"Il n'existe rien de constant si ce n'est le changement" BOUDDHA; Nous devons apprendre à vivre ensemble comme des frères, sinon nous allons mourir tous ensemble comme des idiots." MARTIN LUTHER-KING; "Veux-tu apprendre à bien vivre, apprends auparavant à bien mourir." CONFUCIUS ; « Nous savons qu’ils mentent, ils savent aussi qu’ils mentent, ils savent que nous savons qu’ils mentent, nous savons aussi qu’ils savent que nous savons, et pourtant ils continuent à mentir ». SOLJENITSYNE
Maintien de l’ordre: les nouveaux blindés de la gendarmerie arrivent, par Luc Auffret
19/06/2022
Les nouveaux instruments du dialogue social macroniste sont arrivés. Alors que le gouvernement avait commandé fin 2021, 90 nouveaux blindés pour le maintien de l’ordre, le premier exemplaire vient de sortir d’usine. Lance-grenades automatique 30 coups, caméra de vision nocturne à l’avant du véhicule, entre autres performances inquiétantes: l’engin laisse présager une répression toujours plus importante des éventuels mouvements sociaux du prochain quinquennat
En octobre 2021, le Ministère de l’Intérieur annonçait dans uncommuniquél’acquisition de 90 nouveaux blindés pour la gendarmerie nationale à l’issue d’une mise en concurrence du marché public initiée en décembre 2020. La société SOFRAME a remporté le marché, avec le modèle ARIVE (Armoured Infantry Vehicle).
Ces véhicules blindés de maintien de l’ordre remplaceront progressivement les véhicules blindés à roues de la gendarmerie (VBRG) utilisés depuis les années 1970 en France et dans les départements d’outre-mer. Depuis l’arrivée d’Emmanuel Macron au pouvoir, les VRBG ont été utilisés pour l’évacuation de la ZAD de Notre-Dame-des-Landes en 2018, et aussi contre le mouvement des Gilets Jaunes à partir de fin 2018. Plus récemment le gouvernement a mobilisé en novembre dernier ses blindés face à la révolte en Guadeloupe et en Martinique contre le « pass sanitaire » mais plus largement contre les mauvaises conditions de vie, et encore récemment pour réprimer le « Convoi de la liberté » le 12 février 2022 à Paris.Un reportage de QG avait relaté l’événement.
Ce blindé de 14,5 tonnes dénommé Centaure par la gendarmerie mesure 7,4 mètres de long pour 3,3 mètres de hauteur et peut atteindre une vitesse de 110km/h. Il peut transporter entre 10 à 12 gendarmes.
Niveau équipement, le Centaure est déjà équipé d’une lame installée à l’avant du véhicule permettant de dégager des axes barrés ou bloqués par des véhicules et des barricades. Ce blindé a la capacité de pousser des voitures et objets pesant jusqu’à 3,5 tonnes, le tout à une vitesse de 30km/h selon l’Essor.
Au-delà de sa taille et de son poids imposant, ce véhicule blindé de maintien de l’ordre possède une caméra de vidéosurveillance longue portée sur le toit ainsi qu’un système de défense à base de lacrymogène sur chaque côté du véhicule avec une concentration de gaz CS très élevée. Ce système de défense ressemble à celui en place sur les véhicules blindés à roues de la gendarmerie. Le 16 mars 2019, Gaspard Glanz, fondateur de l’agence de presse indépendante Taranis News avait ainsi filmé un VRBG diffusant de la poudre de gaz lacrymogène lors d’une manifestation des Gilets jaunes sur les Champs-Elysées.La chose avait été confirmée par la préfecture de police à l’équipe de Checknews, au sein du quotidien Libération.
Le nouveau blindé de la gendarmerie est également équipé d’un lance-grenades automatique, télécommandé 30 coups avec une portée de 400 mètres en plus d’une caméra de vision nocturne intégrée sur l’avant de la carcasse. Le BCM STARK-30 de la société Sunrock possède un “système de rechargement facile et rapide sur le côté” qui peut s’effectuer sans descendre du véhicule (comme on peut le voir ici plus bas).
Cet investissement massif laisse évidemment présager une répression toujours accrue des prochains mouvements sociaux, auxquels l’État semble s’être préparé en renforçant son arsenal pendant la période Covid. Outre ces nouveaux blindés impressionnants, une commande de 170.000 munitions de LBD, dont 10.000 avec produits marqueurs, a au demeurant été passée au printemps 2021.
Le premier quinquennat d’Emmanuel Macron avait été marqué par la mise en oeuvre d’une violente doctrine du maintien de l’ordre. Au total, la répression du mouvement des Gilets jaunes, des manifestations contre la réforme des retraites, ou contre la loi Sécurité globale, aura fait plusieurs centaines de blessés graves et de mutilés, notamment 32 éborgnés et 6 mains arrachés ainsi que plus de 27.800 blessés (±3360) selon le rapport d’enquête de l’Observatoire des Street-medics, parmi lesquels 25.800 seulement pour le mouvement des Gilets jaunes, un chiffre dix fois supérieur au chiffre officiel admis par le Ministère de l’Intérieur. Un triste record que l’on espère ne pas voir battu, alors que le pouvoir macroniste semble être entré dans une inquiétante veillée d’armes.
