"Il n'existe rien de constant si ce n'est le changement" BOUDDHA; Nous devons apprendre à vivre ensemble comme des frères, sinon nous allons mourir tous ensemble comme des idiots." MARTIN LUTHER-KING; "Veux-tu apprendre à bien vivre, apprends auparavant à bien mourir." CONFUCIUS ; « Nous savons qu’ils mentent, ils savent aussi qu’ils mentent, ils savent que nous savons qu’ils mentent, nous savons aussi qu’ils savent que nous savons, et pourtant ils continuent à mentir ». SOLJENITSYNE
La police a arrêté six personnes après une nuit de
violences à Plymouth, faisant plusieurs blessés. Ces émeutes font suite à
l'attaque au couteau de Southport, où trois jeunes filles ont été
tuées.
Mise à jour le 06/08/24
Six
arrestations après une nuit de violences. Plusieurs blessés parmi les
forces de l’ordre et le public. Ces émeutes font suite à l’attaque
tragique de Southport.
La police du Devon et de Cornouailles a arrêté six personnes à
Plymouth après une nuit marquée par des violences à travers la ville.
Ces incidents ont fait plusieurs blessés parmi les forces de l’ordre et
le public, avec deux personnes transportées à l’hôpital.
Dans un communiqué, la police a fermement condamné ces actes de
violence en déclarant : « La violence ne sera pas tolérée, la haine ne
sera pas tolérée ».
Cette flambée de violence s’inscrit dans un contexte de troubles qui
secouent le Royaume-Uni depuis une semaine, suite à une attaque au
couteau lors d’un cours de danse pour enfants à Southport, au nord-ouest
du pays. Cette tragédie a coûté la vie à trois jeunes filles (Alice
Dasilva Aguiar, neuf ans, Bebe King, six ans, et Elsie Dot Stancombe,
sept ans.), provoquant une vague d’émotion et de colère à travers le
pays.
Les violences à Plymouth ont éclaté peu après une veillée en mémoire
des victimes de l’attaque de Southport. Depuis lors, des foules en
colère ont attaqué des hôtels hébergeant des demandeurs d’asile et des
mosquées. Ces actes violents sont alimentés par de fausses rumeurs
visant à diviser la société et à monter les communautés les unes contre
les autres. Ces rumeurs prétendaient que le suspect de l’attaque était
un demandeur d’asile musulman, alors qu’en réalité, le meurtrier de
l’attaque de Southport, Axel Rudakubana, âgé de 17 ans, originaire de
Cardiff et né d’un couple rwandais chrétien
(Alphonse Rudakubana et Laetitia Muzayire), a été inculpé la semaine
dernière. Son identité a été révélée après la levée des restrictions par
le juge.
Dans un contexte de tensions croissantes, Tommy Robinson a exploité
ces manifestations pour propager des messages de division. Robinson,
financé par des milliardaires américains pro-israéliens tels que Robert
J. Shillman et Nina Rosenwald, utilise ces événements pour servir des
agendas extrémistes.
Le Premier ministre Keir Starmer a pointé du doigt les militants
d’extrême droite comme principales causes de ces troubles, en omettant
que des bandes ont aussi répondu par la violence en s’attaquant à des
innocents. Selon la BBC, près de 400 personnes ont été arrêtées au cours
de la semaine dernière. Plusieurs d’entre elles ont comparu lundi
devant des tribunaux de première instance, notamment à Liverpool, South
Tyneside et Hull.
Tommy Robinson, qui a récupéré les manifestations au Royaume-Uni, a très bien compris l'intérêt de creuser le fossé... On se demande bien pour qui il travaille ?
