridique des Accords de Minsk (voir notre texte ici), il semblerait surtout que la Russie ne veuille pas prendre le risque d'assumer ses obligations politiques.

    La manière dont pour l'instant se déroule la question de la reconnaissance de l'indépendance de Donetsk et Lougansk est un désastre politique, pour la Russie autant que pour le Kremlin. Ouvertement, le Kremlin déclare qu'il n'a aucune volonté politique de reconnaître l'indépendance de ces entités, son approche "humanitaire" se bornant à une aide indirecte, tout en reconnaissant la question du génocide. Cette position objectivement amorale, dans le sens où elle nie toute morale, risque de ne pas renforcer la légitimité du Président, déjà beaucoup critiqué à l'intérieur pour sa gestion globalisée covidienne et le fanatisme numérique. Au moins jusque-là, la figure présidentielle bénéficiait de l'aura du discours de Munich et du rattachement de la Crimée, qui politiquement permettait de compenser sa politique intérieure néolibérale. Si cette barrière, déjà branlante, tombe, les risques de mécontentement intérieurs vont aller grandissant.

    En ce qui concerne la Russie, comme pays, cette incapacité à sortir de la comm pour entrer dans le réel et la gouvernance va profondément entacher son image. Pour ses alliés - comment faire confiance à un pays sur des questions aussi sensibles, quand les députés, dont ceux de la majorité présidentielle, adoptent une résolution politiquement forte et que le Président, se mettant en faux de sa majorité parlementaire et de l'opinion publique, commence immédiatement à les démentir ? Pour ses ennemis - quelle est la force de ses menaces, si elle reste uniquement dans la communication, donc dans la non-action?

    Surtout, survient la question : que reste-t-il de la Russie, comme pilier et défenseur du Monde russe ? Que peut-elle proposer aujourd'hui, à part des vaccins et du gaz ? Quand les habitants du Donbass se sont levés au nom du Monde russe, ils ne l'ont pas fait pour "cette Russie" de Golikova et Sobianine, vaccinée et managériale, mais pour la Russie éternelle, dont la richesse et la puissance dépasse de loin ces visions commerçantes actuelles.  

    Il faut reconnaître, par ailleurs, que la mise en oeuvre de l'indépendance du Donbass est très difficile, avec des institutions faibles et une frontière non protégée. Mais, il fallait y penser avant de lancer ce mouvement politique et de créer des attentes. Lorsque les députés ont voté comme un bloc cette résolution, notamment les députés de la majorité présidentielle, ils ont envoyé un message politique, et non pas communicationnel, fort, car la reconnaissance d'indépendance est un acte politique et non pas un acte de comm. 

    Il ne reste donc qu'une alternative pour analyser ce fiasco politique. Soit, l'on part du principe que les députés de la majorité ont coordonné leur position avec le Kremlin, mais le Kremlin, lui, reste enfermé dans une logique de communication et non de gouvernance. Soit, le Président est entré en opposition idéologique avec les députés, et dès le départ le Kremlin ne voulait pas de cette résolution.

    Dans tous les cas, il serait bon de se souvenir que le "tout-communicationnel" a des limites : ni dans le Donbass, ni en Russie, ne vivent des followers, mais des être humains, dont l'existence n'a pas à être prise en otage d'intérêts situatifs.

    Source : http://russiepolitics.blogspot.com/2022/02/independance-du-donbass-hesitation-du.html#more