"Il n'existe rien de constant si ce n'est le changement" BOUDDHA; Nous devons apprendre à vivre ensemble comme des frères, sinon nous allons mourir tous ensemble comme des idiots." MARTIN LUTHER-KING; "Veux-tu apprendre à bien vivre, apprends auparavant à bien mourir." CONFUCIUS ; « Nous savons qu’ils mentent, ils savent aussi qu’ils mentent, ils savent que nous savons qu’ils mentent, nous savons aussi qu’ils savent que nous savons, et pourtant ils continuent à mentir ». SOLJENITSYNE
mardi 15 janvier 2019
Présidence Macron : les ennuis ne font que commencer
J’ai cru remarquer depuis quelque temps que notre nouveau Président souffrait d’un certain désamour de la part de la population, ce qui n’a surpris que ceux qui ne connaissent pas la capacite éminente de ceux qui sortent de l’ENA et de l’inspection des finances à foutre en l’air une situation parfaitement calme. A l’origine de cette chute de popularité on trouve de la part du Président un mépris visible et total pour ce qu’il faut bien appeler le peuple, ce qui semble avoir déclenché un puissant mouvement de fraternisation des populations à la sortie de chaque ville de gens déguisés en jaune et que rien ne semble réunir si ce n’est la détestation qu’ils ont pour celui qui à l’évidence les trouve inutile dans son projet de la start-up France parce qu’ils ne comprennent rien au tableur Excel …
La mauvaise nouvelle pour monsieur Macron est que non seulement sa popularité est en chute libre, mais qu’en plus sa start-up, à la place de décoller en laissant tout le monde sur place est en train de piquer du nez et va sans doute s’écraser au sol. Comme le disait le regrettable Président Chirac : » les emmerdements, ça vole toujours en escadrille » Pour monsieur Macron, les ennuis ne font cependant que commencer. Car l’économie française est sans doute en train de rentrer en récession à nouveau, et voir un Président sans aucune crédibilité avoir à faire face à ce qui pourrait été une crise économique très grave me semble un peu inquiétant.
Fort bien va me dire le lecteur sceptique et toujours Macronien (si, si, il en reste) mais pourquoi devrions-nous avoir une récession maintenant ? La réponse est simple ; parce que les entrepreneurs/hommes d’affaires sont en train de perdre confiance,
comme le montre notre premier graphique. Et comme la croissance ne dépend en rien du gouvernement (malgré ce qu’en dit Keynes) mais en tout du moral des entrepreneurs, chacun peut voir que nous sommes vraiment mal partis.
comme le montre notre premier graphique. Et comme la croissance ne dépend en rien du gouvernement (malgré ce qu’en dit Keynes) mais en tout du moral des entrepreneurs, chacun peut voir que nous sommes vraiment mal partis.
Explications pour le premier graphique.
• La ligne rouge représente la variation du « moral » des chefs d’entreprise d’après l’INSEE sur les 12 mois précédents, et l’on voit que ce moral est passé de +2 au moment de l’élection, ce qui n’était guère fameux a -8 aujourd’hui ce qui confine au sauve qui peut. Comme le disent nos amis Suisses, les chefs d’entreprise français « n’ont pas été déçus en bien ». Si l’on en juge par les épisodes précédents, une récession quelque part en 2019 est une quasi-certitude en France, compte tenu de ce que je sais aujourd’hui.
• La ligne bleue représente les variations de la production industrielle française sur les 12 derniers mois et là aussi, on peut
s’attendre à une baisse en termes absolus de la production industrielle dans les mois qui viennent. Remarquons pour les férus de statistique que la production industrielle française est aujourd’hui plus basse qu’en 1998, alors qu’en Allemagne elle est de 40 % supérieure aujourd’hui à ce qu’elle était en 1998. Merci Delors, Trichet, merci Bruxelles, merci l’Euro…
s’attendre à une baisse en termes absolus de la production industrielle dans les mois qui viennent. Remarquons pour les férus de statistique que la production industrielle française est aujourd’hui plus basse qu’en 1998, alors qu’en Allemagne elle est de 40 % supérieure aujourd’hui à ce qu’elle était en 1998. Merci Delors, Trichet, merci Bruxelles, merci l’Euro…
• Et enfin, les périodes hachurées en gris représentent les moments ou l’économie française a été en récession, c’est-à-dire ceux où la richesse produite par le secteur privé se contracte d’une année sur l’autre. Tout semble indiquer que je vais devoir hachurer mon graphique en 2019…
Fort bien, va me dire le même lecteur toujours sceptique mais pourquoi cela aurait-il de l’importance ? Bonne question, et la réponse est la suivante : parce que les recessions déclenchent une baisse des marges des sociétés et que cette baisse des marges entraine une hausse du chômage quelques mois après, comme le montre le deuxième graphique.
Il est tout à fait stupéfiant de constater que le théorème dit de Schmidt (ancien chancelier Allemand) : « les profits d’aujourd’hui sont les dépenses d’investissement de demain et les emplois d’après- demain » se vérifie dans tous les temps et dans tous les pays et que les seuls qui ne soient pas au courant soient les inspecteurs des finances et les diplômés de l’ENA. Si vous voulez faire baisser le chômage, il faut et il suffit de prendre des mesures favorables aux entrepreneurs (mais pas automatiquement aux sociétés du CAC 40), ce que la technocratie française refuse de faire depuis quarante ans, parce qu’elle sait que dans un monde où les entrepreneurs sont prospères, le prestige des énarques s’effondre.
Et quand les marges des sociétés baissent, il se passe un phénomène curieux, très peu étudié par les économistes français : le chômage augmente, les dépenses de l’état augmentent, le déficit budgétaire et la dette explosant du même coup. Et donc, comme le secteur privé dans notre beau pays n’est pas autorisé à se développer le poids de l’état dans l’économie augmente sans cesse, nécessairement financé par un accroissement du déficit budgétaire, et la dette en pourcentage du PIB ne cesse de monter comme le montre notre troisième et dernier graphique. Nous nous soviétisons lentement mais surement, mais heureusement Gorbatchev est au pouvoir, et va sauver le communisme.
Et donc, vers la fin de 2020, la France va se retrouver avec un taux de chômage supérieur à 10 % de la population active, un poids de l’Etat dans l’économie-hors paiement des intérêts- aux alentours de 56%, un déficit budgétaire supérieur à 4 % de son PIB et une dette par rapport à ce même PIB d’environ 110 % c’est à dire dans une situation politiquement et financièrement impossible.
Et tout cela avant que les taux d’intérêts ne remontent… ce qui sera inévitable dès que la BCE cessera d’acheter les obligations françaises parce que je ne vois pas très bien qui va en acheter en dehors de la BCE à 0. 8 % par an pour les 10 ans qui viennent.
Et donc, quelque part en 2019, monsieur Macron va devoir faire face à une crise financière qui ne peut pas ne pas avoir des répercussions politiques.
Politiquement en effet, Bruxelles va certainement demander à la France de respecter ses engagements de limitation de la dette et du déficit, faute de quoi les Italiens enverraient eux aussi leurs bonnets par-dessus les moulins (au secours, Moscovici revient…). Ce que les Allemands ne pourront pas accepter. Crise en perspective… Ce qui veut dire, financièrement augmentation des impôts et/ou baisse des dépenses de l’état, en pleine récession, (ce qui garantira que la récession se transforme en dépression, comme ça s’est passé en Grèce) et tout cela organisé par un Président sans aucune légitimité (il sera à moins de 10 % d’opinion favorables sans aucun doute) et ne comprenant à l’évidence rien à l’économie.
