"Il n'existe rien de constant si ce n'est le changement" BOUDDHA; Nous devons apprendre à vivre ensemble comme des frères, sinon nous allons mourir tous ensemble comme des idiots." MARTIN LUTHER-KING; "Veux-tu apprendre à bien vivre, apprends auparavant à bien mourir." CONFUCIUS ; « Nous savons qu’ils mentent, ils savent aussi qu’ils mentent, ils savent que nous savons qu’ils mentent, nous savons aussi qu’ils savent que nous savons, et pourtant ils continuent à mentir ». SOLJENITSYNE
mardi 31 octobre 2023
Sortir de la peur : comment échapper à une époque gouvernée par l'anxiété - Louis Fouché
Le terrorisme est une façon de gouverner par la peur. Après les punaises de lit, bientôt les crottes de chien ?
vendredi 25 novembre 2022
Terrorisme : La Russie suggère de reconnaître le Parlement européen comme un promoteur de la débilité Publié le 24 novembre 2022
Source : https://lemediaen442.fr/terrorisme-la-russie-suggere-de-reconnaitre-le-parlement-europeen-comme-un-promoteur-de-la-debilite/
Moins enclin à condamner les Américains en Irak, en Afghanistan ou bien Israël en Palestine., le Parlement européen, qui donne des armes lourdes aux oligarques ukrainiens et aux nazis d’Azov, n’hésite pas à accuser la Russie de soutenir le terrorisme.
Nous sommes à quelques jours du bombardement délibéré de la centrale nucléaire de Zaporijia par le régime ukrainien et du missile tiré par les forces ukrainiennes sur la Pologne au risque d’une Troisième Guerre mondiale. Le Parlement européen n’a pas cru bon de condamner ces faits d’une gravité extrême… Les députés demandent un isolement plus grand de la Russie au niveau international. Selon eux, elle commet des crimes de guerre et a recours aux moyens du terrorisme : « Il faut fermer et interdire les institutions affiliées à l’État russe dans l’Union européenne qui diffusent de la propagande […] Le neuvième paquet de sanctions de l’UE contre Moscou doit être complété. »
Le Parlement souhaite mettre en place un nouveau cadre juridique, afin d’ajouter la Russie à une liste officielle des États commanditaires du terrorisme. Le but est de déclencher « un certain nombre de mesures restrictives importantes à l’encontre de Moscou ». Ainsi, l’organisation paramilitaire « groupe Wagner », le 141e régiment spécial motorisé, sera sur la liste de l’Union européenne et désignée comme groupe terroriste. La résolution a été adoptée par 494 voix pour, 58 contre et 44 abstentions.
Moscou a qualifié d’absurde une résolution du Parlement européen qui qualifie la Russie de « sponsor d’État du terrorisme ». La porte-parole du ministère russe des Affaire étrangères, Maria Zakharova, a réagit à sa manière sur sa chaîne Telegram « Je suggère de reconnaître le Parlement européen comme un promoteur de la débilité ».
De son côté, Xavier Moreau, du site Stratpol, estime que l’Union européenne n’est plus qu’une chambre d’enregistrement qui ressemble à l’assemblée populaire d’Union soviétique : « Elle prend des décisions qui n’ont aucune conséquence juridique, parce que tout est décidé au sein de la Commission européenne. Ce n’est que de la gesticulation de parlementaires qui n’ont aucun pouvoir. Nous sommes dans la communication. »
Pour l’analyste politico-stratégique, la Russie ne souhaite plus converser avec l’Union européenne — et encore moins avec la France depuis le déballage dans les médias français d’une conversation privée du 20 février 2022 entre entre Poutine et Macron. « La solution au problème ukrainien se décidera entre Moscou et Washington. Mais il est évident que ni la Commission européenne et encore moins le Parlement européen, qui n’a aucun pouvoir, n’auront leur mot à dire sur ce que décideront Moscou et Washington. »
Pour Thierry Mariani accuse l’Union européenne de contribuer à l’escalade du conflit, plutôt qu’à proposer la paix.