Pour voir l'émission en entier, c'est ici ! 👉 https://qg.media/emission/le-convoi-d...
Ce soir sur QG, Aude Lancelin reçoit Priscillia Ludosky, pionnière des Gilets jaunes, et Kévin, porte-parole du "Bloc lorrain", pour analyser le mouvement du Convoi de la liberté
Ce dernier a rassemblé des milliers de citoyens pour s'opposer aux mesures sanitaires liberticides du gouvernement mis en place depuis le début de la pandémie du Covid. Inspiré de l'initiative d'Ottawa, au Canada, où des centaines de poids lourds ont réussi à bloquer entièrement la ville, forçant le maire à déclarer l'état d'urgence. Le samedi 12 février 2022, les conducteurs du convoi français en provenance du Nord, sont arrivés sur les Champs Élysées en dépit des barrages, contrôles, de fouilles, d'accès bloqués aux stations essence, et autres embûches organisées par la préfecture. Un déploiement massif de forces de l'ordre les attendait à l'arrivée donnant lieu à des scènes de répression extrêmement violentes, jamais vues depuis les Gilets jaunes
En pleine campagne présidentielle, quel impact ce soulèvement aura-t-il sur la candidature d'Emmanuel Macron? S'agit-il d'une résurgence de l'esprit Gilets jaunes? Le mouvement peut-il prendre? Au lendemain des événements, QG fait le point sur la situation !
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L’idéologie de la vaccination intégrale et répétée des populations est une sorte de nouvelle religion, avec son dieu, ses grands maîtres argentiers, ses dévots, ses techniques de propagande de masse et ses mensonges éhontés. En ouvrant désormais la voie à la vaccination des enfants et en créant par ailleurs entre les citoyens des discriminations inédites pour des régimes réputés démocratiques, elle viole des droits humains que l’on croyait « inaliénables » et dresse les citoyens les uns contre les autres. Plus de 1.500 universitaires, médecins et soignants alertent dans une tribune sur QG, le média libre
La séquence d’appel à la vaccination des enfants par le gouvernement français ce lundi 6 décembre était écrite d’avance. L’Agence européenne du médicament (EMA) avait autorisé le 25 novembre l’usage des vaccins expérimentaux contre le Covid-19 chez les enfants âgés de 5 à 11 ans, ne faisant que suivre une nouvelle fois la Food and Drug Administration (FDA) américaine (communiqué du 29 octobre). Ceci ne concerne plus désormais que le produit de Pfizer/BioNTech, même s’il faut bien par ailleurs continuer à écouler le stock de celui de Modernadans les vaccinodromes. En France, la Haute Autorité de Santé (HAS) lui emboîtait le pas en proposant (le 30 novembre) de vacciner tous les « enfants fragiles », à savoir « tous ceux qui présentent un risque de faire une forme grave de la maladie et de décéder et pour ceux vivant dans l’entourage de personnes immunodéprimées ou vulnérables non protégées par la vaccination ». Elle appelle cela « la stratégie du cocooning », une appellation d’apparence bienfaisante, qui masque le fait que les enfants sont bien moins contaminants que leurs parents et leurs enseignants (comme le montre une étude de l’Institut Pasteur). Et la HAS annonce déjà qu’elle « se prononcera ultérieurement sur la pertinence d’élargir cette vaccination ». Le premier groupe (les enfants « à risque ») concernerait déjà au bas mot 360.000 personnes. Mais, bizarrement, la HAS ne chiffre pas le second groupe, celui des « enfants de 5 à 11 ans vivant dans l’entourage de personnes immunodéprimées ou celui de personnes vulnérables non protégées par la vaccination ». Il faut dire que, selon le gouvernement, le taux de vaccination des personnes de plus de 65 ans dépasse les 92% en France, de sorte que l’on ne voit pas très bien combien de « personnes immunodéprimées ou vulnérables » ne seraient pas encore vaccinées. Mais peu importe en réalité, l’essentiel est de continuer la grande marche en avant vers la vaccination intégrale (et répétée tous les six mois au minimum) de toute l’humanité. Telle est la nouvelle religion qui se répand dans le monde et permet aux grands maîtres argentiers Pfizer et Moderna d’engranger 1 000 dollars de bénéfice par seconde à chaque instant de nos vies, le tout orchestré par leurs vassaux régionaux que sont devenus la plupart des gouvernements occidentaux ainsi que les agences internationales – à commencer par une Commission Européenne emmenée par une Ursula von der Leyen orchestrant la grande opération vaccinale tout en ayant un fils travaillant pour le cabinet McKinsey et un mari directeur d’une entreprise de biotechnologies orientée vers les thérapies génétiques.