Pour répondre à cette question, il est financé par des milliardaires juifs américains qui promeuvent le colonialisme sioniste en Palestine... et selon le New York Times :
Robert J. Shillman, fondateur et président de Cognex Corporation, et Nina Rosenwald, héritière de la fortune de Sears Roebuck, ont versé un chèque mensuel à Tommy Robinson par l’intermédiaire de l’extrémiste Forum du Moyen-Orient, dirigé par le célèbre Daniel Pipes. Shillman siège aux conseils d’administration de The Friends of the Israel Defense Forces, de la Jewish Foundation for the Righteous et du David Horowitz Freedom Center. Rosenwald a siégé au conseil d’administration de nombreuses organisations pro-israéliennes et a été vice-présidente du Jewish Institute for National Security Affairs (JINSA). Un autre donateur impliqué est le gestionnaire de fonds spéculatifs juif Robert Mercer, qui contribue financièrement à de nombreuses causes d’extrême droite.
On vous fait un dessin ou c'est plus clair ?
Notre démocratie a décidé démocratiquement de censurer les médias russes. L’idée est de nous protéger de la propagande mensongère. Mais comme j’aime pas qu’on crame les livres et qu’on m’interdise de regarder derrière la porte, forcément j’la défonce. Et ce qui vous attend dans ce 4-4-2, c’est un voyage dans le monde de la vérité, la virilité et de la tartinade à volonté. Ma générosité en terme de vannes s’est distribuée comme le Christ a multiplié les pains. Vous vouliez mon point de vue sur la Russie, l’Ukraine, Poutine et les médias du pouvoir ? Vous allez être servi.
Bon voyage les amis et partagez autour de vous — la vérité ne se garde pas pour soi :
La vidéo étant été censurée sur Youtube, défendre le Donbass et accuser l’OTAN des guerres en Irak, Libye… est devenu de l’incitation à la haine. Mais vous pouvez la voir sur Odysee ou Rumble :
Rectification : (la dette de la France est de 2 843 milliards d’euros et non 2 milliards — à 11min 24sec de la vidéo ! Les 2 milliards c’est juste pour le coiffeur de Brigitte… au temps pour moi !)
L’année s’annonce décisive et la détermination du pouvoir à écraser les Français devra se confronter à une partie du peuple tout aussi déterminé à ne pas se laisser écraser sous le poids des lois ségrégationnistes. 2022 risque d’être une année déterminante pour ceux qui veulent gouverner le monde, ce rouleau compresseur qui semble inarrêtable doit faire face aux récalcitrants, aux non-alignés, aux hommes libres.
C’est dans cette optique que des médecins, des psychologues, des avocats, des journalistes, les petites gens, le peuple dans son ensemble, ont décidé de dire NON. Non à ces médecins de plateau, à ces politiques au courage dans les chaussettes, à ces journalistes qui rampent dans le déshonneur comme des larves, à tous ces traîtres qui pensent échapper au courroux en exécutant des galipettes, en transformant en mensonge ce qui est vérité et en changeant en vérité ce qui est mensonge… La justice passera en son temps.
Dans ce monde cyclique, la raison reprendra toujours sa place. L’empire vacille et tente de reprendre la main avant sa chute et seule la violence lui fait croire qu’il y arrivera. Pourtant, la Putain de Babylone tombera, et ses sujets avec. La partie de poker qui se joue actuellement ne doit pas faire oublier que les gouvernements n’ont aucune carte, sauf celle du mensonge. Ils doivent bluffer. La libération d’Elie Domota face à la pression du peuple guadeloupéen rassemblé en masse devant le commissariat, montre où se trouve véritablement le pouvoir. La peur des élites est que les peuples en prennent conscience.
Dans cette course folle, la résistance des peuples est primordiale, de nouvelles structures émergent, de nouveaux médias font le travail de réinformation, le réveil des Français à chaque dose fait aussi son bout de chemin… Le temps ne joue pas en faveur de nos ennemis, d’où cette précipitation, cette violence, cet acharnement. La division est et sera l’une des plus précieuses armes du pouvoir. Comprenons bien une chose, Macron a un objectif et, pour y parvenir, il a aussi une cible sur laquelle il compte s’acharner : « Faire peser les contraintes sur les non-vaccinés reste notre boussole absolue » ces propos ont été tenus lundi 27 décembre, par Emmanuel Macron, quelques heures avant le Conseil de défense sanitaire, rapporte le Canard enchaîné. Les non-vaccinés sont donc une base sur laquelle nous devons nous appuyer car il font barrage au monde orwellien du crédit social à la chinoise dans lequel ces fous veulent nous précipiter. La lutte doit se verticaliser car le problème est bel et bien au gouvernement, celui qui joue aux chaises musicales avec le peuple, le fait danser assis puis debout avec ou sans masque, selon l’humeur du moment… Et pendant ce temps-là nos enfants déprimés se suicident, dans le vide ou au bout d’une corde, sans que le pouvoir daigne s’y intéresser. Soyons directs, ils crèvent dans l’indifférence totale. Dans ce Titanic, on sacrifie les enfants, la nouvelle devise : « Les hommes et les femmes d’abord ! » semble contenter les lâches apeurés par un virus Omicron aux effets gonflés par la propagande.