Le Média en 4-4-2.
mercredi 24 août 2022
Ukrisis sur le fil du terrorisme
Source : https://www.dedefensa.org/article/ukrisissur-le-fil-du-terrorisme
• L’assassinat de la fille d’Alexandre Douguine est-elle un tournant décisif dans la crise-Ukrisis ou bien plus simplement un épisode particulièrement tragique ? • La question se pose en même temps qu’il apparaît assez clairement que l’Ukraine abandonne ses prétentions de guerre conventionnelle pour des actes de “terrorisme”, dont fait partie l’attentat contre Dina Douguine. • Encore faut-il savoir de quel “terrorisme” l’on parle : celui qu’on fait avec des howitzers et des lance-fusées de 155mm et plus demande quelques explications. • Aux fous de nous les donner.
L’horrible assassinat de Dyna Dougina (Dina Douguine) restera-t-il ou pas comme un tournant symbolique d’Ukrisis ? Il est important de le savoir, nous qui vivons au rythme des symboles puisque la Vérité est devenue insaisissable, – sauf pour ceux qui saisissent une vérité-de-situation, – est que la réalité est transformée en tragédie-bouffe, comme spectacle permanent de notre haute civilisation respirant au rythme de l’affectivisme. Certains en jugent pourtant dans ce sens, et ils peuvent être cités malgré qu’ils soient classéscomme source exotique et complotiste, quand l’on voit par comparaison avec ce que valent nos “sources sérieuses” !
« En réponse à l’action du régime socialiste ukrainien soutenu par les néo-colonialistes occidentaux, qui a assassiné la jeune fille russe Daria Douguine, le conseiller principal du Kremlin, Petr Akopov, dans sa lettre ouverte“Comment allons-nous réagir au meurtre de Daria Douguine”, a noté qu’une nouvelle ère mondiale a commencé le 24 février avec le lancement de “l'opération spéciale de dénazification” pour libérer l'Ukraine, mais que l’on devrait désormais l’appeler “l’ère de Daria”. »
... Alors que les sources “sérieuses”, elles, ont été si promptes à dégainer pour nous informer que l’attentat n’était rien d’autre qu’un ‘faux-drapeau’ machiné par Poutine pour relancer une guerre d’Ukraine où les puissantes et incessantes offensives de Kiev menacent de transformer la déroute des Russes en désastre eschatologique (“sarcasmes”, comme disent ceux qui doutent du sens de la dérision du lecteur).
“Source sérieuse” ? By Jove, le ‘Daily Telegraph’ s’impose, lui démontrant qu’on peut être vertueux et complotiste à la fois ; que c’est même recommandé et recommandable... Cela donne cette chose, sans traduction nécessaire (uniquement le titre/sous-titre, le reste étant payant, et nous-mêmes sans aucun goût de lire les fientes diverses de cette sorte de déchet, de monsieur James Kilner : on appréciera, tout de même et tonnerre de Brest, le ‘most likely’ tout en finesse...)
« Russia blames Kyiv for killing daughter of ‘Putin’s Rasputin’, but the truth may be closer to home
» Car bomb attack in Moscow most likely to be a false flag attack to whip up public support and escalate war against Ukraine »
On a lu hierquelques extraits de l’article de Pépé Escobar sur l’assassinat de la fille de Douguine. Sa conclusion doit être ici rappelée parce qu’elle résume bien l’une des recommandations lancées à Poutine après cet événement de si haute portée symbolique :
« Dougine propose que le statu quo actuel autour de l'opération Z ne puisse pas durer plus de six mois. Il ne fait aucun doute que “les plaques tectoniques ont bougé”. Darya Dougine est partie voler comme un aigle dans les cieux d’un autre monde. La question est de savoir si sa tragédie deviendra le catalyseur qui propulsera l'ambiguïté stratégique de Poutine à un tout autre niveau. »
Escobar estime que, d’une certaine façon, Poutine n’a pas vraiment le choix parce que cet attentat, qui suivent d’autres actes terroristes (en Crimée notamment), indique que la Russie est menacée désormais d’une nouvelle forme de guerre par l’Ukraine, battue sur le terrain de la guerre conventionnelle.
« En revanche, ne rien faire, c'est accepter une invasion terroriste imminente et de facto de la Fédération de Russie : la tragédie de Darya Dougine aux stéroïdes.
» Dans son avant-dernier message sur Telegram, Douguine a une fois de plus défini les enjeux. Voici les points essentiels à retenir.
» Il appelle les dirigeants russes à des transformations “structurelles, idéologiques, personnelles, institutionnelles et stratégiques”.