Pour y parvenir, ces gouvernements (et les nombreux journalistes qui les suivent au garde-à-vous) utilisent toutes les vieilles ficelles de la propagande. La logique de base est celle qu’expliquait déjà Jacques Ellul il y a 60 ans (Propagandes, 1962) : « En face de la propagande d’agitation [des révolutionnaires, des putschistes, des terroristes], nous trouvons la propagande d’intégration, qui est la propagande des nations évoluées, et caractéristique de notre civilisation. C’est une propagande de conformisation ». En effet, « dans une démocratie, il faut associer les citoyens aux décisions de l’Etat. C’est là le grand rôle de la propagande. Il faut donner aux citoyens le sentiment d’avoir voulu les actes du gouvernement, d’en être responsables, d’être engagés à les défendre et à les faire réussir ». On reconnaît là le fondement de ce qui est appelé nudge de nos jours, un mot anglais à la mode pour désigner de vieilles techniques de marketing et de publicité. C’est en effet aux années d’entre-deux-guerres que remonte cette conception moderne de la propagande. L’un de ses maîtres à penser fut Edward Bernays, dont toute l’œuvre de propagandiste et de publicitaire reposait sur l’idée que « la masse est incapable de juger correctement des affaires publiques et que les individus qui la composent sont inaptes à exercer le rôle de citoyens en puissance qu’une démocratie exige de chacun d’eux : bref, que le public, au fond, constitue pour la gouvernance de la société un obstacle à contourner et une menace à écarter », comme le résume son préfacier français.
Le premier socle permanent de cette propagande est la peur, qui permet de placer les sujets en état de suggestibilité. Après avoir longtemps nié l’existence des variants (sans doute parce que c’est l’IHU de Marseille qui le montrait), le gouvernement s’en est emparé pour renouveler cette stratégie de la peur. Chaque nouveau variant permet ainsi de relancer l’idée simplette des « vagues » successives censées nous submerger, et vient justifier de nouvelles étapes dans l’objectif de vaccination intégrale, tout en détournant l’attention des véritables causes de la mortalité occasionnée par ces virus. Causes qui sont essentiellement d’une part la proportion croissante de personnes atteintes de maladies chroniques environnementales (obésité, diabète, insuffisances cardiaques ou respiratoires, etc.), d’autre part la tiers-mondisation de l’hôpital public.
Vient ensuite la technique de propagande « blouses blanches et galons » bien décrite par Etienne Augé (Petit traité de propagande. À l’usage de ceux qui la subissent, 2007). Elle consiste à « faire appel à des individus disposant de par leur titre, grade ou mandat, d’une autorité sociale susceptible de bénéficier d’une crédibilité sans rapport avec leurs propos et de provoquer chez leur audience une adhésion à leurs idées, arguments ou actions ». Ainsi peut-on constater dans les médias « l’apparition de spécialistes-professionnels, capables d’intervenir sur des sujets dont ils n’ont parfois pas une connaissance suffisante mais sur lesquels ils parviennent à s’exprimer avec un langage convaincant. Leur discours est perçu par la plupart des non-spécialistes comme un avis valant expertise car on a pris soin de les présenter, par exemple par le biais d’un bandeau à la télévision, en mettant en valeur leurs titres, tels que docteur, professeur, général, ainsi que leur domaine d’expertise ». Bien entendu, pour que cela fonctionne, il faut soigneusement dissimuler leurs fréquents liens avec les industries pharmaceutiques.
En outre, les gouvernements comme celui de la France utilisent massivement un autre classique de la propagande d’Etat qu’Etienne Augé appelle « le choix truqué ». Il consiste à « proposer à un public un choix, comme s’il lui revenait de trancher et de choisir la meilleure option, tout en sachant à l’avance quel sera le résultat de cette consultation. Ainsi, le propagandiste met l’auditoire devant l’alternative entre un choix inacceptable qui sera nécessairement rejeté, et une option qui apparaîtra comme peu désirée mais inéluctable devant l’ampleur du danger qui menace ». Vaccinés ou reconfinés ? Vaccinés ou remasqués ? Vaccinés, guéris ou morts ? L’histoire était écrite d’avance pour qui sait la reconnaître: « on utilise le choix truqué principalement pour expliquer des sacrifices ou pour annoncer des mesures drastiques. Il n’est pas rare, dans ces cas-là, que l’on utilise des expressions inquiétantes, car l’objectif est de montrer qu’il n’existe qu’une solution pour prévenir une catastrophe ». Et l’auteur de conclure que le chef politique doit alors« s’imposer dans un rôle de sauveur qui sait apprécier l’altruisme de ses ‘ouailles’. Il peut demander qu’on lui sacrifie certaines libertés primaires afin de mieux garantir la sécurité de chacun dans des temps troublés. Cette technique se retrouve à l’origine de la plupart des systèmes de domination massifs qui conduisent à des dictatures ».