Mes amis, dans cet océan de merde, Le Média en 4-4-2 fera sa part pour servir la raison. Notre équipe vous donne chaque jour, 7 jours sur 7 et 365 jours par an une information de qualité. Nous sommes tous des bénévoles soucieux de voir nos enfants grandir dans un monde où le masque tombera. A vrai dire, le travail que nous fournissons n’en est pas vraiment un, c’est un devoir, une obligation et aussi un moyen de conjurer la dépression et aussi, je vous l’avoue sans honte, de se marrer quand nos ennemis voudraient nous voir pleurer et accepter par désespoir d’être des esclaves.
Sur ces bonnes paroles, nous vous souhaitons une excellente année, une année où les genoux ne fléchissent pas, bien au contraire. Soyez déterminés, il n’y aura pas de négociation, nous gagnerons, un point c’est tout !
La « crise du Covid » a fait prendre conscience à beaucoup d’entre nous que nous ne voulions plus du monde dans lequel nous vivons. Partant de ce constat, des citoyens s’organisent et des actions concrètes voient le jour un peu partout en France. Nous sommes allés à la rencontre de Marcellus qui, dans son département de la Vienne, a lancé Les Ateliers d’Un nôtre monde. En à peine deux mois de temps, ce qui se passe par chez lui est révélateur de ce besoin de tout à chacun de s’ouvrir, d’aller à la rencontre des autres et de construire notre monde à nous.
« Je n’oublierai jamais ces instants. Nous étions alors dans un nôtre monde… »
Le Média en 4-4-2 : Bonjour Marcellus et bienvenue sur Le Média en 4-4-2 ! Nous sommes ravis de vous recevoir pour parler des « Ateliers d’Un nôtre monde » que vous venez de lancer chez vous dans la Vienne. Afin de commencer la présentation de votre projet, pouvez-vous nous expliquer comment vous vous êtes retrouvés avec quatre-vingts personnes chez vous le 15 août dernier ?
Marcellus : Bonjour ! Alors toute cette aventure est née suite à la mise en place de mon premier groupe sur le réseau Telegram : « Un Nôtre Monde ». J’ai constaté très rapidement que les gens, un peu déboussolés il faut l’avouer, telle une boule de flipper sur ce plateau nauséabond de ce déferlement totalitaire, avaient ce désir palpable de vouloir agir localement afin de fédérer, de mutualiser, de partager, par le biais des propres connaissances et capacités, ce besoin de se mettre en lien, d’une manière productive et légitime, de chacun et chacune. Alors m’appuyant sur mes propres expériences au cours de ma vie, il était pour moi grand temps de proposer humblement, suite à la création du groupe, sur ce même réseau « Les Ateliers d’Un Nôtre Monde » une première journée : « Atelier autonomie énergétique ». Les messages s’entassaient, et de là, d’autres thèmes sont venus également se greffer à cette magnifique journée, où finalement, des citoyens et citoyennes de 3 à 100 kilomètres à la ronde se sont rejoints dans un même lieu jusqu’alors inconnu de tous… Et comme par enchantement, toutes ces belles énergies se connectèrent à l’instant T, abreuvées de cette envie de solidarité, d’autonomie sous toutes ses formes, de se « distancier » de l’équipe d’en face. Il y avait comme un air de déjà-vu, de la belle époque, de cette insouciance, humaine, de vivre libre, de renouer avec les principes éthiques qui enfantent l’écologie du vivant, cette harmonique qui sentait bon le pique-nique, les rires des enfants, et l’apaisement des plus grands. Je n’oublierais jamais ces instants. Nous étions alors dans Un nôtre monde…
La première rencontre et le lancement des Ateliers d’Un Nôtre Monde
Le Média en 4-4-2 : De ce premier rendez-vous réussi sont donc nés des ateliers ? Pouvez-vous nous donner les thèmes, la fréquence et ce qu’il en ressort ?
