"Il n'existe rien de constant si ce n'est le changement" BOUDDHA; Nous devons apprendre à vivre ensemble comme des frères, sinon nous allons mourir tous ensemble comme des idiots." MARTIN LUTHER-KING; "Veux-tu apprendre à bien vivre, apprends auparavant à bien mourir." CONFUCIUS ; « Nous savons qu’ils mentent, ils savent aussi qu’ils mentent, ils savent que nous savons qu’ils mentent, nous savons aussi qu’ils savent que nous savons, et pourtant ils continuent à mentir ». SOLJENITSYNE
samedi 11 janvier 2025
mercredi 16 février 2022
Trudeau utilise une «guerre financière à part entière» contre les manifestants du convoi de la liberté
16/02/22
Le Premier ministre canadien Justin Trudeau a invoqué « la loi sur les mesures d'urgence », donnant au gouvernement l'autorité légale d'identifier et de saisir les comptes bancaires des manifestants pacifiques.
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Dans un geste qui lui donne des "pouvoirs étendus", le Premier ministre canadien Justin Trudeau a invoqué - pour la première fois de l'histoire - la Loi sur les urgences du Canada en réponse à ce que le commentateur politique Krystal Ball a qualifié de manifestation "presque totalement pacifique".
Ces pouvoirs comprennent le fait de donner aux banques canadiennes la capacité, sans ordonnance du tribunal, de « geler ou suspendre immédiatement les comptes » de tout Canadien qui a fait un don de 25 $ ou plus aux comptes de collecte de fonds du convoi de camionneurs.
Dans un épisode de "Breaking Points With Krystal and Sagaar", le co-animateur de Ball, Saagar Enjeti, a déclaré que le gouvernement canadien "saisira également tous les fonds destinés aux manifestations, y compris la crypto-monnaie".
Avec les pouvoirs accordés au gouvernement par la loi sur les mesures d'urgence, "ils peuvent non seulement saisir et suspendre votre permis de conduire pour toujours, mais aussi aller retirer de l'argent du compte bancaire du propriétaire du camion", a déclaré Enjeti.
"Nous envisageons donc une guerre financière à part entière contre les camionneurs."
Tous les dirigeants canadiens ne sont pas d'accord avec cette décision radicale, a déclaré Ball, citant un rapport de Reuters selon lequel les premiers ministres de l'Alberta, du Manitoba et de la Saskatchewan s'y sont opposés. Le premier ministre du Québec, François Legault, s'est également opposé à cette décision, déclarant qu'il craignait que cela ne « jette de l'huile sur le feu », selon la Montreal Gazette .
La Loi sur les mesures de guerre du Canada, qui a précédé la Loi sur les mesures d'urgence de Trudeau, a été utilisée pour la dernière fois en 1970, lorsque des séparatistes québécois ont kidnappé des diplomates français et canadiens et assassiné l'un d'eux.
"C'était donc la dernière fois que quelque chose de similaire était invoqué", a déclaré Ball.
"Vous avez ici le Premier ministre canadien, qui est notre voisin du nord, invoquant la loi sur les mesures d'urgence, déclarant une guerre financière totale à ses propres citoyens et suspendant les libertés civiles … dans une société soi-disant libre et ouverte", a déclaré Enjeti.
Si cela se produit dans votre pays, « vous ne vivez [clairement] pas dans un pays libre », a-t-il soutenu.
Pendant ce temps, les organisations canadiennes de liberté civile dénoncent la répression de Trudeau contre les manifestants pacifiques et le blocus frontalier à la frontière Montana-Alberta a pris fin.
Voici le dernier :
- Le Centre de justice pour les libertés constitutionnelles du Canada s'est opposé à la déclaration d'urgence nationale de Trudeau. L'organisation a publié une déclaration appelant à "l'utilisation de pouvoirs d'urgence injustifiés par les faits et la réalité d'Ottawa".
- Le diffuseur de Fox News, Tucker Carlson, a comparé la Loi sur les mesures d'urgence à la « loi martiale », affirmant que «la démocratie au Canada est terminée».
