"Il n'existe rien de constant si ce n'est le changement" BOUDDHA; Nous devons apprendre à vivre ensemble comme des frères, sinon nous allons mourir tous ensemble comme des idiots." MARTIN LUTHER-KING; "Veux-tu apprendre à bien vivre, apprends auparavant à bien mourir." CONFUCIUS ; « Nous savons qu’ils mentent, ils savent aussi qu’ils mentent, ils savent que nous savons qu’ils mentent, nous savons aussi qu’ils savent que nous savons, et pourtant ils continuent à mentir ». SOLJENITSYNE
vendredi 3 décembre 2021
samedi 16 octobre 2021
Mais pourquoi donc refusent-ils de se faire vacciner ?
Source : https://notrebondroit.be/mais-pourquoi-donc-refusent-ils-de-se-faire-vacciner-
Une carte blanche de Jean-Michel Longneaux, philosophe, chargé de cours à l’université de Namur, que la presse n'a pas voulu publier.
La vaccination généralisée garantit l’immunité collective ; elle ne présente aucun danger et elle est la seule solution envisageable. Ce n’est pas très compliqué à comprendre.
Alors pourquoi certains s’obstinent-ils à refuser les vaccins ?
La seule explication plausible, c’est que ce sont tous des ignares [1] – ils n’entendent rien aux évidences de la vraie science – et des égoïstes [2] – ils préfèrent leur petite liberté à la solidarité. Puisque discuter avec de tels individus se révèle inutile, que faire d’autre sinon les culpabiliser par tous les moyens [3], leur rendre la vie impossible [4] en les pourchassant jusque dans les écoles, sur les campus, dans les grandes surfaces et sur leur lieu de travail, et en étendant l’usage du Covid safe Ticket afin de les priver de vie sociale ? Et s’ils résistent encore, certains songent à suspendre leurs droits fondamentaux au nom du bien commun, afin de disposer de leurs corps pour les vacciner de force.
Pourtant, en discutant avec certains d’entre eux, je constate tout d’abord qu’ils sont une majorité à n’être ni « antivax » ni complotistes. Ils ne sont pas non plus mal informés, mais au contraire plus informés que la moyenne sur les publications scientifiques.
Et tout comme d’ailleurs de nombreux vaccinés, ils font le constat que sur certaines questions essentielles, les virologues, les épidémiologistes ou les médecins – c’est-à-dire ceux qui sont qualifiés pour prendre la parole – ne sont en réalité pas d’accord entre eux. Parmi les plus éminents, il s’en trouve de plus en plus qui soutiennent qu’étant donné ce qu’est un virus, et vu la baisse d’efficacité des vaccins actuels en termes de propagation face au variant Delta, l’immunité collective est un horizon qui recule au fur et à mesure que le nombre de vaccinés avance [5].
En commandant 23 millions de doses pour 2022 et 2023, il semble que même le gouvernement et les experts qui le conseillent se résignent à voir le virus circuler encore longtemps [6].
Beaucoup se montrent aussi très réservés par rapport aux risques encourus à moyen et long terme par une vaccination massive. Selon eux, ceux qui les nient catégoriquement et ceux qui prophétisent des hécatombes parlent sans savoir [7].
De cette ignorance, ils en déduisent un minimum de prudence. Enfin, parmi ces experts, ils sont de plus en plus nombreux à promouvoir l’existence de traitements préventifs et précoces scientifiquement documentés [8], à partir de molécules déjà connues, et dont certaines, manifestement, limitent la propagation du virus [9].
Alors, ces non-vaccinés s’interrogent (avec d’ailleurs de nombreux vaccinés) : les scientifiques et médecins qui développent pareilles études sont-ils tous des imposteurs ou des incompétents ?
Pourquoi les experts officiels (spécialistes en vaccination mais sans aucune qualification pour juger des autres voies possibles) et nos autorités ne jurent-ils que par la vaccination de masse et évitent soigneusement tout débat scientifique ?
Même nos universités, qui devraient être des lieux de réflexion et de recherche, se taisent.
J’observe aussi que les non-vaccinés avec lesquels je discute ne sont pas les égoïstes que l’on dit. Au contraire, leurs prises de position leur attirent de plus en plus d’ennuis. S’ils ne pensaient qu’à préserver leur zone de confort, leurs habitudes et leur petite liberté, ils se feraient vacciner.