Marcellus : Oui, en effet, dès le soir même, des témoignages très positifs ont fait leur apparition sur le groupe, puis dès le lendemain, j’ai reçu beaucoup de messages privés, pour savoir si je pouvais programmer d’autres ateliers avec les thèmes que je proposais sur le groupe, ainsi que lors de cette première journée. De là, j’ai commencé à m’entourer naturellement par des personnes, localement proches, que je n’avais jamais vues et qui se sont spontanément proposées pour me prêter main-forte. En fait, cela faisait un moment que je cherchais comment fédérer à nouveau ce genre d’initiative sous forme d’atelier. L’équipe d’en face nous y a aidés, de là les Ateliers d’Un nôtre monde sont nés !
Le Média en 4-4-2 : Quels thématiques abordez-vous ? Vous vous voyez presque une fois par semaine c’est bien ça ?
Marcellus : Eh bien, selon mon expertise et expériences personnelles, les thèmes principaux qui composent les ateliers sont : – Autonomie énergétique – Permaculture – Santé : Nutrition – Soigner – Secourir – Activités sportives et ludiques – Survivalisme – Résilience – Radio – Jeunesse / Scolarité/ IEF – Droit / Soutien juridique – Social – Administratif – Monnaies libres – Informatique – Art – Expression libre – Spiritualité – Ésotérisme – Littérature – « caféphilo » – Développement personnel – Groupe d’entraide – Services d’aide à la personne
Ces thèmes définissent le socle, la colonne vertébrale sur lesquels s’harmonise toute la dynamique de la philosophie des ateliers d’Un nôtre monde. De ces derniers, une forme de résonance interpelle naturellement les qualités humaines, les compétences, les capacités de chaque individu s’y reconnaissant et faisant ainsi émerger d’autres thèmes en corrélation. Concernant le rythme des rencontres, il s’articule autour des dates proposées par les animateurs, accueillants, participants, composant ainsi un calendrier pour la plupart du temps hebdomadaire. Au sein de chaque groupe départementaux, des équipes se détachent afin de structurer ce calendrier, sous forme de fichiers partagés dans un premier temps. Mais aussi de sondages, d’organigrammes. L’avantage est également d’aider les nouveaux groupes naissants sur Telegram à se structurer, le temps que la plate-forme web et son forum d’entraide soit en ligne !
Le Média en 4-4-2 : Il n’y a pas de sujets purement politiques dans les termes abordés. Est-ce volontaire ?
Marcellus : La politique en tant que telle n’est pas et ne sera jamais un thème au sein des ateliers d’Un nôtre monde. Je suis bien conscient que le nom de « Un nôtre monde » pourrait rappeler à certains et certaines celui du site concernant les listes citoyennes régionales de 2021, et que ceux-ci seraient tentés de divulguer de fausse rumeurs. D’ailleurs la charte est certes très engageante, mais le modèle sur lequel les ateliers tels qu’ils sont proposés et qui possèdent leur propre charte n’est en aucun cas une récupération politicienne. Il suffit également de surfer sur le net, pour s’apercevoir que d’autres sites possèdent le même intitulé, pour des raisons d’être différentes. Pour la petite histoire, il y a près de quinze ans j’avais mis en place une page Facebook, qui se nommait « Un nôtre monde » et qui parlait de partage entre humains, de la protection animale, de l’écologie (pas celle que l’on connaît actuellement !)… Bien sûr qu’il me paraît évident que le logiciel politicien sur lequel cette société se structure depuis trop longtemps, celui de l’équipe d’en face, qui de manière binaire et pyramidale nous « programme », n’est ni honnête ni viable pour le vivant, l’humain. Et je remercie les citoyens engagés qui font un job formidable, comme par exemple les listes « Un notre monde » qui veulent instaurer les valeurs d’une politique bienveillante. Même si ce n’est pas mon « rôle » dans Nôtre monde !