- Le chef de la police d'Ottawa a démissionné après avoir critiqué « qu'il n'en avait pas fait assez » pour arrêter les manifestations des camionneurs, selon Reuters .
- La Police provinciale de l'Ontario et la Gendarmerie royale du Canada ont déjà sanctionné 34 portefeuilles cryptographiques liés aux manifestations des camionneurs.
- En vertu de la Loi sur les mesures d'urgence, le gouvernement canadien et les forces de l'ordre peuvent contraindre "ceux qui sont capables de rendre des services essentiels" ou, en d'autres termes, ordonner légalement aux camionneurs de déplacer les véhicules qui bloquent les routes, selon CTV News .
- En préparation de l'application de la loi sur les urgences, l'Associated Press a rapporté que les forces de l'ordre avaient commencé à émettre des contraventions et à exiger que les camionneurs quittent la capitale ou risquent d'être arrêtés. Certains camionneurs ont déchiré les billets et ont crié : « Je ne rentrerai jamais chez moi ! Un manifestant a été arrêté.
Le blocus frontalier anti-mandat entre Coutts, Alberta et Montana a officiellement pris fin, selon Rebel News . "Nous, en tant que convoi Coutts, avons décidé que, en tant que manifestation pacifique [et pour] maintenir ce récit, nous déploierons [mardi] matin", a déclaré un porte-parole des camionneurs à Rebel News. Lundi soir, la police a arrêté 11 personnes impliquées dans le blocus frontalier de Coutts. Pendant ce temps, la manifestation à Ottawa se poursuit.
Source : https://childrenshealthdefense.org/defender/trudeau-full-fledged-financial-warfare-freedom-convoy-protesters/?
Gravissime : Trudeau veut bloquer les comptes bancaires des Truckers - Les révélations de Jérôme Blanchet-Gravel
mercredi 9 février 2022
jeudi 3 février 2022
Justin Trudeau craint un conflit armé en Ukraine
Marie Vastel à Ottawa
Correspondante parlementaire
20 janvier 2022
Canada
Justin Trudeau s’est dit « extrêmement préoccupé » par le risque grandissant d’un conflit armé en Ukraine, alors que les pourparlers diplomatiques stagnent et que la Russie fait des gestes jugés inquiétants par l’Occident. Le premier ministre canadien n’a pas encore précisé s’il fournira les armes réclamées par l’Ukraine pour se défendre. Il explique vouloir éviter de donner « des excuses » aux Russes.
« Nous craignons un conflit armé en Ukraine », a reconnu le premier ministre mercredi. Un geste d’« agression » de la part de la Russie ou une « incursion » en territoire ukrainien serait « absolument inacceptable », a-t-il déclaré en conférence de presse, où il faisait le point sur la pandémie.
Des pourparlers entre les pays occidentaux, l’Organisation du traité de l’Atlantique Nord (OTAN) et la Russie n’ont pas permis d’apaiser les tensions des dernières semaines.
La ministre canadienne des Affaires étrangères, Mélanie Joly, était en Ukraine en début de semaine pour y rencontrer le premier ministre, Denys Shmyhal, et la vice-première ministre, Olga Stefanishyna. Elle leur a promis que le Canada leur offrirait une aide financière supplémentaire.
L’Ukraine, pour sa part, a demandé à la ministre Joly que le Canada lui fournisse du matériel militaire afin de l’aider à se défendre contre une possible offensive russe. Mme Stefanishyna a fait valoir, en entrevue au Globe and Mail, que du matériel non létal et des armes étaient « essentiels ».
Justin Trudeau n’avait pas de réponse à lui offrir, à Ottawa, mercredi. « L’une des choses que nous avons constatées, c’est que la Russie se cherche des excuses ou des raisons de continuer, et même d’intensifier, son agression à l’endroit de l’Ukraine », a expliqué le premier ministre pour justifier son hésitation.