Les chiffres de la France de 2020 se mettent à furieusement ressembler à ceux de la Grèce de 2009…
Et le pire est que je pourrai montrer des graphiques très similaires pour l’Allemagne et l’Italie qui toutes deux semblent être aussi en train de rentrer en récession. Ce qui rendra notre récession plus sévère encore…Or l’Italie ne peut pas s’offrir une nouvelle recession.
Et tout cela, avant même que la Grande-Bretagne ne soit sortie de l’Europe, car il faut en effet se souvenir que la GB a un déficit
extérieur gigantesque avec la zone euro, qui risque bien de disparaitre si les voitures allemandes ne peuvent plus être livrées en
GB, les ports étant encombrés.
extérieur gigantesque avec la zone euro, qui risque bien de disparaitre si les voitures allemandes ne peuvent plus être livrées en
GB, les ports étant encombrés.
Et quand tout cela va-t-il se passer ?
Vers la fin du mois de Mai, le désastre économique devrait être visible pour tout un chacun.
Voilà qui semble annoncer une déroute aux prochaines élections européennes des anciens partis de gouvernement dans lesquels j’inclus LREM, les Républicains, et bien sur ce qui reste des Socialistes qui ont tous voté avec enthousiasme le soi-disant projet européen.
En plus, historiquement, Mai a toujours été un bon mois pour voir les étudiants lancer des cailloux sur la maréchaussée dans l’espoir que les examens soient annulés. Et si les étudiants s’acoquinent avec les provinciaux en jaune, on va avoir du mal à respirer dans les rues de Paris…
Le deuxième anniversaire de l’élection présidentielle risque d’être chaud, très chaud. C’est sans doute vers ce moment-là qu’il faudra acheter la bourse de Paris.
Catégories: Charles Gave, Mis en avant
Source : https://institutdeslibertes.org/presidence-macron-les-ennuis-ne-font-que-commencer/
Bordeaux. Victime d’un tir de flashball à la tête, Olivier est actuellement dans le coma
Parmi toutes les scènes de violences policières de l’acte 9, l’une d’entre elle a marqué les esprits à Bordeaux, celle d’un homme blessé au niveau de la tête par un tir de flashball, nous avions relayé les premières images, où l’on voit l’homme se faire soigner par des street medic.
Bien sûr pour ceux qui me disent que c'est simulé... (avec un peu de sang dedans...)
302 personnes parlent à ce sujet
Par la suite, une autre vidéo a permis de montrer que la BAC a tiré sur cet homme alors qu’il partait, de dos, dans une rue. Le groupe de la BAC, que l’on voit arriver à l’angle de la rue a donc tiré un coup de flashball, puis lancé une grenade dans le dos cet homme !
Aujourd’hui, nous avons, par le biais de sa femme, des nouvelles d’Olivier. Il a, suite à son hospitalisation, été placé en coma artificiel après une opération suite à une hémorragie cérébrale causée par le flash-ball. On nous précise que les médecins ont tenté de sortir Olivier de ce coma, mais les agitations de souffrances obligent les médecins à le maintenir dans cet état, une situation qui risque de durer d’après les médecins.
C’est un geste révoltant qui est à l’origine de cette situation désastreuse.
C’est un geste révoltant qui est à l’origine de cette situation désastreuse.
Partout en France, la répression contre les gilets jaunes a été une nouvelle fois très violente, la femme d’Olivier est scandalisée par l’attitude de la BAC et nous dit être « furieuse contre ce système et ce combat qui est loin d’être à arme égale ! ». Par ailleurs, celle-ci a d’ores et déjà affirmé vouloir porter plainte contre la barbarie des forces de l’ordre.
Nous vous tiendrons informés de la santé d’Olivier, nous lui apportons tous notre soutien à lui et sa famille !
Pour nous transmettre vos témoignages concernant la répression des Gilets Jaunes, ou pour nous faire part des mobilisations ayant lieu dans votre région, nous transmettre récits, photos et vidéos, écrivez-nous par mail à siterevolutionpermanente@gmail.com.
Source : http://www.revolutionpermanente.fr/Bordeaux-Victime-d-un-tir-de-flashball-a-la-tete-Olivier-est-actuellement-dans-le-coma?fbclid=IwAR3egOyduUnnpzcPMoNFBl5u1_G1nlFhU7_4e3b9BqJImFdCvjJK_FtQGdM
Nous ne serons pas les chiens de garde de l'État ! Soutien d'intellectuels et d'artistes aux gilets jaunes
Plus de 250 universitaires, intellectuels et artistes disent leur solidarité avec le mouvement des Gilets jaunes, estimant que «c'est la responsabilité historique de la gauche de ne pas laisser le champ libre à l'extrême droite».
Qui aurait cru qu'un gilet suffirait à ébranler l'État ?
Nous assistons depuis deux mois à un mouvement populaire de grande ampleur soutenu par une grande partie des Français. Ce mouvement a pris le gilet jaune comme symbole. Ce gilet de sauvetage qui signale le danger est devenu un cri de ralliement contre la casse sociale en marche : "ne nous écrasez pas" ! Il permet de rendre visibles ceux qui restent d'ordinaire invisibles. En occupant pacifiquement des ronds-points, les Gilets Jaunes s'inspirent à leur manière des occupations d'usines de Juin 36 et de Mai 68, et de mouvements de contestation plus récents comme les Printemps arabes, les Indignés espagnols ou Occupy aux USA.
Le mouvement des Gilets Jaunes a montré à nouveau que, face à un pouvoir prêt à tout pour imposer ses "réformes", seule la lutte permet de gagner : occuper, bloquer, manifester, toucher les lieux sensibles de l'État, de l'économie, de la finance. Tisser des liens, inventer des solidarités, s'organiser pour tenir, fédérer les colères, rechercher des convergences, créer de nouvelles formes de résistance, penser de nouvelles manières de faire de la politique.
Confronté à ce mouvement, l'État a choisi la voie de la répression policière et judiciaire. Il envisage désormais de ficher les manifestants pour pouvoir procéder à des interpellations préventives. Alors que les armes employées par la police ont déjà entraîné blessures et mutilations chez des dizaines de manifestants, de nouvelles consignes d'"extrême fermeté" viennent d'être données aux préfets et aux procureurs. Pour justifier cette politique de confrontation brutale, les autorités s'efforcent par tous les moyens de discréditer les Gilets Jaunes. Ainsi, Emmanuel Macron les a stigmatisés comme une "foule haineuse" qui serait à la fois xénophobe, homophobe et antisémite… L'État peut compter sur la complicité de certains médias qui montent en épingle le moindre incident pour faire passer les Gilets Jaunes pour des racistes et des fascistes. Il peut également compter sur ses chiens de garde, ces intellectuels médiatiques qui se sont empressés de les dénoncer comme des "barbares" et des "gilets bruns". L'un d'eux vient même de féliciter la police pour avoir "sauvé la République" !
Beaucoup d'universitaires, d'intellectuels (enseignants, chercheurs, etc.) et d'artistes s'en sont tenus jusqu'à maintenant à un silence prudent, y compris ceux qui affichent leur sympathie pour la gauche et l'extrême-gauche. Sans doute parce que ce mouvement échappe aux catégories habituelles du jugement politique – imprévisible, inclassable, comme Mai 68 en son temps, comme tout événement historique digne de ce nom. Certains ont pris position en faveur de ce mouvement populaire, mais leur parole est ignorée par les médias dominants. C'est ce silence que nous voulons contribuer à briser, en affirmant publiquement notre solidarité avec les Gilets Jaunes et en appelant les intellectuels, les universitaires et les artistes à les rejoindre.