» S'appuyant sur les preuves – de la multiplication des attaques contre la Crimée aux tentatives de provoquer une catastrophe nucléaire à Zaporozhye – il conclut à juste titre que la sphère de l'OTAN a “décidé de tenir en face jusqu'au bout. On peut les comprendre : La Russie a réellement (et ce n'est pas de la propagande) défié l'Occident en tant que civilisation”. »
Cette analyse est, depuis quelques jours, largement partagée. On la retrouve dans un textede ‘Southfront.org’, décrivant l’évolution de la situation selon les mêmes lignes du passage de la guerre conventionnelle en Ukraine à une guerre de terrorisme menée par l’Ukraine qui constate de plus en plus qu’elle n’a aucune chance sur ce terrain de la guerre conventionnelle.
« Puisque la contre-offensive fièrement annoncée de l'armée ukrainienne dans le sud n'a pas eu lieu, et que de plus en plus de territoires du pays passent sous le contrôle des forces russes, le régime de Kiev, qui a un besoin vital de déclarer des victoires, est passé à une stratégie terroriste d'opérations militaires.
» Perdant sur les lignes de front, l'armée ukrainienne est occupée à mener des attaques terroristes contre les Russes en RPD, RPL ainsi que sur les territoires russes. L'armée ukrainienne a déjà bombardé des civils à Donetsk avec des mines PFM-1. Ils poursuivent leurs attaques contre la centrale nucléaire de Zaporozhskaya et la centrale de Kakhovskaya, menaçant le monde de catastrophes écologiques. Les saboteurs ukrainiens tentent d'attaquer des installations militaires et civiles en Crimée et dans d'autres régions russes. [...]
» Le régime de Kiev ne s'arrête pas et poursuit les attaques contre les responsables pro-russes dans les territoires sous contrôle russe.
» Le 20 août, le maire de Marioupol a survécu à une tentative d'assassinat. Début août, une autre tentative d'assassinat a visé le chef adjoint de l'administration des services communaux de Novokakhovskaya.
» Le 20 août, l'explosion d'une voiture a tué Darya Dugina. La jeune femme travaillait comme commentatrice politique et figurait sur les listes de sanctions occidentales. Elle était la fille du célèbre philosophe et politologue russe Alexandre Douguine. Fondateur du néo-eurasianisme, il est devenu l'un des penseurs les plus influents de Russie. »
On retrouvait déjà ce constat, avant l’assassinat de Daria Douguine, par exemple dans un article du ‘Saker-US’, qui observait ce passage à l’action terroriste mais estimait que rien de fondamentalement nouveau ne pouvait/ne devrait être entrepris. Ce constat était largement minoré dans ses effets, par l’affirmation que ces actions terroristes étaient surtout réalisées pour leurs effets de relations publiques et ne changeraient rien sur le terrain, dans la zone des opérations en Ukraine. Par conséquent, il s’agit de tenir en répondant aux attaques selon ce qu’elles seront :
« C’est un problème majeur pour la Russie et, pire encore, c’est un problème qui ne disparaîtra pas de sitôt.
» La seule chose que les Russes peuvent faire est 1) de se préparer à de très longues opérations de contre-espionnage et de contre-sabotage qui dureront plusieurs années et 2) d’accepter la réalité de la guerre pour ce qu’elle est et de ne pas paniquer la prochaine fois que les Ukronazis feront exploser quelque chose, que ce soit un navire, un train, un avion, un pont ou toute autre cible en LDNR ou en Russie. »
L’attentat de samedi soir n’a certainement rien changé à cette analyse, d’autant que le ‘Saker-US’, comme Martianov, a semble projeter leur peu d’estime éprouvée pour Douguine pour évaluer l’importance de l’attaque, c’est-à-dire refusant en bonne partie son aspect symbolique tel qu’on l’a vu plus haut. La chose peut être effectivement considérée dans cet esprit mais on objectera que cette façon d’écarter l’effet symbolique constitue, pour le regard extérieur, un signe de faiblesse et une perception imparfaite de la mesure de l’événement. Les critiques de Douguine n’en sortent pas grandis.