« La décision que nous prendrons sera basée sur le meilleur intérêt de la population ukrainienne, ainsi que sur ce qu’il y a de mieux pour préserver la paix mondiale le plus longtemps possible », a fait valoir Justin Trudeau. Les États-Unis et la Grande-Bretagne ont promis, de leur côté, l’envoi d’armes à l’Ukraine.
La vice-première ministre ukrainienne a également indiqué au Globe and Mail qu’elle souhaitait voir le Canada, les États-Unis et l’Union européenne imposer des sanctions économiques « préventives » à la Russie, afin de faire augmenter le coût de l’intervention militaire envisagée par le président Vladimir Poutine.
Le Canada planche avec ses alliés sur une « réponse diplomatique » ainsi que sur des sanctions économiques « afin de s’assurer que la Russie respecte la population de l’Ukraine, respecte sa décision de choisir son propre gouvernement et sa direction », a fait valoir Justin Trudeau.
Les États-Unis rehaussent leurs efforts
Le chef de la diplomatie américaine, Antony Blinken, était lui aussi de passage dans la capitale ukrainienne mercredi, avant de rencontrer le ministre russe des Affaires étrangères, Sergueï Lavror, vendredi.
M. Blinken en a profité pour sommer le président russe, Vladimir Poutine, de choisir la « voie pacifique » dans la crise ukrainienne.
« J’espère fortement que nous pourrons rester sur une voie diplomatique et pacifique, mais en fin de compte, ce sera la décision du président Poutine », a affirmé le secrétaire d’État américain, notant que la Russie pouvait « très rapidement » augmenter encore ses troupes déployées aux abords de l’Ukraine.
Soldats canadiens sur place
Les tensions sont à leur comble dans la région, la Russie ayant posté plus de 100 000 soldats près de la frontière avec l’Ukraine, selon les autorités de ce pays et le gouvernement américain. Des vidéos, publiées sur les réseaux sociaux, semblaient également montrer le déplacement d’un grand nombre de chars d’assaut, d’artilleries et de troupes. La Russie a en outre déployé des militaires en Biélorussie, un proche allié de la Russie et le voisin nordique de l’Ukraine.
Quelque 200 militaires canadiens se trouvent en ce moment en Ukraine, dans le cadre de l’opération Unifier qui offre de la formation aux soldats ukrainiens depuis 2015.
Justin Trudeau n’a pas précisé si les membres des Forces armées canadiennes seraient rapatriés dans l’éventualité d’un conflit armé de plus en plus appréhendé. Des « plans de contingence » sont en place, mais le premier ministre n’a pas voulu « aller dans le détail ». « Nous allons prendre les décisions selon la situation, selon les actions qui pourraient être prises par la Russie ou d’autres », a-t-il indiqué. Il n’a pas non plus révélé si cette mission, qui doit prendre fin en mars 2022, serait prolongée.
La porte-parole de la Maison-Blanche, Jen Psaki, a prévenu mardi que la situation était arrivée au « stade où la Russie peut lancer à tout moment une attaque en Ukraine ».
Les diplomates russes et leurs familles auraient commencé à être rapatriés de Kiev, où se trouve l’ambassade, et de Lviv, où se trouve un consulat, vers Moscou.
La Russie réclame que l’OTAN s’engage, par la voie d’un traité, à ne pas inclure l’Ukraine au sein de son alliance. Le président Poutine estime que le pays fait encore partie de la « sphère d’influence » de la Russie. Moscou exige également que les pays occidentaux cessent toute présence militaire en Europe de l’Est.
Les pays occidentaux ont rejeté ces conditions. Le Canada est favorable à une intégration de l’Ukraine au sein de l’OTAN.
Avec l’Agence France-Presse
Source : https://www.ledevoir.com/politique/canada/661632/justin-trudeau-craint-un-conflit-arme-en-ukraine
Révolte au Canada et guerre en Ukraine - François Asselineau
Union Populaire Républicaine
lundi 31 janvier 2022
Justin Trudeau exfiltré !
Sud Radio