« Pour sortir de cette sidération collective, il faut se rapprocher de l’autre, se mettre en mouvement, agiter ses envies, mesurer, partager ses besoins, réfléchir, et analyser par soi-même »
Le Média en 4-4-2 : Et tout cela va très vite puisque un mois après cette première rencontre chez vous, des groupes se forment un peu partout en France… Dans combien de départements peut-on trouver des Ateliers d’Un nôtre monde ?
Marcellus : Oui en effet, j’ai eu ma boîte mail remplie de demandes de renseignements, de MP sur Telegram… D’abord en local, par le bouche-à-oreille, puis grâce également au live sur la chaîne « Un Être Humain » avec Terry, ce qui m’a permis par ailleurs de mettre le lien pour ma page Tipeee, pour les groupes Telegram, ma boîte mail… A l’heure actuelle, il y a une quinzaine de groupes qui se sont formés, en moins d’un mois… J’ai même des projets à l’étranger comme la Belgique, la Floride, la Suisse. J’ai même été contacté pour la Thaïlande ! En Espagne, à Barcelone, le groupe a déjà vu le jour très récemment !
Le Média en 4-4-2 : Dites-nous si on se trompe, mais on a l’impression que pour bien faire chier « l’équipe d’en face » comme vous le dites très bien, il n’y a rien de mieux que d’essayer d’être le plus autonome possible. Tout simplement parce qu’on ne joue plus sur leur terrain avec leurs règles…
Marcellus : Mais complètement ! A partir du moment où les gens comprennent que la meilleure méthode de s’affranchir, de démissionner de leur rôle de « pousseur de caddy », en mode MBCD (Métro Boulot Conso Dodo) c’est justement de ne plus jouer avec les cartes, les outils de l’équipe d’en face, eh bien ils arrêtent de la sponsoriser. Ainsi, le fait de trouver ou retrouver une forme d’autonomie les libère du modèle hétéronome, binaire, sur lequel ils sont façonnés dans ce système pervers. Pour sortir de cette sidération collective, il faut se rapprocher de l’autre, se mettre en mouvement, agiter ses envies, mesurer, partager ses besoins, réfléchir, et analyser par soi-même, reprendre confiance en soi, renouer avec les valeurs éthiques du vivant, retrouver du bon sens, œuvrer tous ensemble pour notre bien « comme-un » : nous sommes des êtres humains, pas des codes barres… Et c’est en cela que les ateliers, quel que soit le thème, le jour de la semaine d’ailleurs, permettront de revitaliser nos espaces de vie individuels, collectifs. Cela nous fera passer par des phases de contraintes, sortir de nos zones de « confort » certes, mais essentiel pour nous, nos enfants ! Se mettre en lien, devenir autonomes dans nos besoins sous toutes leurs formes.
« Être autonome, c’est avant tout prendre ses propres décisions, mesurer, maîtriser ses besoins, ses envies, ses émotions, etc »
Le Média en 4-4-2 : On pourrait penser que l’objectif final, derrière votre belle initiative et le magnifique élan citoyen qui en découle, est de s’émanciper complètement du système. Or, ce n’est pas forcément votre aspiration…
Marcellus : En effet, les Ateliers d’Un nôtre monde ne s’inscrivent pas dans une dynamique de sortir les gens du système à proprement dit. Autonomie, pour moi, ne rime pas avec autarcie… Si on se coupe de la société, on rompt ce lien justement qui nous est tellement précieux en tant qu’être humain ! Être autonome, c’est avant tout prendre ses propres décisions, mesurer, maîtriser ses besoins, ses envies, ses émotions, etc. Il nous est fondamental de retrouver, puis de conserver notre liberté d’agir, de nous mettre en mouvement. De retrouver ce libre arbitre, et pour cela, l’autonomie sous toutes ses formes est vitale.