Je constate que pour eux, la solidarité est une valeur qu’ils tiennent en haute estime. Mais ils l’envisagent de façon réfléchie : premièrement, puisqu’à défaut d’empêcher la transmission du virus, les vaccins protègent des formes graves de la maladie, continuer à proposer la vaccination à toutes les personnes pour qui la balance coût/bénéfice penche clairement en faveur des bénéfices.
Deuxièmement, pour tous les autres, qui restent de toute façon libres de préférer la vaccination, mettre à leur disposition les traitements préventifs scientifiquement documentés. Cette stratégie utilisant des molécules connues, elle permettrait de surcroît de faire de sérieuses économies – ce qui est une autre façon de se soucier aussi du bien commun.
Seraient notamment concernés les soignants des hôpitaux qui ne veulent pas se faire vacciner, ainsi que tous les métiers de contact, en y incluant les établissements scolaires. On peut faire l’hypothèse que les communautés (bruxelloises) réticentes aux vaccins seraient aussi plus enclines à accepter ces alternatives.
Troisièmement, organiser une prise en charge précoce des symptômes en impliquant les médecins généralistes.
Enfin, au nom d’un principe élémentaire de solidarité, une grande partie des 23 millions de doses de vaccins réservées par la Belgique pourrait être rendue disponible pour les populations à risques des pays pauvres. Tout l’inverse de l’égoïsme national dont font actuellement preuve les pays riches, malgré quelques gestes symboliques consentis dans le cadre du programme Covax, pour se donner bonne conscience.
En vérité, pour mes interlocuteurs, refuser de se faire vacciner, c’est défendre une solidarité intelligente, qui ne sacrifie ni le respect dû à chacun, ni les avancées de la science, ni la protection des plus vulnérables. Est-il absurde de privilégier une diversité de stratégies pour lutter contre ce virus, plutôt que d’en imposer une seule qui montre ses limites ?
Bien sûr que non. Ce n’est pas très compliqué à comprendre.
Alors pourquoi nos autorités s’obstinent-elles au point de préférer diaboliser pour mieux les soumettre celles et ceux qui pourraient devenir de précieux alliés ?
[1] Par exemple : Vaccination à Bruxelles: «Les gens viennent parfois avec des mythes, nous, on répond avec des faits» - Le Soir Plus
[2] Cfr entre mille : Conner Rousseau estime que les non-vaccinés sont des "égoïstes" (rtbf.be)
[3] Cfr « Di Rupo appelle les non vaccinés à faire leur examen de conscience », La Libre Belgique, le 19 septembre 2021. A la suite d’Alexandre De Croo, il explique que l’épidémie perdure à cause des non vaccinés. Ce qui sera fort heureusement démenti par Y. Coppieters qui s’en tient aux données scientifiques ; cfr La libre Belgique, du 18 septembre 2021 : « Alexandre De Croo se trompe quand il dit que ce sont les non vaccinés qui sont responsables de l’épidémie ». Mais le mal est fait, nos responsables politiques désignent à la foule les coupables tout trouvés d’une situation qui pourtant s’améliore.
[4] Marc Noppen, « Il faut rendre la vie des non-vaccinés aussi difficile que possible » in La Meuse.Sudinfo, le 12 août 2021
[5] Il faut aussi tenir compte du retard pris par les pays pauvres, et le fait que le virus peut muter par l’intermédiaire de certains animaux comme les visons, avant de revenir chez l’homme. Faudra-t-il vacciner tous les vivants ? Cfr en guise de porte d’entrée pour accéder facilement aux débats et à certains articles scientifiques : « Vaccin et variants : seulement 66% d’efficacité face au variant Delta », sur le site de lintern@ute, le 25 août 2021.
[6] Coronavirus : la Belgique a commandé 23 millions de doses pour une troisième injection (rtbf.be) A la lecture de ce titre, deux possibilités s’offrent à nous : soit on nous avait caché qu’il y a en vérité 23 millions d’habitants en Belgique ; soit nos autorités prévoient déjà une quatrième dose.
[7] On ne le répétera jamais assez, pour savoir si des complications apparaîtront dans 5 ou 10 ans, il faut attendre 5 ou 10 ans. Cf Le Soir du 24/08/2021 « Des non-vaccinés confrontés à des experts ». A la question qui leur est adressée de promettre qu’il ne peut y avoir de conséquences à long terme avec les vaccins, aussi bien Muriel Moser immunologue à l’ULB que Jean-Michel Dogné, professeur à l’université de Namur, pro-vaccins, répondent qu’ils ne peuvent évidemment rien garantir : « un scientifique ne peut jamais dire jamais. » Quant à la pharmacovigilance censée relever les effets à court terme, on lui fait dire tout et son contraire : il est actuellement impossible d’avoir la moindre certitude en la matière.