Enfin, arrive la technique de la grenouille ébouillantée dans la célèbre fable : plongez une grenouille dans de l’eau bouillante et elle bondira pour s’échapper, mais plongez-la dans de l’eau froide et portez progressivement l’eau à ébullition, la grenouille s’engourdira et finira par mourir de cette cuisson sans s’en apercevoir. Les gouvernements usent et abusent de cette technique de contrainte en passant leur temps à jurer que telle obligation n’arrivera jamais ou que telle catégorie de la population ne sera jamais concernée, afin de ne pas alarmer la population. Tout en réalisant la chose petit à petit. Ainsi la vaccination fut-elle d’abord réservée aux personnes les plus âgées et aux professionnels de soins. Ensuite, elle a été élargie progressivement aux adultes des tranches d’âge inférieures, avant de passer aux adolescents, puis aux enfants. Aujourd’hui ce sont les enfants réputés « fragiles », pour continuer à jouer le noble rôle de protecteur. Demain, ce sera en réalité la totalité.
La réalité n’a pas grand-chose à voir avec cette propagande
La réalité, elle, se moque de ces manipulations des peuples. Elle se résume en cinq constats.
Figure 1 : Évolution par rapport à 2019 du nombre de décès cumulé selon l’âge
Source : INSEE, état civil. Nombre de décès quotidiens transmis jusqu’au 8 novembre 2021 Note de lecture : manque l’année sur la dernière couleur (1er mars-30 avril 2020)
Le premier est que la prétendue « pandémie du siècle » n’a jamais menacé les personnes âgées de moins de 60 ans. S’il y a bien une catégorie de personnes qui ne risquent rien statistiquement, ce sont les enfants. Les statistiques de mortalité établies par l’INSEE montrent même que les personnes âgées de moins de 25 ans ont connu une sous-mortalité en 2020 et 2021 par rapport à 2019 (Figure 1 ci-contre). Quant à celles âgées de 25 à 49 ans, elles n’ont globalement pas vu la différence. La figure montre aussi que, sur la période actuelle (1er juin – 8 novembre 2021), il n’y a pas non plus de surmortalité chez les 50-64 ans.
Le deuxième constat est qu’il n’est pas justifié d’annoncer systématiquement le pire, aujourd’hui l’imminence d’une « cinquième vague ». La réalité est d’abord qu’il est fallacieux de présenter une courbe des « cas positifs » (qui dépend de nombreux facteurs, à commencer par la fréquence des tests) comme une courbe du nombre de « malades ». L’immense majorité des personnes porteuses de ce virus ont toujours été peu ou pas symptomatiques. Ensuite, les hospitalisations et les décès augmentent certes lentement, mais c’est le cas chaque année à cette période d’entrée dans l’hiver. Les données du réseau Sentinelles (un réseau français qui existe depuis 1984 et qui constitue un échantillon de plusieurs centaines de médecins généralistes faisant remonter leur activité médicale sur les maladies infectieuses) montrent même que le nombre de malades se situe actuellement très en deçà non seulement des deux principales épidémies de Covid (mars-avril 2020 et octobre-novembre 2020), mais aussi des années de plus fortes grippes saisonnières (Figure 2 ci-contre). Ceci signifie que la spécificité de l’épidémie de Covid ne réside probablement pas dans sa dangerosité intrinsèque, mais bien plutôt dans la réponse thérapeutique, ou plutôt l’absence de réponse thérapeutique, qui lui a été opposée par les médecins du fait des consignes gouvernementales qui ont privilégié d’abord des mesures non-pharmaceutiques (confinements, couvre-feux, etc.), ensuite la « solution vaccinale ».
Figure 2 : comparaison du nombre de malades recensés lors des épidémies de Covid (2020-2021) et des épidémies de grippes saisonnières 2019 et 2020
Le troisième constat est que la vaccination se dirige vers 100% de couverture de la population générale sans que cela ne change rien à la dynamique des épidémies successives provoquées par les variants. C’était déjà le cas du variant Delta (Indien) lors de l’étédernier, et c’est à nouveau le cas du variant sud-africain dit Omicron (apparemment moins dangereux que les précédents). La conclusion est fatale : le sauvetage par la vaccination générale est un mythe. Comme toutes les religions, il ne repose que sur la foi des croyants. La réalité, visible depuis plusieurs mois, est que la vaccination n’enraye nullement la propagation de l’épidémie. Et pour cause, il est bien établique la vaccination n’empêche ni la contamination ni la transmission du virus.