Le Média en 4-4-2 : Quel est le profil des participants des ateliers ? Est-il hétéroclite ?
Marcellus : C’est en ça que la philosophie des ateliers fait sens… Dans la même journée et pour un thème commun, les personnes qui se réunissent représentent un fragment extrait du tissu sociétal à l’instant T. Tu as des chômeurs, des artisans, des artistes, des personnels soignants, des juristes, des entrepreneurs, des militaires, fonctionnaires de police, gendarmes, professeurs des écoles, thérapeutes, médecins, salariés de tous bords… Des jeunes, et surtout, des « sages » ! Pas de hiérarchie, de statut socio-professionnel, de label, de « dress code ». Au final : un socle, un cercle d’humains.
« Cette notion papable et humaine tout simplement de se reconnecter au fondamentaux du vivant n’a aucune frontière »
Le Média en 4-4-2 : Vu le jeu pratiqué par l’équipe d’en face, vous risquez de voir de plus en plus de monde vous rejoindre. On peut d’ailleurs en profiter pour les remercier, car sans eux les ateliers auraient mis beaucoup plus de temps à se mettre en place !
Marcellus : C’est clair ! Un très grand merci à l’équipe d’en face ! Les groupes sur Telegram fleurissent de départements en départements, des pays limitrophes ou non (aux États-Unis : les Rocheuses du Montana, la Floride, l’île de La Réunion, la Thaïlande…). Des propositions de projets divers me parviennent également, pour le site web aussi, bref cette notion papable et humaine tout simplement de se reconnecter aux fondamentaux du vivant n’a aucune frontière… On a eu un atelier avec un sage, un monsieur de 84 ans au parcours de vie extraordinaire : 50 ans de vie coupé des réseaux, mais pas du tout dans l’autarcie ! Exceptionnel !
Le Média en 4-4-2 : Mais qui est donc ce monsieur de 84 ans ?
Marcellus : Ce monsieur Jacques m’a mis les larmes aux yeux la première fois que je l’ai vu, il est beau, magnifique. Il a 30 ans d’avance sur son époque, un Géo Trouve Tout, un « doc » comme dans Retour vers le futur… Cela fait des décennies qu’il est autonome à 100 %, en énergie et tout le reste, il représente à lui seul la philosophie des ateliers…
installation chez Jacques (Les Ateliers d’Un Nôtre Monde)
« Nos enfants ne méritent rien d’autre que la beauté du vivant »
Le Média en 4-4-2 : Comment voyez-vous l’évolution des Ateliers d’Un nôtre monde ? Ou plutôt, quels sont vos objectifs à moyen puis long terme ?
Marcellus : Cette évolution est exponentielle. De jour en jour, des demandes par mail, par messages privés, confirment que le modèle proposé, et qui a fait ses preuves, pour moi personnellement, fonctionne toujours. Le plus important pour moi est bien évidemment de le partager ! L’objectif, qui est le « nôtre », est de « standardiser » un moyen de communication, dans un premier temps via ces plates-formes numériques, en s’appuyant ainsi sur des expériences acquisses au fil du temps. Les gens ont ce besoin naturel de renouer avec l’autre. Il permet ainsi d’abreuver, sur le long terme, le socle commun de notre monde. En s’harmonisant sur trois piliers : l’écologie du vivant , la transmission de savoirs, le respect de l’espace de vie. Et bien sûr que l’individu retrouve cette confiance en lui, en ce nous.
Le Média en 4-4-2 : Nul doute qu’une grande partie de ceux qui nous ont lus jusqu’ici souhaitent maintenant soit rejoindre des ateliers, soit en lancer dans leur département… Que doivent-ils faire et que leur conseillez-vous ?