Il s'agit certes d'un mouvement hétérogène, traversé de multiples contradictions, et qui fait l'objet de tentatives d'infiltration et de récupération de la part de l'extrême-droite. Il importe de demeurer vigilants face à toute dérive complotiste, raciste ou homophobe. Mais ces dérapages restent le fait d'une petite minorité et ne peuvent en aucun cas servir de prétexte pour déconsidérer l'ensemble des Gilets Jaunes. Tout en condamnant sans réserve les menaces de mort envers des élus ou envers des Gilets Jaunes accusés de "trahison", nous contestons l'usage indifférencié du terme violence qui confond les violences physiques contre les personnes, qui sont inacceptables, et les dégradations de biens (voitures brûlées, vitrines brisées ou porte de ministère enfoncée…) qui accompagnent toujours les soulèvements populaires. Sans oublier que, comme l'écrivait Brecht, « On dit d'un fleuve emportant tout qu'il est violent / Mais on ne dit jamais rien de la violence / Des rives qui l’enserrent ».
Le mouvement des Gilets Jaunes est né d'une exigence d'égalité et de justice, d'une protestation contre la destruction du "modèle social français" et la précarisation de larges couches de la population, encore accélérées par les réformes d'inspiration néo-libérale menées au pas de charge et sans concertation par Emmanuel Macron. Ce mouvement témoigne d'une demande de reconnaissance, de la volonté d'être écouté et respecté, face à l'arrogance méprisante d'un gouvernement de technocrates qui se jugent «trop intelligents, trop subtils» pour être compris par un peuple d'«illettrés», de gens «qui ne sont rien».
En partant d'une révolte anti-fiscale, le mouvement des Gilets Jaunes a connu une politisation rapide qui s'est effectuée en dehors de tous les partis. On a assisté à l'émergence de revendications radicales portant sur les institutions et l'exercice du pouvoir. En se référant aux traditions historiques de la Révolution française (cahiers de doléances, appel à des États Généraux, "marche des femmes"…), les Gilets Jaunes ont réveillé l'idée de citoyenneté active fondée sur la compétence du peuple. On commettrait une grave erreur en condamnant comme "populistes" ou réactionnaires leur revendication de "référendum d'initiative citoyenne" ou l'appel des Gilets Jaunes de Commercy à créer partout des "comités populaires" de citoyens et à les fédérer dans une "assemblée des assemblées".
L’exigence d’une expression directe de la volonté populaire, la revendication d'un contrôle des élus par leurs électeurs qui les soumettrait à un mandat impératif et révocable : tout cela appartient à la tradition démocratique et révolutionnaire, depuis les Sans-Culottes, la Révolution de 1848 et les Communards jusqu'aux Conseils ouvriers du XX° siècle. Le refus de toute délégation de pouvoir qui caractérise la plupart des Gilets Jaunes s'inscrit dans la même tradition, celle de la démocratie radicale et libertaire, ravivée par la mémoire des révoltes trahies.
Aujourd'hui, le mouvement des Gilets Jaunes est à la croisée des chemins. Même s'il ne doit pas être surestimé, le risque existe que l'extrême-droite arrive à lui imposer son orientation autoritaire, haineuse et xénophobe. C'est la responsabilité historique de la gauche de ne pas lui laisser le champ libre.
Pour toutes ces raisons, nous appelons les universitaires, les intellectuels et les artistes fidèles aux idéaux d'émancipation à soutenir activement les Gilets Jaunes, à relayer leurs revendications et à les rejoindre dans la lutte.
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Ce texte est une pétition ouverte, pour la signer cliquer ici
Liste des premiers signataires :
Naïm Aït-Sidhoum, cinéaste
Karen Akoka, maitresse de conférences en science politique, Université Paris Nanterre
Michel Andrieu, cinéaste
Armelle Andro, professeure de démographie.
Hervé Amiot, doctorant en géographie, Paris
Jean-Loup Amselle, directeur d'études à l'Ecole des hautes études en sciences sociales, Paris
Fabien Archambault, Université de Limoges
Valerie Arnhold, doctorante en sociologie et ATER à l'Université Paris Dauphine
Stéphane Arnoux, cinéaste
Nicolas Aude, ATER en littérature comparée, Université de Lille
Michel Barthélémy, Sociologue, CNRS, Paris
Yves Baumgarten, professeur de philosophie en lycée
Naïm Aït-Sidhoum, cinéaste
Karen Akoka, maitresse de conférences en science politique, Université Paris Nanterre
Michel Andrieu, cinéaste
Armelle Andro, professeure de démographie.
Hervé Amiot, doctorant en géographie, Paris
Jean-Loup Amselle, directeur d'études à l'Ecole des hautes études en sciences sociales, Paris
Fabien Archambault, Université de Limoges
Valerie Arnhold, doctorante en sociologie et ATER à l'Université Paris Dauphine
Stéphane Arnoux, cinéaste
Nicolas Aude, ATER en littérature comparée, Université de Lille
Michel Barthélémy, Sociologue, CNRS, Paris
Yves Baumgarten, professeur de philosophie en lycée
Stéphane Beaud, sociologue, université de Poitiers
Emma Ben Abdallah, Doctorante en droit, Université Lumière Lyon 2
Maxime Benatouil, militant à l’Union juive française pour la paix
Judith Bernard, metteure en scène, enseignante
Alain Bertho, anthropologue, université de Paris 8
Bertrand Binoche, professeur de philosophie à l'université Paris 1-Panthéon-Sorbonne
Thierry Boissière, anthropologue, Université Lumière Lyon 2
Robert Bonamy, maître de conférences à l'Université Grenoble Alpes et éditeur
Véronique Bontemps, anthropologue, chargée de recherche au CNRS
Mathieu Bonzom, MCF en anglais, Université Paris 1 Panthéon Sorbonne
Anne Bory, sociologue, Université de Lille
Jean-Claude Bourdin, philosophe, professeur émérite à l'université de Poitiers
Hugo Bouvard, ATER en science politique, Université Paris-Dauphine
Gérard Bras, professeur de philosophe, Paris
Thibaut Brouillet, MCF en psychologie cognitive, Université
Nicolas Brusadelli, enseignant et doctorant en sociologie, Université de Picardie
Muriel Buff, militante féministe
Fanny Bugeja-Bloch, maîtresse de conférences en sociologie, Nanterre
Élise Bulatović, professeur d'espagnol, Bordeaux
Nawar Bulbul, acteur et metteur en scène
Pascal Buresi, CNRS, EHESS
François Burgat, politologue, Aix-en-Provence
Pierre-Yves Cadalen, doctorant en science politique, CERI Sciences Po
Natacha Calandre, humanitaire, chercheure associée à l'EHESS
Juan Sebastian Carbonell, docteur en sociologie, Paris 1
Zoe Carle, docteure en littérature comparée
Vanessa Caru, CNRS.