Le quatrième constat est que, comme toutes les idéologies religieuses ou laïques, la vaccination intégrale est une structure psychorigide aveugle à tout effet pervers et sourde à toute remise en cause. En l’occurrence, il est tabou de parler d’effets indésirables graves liés à la vaccination des jeunes. Or la réalité est là, qui ne pourra pas être indéfiniment cachée sous le tapis. Les adeptes de la nouvelle religion ont déployé de grands efforts pour dénier toute pertinence aux données de pharmacovigilance qui étaient disponibles déjà l’été dernier. Ils ne pourront rien contre l’accumulation des publications scientifiques qui documentent notamment les risques inédits de problèmes cardiaques (thromboses, péricardites, myocardites) chez les adolescents vaccinés (voir par exemple ici, ici, ici, ici et là). En d’autres termes, le rapport bénéfice/risque est clairement défavorable à la vaccination des jeunes. Pour cette raison, plusieurs pays scandinaves ont déjà renoncé à injecter aux jeunes les vaccins ARNm, rejoints il y a quelques jours par le Japon. Au demeurant, lorsque le gouvernement avait saisi le Comité Consultatif National d’Ethique le 27 avril 2021, ce dernier avait conclu que « la vaccination des enfants de moins de 12 ans ne semble pas éthiquement et scientifiquement acceptable ». Mais qui se soucie encore de l’éthique ?
Enfin, le cinquième et dernier constat est que cette idéologie industrielle et scientiste de la vaccination intégrale fonctionne comme les religions en temps de crise par le passé. Elle a ses grands prêtres et ses dévots, qui monopolisent plus que jamais la parole sur les plateaux de télévision. Elle a son inquisition médiatique qui excommunie les penseurs déviants et rêverait de pouvoir les brûler comme jadis les sorcières. Et elle produit massivement des boucs-émissaires (les non-vaccinés) qui sont traités comme autrefois les pestiférés ou les lépreux, plus récemment les victimes du Sida que J.-M. Le Pen voulait enfermer dans des « sanatoriums ». Situation d’autant plus absurde que tout vacciné est un futur non-vacciné qui s’ignore, puisque tout sera remis en cause pour celui ou celle qui ne fera pas sa troisième dose, avant sa quatrième (déjà actée par M. Delfraissy), sa cinquième, sa sixième, etcetera. Le principe même du « pass sanitaire » a beau reposer sur un mensonge éhonté (répétons que la vaccination ne bloque ni l’infection ni la transmission), sa logique discriminatoire se déploie dramatiquement depuis plusieurs mois. Et comme si la perte d’emploi, le non-accès aux restaurants, aux lieux culturels, etc., ne suffisait pas, les gouvernements européens rivalisent à présent d’imagination contre l’espèce de nouvel ennemi public n°1 qu’est devenu le non-vacciné. A l’image de l’Autriche, il ne suffit plus d’exclure, on voudrait maintenant mettre à l’amende, punir et enfermer. Cette logique discriminatoire morbide, qui viole des droits humains que l’on croyait « inaliénables », dresse les citoyens les uns contre les autres et sera certainement décrite un jour par les historiens comme une sorte de folie collective orchestrée par des personnes ayant perdu tout sens des valeurs démocratiques et des droits de l’homme. Nous ne devons pas nous y résigner et rester muets devant un tel désastre intellectuel et moral.
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Les 1 200 premiers signataires
Laurent Mucchielli, sociologue, directeur de recherche au CNRS (site)
Laurent Toubiana, chercheur à l’INSERM, directeur de l’IRSAN
Paul Touboul, professeur de médecine (cardiologie, rythmologie) à l’université de Lyon
Jean Roudier, professeur de médecine à l’Université d’Aix-Marseille, directeur de l’unité INSERM UMRs 1097
Christian Vélot, généticien moléculaire, enseignant-chercheur à l’Université Paris-Saclay
Jean-Paul Bourdineaud, professeur de toxicologie et biochimie à l’Université de Bordeaux
Claude Escarguel microbiologiste, ex président du syndicat national des praticiens des hôpitaux généraux, porte-parole du collectif de médecins « traitants » « AZI-THRO-d’hospitalisations, Co-président de l’association de malades Covid-longs UPGCS
Didier Lambert, président d’une association de patients, ancien membre du Comité Scientifique Permanent Pharmacovigilance de l’ANSM
Elise Carpentier, professeur de droit public à l’Université d’Aix-Marseille, directrice du GREDIAUC
Juliette Rouchier, économiste, directrice de recherche au CNRS
Marie-Thérèse Dimanche-Boitrel, biologiste, directrice de recherche à l’INSERM