Marcellus : C’est avec grand plaisir que nous pourrons leur communiquer les contacts nécessaires ! Le modèle qui s’est structuré et qui fonctionne à merveille est le suivant : pour les contacts d’informations, de créations de groupes sur Telegram, de propositions diverses, il y a une boîte mail dédiée (lesateliersdunnotremonde@protonmail.com). Ensuite pour chaque groupe départemental ou étranger, les administrateurs/trices sont joignables, ainsi que leurs équipes, par mail. Ce qui fait la « force » d’action et de mise en lien des Ateliers d’Un nôtre monde est que les personnes qui s’impliquent naturellement représentent ce fragment de la société. Ils ou elles n’ont aucune connaissance à la base, et se sentent ainsi parfaitement impliqués, investis, engagés, aussi bien pour être animateurs, accueillants, ou tout simplement participants… À l’inverse justement de ce qu’ils subissent tous les jours de leur quotidien.
Le Média en 4-4-2 : Merci, Marcellus, de nous avoir expliqué ce très beau projet plein de sens que nous ne manquerons pas de suivre de très près ! Avez-vous un dernier mot à ajouter ?
Marcellus : Eh bien pour conclure notre interview, ce sera sur une note très positive… L’équipe d’en face nous met face à nos responsabilités. Et finalement, les gens que je rencontre, avec lesquels j’échange, je partage, ont un potentiel à émouvoir le vivant, le « nous », abyssal… Et que la mise en lien avec les ateliers que nous organisons leur ouvre les portes vers l’harmonisation de nntre monde… Et qu’il se met en place de plus en plus de collectifs, d’associations, de fédérations, d’actions, de citoyens, d’êtres humains. Et ce n’est que le début… Qu’il est grand temps de regarder, d’observer, de partager, de prendre la main de l’autre. Vous savez celui qui est assis là tout de suite à côté de vous dans le bus, ou qui vient de vous croiser en voiture, qui vient de déposer une pub dans votre boîte à lettres, qui vient de vous livrer un colis… Nous sommes la charnière. Je remercie les gens que j’aime, je remercie l’inconnu et mon pire ennemi, je remercie l’univers chaque jour, chaque nuit, la vie est belle ! Nos enfants ne méritent rien d’autre que la beauté du vivant. Moi, je suis juste un papa loup, et mes enfants, nos enfants sont les parents de demain, ne l’oublions pas lorsqu’il sera temps de leur offrir notre héritage… Et un très grand merci à vous bien sûr !
Propos recueillis par Yoann pour Le Média en 4-4-2
Mes amis, Michel Onfray continue sa cavalcade. Après avoir trahi ceux qui l'ont rejoint sur Front Populaire, accompagné par son acolyte et producteur Stéphane Simon, rien ne va plus. Si t'as mis tes billes dans sa boutique alors que tu pensais sauver la France face à la dictature sanitaire qui pointait son blair via le Covid-19, tu dois certainement te dire que tu t'es fait enfiler sévèrement. Alors je vais pas te mentir : oui, et bien profond. T'aurais mieux fait d'mettre tes billes chez moi, elles n'auraient pas servi à faire la promotion de la vaccination ou du Pass sanitaire. On en voit d'la trahison, mais il faut avouer que celle-là est costaud.
Le philosophe s'est mis du jour au lendemain avec le camp d'en face en se positionnant pour la picouse et le Pass sanitaire et critique désormais ceux qui ne se soumettent pas à la dictature sanitaire, comme étant des capricieux « d'enfants rois ».
Comme notre anarchiste du dimanche patauge dans sa trahison la plus crasse et ayant conscience que ses soutiens prennent leur cliques et leur claques après leur avoir fait miroiter une révolution qui s'est terminée à servir Macron et les élites — on est loin, très loin du libertarien anarchiste proudhonien — , c'est donc au tour de la philosophie du bégaiement et du non-sens de faire surface (à découvrir dans les vidéos ci-dessous). Car, comprenez bien une chose, quand tu mens, que tu trahis les tiens, que tu persistes dans le mensonge, tu auras beau nous sortir toutes tes histoires à la con, ça sentira comme dans les ruelles où tout le monde pisse pas loin d'la boîte de nuit. Mon pauvre Onfray, t'auras beau t'laver les mains quinze fois à l'hydroalcoolique, y'aura toujours cet arrière goût d'pisse.