Manuel Cervera-Marzal, sociologue, Université d'Aix-Marseille
Vincent-Arnaud Chappe, sociologue, chercheur au CNRS
Julie Chapuis, docteure en études politiques de l’EHESS
Martine Charageat, historienne, Université de Bordeaux
Alice de Charentenay, docteure en littérature française, Paris 1
Samia Charkioui, docteur en cinéma, cinéaste, Université Jean Jaurès, Toulouse
Charlène Charles, sociologue
Olivier Christin, historien, directeur d'études à l'Ecole pratique des hautes études, Paris
Guillaume Christophel, musicien
Isabelle Clair, chargée de recherche au CNRS
Hadrien Clouet, chercheur postdoctorant, sociologue
James Cohen, Professeur, Monde anglophone, Sorbonne Nouvelle Paris 3
Yves Cohen, historien, directeur d'études à l'EHESS
Jean-Baptiste Comby, sociologue, maître de conférences à l'université Paris 2
Fanny Cosandey, Historienne, enseignante-chercheuse à l'EHESS
Clément Coste, MCF Économie, Sciences Po Lyon
Florent Coste, MCF en littérature médiévale à l'université de Lorraine
Pierre Dardot, philosophe, professeur en classes préparatoires, Paris
Sébastien Dalgalarrondo, sociologue, CNRS
Laurence De Cock, historienne
Marc-François Deligne, Vidéaste
Alizée Delpierre, doctorante en sociologie, CSO
Lou Desideri, étudiant en master de sociologie à l'université Aix-Marseille
Jean Baptiste Devaux, Doctorant en science politique, Sciences PO Lyon
Florent Di Meglio, Maître assistant, MINES ParisTech
Nicolas Dot-Pouillard, chercheur en science politique, Beyrouth
Yohann Douet, Docteur en philosophie
Yann Dourdet, Professeur de Philosophie au lycée Olympe de Gouges à Noisy-le-Sec
Vitalina Dragun, étudiante en sociologie à l’ENS Cachan
Marnix Dressen-Vagne, Professeur de sociologie, Université de Versailles Saint Quentin en Yvelines
François Dumasy, maitre de conférences en histoire
Bounouar El Hadi, doctorant en géopolitique, IGF
Corine Eyraud, sociologue, Aix-Marseille Université
Guillaume Fafiotte, comédien
Jules Falquet, féministe et maîtresse de conférences en sociologie à l'université Paris 7 -Denis Diderot
Héloïse Faucherre-Buresi, élève-professeur ENS, Lyon
Georges Y. Federmann, psychiatre, Strasbourg
Nehara Feldman, Maîtresse de conférences, Chercheuse au CNRS
Mathieu Ferradou, enseignant, doctorant en histoire, Paris 1 Panthéon-Sorbonne
Jérémie Ferrer-Bartomeu, historien, université de Tours
Christian Ferrié, enseignant de philosophie, Strasbourg
Franck Fischbach, professeur de philosophie à l’université de Strasbourg
Jérémie Foa, MCF Histoire, Aix-Marseille
Juliette Fontaine, doctorante en science politique à l'université Paris 1-Panthéon-Sorbonne
Sabine Fortino, sociologue, MCF a l’université Paris Nanterre
Arnaud Fossier, historien, Université de Bourgogne
Tristan Fournier, sociologue, CNRS
Jonathan Friedman, anthropologue, Directeur d’études à l'EHESS
Leïla Frouillou, mcf sociologue à Paris Nanterre
Chiraz Gafsia, Architecte-Urbaniste
Lise Gaignard, psychanalyste
Rahma Gallala, Interprète médiatrice, diplômée en sociologie à Aix-Marseille Université
Claire Gallien, Maitresse de conférences, Université Paul Valéry Montpellier 3
Fanny Gallot, historienne
Édouard Gardella, sociologue, CNRS
Sébastien Garnier, doctorant en histoire, EHESS
Florent Gaudez, Professeur de Sociologie, Université Grenoble Alpes
Jérémie Gauthier, sociologue, Université de Strasbourg
Fanny Gayard, metteure en scène de théâtre
Laurent Gayer, politiste, CNRS/CERI-Sciences Po
Vincent Geisser, chercheur au CNRS
Julie Gervais, politiste, université Paris 1
Mehdi Ghouirgate, MCF d'arabe et directeur du département des études Arabes de l'université Bordeaux-Montaigne
Laurence Giavarini, MCF en littérature du XVIIe siècle
Alain Gigandet, maître de conférences honoraire à l’université Paris-Est Créteil
Charlotte Girard, maîtresse de conférences de droit public, Université Paris Nanterre
Caterina Giusa, doctorante en sociologie, Université Paris 13
Fabienne Godet, réalisatrice de cinéma
Aurelie Gonnet, doctorante en sociologie
Anaïs Goudmand, docteure en sciences du littéraire
Sarah Gould, MCF, Paris 1-Pantheon Sorbonne
Maurizio Gribaudi, Directeur d'études, EHESS
François Guedj, professeur d'histoire-géographie, Cité scolaire Paul Valéry (Paris 12e)
Soraya Guénifi, mcf en histoire à l'université paris 1 Panthéon Sorbonne
Alain Guéry, historien, retraité directeur de recherches au CNRS
Jeanne Guien, musicienne et doctorante en philosophie, Université Paris 1 Panthéon Sorbonne ATER Aix-Marseille Université
Fabrice Guilbaud, Maître de conférences, Université de Picardie Jules
Verne, Amiens
Etienne Guillaud, docteur en sociologie, enseignant à l'Université de Bretagne Occidentale, Brest
Ozgur Gun, Économiste
Elie Haddad, historien, chercheur au CNRS
Abdellali Hajjat, maître de conférences en science politique, Université Paris Nanterre
Sari Hanafi, Professor American University of Beirut
Hugo Harari-Kermadec, économiste, ENS Paris-Saclay
Samuel Hayat, science politique, CNRS
Benoit Hazard, anthropologue
Jacqueline Heinen, Professeure émérite de sociologie, Université Versailles-St-Quentin-en-Y. / -CNRS
Camille Herlin-Giret, chargée de recherche CNRS
Susanne Hildebrandt, politologue, Strasbourg
Vincent Houillon, professeur de philosophie en classes préparatoires, Le Raincy
Emmanuel Hyvernat, poète et ingénieur de projets sociaux et environnementaux, Ain
Florence Ihaddadene, post-doctorante en sociologie, Université Paris-Ouest Nanterre
Nicole Jacques-Lefèvre professeur émérite de littérature française à l'Université Paris Ouest Nanterre