Jean-Marc Sabatier, microbiologiste, directeur de recherche au CNRS
Alain Wurtz, MD, PhD, professeur émérite de chirurgie thoracique à l’Université de Lille
Jacques Tilouine, professeur de Mathématiques, Université de Paris XIII
Bernard Boitrel, biochimiste et chimiste, directeur de recherche au CNRS, Université de Rennes 1
Jean-Louis Rouvillain, professeur de médecine à l’Université des Antilles-Guyane
Youri Timsit, microbiologiste, directeur de recherche au CNRS
Boris Bardot, généticien, enseignant-chercheur à Sorbonne Université
Christian Meny, physicien, Directeur de recherche au CNRS
Denis Geraads, directeur de recherches émérite au CNRS
Danièle Dehouve, anthropologue, directrice de recherche émérite au CNRS
Philippe Cluzeau, Enseignant Chercheur en Chimie à l’Université de Bordeaux
Alessandro A. Negroni, professeur de philosophie du droit, chercheur à l’Université de Gênes (Italie)
David Lepoutre, Professeur de sociologie à l’Université de Paris Nanterre
Gaëtan Flocco, maître de conférences en sociologie, Université d’Evry Paris-Saclay
Fabrice Caudron, maître de conférences à l’Université de Lille
Jean Baratgin, professeur en psychologie cognitive à l’Université Paris 8
Thierry Huck, PhD, chercheur au CNRS
Thomas Fernique, chargé de recherche CNRS
Marielle Aguilar, biostatisticienne au CNRS
Christian Toinard, professeur des Universités
Matthieu Smyth, professeur à l’Institut des Sciences Religieuses de l’Université de Strasbourg
Marianne Bordenave-Jacquemin, maître de conférences en physiologie végétale, Sorbonne-Université
Rafaëlle Maison, professeur de droit public à l’Université Paris-Saclay
Christopher Pollmann, professeur des universités agrégé de droit public, Université de Lorraine–Metz
Nicolas Sembel, professeur de sociologie à Aix-Marseille Université
Boris Kolev, mathématicien, directeur de recherche au CNRS
Edith Galy, Professeure des universités en Ergonomie
Dominique Labbé, chercheur, retraité de l’Université de Grenoble-Alpes
Claude Roux, directeur de recherche honoraire au CNRS
Jean-Marie Seca, professeur de sociologie à l’Université de Lorraine
Alain Deville, Physicien, Professeur Emérite Université Aix-Marseille, membre de l’APS Maryse Esterle, sociologue, Université d’Artois
Hélène Banoun, pharmacien biologiste, PhD, ancienne chargée de recherches à l’INSERM
Emmanuelle Darles, maîtresse de conférences en informatique à l’Université de Poitiers
Vincent Pavan, maître de conférences en mathématique à Aix-Marseille Université
Marie Cécile Guérin, maître de conférences HDR en droit à l’Université de Bordeaux
Stéphane Vautier, professeur des Universités (psychométrie et méthodologie)
Yves Martinez-Maure, professeur de mathématiques à Sorbonne Université
Carolyn Granier-Deferre, maître de conférences émérite à l’Université de Paris
Nicolas Bonnet, professeur à l’Université de Bourgogne-Franche-Comté
Jacques Maillard, physicien des particules et nucléaire, retraité du CNRS, docteur d’Etat
Michel Duyme, Directeur de recherches Honoraire du CNRS, Sciences de la Vie
Isabelle Bore, Maître de Conférences à l’Université de Picardie-Jules Verne
Yves André, docteur en astrophysique, prix Servant de l’Académie des Sciences de Paris
Daniel Muller, Chargé de recherche en chimie, Université de Rennes 1
Nathalie Prudhomme, maîtresse de conférences en psychologie à Aix-Marseille Université
Frédéric Grillot, professeur à l’Institut Polytechnique de Paris
Elsa Faugère, anthropologue, chargée de Recherches à l’INRAE
Claire Berton-Carabin, directrice de recherche
Alain Joets, physicien, chargé de recherche au CNRS
François Réveret, physicien, ingénieur de recherche au CNRS
Guy Chapouillié, professeur Émérite ENSAV, Université de Toulouse Jean Jaurès
Philippe Schepens, professeur en Sciences du langage (retraité) Université de Franche-Comté
Pierre Bouopda, maître de conférences en Sciences économiques, Université Polytechnique Hauts-De-France
Catherine Frier, maitre de conférences à l’Université de Grenoble
Jocelyne Porcher, directrice de recherche à l’INRAE
Daniel Krob, directeur de recherches au CNRS (en disponibilité), ancien professeur de l’Ecole Polytechnique
Béatrice Mabilon-Bonfils, professeur de sociologie à l’Université de Cergy-Pontoise
Serge Chaumier, professeur à l’Université d’Artois
Dorothée Dussy, anthropologue, directrice de recherche au CNRS
Christophe Al-Saleh, philosophe, maître de conférences à l’Université de Picardie