Heureusement, cette époque malheureuse est révélatrice, nous pouvons contempler nos alliés et nos ennemis d'un seul coup d'œil... tout remonte à la surface et voici à quoi ressemblent aujourd'hui les non-vaccinés pour Onfray : « Des racailles, des contaminateurs conscients d'avoir le Sida ou des violeurs de jeunes filles. » Rien que ça !
Point Godwin atteint.
Pour terminer sur une anecdote sympatoche, le producteur Stéphane Simon m'avait contacté à plusieurs reprises pour rejoindre l'équipe d'Onfray et le joli casting en devanture — le p'tit Marcel du peuple qui a la gouaille pour faire rire, c'est le bon plan pour ratisser large —, mais voilà, j'avais refusé pour une simple et bonne raison, je savais que le « très radical » Michel, allait faire volte-face et dévier la colère populaire afin de la canaliser pour, au final, la trahir et rejoindre le camp ennemi. Pile-poil ce qui s'est passé ! Pour faire clair, le Front Populaire c'est clairement de la merde, c'est la « Résistance » contrôlée par le pouvoir. Barrez-vous de là et rejoignez Le Média en 4-4-2, là où la liberté n'est pas d'avoir un Qr-code ou un pass vaccinal pour bouffer une andouillette dans le resto du coin.
Commentaire : Sur la 4e de couverture de son ouvrage sorti en 2019, Théorie de la dictature, Michel Onfray écrivait :
Il est admis que 1984 et La Ferme des animaux d'Orwell permettent de penser les dictatures du XXe siècle. Je pose l'hypothèse qu'ils permettent également de concevoir les dictatures de toujours. Comment instaurer aujourd'hui une dictature d'un type nouveau ? J'ai pour ce faire dégagé sept pistes : détruire la liberté ; appauvrir la langue ; abolir la vérité ; supprimer l'histoire ; nier la nature ; propager la haine ; aspirer à l'Empire. Chacun de ces temps est composé de moments particuliers. Pour détruire la liberté, il faut : assurer une surveillance perpétuelle ; ruiner la vie personnelle ; supprimer la solitude ; se réjouir des fêtes obligatoires ; uniformiser l'opinion ; dénoncer le crime par la pensée. Pour appauvrir la langue, il faut : pratiquer une langue nouvelle ; utiliser le double langage ; détruire des mots ; oraliser la langue ; parler une langue unique ; supprimer les classiques. Pour abolir la vérité, il faut : enseigner l'idéologie ; instrumentaliser la presse ; propager de fausses nouvelles ; produire le réel. Pour supprimer l'histoire, il faut : effacer le passé ; réécrire l'histoire ; inventer la mémoire ; détruire les livres ; industrialiser la littérature. Pour nier la nature, il faut : détruire la pulsion de vie ; organiser la frustration sexuelle ; hygiéniser la vie ; procréer médicalement. Pour propager la haine, il faut :se créer un ennemi ; fomenter des guerres ; psychiatriser la pensée critique ; achever le dernier homme. Pour aspirer à l'Empire, il faut : formater les enfants ; administrer l'opposition ; gouverner avec les élites ; asservir grâce au progrès ; dissimuler le pouvoir. Qui dira que nous n'y sommes pas ? M.O.
Ce serait risible, si ce n'était pas aussi tragique. L'homme, au discours schizophrène et visiblement atteint de dissonance cognitive, semble avoir perdu tous ses repères (pour être gentil et lui laisser le bénéfice du doute). Son AVC et le COVID qu'il a contracté l'année dernière auraient-il endommagé ses facultés mentales de manière irréversible ? L'avenir nous le dira.
Commentaire : Sur la 4e de couverture de son ouvrage sorti en 2019, Théorie de la dictature, Michel Onfray écrivait : Ce serait risible, si ce n'était pas aussi tragique. L'homme, au discours schizophrène et visiblement atteint de dissonance cognitive, semble avoir perdu tous ses repères (pour être gentil et lui laisser le bénéfice du doute). Son AVC et le COVID qu'il a contracté l'année dernière auraient-il endommagé ses facultés mentales de manière irréversible ? L'avenir nous le dira.