[8] FLCCC, I-MASK+ Prevention & Early Outpatient Treatment Protocol for COVID-19 https://covid19criticalcare.com/covid-19-protocols/i-mask-plus-protocol/. Il semble par ailleurs que l’Europe va bientôt autoriser des traitements précoces.
[9] Cfr par exemple : « Une étude israélienne affirme que l’Ivermectine pourrait réduire drastiquement la transmission du Covid-19 », in Le Figaro du 15 juillet 2021, mis à jour le 04 août 2021.
jeudi 9 septembre 2021
Pétition: NON à la vaccination anticovid obligatoire, stop à la manipulation de la science.
pour signer la pétition, c'est ici :
https://notrebondroit.be/obligation-vaccinale
Madame la présidente de parti,
Monsieur le président de parti,
Rendre obligatoire l’administration de thérapies géniques, faussement appelés vaccins, qui bénéficient d’une autorisation de mise sur le marché conditionnelle, qui sont toujours en phase d’essai clinique, et
dont l’efficacité est incertaine,
dont certains effets secondaires sont d’ores et déjà notables notamment des décès,
dont les effets secondaires à long terme sont inconnus,
est politiquement imprudent, moralement et éthiquement condamnable et juridiquement illégal.
Des postulats de base erronés.
Le postulat selon lequel les vaccins contre la COVID-19 empêchent la transmission du virus est inexact et incomplet.
Les vaccinés peuvent continuer à contaminer leur entourage et transmettre le virus [1].
Le postulat selon lequel les vaccins contre la COVID-19 empêchent les formes graves de Covid est inexact et incomplet.
Les vaccinés peuvent faire des formes graves de Covid à cause des nouveaux variants, tels que nous les montre les expériences anglaises et israéliennes[2].
Le postulat selon lequel les vaccins procurent une meilleure immunité, plus longtemps est inexact et incomplet.
L’immunité naturelle est plus forte que l’immunité vaccinale, et doit être prise en compte afin d’éviter la discrimination de ceux qui sont naturellement immunisés [3].
Une double vaccination n’empêche pas la transmission du virus.
Dans une note technique intitulée « Vaccins contre la Covid-19, base de preuves et consentement éclairé » du 10 mai 2021, plusieurs chercheurs, professeurs et scientifique belges se sont intéressés à l’état actuel des études et des connaissances relatives à l’effet des vaccins sur la transmission du SARS-CoV-2.
Ils concluent sur ce point que:
« Les vaccins sont avant tout conçus pour protéger les personnes vaccinées, mais ils sont souvent présentés comme permettant de réduire la transmission du virus concerné parmi la population et ce faisant, de protéger les autres. Or, cette capacité des vaccins de réduire la transmission n’est pas encore démontrée pour le SARS-CoV-2, et ne devrait donc pas être considérée comme un acquis pour concevoir la stratégie vaccinale. En effet, les réinfections sont possibles, avec des cas souvent asymptomatiques[4]. C’est particulièrement le cas vis-à-vis des variants émergents[5] ».
En effet, les vaccins administrés par voie parentérale ne semblent pas procurer une forte immunité mucosale de nature à empêcher l’infection ou la transmission du virus[6].
Si les essais cliniques limités réalisés sur les différents vaccins permettent de penser que la vaccination réduit les risques de transmission du virus, cette conclusion doit être nuancée pour des situations en environnement réel (à distinguer des essais cliniques).
Selon un article publié dans la revue Nature le 19 février 2021, les analyses préliminaires suggèrent qu'au moins certains vaccins sont susceptibles d'avoir un effet de blocage de la transmission, mais il est difficile de confirmer cet effet – et son ampleur – car une baisse des infections dans une région donnée peut s'expliquer par d'autres facteurs, tels que les mesures de confinement, les changements de comportement et l’immunité naturelle acquise par certaines personnes. De plus, le virus peut se propager à partir de porteurs asymptomatiques, ce qui rend très difficile la détection de ces infections[7].