Bernard Lamizet, ancien professeur des universités, Institut d’études politiques de Lyon
Jean Philippe Garnier, École Nationale Supérieure d’Ingénieurs de Poitiers, Université de Poitiers
Christine Zimmer, maître de conférences, Université de Bourgogne
Jean-Igor Ghidina, Maître de conférences HDR à l’Université de Clermont-Auvergne
Michael Esfeld, professeur de philosophie des sciences, Université de Lausanne (Suisse)
Frédéric Planchet, membre agrégé de l’Institut des Actuaires, Professeur des universités
Jean Chéry, CNRS & Université de Montpellier
Guillaume Zambrano, maître de conférences en Droit à l’Université de Nîmes
Evelyne Fargin, Professeur Emérite à l’Université de Bordeaux
Maryse Badel, Professeur à l’Université de Bordeaux
Cornelia Personne, PhD, Université technique de Darmstadt (Allemagne)
Jean Garagnon, maître de conférences honoraire à l’Université de Montpellier 3
Nathalie Leroux, maîtresse de conférences à l’Université Paris Nanterre
Henri Courivaud, docteur en droit, chargé de conférences à l’université de Grenoble-Alpes
Alain Léger, Professeur de sociologie, retraité de l’Université
Mélanie Guyonvarch, maîtresse de conférences à l’Université Evry
Lucien Samir Oulahbib, Ph. D., HDR, sociologie et sciences politiques, chercheur associé au CLESID
Danielle Deville, agrégée de sciences physiques, professeur en CPGE
Françoise Clerc, professeur émérite des universités, Sciences de l’Education
Pierre Chaillot, statisticien
Pierre Roche, docteur en sociologie HDR
Bruno Courcelle, Professeur émérite à l’Université de Bordeaux
Vincent Bertrand, maître de conférences à l’Université de Lorraine
Denis Lafarge, Chargé de Recherche au CNRS
Hélène San Clemente, ingénieur CNRS
Matthieu Jouvert, ingénieur d’études CNRS
Hervé Guyon, maître de conférences en Psychologie Statistique à l’Université de Bretagne Occidentale
Pascal Visine, Ingénieur d’études CNRS
Laurent Le Guillou, maître de conférences (Physique) à la Sorbonne Université
Christakis Georgiou, politiste à l’Université de Genève
Jérôme Vincent, ingénieur et professeur agrégé de physique
Florence Poirier, biochimiste, Ingénieure de Recherche à l’Université Paris 13
Fernand Bentolila, retraité, professeur des universités
Fabrice Megrot, médecin (PhD / HDR), chercheur associé au CNRS
Christian Germanaz, maitre de conférences à l’Université de La Réunion
Pierre-Jacques Hamard, Senior Research Scientist, Memorial Sloan Kettering Cancer Center (New York, USA)
Christophe Pouzat, neurophysiologiste et statisticien, chercheur au CNRS
Guillaume Lavoué, Professeur des Universités en Informatique, École Centrale de Lyon
Idriss Aberkane, Ph.D
Fabrice Colomb, sociologue, enseignant-chercheur à l’Université d’Evry Val d’Essonne
Olivier Dagnelie, maître de conférences en économie, Université de Pau et des pays de l’Adour
Nicolas Guérin, Maître de conférences (HDR) en Psychologie à Aix-Marseille Université
Marie-Ange Dat, enseignante-chercheuse en Sciences du langage Université de Nantes
André Bernold, retraité de la Michigan State University
Stéphanie Dupoiron, statisticienne et professeure de mathématiques à l’Université et en Grande École
Agathe Torti Alcayaga, maîtresse de conférences à l’Université Sorbonne Paris Nord
André Cayol, enseignant-chercheur retraité de l’Université de Compiègne-Sorbonne
Eric Teinturier, enseignant au Conservatoire National des Arts et Métiers (CNAM)
Pascal Bouchez, enseignant-chercheur à l’Université Polytechnique Hauts-de-France
Renaud Gabet, Institut Polytechnique de Paris
Jean Vallès, maître de conférences en mathématiques à l’Université de Pau
Anne-Marie Bonnand-Reilly, ex ingénieur d’études à l’INSERM (méthodologiste et biostatisticienne)
Michel Deshaies, est professeur de géographie à l’Université de Lorraine
Geneviève Lheureux, maîtresse de conférences à l’Université Lyon 3
Oscar Brousse, docteur en géographie, chargé de recherche au University College London (Royaume-Uni)
Martine Timsit-Berthier, docteur en médecine, docteur en sciences, retraitée de l’Université de Liège (Belgique)
Paule Seite, Professeur de biochimie à l’Université de Poitiers
Ollivier Charlade, enseignant-chercheur à l’Université Grenoble Alpes
Pascal Fugier, maître de conférences à l’Université de Cergy Paris
Luc Forest, professeur agrégé de Physique, Université de Bordeaux
Maxime Audebert, enseignant-chercheur à l’Université de Lyon
Damien Jeanne, chargé d’enseignement aux universités de Caen et du Havre, chercheur associé au CNRS
Jean-Louis Olive, anthropologue, professeur à l’université de Perpignan Via Domitia