Quoi qu’il en soit, on observe que l’analyse ne peut pour l’instant pencher d’une façon évidente d’un côté ou de l’autre, – considérer l’aspect symbolique ou l’abandonner et admettre que Daria Douguine n’est qu’une victime de plus du terrorisme et nullement un symbole. Du côté de la direction russe il semble bien qu’on ne veuille nullement “enterrer” l’affaire, qui progresse rapidementavec l’identification de l’auteur[e] (puisqu’il s’agirait d’une femme venue du régiment Azov) et le traçage de son opération avant et après l’attentat, tandis que Poutine lui a donné une certaine importancepar des condoléances publiques et l’attribution à titre posthume de l’“Ordre du Courage” à la fille de Douguine.
Il y a terrorisme et terrorisme...
Cette réflexion autour de la guerre conventionnelles en Ukraine se muant en une “offensive terroriste” contre les territoires ukrainiens tenus par l’armée russe et la Russie (dont la Crimée) est extrêmement problématique. Elle tourne autour de la définition du terrorisme et de la façon dont on l’envisage dans le cas de l’Ukraine.
Normalement, le terrorisme se développe dans des territoires occupés dans lesquels se constituent des réseaux à partir de la population elle-même (avec des aides extérieures ou pas) soumise à une contrainte, ce qui implique un soutien implicite de la population ou d’une partie importante d’elle. Selon la formule maoïste du “révolutionnaire”, le terroriste doit être, d’une certaine façon, “comme un poisson dans l’eau” sur le territoire où il opère, s’il veut réussir.
Si ce n’est pas le cas, si c’est un “terrorisme” opéré sur un territoire dont la population est majoritairement en principe opposée à l’idéologie ou aux propositions politiques que défendent les terroristes, ou bien totalement indifférente et assez mal disposée, il s’agit d’opérations tenant plus d’actions de commandos, ou “quelque chose d’extérieur” qui cherche à exercer une “frappe” (y compris une frappe “de terreur”), aveuglément ou pas, contre des cibles identifiées ou contre une population civile dans un but politique qui n’est en général guère apprécié par cette population. C’est beaucoup plus le cas dans la situation présente, même si les Ukrainiens peuvent trouver des complicités éparses là où ils interviennent, – et ce seront toujours des complicités clandestines et dissimulées, c’est-à-dire des auxiliaires, temporaires ou pas, de la “frappe venue de l’extérieur”.
On distingue d’autant plus ce caractère spécifique du “terrorisme” dont on parle avec ce qui s’est passé jusqu’ici, et qui est désigné comme “terrorisme”. Il s’agit essentiellement :
• de frappes d’artillerie, plus ou moins guidées, vers les territoires des républicains du Donbass ;
• de frappes diverses, mais avec une bonne part de drones et de missiles, contre la Crimée ;
• de frappes diverses sur la bordure russe de la frontière, plus ou moins ciblées, etc.
• l’attentat contre Daria Douguine est une opération spécifique, extrêmement technique et ciblée, et donc une “frappe venue de l’extérieur”, théoriquement sans nécessité du moindre relais intérieur actif.
Jusqu’à nouvel ordre et selon la possibilité, – qui nous semble assez réduite, – que les formes d’attaque de cette forme changent complètement, les Ukrainiens ont besoin d’un appui technique et d’armements extrêmement puissants (drones, artillerie lourde, missiles), c’est-à-dire qu’ils ont besoin de la poursuite de l’aide affichée des Occidentaux ; c’est-à-dire, de l’aide affichée des USA...
(L’aide des Européens est en train de se réduire drastiquement, traduisant un malaise grandissant en Europe, avec la confrontation à des situations économiques très dures pour les mois qui viennent, dues essentiellement aux relations catastrophiques avec la Russie, – que ces mêmes Européens auraient tendance à chercher à éventuellement améliorer, – en commençant par un soutien très ralentie à l’Ukraine en guerre.)
Cela signifie que le “terrorisme” ukrainien constitue une affaire complexe, dépendant de l’aide des USA, et surtout d’une aide en armements lourds (type HAMARS). Nous parlons d’une aide de cette sorte parce que les USA, – la communication US, la communication du DeepState, l’industrie d’armement, le Congrès, le Pentagone, – veulent une aide “visible”, “tonitruante,”, permettant de clamer haut et fort l’“engagement” US tout en faisant des gracieusetés à leurs industries, et dont le but final reste bel et bien l’engagement victorieux sur le terrain, pour épuiser l’armée russe, voire puisqu’on y est, pour “vaincre la Russie”, – et peut-être bien défiler à Moscou avec les boys(et les drapeaux LGTBQ+), – nom de Dieu « On Our Side » !