Chantal Jaquet, philosophe, professeure à l'université Paris 1-Panthéon-Sorbonne
Nicolas Jaoul, anthropologue au CNRS
Fanny Jedlicki, Maîtresse de conférences en sociologie à l'université du Havre
Florence Johsua, maîtresse de conférences en science politique, Université Paris Nanterre
Adrien Jouan, doctorant en sociologie, Université de Montréal
Solenne Jouanneau, IEP Strasbourg
Mehdi Belhaj Kacem, philosophe et écrivain
Célia Keren, MCF en histoire contemporaine, Sciences Po Toulouse
Annick Kieffer, Ingénieure de recherche CNRS, retraitée
Nicolas Klotz, cinéaste
Aurore Koechlin, sociologue
Jessica Kohn, docteure en histoire, Paris 3 Sorbonne-Nouvelle
Marie Kortam, sociologue
Taher Labadi, post-doctorant, Université Aix-Marseille
Mickaël Labbé, maître de conférences à l'université de Strasbourg
Denis Lachaud, écrivain
Pierre Laforgue, professeur de Littérature française Bordeaux-Montaigne
Aude Lancelin, autrice, directrice de publication Le MédiaTV
Sylvain Laurens, EHESS
Christian Laval, professeur de sociologie à l'université de Paris-Ouest Nanterre
Jérôme Lèbre, professeur de philosophie, Paris
Vincent Lebrou, docteur en science politique, université de Strasbourg
Gildas Le Dem, journaliste
Laurent Lederer, comédien
Christophe Le Digol, politiste, Université Paris Nanterre
Remi Lefebvre, professeur, université de Lille
Brice Le Gall, doctorant en sciences sociales
Yann Le Lann, Mcf université de Lille
Benjamin Lemoine CNRS - université paris Dauphine
Alice Leroy, maîtresse de conférences en études cinématographiques à l'université Paris-Est Créteil
Antoine Lévêque, doctorant en science politique, Sciences Po Lyon
Wenceslas Lizé, Maître de conférences en sociologie, Université de Poitiers
Iris Loffeier, docteure en sociologie (Aix-Marseille)
Frédéric Lordon, directeur de recherche au CNRS
Emir Mahieddin. Anthropologue au CNRS
Pascal Maillard, enseignant à la Faculté de Lettres de l'université de Strasbourg
Jérémie Majorel, MCF en lettres modernes à l’Université Lyon 2
Chowra Makaremi, anthropologue
Paul Malisani, docteur en mathématiques appliquées
Claude Malon, historien, Le Havre
Christelle Manifet, MCF, sociologie, Université Toulouse 2
Dominique Manotti, romancière
Julie Marquet, docteure en histoire, Université Paris Diderot
Gaël Martin, critique de cinéma
Céline Martin, historienne, Université Bordeaux-Montaigne
Jérôme Martin, professeur d'histoire-géographie, Lycée général et technologique
Gérard Mauger, sociologue, directeur de recherche émérite CNRS
Sarah Mazouz, CNRS
Daniel Meier, politiste, chercheur associé, Sciences Po Grenoble
Lamia Mellal (ITRF) IREMAM, Aix-en-Provence
Juliette Mengneau, docteure en sociologie
Delphine Mercier, Sociologue, CNRS
Jean-Philippe Milet, professeur de philosophie, Paris
Claude Millet, professeure de littérature à l'université Paris 7-Denis Diderot
Estelle Miramond, doctorante en sociologie et genre à l'université Paris 7 -Denis Diderot
Adèle Momméja, chargée de recherche au CNRS
Sylvie Monchatre, sociologue, professeure à l’Université Lumière de Lyon 2
Héloïse Morel, journaliste scientifique
Clément Mouhot, professeur de mathématiques, Université de Cambridge
Francois-Xavier Nerard, MCF histoire, Université Paris 1 Panthéon Sorbonne
Catherine Neveu, Directrice de recherche (CNRS-EHESS), Présidente du Conseil scientifique du GIS Démocratie et Participation
Olivier Neveux, enseignant-chercheur, ENS Lyon
Frédéric Neyrat, philosophe
Bernard Noël, écrivain
Pierre Odin, politiste CERI Sciences Po
Julie Pagis, sociologue, CNRS
Ugo Palheta, sociologue, université de Lille
Christophe Parnet, doctorant en science politique, Sciences Po Lyon
Sylvain Pattieu, Maître de conférences en histoire, université Paris 8, écrivain
Frédérique Pelletier, professeure d'espagnol
Elisabeth Perceval, cinéaste
Patrick Pérez, MCF, Sociologue, CNRS
Clément Petitjean, doctorant en sociologie, UVSQ
Johann Petitjean, maître de conférences en histoire, Université de Poitiers
Serge Pey, poète
Emma Ben Abdallah, Doctorante en droit, Université Lumière Lyon 2
Maxime Benatouil, militant à l’Union juive française pour la paix
Judith Bernard, metteure en scène, enseignante
Alain Bertho, anthropologue, université de Paris 8
Bertrand Binoche, professeur de philosophie à l'université Paris 1-Panthéon-Sorbonne
Thierry Boissière, anthropologue, Université Lumière Lyon 2
Robert Bonamy, maître de conférences à l'Université Grenoble Alpes et éditeur
Véronique Bontemps, anthropologue, chargée de recherche au CNRS
Mathieu Bonzom, MCF en anglais, Université Paris 1 Panthéon Sorbonne
Anne Bory, sociologue, Université de Lille
Jean-Claude Bourdin, philosophe, professeur émérite à l'université de Poitiers
Hugo Bouvard, ATER en science politique, Université Paris-Dauphine
Gérard Bras, professeur de philosophe, Paris
Thibaut Brouillet, MCF en psychologie cognitive, Université
Nicolas Brusadelli, enseignant et doctorant en sociologie, Université de Picardie
Muriel Buff, militante féministe
Fanny Bugeja-Bloch, maîtresse de conférences en sociologie, Nanterre
Élise Bulatović, professeur d'espagnol, Bordeaux
Nawar Bulbul, acteur et metteur en scène
Pascal Buresi, CNRS, EHESS
François Burgat, politologue, Aix-en-Provence
Pierre-Yves Cadalen, doctorant en science politique, CERI Sciences Po
Natacha Calandre, humanitaire, chercheure associée à l'EHESS
Juan Sebastian Carbonell, docteur en sociologie, Paris 1
Zoe Carle, docteure en littérature comparée
Vanessa Caru, CNRS.