Olivier Crevoisier, professeur d’économie à l’Université de Neuchâtel (Suisse)
Magali Soulatges, maîtresse de conférences à l’Université d’Avignon
François Hou, docteur en histoire, enseignant à l’Université
Marie Estripeaut-Bourjac, Professeur Émérite à l’Université de Bordeaux
Pierre Bitoun, sociologue, retraité de l’INRAE
Céline Schott, Ingénieure d’études INRAE
Dan Ioan Muresan, maître de conférences à l’Université de Rouen Normandie
Joël Colonna, Maître de conférences en droit privé à Aix-Marseille Université
Chantal Carpentier, docteur d’Etat, maîtresse de conférences des Universités retraitée
Philippe Huetz, Dr. en biophysique moléculaire, chercheur
Jean-Luc Périllié, Maître de conférences émérite en Philosophie, Université de Montpellier 3
Guillaume Saint-Pierre, Statisticien, chargé de recherche du développement durable
Amdé Burnol, ingénieur, docteur en géochimie environnementale
Vincent Lejour, Ingénieur en génétique moléculaire, Institut Curie Paris
Jacques H. Julliard, Docteur en chimie, Docteur d’Etat es sciences biologiques, retraité du CNRS
Fanny Kieffer, Maître de Conférences en histoire des sciences à l’Université de Strasbourg
Françoise Bloch, socio-anthropologue, retraitée du CNRS
Roland Assaraf, physicien, chargé de recherche au CNRS, Sorbonne Université
Sylvie Bordère, chimiste, chargée de recherche au CNRS
Nicolas Chevalier, physicien, chargé de recherche au CNRS
Clément Evain, Maître de conférences des universités en physique
Patrick Verovic Maître de conférences en mathématiques à l’Université Savoie Mont Blanc
Colette Anné, mathématicienne, retraitée du CNRS
Loïc Renoud, Ph.D, maître de conférences à Okayama University (Japon)
Sylvain Fève, ingénieur au CNRS
Sabine Scarzello, Ingénieur d’études au CNRS, Docteur en Sciences de la vie
Christiane Capron, professeur de psychologie honoraire des Universités
Yan Bour, docteur en anthropologie, chercheur associé à l’Université Côte d’Azur
Gwenola Graff, Chargée de recherche à l’Institut de Recherche pour le Développement (IRD)
Pierre-Marie Gassin, enseignant chercheur à l’ENSCM
Denis Rotillon, maître de Conférences en Mathématiques, Université de Toulouse
Delphine Prou, Science Research Manager au Memorial Sloan Kettering Cancer Center a (New York, USA)
Pascal Ragouet Professeur de sociologie à l’Université de Bordeaux
Claude Dechesne, ancien chargé de Recherche à l’INSERM
Eugenia Lamas, chercheuse, ancienne de l’INSERM
Jacqueline Grima, directeur de recherches au CNRS
André PICOT (président de l’ATC), Directeur de recherche honoraire du CNRS
Alexandra Henrion Caude, généticienne, directrice de l’Institut de recherche Simplissima
Fabrice Wilhelm, professeur des université, PR 9E section, à l’Université de Franche-Comté
Olivier Ozenda, Dr en math appliquées de l’Université Grenoble alpes, post doc INRAE
Michèle Leclerc-Olive, Chercheure (HDR) au CNRS honoraire
Gaëlle Martin-Gassin, maître de conférences à l’Université Montpellier
Pierre-Yves Garnier, médecin, expert scientifique à l’international
Laure Laffly, biochimiste/biologiste (ancienne cadre R&D chez Sanofi vaccin)
Anne Stein, praticien hospitalier et maitre de conférences en biochimie à Aix-Marseille-Université
Pascal Trotta, Ancien Interne des Hôpitaux de Paris, Lauréat de la Faculté de Médecine de Paris, médecin radiologue, fondateur de l’institut de médecine naturelle de Saint-Sébastien
Nancy Béchard Radiologue
Andrei Cividjian, Chargé de mission – recherche, Hospices Civils de Lyon
Michel Ternoy, psychologue retraité de la Fonction Publique Hospitalière, Docteur d’état
Louis-Claude Le Gueult, médecin biologiste, ancien Directeur du site transfusionnel du Havre
Paul Bousquet, médecin, santé publique (évaluateur de risques)
Judith Ribbe, médecin en santé du travail
Philippe Teyber, cadre supérieur de santé
Jacqueline Collard, chimiste, présidente associative, ancienne administratrice CHU de Grenoble, représentante ARS AURA
Marie-Estelle Dupont psychologue clinicienne
Carole Xavier, médecin spécialiste en Anatomie Pathologique
Beatrice Fort médecin anesthésiste réanimatrice
Louis Fouché, médecin anesthésiste-réanimateur
Nabil Bensalem, Médecin Généraliste et urgentiste
Michel Thomas, docteur en médecine
Isabelle Chivilo, médecin généraliste
Gérard Vigneron, médecin généraliste
Philip Siegenthaler, médecin généraliste (Suisse)
Yves Colliez, médecin généraliste
Alain Garenne, médecin généraliste
Isabelle Grégoire, Docteur en médecine, médecine générale