Pour cette raison, la remarque du ‘Saker-US’ concernant la tâche des Russes (« de très longues opérations de contre-espionnage et de contre-sabotage qui dureront plusieurs années ») nous semble irréaliste en raison des échéances, des fébrilités psychologiques et maniaques, des faiblesses structurelles, des évolutions politiques internes des deux acolytes USA et Ukraine. Ainsi est-il bien possible que la stratégie de Poutine telle que certains l’apprécient, – faire durer un conflit contenu et un “terrorisme” (?) plus ou moins contrôlé, pendant que l’hégémonie US s’effrite et s’effondre, pour aboutir à la multipolarité tant attendue, – ne puisse se réaliser face à ses adversaires. Non pas qu’il (Poutine) puisse être décisivement menacé par eux et que son projet de multipolarité soit compromis, mais parce que les remous du côté des USA et de l’Ukraine pourraient bien obliger à une autre stratégie, plus tranchée, plus affirmée, – celle que recommande Pépé : « [propulser]l’ambiguïté stratégique de Poutine à un tout autre niveau ».
Notre idée générale est bien que Poutine et la Russie ne pourront s’en sortir d’une façon disons “atténuée”, sans trop de chambard (bien que le terrorisme en fasse à sa façon, mais ce n’est jamais un chambard décisif...). Avec les fous en jeu, celui du Zelenskistan et ceux de “D.C.-la-folle”, il faudra un quelque chose d’éclatant et de très voyant, quelque chose dans le genre du feu d’artifice, avec bouquet final.
Mis en ligne le 23 août 2022 à 19H05
vendredi 28 février 2020
lundi 22 octobre 2018
Onfray répond à un auditeur / Onfray answers a listener
(Qualité du son médiocre les 5 premières minutes... mais ça vaut la peine d'être écouté ! )
vendredi 21 septembre 2018
Plaidoyer de Jacques Nikonoff pour la démondialisation et le retour à la démocratie / Jacques Nikonoff's plea for the deglobalization and the return in the democracy
mercredi 29 novembre 2017
[Belgique, Wallonie, Liège] Interpellation des Conseils communaux sur le plan d'urgence en cas d'accident atomique / [ Belgium, Wallonia, Liège] Questioning of the municipal Councils about the emergency plan in case of atomic urgency
Interpellation des Conseils communaux sur
le plan d'urgence en cas d'accident atomique
L'interpellation de Bouli Lanners du 27 juin 2017 au Conseil communal de Liège retour au sommaire
– Écouter (ce document sonore est d'assez mauvaise qualité, nous espérons avoir mieux d'ici peu)
« Vous n’êtes pas sans savoir que même si une crise nucléaire est gérée au niveau fédéral, un des acteurs clé reste le bourgmestre. Le gouverneur n’étant qu’un intermédiaire/coordinateur entre le niveau fédéral et le niveau communal. Vous comprendrez aisément qu’il est impossible pour le gouverneur et ses services de répondre à toutes les sollicitations que le contexte actuel concernant le nucléaire suscite. Je ne puis dès lors que vous conseiller de vous adresser directement à votre bourgmestre ».
Les cas de figure
- Un confinement de la population concernée.
- Une évacuation de la population concernée.
- Une évacuation de la population après une période de confinement.
En cas de confinement
En cas d’évacuation
La réserve stratégique humaine
Un accident grave survient non pas à Tihange mais à Doel
Conclusion
Questions écrites retour au sommaire
Textes de loiretour au sommaire

Médiasretour au sommaire
lundi 18 septembre 2017
A Barcelone, la colère éclate contre la guerre et les complicités officielles avec le terrorisme / In Barcelona, the anger bursts against the war and the official complicities with the terrorism

« Nous leur avons demandé de ne pas exploiter la sécurité à des fins politiques. Malheureusement, le gouvernement espagnol avait d’autres priorités » a-t-il dit. Il a cité des responsables catalans qui, selon le Financial Times, mettent en cause « la décision de Madrid de bloquer l’embauche de nouveaux policiers catalans cette année et de faire traîner l’accès de la police locale aux informations d’Europol ».