Manuel Cervera-Marzal, sociologue, Université d'Aix-Marseille
Vincent-Arnaud Chappe, sociologue, chercheur au CNRS
Julie Chapuis, docteure en études politiques de l’EHESS
Martine Charageat, historienne, Université de Bordeaux
Alice de Charentenay, docteure en littérature française, Paris 1
Samia Charkioui, docteur en cinéma, cinéaste, Université Jean Jaurès, Toulouse
Charlène Charles, sociologue
Olivier Christin, historien, directeur d'études à l'Ecole pratique des hautes études, Paris
Guillaume Christophel, musicien
Isabelle Clair, chargée de recherche au CNRS
Hadrien Clouet, chercheur postdoctorant, sociologue
James Cohen, Professeur, Monde anglophone, Sorbonne Nouvelle Paris 3
Yves Cohen, historien, directeur d'études à l'EHESS
Jean-Baptiste Comby, sociologue, maître de conférences à l'université Paris 2
Fanny Cosandey, Historienne, enseignante-chercheuse à l'EHESS
Clément Coste, MCF Économie, Sciences Po Lyon
Florent Coste, MCF en littérature médiévale à l'université de Lorraine
Pierre Dardot, philosophe, professeur en classes préparatoires, Paris
Sébastien Dalgalarrondo, sociologue, CNRS
Laurence De Cock, historienne
Marc-François Deligne, Vidéaste
Alizée Delpierre, doctorante en sociologie, CSO
Lou Desideri, étudiant en master de sociologie à l'université Aix-Marseille
Jean Baptiste Devaux, Doctorant en science politique, Sciences PO Lyon
Florent Di Meglio, Maître assistant, MINES ParisTech
Nicolas Dot-Pouillard, chercheur en science politique, Beyrouth
Yohann Douet, Docteur en philosophie
Yann Dourdet, Professeur de Philosophie au lycée Olympe de Gouges à Noisy-le-Sec
Vitalina Dragun, étudiante en sociologie à l’ENS Cachan
Marnix Dressen-Vagne, Professeur de sociologie, Université de Versailles Saint Quentin en Yvelines
François Dumasy, maitre de conférences en histoire
Bounouar El Hadi, doctorant en géopolitique, IGF
Corine Eyraud, sociologue, Aix-Marseille Université
Guillaume Fafiotte, comédien
Jules Falquet, féministe et maîtresse de conférences en sociologie à l'université Paris 7 -Denis Diderot
Héloïse Faucherre-Buresi, élève-professeur ENS, Lyon
Georges Y. Federmann, psychiatre, Strasbourg
Nehara Feldman, Maîtresse de conférences, Chercheuse au CNRS
Mathieu Ferradou, enseignant, doctorant en histoire, Paris 1 Panthéon-Sorbonne
Jérémie Ferrer-Bartomeu, historien, université de Tours
Christian Ferrié, enseignant de philosophie, Strasbourg
Franck Fischbach, professeur de philosophie à l’université de Strasbourg
Jérémie Foa, MCF Histoire, Aix-Marseille
Juliette Fontaine, doctorante en science politique à l'université Paris 1-Panthéon-Sorbonne
Sabine Fortino, sociologue, MCF a l’université Paris Nanterre
Arnaud Fossier, historien, Université de Bourgogne
Tristan Fournier, sociologue, CNRS
Jonathan Friedman, anthropologue, Directeur d’études à l'EHESS
Leïla Frouillou, mcf sociologue à Paris Nanterre
Chiraz Gafsia, Architecte-Urbaniste
Lise Gaignard, psychanalyste
Rahma Gallala, Interprète médiatrice, diplômée en sociologie à Aix-Marseille Université
Claire Gallien, Maitresse de conférences, Université Paul Valéry Montpellier 3
Fanny Gallot, historienne
Édouard Gardella, sociologue, CNRS
Sébastien Garnier, doctorant en histoire, EHESS
Florent Gaudez, Professeur de Sociologie, Université Grenoble Alpes
Jérémie Gauthier, sociologue, Université de Strasbourg
Fanny Gayard, metteure en scène de théâtre
Laurent Gayer, politiste, CNRS/CERI-Sciences Po
Vincent Geisser, chercheur au CNRS
Julie Gervais, politiste, université Paris 1
Mehdi Ghouirgate, MCF d'arabe et directeur du département des études Arabes de l'université Bordeaux-Montaigne
Laurence Giavarini, MCF en littérature du XVIIe siècle
Alain Gigandet, maître de conférences honoraire à l’université Paris-Est Créteil
Charlotte Girard, maîtresse de conférences de droit public, Université Paris Nanterre
Caterina Giusa, doctorante en sociologie, Université Paris 13
Fabienne Godet, réalisatrice de cinéma
Aurelie Gonnet, doctorante en sociologie
Anaïs Goudmand, docteure en sciences du littéraire
Sarah Gould, MCF, Paris 1-Pantheon Sorbonne
Maurizio Gribaudi, Directeur d'études, EHESS
François Guedj, professeur d'histoire-géographie, Cité scolaire Paul Valéry (Paris 12e)
Soraya Guénifi, mcf en histoire à l'université paris 1 Panthéon Sorbonne
Alain Guéry, historien, retraité directeur de recherches au CNRS
Jeanne Guien, musicienne et doctorante en philosophie, Université Paris 1 Panthéon Sorbonne ATER Aix-Marseille Université
Fabrice Guilbaud, Maître de conférences, Université de Picardie Jules
Verne, Amiens
Etienne Guillaud, docteur en sociologie, enseignant à l'Université de Bretagne Occidentale, Brest
Ozgur Gun, Économiste
Elie Haddad, historien, chercheur au CNRS
Abdellali Hajjat, maître de conférences en science politique, Université Paris Nanterre
Sari Hanafi, Professor American University of Beirut
Hugo Harari-Kermadec, économiste, ENS Paris-Saclay
Samuel Hayat, science politique, CNRS
Benoit Hazard, anthropologue
Jacqueline Heinen, Professeure émérite de sociologie, Université Versailles-St-Quentin-en-Y. / -CNRS
Camille Herlin-Giret, chargée de recherche CNRS
Susanne Hildebrandt, politologue, Strasbourg
Vincent Houillon, professeur de philosophie en classes préparatoires, Le Raincy
Emmanuel Hyvernat, poète et ingénieur de projets sociaux et environnementaux, Ain
Florence Ihaddadene, post-doctorante en sociologie, Université Paris-Ouest Nanterre
Nicole Jacques-Lefèvre professeur émérite de littérature française à l'Université Paris Ouest Nanterre
Chantal Jaquet, philosophe, professeure à l'université Paris 1-Panthéon-Sorbonne
Nicolas Jaoul, anthropologue au CNRS
Fanny Jedlicki, Maîtresse de conférences en sociologie à l'université du Havre
Florence Johsua, maîtresse de conférences en science politique, Université Paris Nanterre
Adrien Jouan, doctorant en sociologie, Université de Montréal
Solenne Jouanneau, IEP Strasbourg
Mehdi Belhaj Kacem, philosophe et écrivain
Célia Keren, MCF en histoire contemporaine, Sciences Po Toulouse
Annick Kieffer, Ingénieure de recherche CNRS, retraitée
Nicolas Klotz, cinéaste
Aurore Koechlin, sociologue
Jessica Kohn, docteure en histoire, Paris 3 Sorbonne-Nouvelle
Marie Kortam, sociologue
Taher Labadi, post-doctorant, Université Aix-Marseille
Mickaël Labbé, maître de conférences à l'université de Strasbourg
Denis Lachaud, écrivain
Pierre Laforgue, professeur de Littérature française Bordeaux-Montaigne
Aude Lancelin, autrice, directrice de publication Le MédiaTV
Sylvain Laurens, EHESS
Christian Laval, professeur de sociologie à l'université de Paris-Ouest Nanterre
Jérôme Lèbre, professeur de philosophie, Paris
Vincent Lebrou, docteur en science politique, université de Strasbourg
Gildas Le Dem, journaliste
Laurent Lederer, comédien
Christophe Le Digol, politiste, Université Paris Nanterre
Remi Lefebvre, professeur, université de Lille
Brice Le Gall, doctorant en sciences sociales
Yann Le Lann, Mcf université de Lille
Benjamin Lemoine CNRS - université paris Dauphine
Alice Leroy, maîtresse de conférences en études cinématographiques à l'université Paris-Est Créteil
Antoine Lévêque, doctorant en science politique, Sciences Po Lyon
Wenceslas Lizé, Maître de conférences en sociologie, Université de Poitiers
Iris Loffeier, docteure en sociologie (Aix-Marseille)
Frédéric Lordon, directeur de recherche au CNRS
Emir Mahieddin. Anthropologue au CNRS
Pascal Maillard, enseignant à la Faculté de Lettres de l'université de Strasbourg
Jérémie Majorel, MCF en lettres modernes à l’Université Lyon 2
Chowra Makaremi, anthropologue
Paul Malisani, docteur en mathématiques appliquées
Claude Malon, historien, Le Havre
Christelle Manifet, MCF, sociologie, Université Toulouse 2
Dominique Manotti, romancière
Julie Marquet, docteure en histoire, Université Paris Diderot
Gaël Martin, critique de cinéma
Céline Martin, historienne, Université Bordeaux-Montaigne
Jérôme Martin, professeur d'histoire-géographie, Lycée général et technologique
Gérard Mauger, sociologue, directeur de recherche émérite CNRS
Sarah Mazouz, CNRS
Daniel Meier, politiste, chercheur associé, Sciences Po Grenoble
Lamia Mellal (ITRF) IREMAM, Aix-en-Provence
Juliette Mengneau, docteure en sociologie
Delphine Mercier, Sociologue, CNRS
Jean-Philippe Milet, professeur de philosophie, Paris
Claude Millet, professeure de littérature à l'université Paris 7-Denis Diderot
Estelle Miramond, doctorante en sociologie et genre à l'université Paris 7 -Denis Diderot
Adèle Momméja, chargée de recherche au CNRS
Sylvie Monchatre, sociologue, professeure à l’Université Lumière de Lyon 2
Héloïse Morel, journaliste scientifique
Clément Mouhot, professeur de mathématiques, Université de Cambridge
Francois-Xavier Nerard, MCF histoire, Université Paris 1 Panthéon Sorbonne
Catherine Neveu, Directrice de recherche (CNRS-EHESS), Présidente du Conseil scientifique du GIS Démocratie et Participation
Olivier Neveux, enseignant-chercheur, ENS Lyon
Frédéric Neyrat, philosophe
Bernard Noël, écrivain
Pierre Odin, politiste CERI Sciences Po
Julie Pagis, sociologue, CNRS
Ugo Palheta, sociologue, université de Lille
Christophe Parnet, doctorant en science politique, Sciences Po Lyon
Sylvain Pattieu, Maître de conférences en histoire, université Paris 8, écrivain
Frédérique Pelletier, professeure d'espagnol
Elisabeth Perceval, cinéaste
Patrick Pérez, MCF, Sociologue, CNRS
Clément Petitjean, doctorant en sociologie, UVSQ
Johann Petitjean, maître de conférences en histoire, Université de Poitiers
Serge Pey, poète
Michel Pialoux, sociologue, Cessp/EHESS
Caecilia Pieri, historienne, Ifpo Beyrouth
Jean-Marie Pillon Sociologue, Paris Dauphine
Marie-Pierre Ponpon, Université de Strasbourg
Martin Pontier, doctorant en sociologie, LEST-Cnrs, Aix-en-Provence
Tristan Poullaouec, sociologue, Université de Nantes
Marie-Christine Pouchelle, anthropologue, directeur de recherches émérite à l'Ecole des hautes études en sciences sociales, Paris
Nicolas Puig, chercheur CNRS
Olivier Quéré, mcf science politique, Université de Haute Alsace
Laura Raim, journaliste
Tancrède Ramonet, producteur, réalisateur et musicien
Candice Raymond, historienne, Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne
Serge Raymond, psychologue hospitalier honoraire, Ville-Evrard
Quentin Ravelli, Chercheur CNRS
Gianfranco Rebucini, anthropologue
Rachel Renault, Mcf en histoire, Le Mans
Jean Renoir, chercheur associé au CNAM
Eugenio Renzi, professeur de philosophie et de cinéma au Lycée Bellevue du Mans
Zofia Rieger, pianiste et comédienne, Paris
Michèle Riot-Sarcey, historienne, professeure émérite à l'université Paris 8, Saint-Denis
Constance Rimlinger, doctorante en sociologie à l'Ecole des hautes études en sciences sociales, Paris
Jacob Rogozinski, professeur de philosophie à l’université de Strasbourg
Frédéric Roux, professeur agrégé de sciences sociales, docteur en sociologie
Alexis Roy, anthropologue, CNRS
Arnaud Saint-Martin
Julien Salingue, docteur en science politique
Nicolas Sallée, sociologue, Université de Montréal (Québec, Canada)
Michel Samuel, Maître de Conférences en Anthropologie, université Paris 8
Simon Sarlin, maître de conférences en histoire, Université Paris Nanterre
Pierre Sauvêtre, MCF en sociologie à l’Université Paris-Nanterre
Claire Savina, arabisante
Frédéric Sawicki, professeur de science politique, Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne
Sbeih Sbeih, post-doctorant
Valentin Schaepelynck, Maître de conférences, Université Paris 8
Régis Schlagdenhauffen, sociologue, EHESS
Marion Schumm, docteure en philosophie, enseignante en lycée
Patrick Simon, démographe, revue Mouvements
Sélim Smaoui, docteur en science politique
Bradley Smith, MCF en études anglophones, Université Paris Nanterre
Thomas Sommer-Houdeville, Docteur en Sociologie
Hélène Stevens, maîtresse de conférences en sociologie à l'Université de Poitiers
Sonia Taleb, doctorante en histoire
Julien Talpin, chargé de recherche au CNRS (Université de Lille)
Federico Tarragoni, maître de conférences en sociologie à l'université Paris 7-Denis Diderot
Louise Tassin, doctorante en sociologie, ATER à l'EHESS
Julien Théry, historien, université Lyon 2-Lumière
Arnaud Tomès, enseignant de philosophie, Strasbourg
Annie Topalov, psychanalyste
Christian Topalov, sociologue, directeur d'études à l'Ecole des hautes études en sciences sociales, Paris
Jean-Louis Tornatore, anthropologue, université de Bourgogne
Maryse Tripier, sociologue, professeur émérite de l'université Paris-Diderot
Marie Van Effenterre, doctorante en anthropologie
Yves Vargas, professeur honoraire de philosophie, Paris
Daniel Veron, sociologue
Thomas Vescovi, chercheur indépendant en histoire contemporaine
Victor Violier, doctorant en science politique, Université Paris Nanterre
Claire Vivès, Sociologue, Centre d'études de l'emploi et du travail
Elise Voguet, historienne, CNRS
Christophe Voillot,maître de conférences en science politique,Université Paris-Ouest Nanterre
Sophie Wahnich, historienne, Ecole des hautes études en sciences sociales, Paris
Olenka Witjas, responsable pédagogique
Pierre Zaoui, maître de conférences en philosophie à l'université Paris 7-Denis Diderot
David Zerbib, philosophe, Paris
Caecilia Pieri, historienne, Ifpo Beyrouth
Jean-Marie Pillon Sociologue, Paris Dauphine
Marie-Pierre Ponpon, Université de Strasbourg
Martin Pontier, doctorant en sociologie, LEST-Cnrs, Aix-en-Provence
Tristan Poullaouec, sociologue, Université de Nantes
Marie-Christine Pouchelle, anthropologue, directeur de recherches émérite à l'Ecole des hautes études en sciences sociales, Paris
Nicolas Puig, chercheur CNRS
Olivier Quéré, mcf science politique, Université de Haute Alsace
Laura Raim, journaliste
Tancrède Ramonet, producteur, réalisateur et musicien
Candice Raymond, historienne, Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne
Serge Raymond, psychologue hospitalier honoraire, Ville-Evrard
Quentin Ravelli, Chercheur CNRS
Gianfranco Rebucini, anthropologue
Rachel Renault, Mcf en histoire, Le Mans
Jean Renoir, chercheur associé au CNAM
Eugenio Renzi, professeur de philosophie et de cinéma au Lycée Bellevue du Mans
Zofia Rieger, pianiste et comédienne, Paris
Michèle Riot-Sarcey, historienne, professeure émérite à l'université Paris 8, Saint-Denis
Constance Rimlinger, doctorante en sociologie à l'Ecole des hautes études en sciences sociales, Paris
Jacob Rogozinski, professeur de philosophie à l’université de Strasbourg
Frédéric Roux, professeur agrégé de sciences sociales, docteur en sociologie
Alexis Roy, anthropologue, CNRS
Arnaud Saint-Martin
Julien Salingue, docteur en science politique
Nicolas Sallée, sociologue, Université de Montréal (Québec, Canada)
Michel Samuel, Maître de Conférences en Anthropologie, université Paris 8
Simon Sarlin, maître de conférences en histoire, Université Paris Nanterre
Pierre Sauvêtre, MCF en sociologie à l’Université Paris-Nanterre
Claire Savina, arabisante
Frédéric Sawicki, professeur de science politique, Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne
Sbeih Sbeih, post-doctorant
Valentin Schaepelynck, Maître de conférences, Université Paris 8
Régis Schlagdenhauffen, sociologue, EHESS
Marion Schumm, docteure en philosophie, enseignante en lycée
Patrick Simon, démographe, revue Mouvements
Sélim Smaoui, docteur en science politique
Bradley Smith, MCF en études anglophones, Université Paris Nanterre
Thomas Sommer-Houdeville, Docteur en Sociologie
Hélène Stevens, maîtresse de conférences en sociologie à l'Université de Poitiers
Sonia Taleb, doctorante en histoire
Julien Talpin, chargé de recherche au CNRS (Université de Lille)
Federico Tarragoni, maître de conférences en sociologie à l'université Paris 7-Denis Diderot
Louise Tassin, doctorante en sociologie, ATER à l'EHESS
Julien Théry, historien, université Lyon 2-Lumière
Arnaud Tomès, enseignant de philosophie, Strasbourg
Annie Topalov, psychanalyste
Christian Topalov, sociologue, directeur d'études à l'Ecole des hautes études en sciences sociales, Paris
Jean-Louis Tornatore, anthropologue, université de Bourgogne
Maryse Tripier, sociologue, professeur émérite de l'université Paris-Diderot
Marie Van Effenterre, doctorante en anthropologie
Yves Vargas, professeur honoraire de philosophie, Paris
Daniel Veron, sociologue
Thomas Vescovi, chercheur indépendant en histoire contemporaine
Victor Violier, doctorant en science politique, Université Paris Nanterre
Claire Vivès, Sociologue, Centre d'études de l'emploi et du travail
Elise Voguet, historienne, CNRS
Christophe Voillot,maître de conférences en science politique,Université Paris-Ouest Nanterre
Sophie Wahnich, historienne, Ecole des hautes études en sciences sociales, Paris
Olenka Witjas, responsable pédagogique
Pierre Zaoui, maître de conférences en philosophie à l'université Paris 7-Denis Diderot
David Zerbib, philosophe, Paris
Source : https://blogs.mediapart.fr/edition/les-invites-de-mediapart/article/120119/nous-ne-serons-pas-les-chiens-de-garde-de-letat?utm_source=facebook&utm_medium=social&utm_campaign=Sharing&xtor=CS3-66&fbclid=IwAR1Kif3hYzXcyS6geQyR-YMhvayUItnXyaoAFMxbWDvaMcIArvOFTmFKGxc
LE NOUVEAU DÉCRET FERRY ? VIDEO. Pour l’Acte 9 des Gilets jaunes, des CRS armés de fusil d’assaut automatique HK G36
Pour l'#ActeIX des #GiletsJaune à Paris les CRS sont maintenant armée de fusil d'assault.
On est en France ? #Acte9
3 101 personnes parlent à ce sujet
Si nombre de fake news circulent au sujet de photos recyclés. Il est tout à fait juste de demander le maximum de preuve comme le demande un follower :
La réponse est positive, il ne s’agit pas d’un fake.
Non non c'est bel et bien la réalité, j'ai filmé ça a 15h proche de la place de l'Etoile. Une dizaine de fusils d'assaut au total. pic.twitter.com/djaYmQVmwf
50 personnes parlent à ce sujet
Plus encore, on observe que les CRS avaient aussi ce fusil d’assaut du côté de l’Arc de Triomphe, derrière les barrières. Ils ont désormais la panoplie complète avec les blindés.
#Paris derrière les barrières de l'Arc de Triomphe, policiers et gendarmes statiques.
Un des CRS sort une mitraillette d'un forgon.
- C'est pourquoi la mitraillette ?
- Pour les terroristes, monsieur.
Comme le blindé certainement...
#giletsjaunes #acteIX #acte9
24 personnes parlent à ce sujet
Un autre tweet précise bien qu’il s’agit d’un fusil d’assaut de type HK (Heckler & Koch) G36 dont les forces de l’ordre ont été dotée depuis les attaques du 13 novembre. Il semble que ce soit des unités particulières qui en soient dotées comme l’exprime ce tweet :
20 commentaires, 19 #deconnectés de la realité du pays en 2019 ...
L'ecusson de loin est compatible avec celui des membres des forces SPI4G chargés (depuis 2015...) de riposter si une kalach(s) ou un sniper (plus dur) sort ...
Pour info: les GJ c'est la jacquerie gentillette.
28 personnes parlent à ce sujet
Plus encore, leur port a depuis été élargi à certaines équipes de la BAC par la suite. C’est ce qu’explique un article du Figaro. « Le préfet de police précise que les fonctionnaires de police des unités dotées devront mobiliser un agent de l’équipage au véhicule pour assurer la garde de cette arme ou la rapporter au commissariat lorsque l’intervention ne nécessite pas de fusil d’assaut ». C’est en l’occurrence ce qu’il s’est passé le premier décembre. Un fusil d’assaut était stocké dans un camion puis a été volé. Cette fois-ci donc les armes automatiques sont de sortie directement dans les manifestations.
Des réactions sont particulièrement inquiète et à juste titre. A quoi bon sortir un fusil d’assaut automatique ? Comme le précise justement un tweet :
Sauf qu'ils ne peuvent les utilisé que de façon proportionnelle à une menace à laquelle ils seraient confrontés.... Ça c'est la «théorie».
Voir les autres Tweets de Raphael Pravisano
Surtout que le contexte est loin d’être sans tensions quand on voit Luc Ferry appelle les policiers à se servir de leurs armes….
Mais comme Lundi Matin l’explique dans un article, ce n’est pas comme si les forces de police ne sortaient pas leur fusil automatique à certaines occasions. « Le 1er mai 2017 à Paris, alors que le cortège libertaire arrivait sur la place de la République, chaque angle de rue était occupé par une ligne de CRS composée au 3e rang d’hommes armés des nouveaux fusils automatiques HK G36 ». Ou encore le 5 mai 2017 :
À Toulouse des CRS avec des fusils d'assaut G36 autour d'une manif de 70 lycéens. Personnellement ça m'inquiète plus qu'autre chose.
56 personnes parlent à ce sujet
#aulnay Après la lacrymo, le flashball, le LBD, les désencerclantes, les tazers, c'est devenu la norme un G36 en manif... #justicepourtheo
Voir les autres Tweets de Yg@l
Quoiqu’il en soit, depuis le début du mouvement des Gilets jaunes, au vu de notre niveau information, c’est la première fois que le fusil automatique HK G36 est utilisé pour le « maintien de l’ordre » pour les manifestations des Gilets jaunes. Signe que le gouvernement est prêt à aller encore plus loin dans la répression du mouvement ? En tout cas la nouvelle loi « anti-casseur » et ces armes automatiques de guerre pour « encadre » les manifestations sont extrêmement inquiétant en ce qui concerne les droits démocratiques de tous ceux qui souhaitent s’exprimer dans la rue contre Macron et ses politiques anti-sociales.
Source : http://www.revolutionpermanente.fr/VIDEO-Pour-l-Acte-9-des-Gilets-jaunes-des-CRS-armes-de-fusil-d-assaut-automatique-HK-G36
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