Cette étude publiée par la revue Nature en février 2021 confirme notamment celle publiée par les scientifiques américains dans la revue Frontiers in Immunology le 30 novembre 2020[8] et qui concerne l’immunité mucosale induite par les vaccins contre la COVID-19.
En outre, il convient de noter que le degré (élevé) d’efficacité des vaccins annoncé par les différents fabricants de vaccins se réfère seulement aux cas symptomatiques[9]. Il reste donc à déterminer dans quelle mesure les personnes vaccinées peuvent être contaminées et asymptomatiques, sachant qu’une personne asymptomatique peut transmettre le virus et contaminer d’autres personnes.
Ceci repose sur la distinction fondamentale entre, d’une part, l’immunité qui protège une personne en ce qu’elle empêche le développement des symptômes de la maladie et, d’autre part, l’immunité qui est également capable d’interrompre la transmission du virus. Le fait d’ignorer cette distinction peut procurer une fausse impression de sécurité aux personnes vaccinées en leur faisant penser, erronément, qu’elles ne peuvent plus être contaminées et, partant, qu’elles ne risquent plus de transmettre le virus aux autres personnes[10].
Par ailleurs, l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) elle-même explique sur son site internet que la question de savoir si une personne vaccinée peut être infectée et transmettre le virus n’est pas encore résolue et demeure source de grandes incertitudes[11]. En effet, à la question s’il est encore possible, après avoir été vacciné, d’attraper la COVID-19 et aussi d’infecter d'autres personnes, le docteur Katherine O'Brien a répondu, le 29 janvier 2021, comme suit :
« C'est une excellente question. Les essais cliniques ont démontré que ces vaccins protègent les gens contre la maladie. Ce que les essais cliniques n'ont pas encore démontré, c'est que les vaccins protègent également les personnes contre l'infection par le virus du SARS-CoV-2 et contre la transmission à d'autres personnes. Il s'agit donc d'une partie très importante de notre compréhension de l'action de ces vaccins. Protègent-ils uniquement contre la maladie ou protègent-ils également contre l'infection et la transmission à quelqu'un d'autre, même en l'absence de symptômes ? » (traduction libre de l’anglais)
Il ressort de ce qui précède que le postulat selon lequel les vaccins contre la COVID-19 empêcheraient la transmission du virus de manière totale et efficace – est inexact et incomplet et ne repose pas sur des études scientifiques sérieuses et concluantes.
Rendre la vaccination obligatoire ne rencontrera aucun objectif de santé publique.
Comparaison n'est pas raison!
En Belgique, seule la vaccination contre l’hépatite B est obligatoire pour les soignants.
Plusieurs vaccinations contre d’autres maladies touchant directement les enfants sont toutefois exigées pour qu’un enfant puisse fréquenter un milieu d’accueil agréé par l’O.N.E. (crèche, accueillants et accueillantes, pré-gardiennat, maison d’enfants,…) et sont réalisés dans la petites enfance des belges.
Tous ces vaccins sont connus et éprouvés de longue date.
Dans tous ces cas, une comparaison entre les risques de la maladie et ceux de la vaccination est toujours effectuée et peut donner lieu à des “dispenses” de vaccination le cas échéant.
On ne peut pas comparer la vaccination obligatoire contre l’hépatite B, ou celles proposées aux enfants en bas-âge, à celle utilisant de nouvelles biotechnologies à ARN-m de synthèse ou a adénovirus OGM de chimpanzée.
Le risque à long terme des vaccins “à matériel génétique” (à ARNm et à adénovirus vecteur) est inconnu.
Les effets à long terme de ces nouveaux produits génétiquement modifiés ne peuvent pas être connus à ce stade. Ceux-ci pourraient inclure des troubles auto-immuns, une maladie à anticorps amélioré, l'infertilité, le cancer ou des malformations congénitales.
Il y a peu de temps, encore, la presse nous annonçait une nouvelle enquête de l’EMA concernant trois nouveaux effets secondaires, dont une atteinte rénale grave.
La vaccination massive, aux conséquences encore inconnues, n’a pas permis d’enrayer l’épidémie en Israël et en Grande Bretagne, où elle est connaît une nouvelle flambée malgré des taux de vaccination record.
L'Association of American Physicians and Surgeons (AAPS) a déclaré récemment que tous les êtres humains ont droit à la liberté, qu'ils ne perdent pas lorsqu'ils servent les malades ou les handicapés.
L'engagement éthique de protéger les autres n'oblige personne à renoncer à son intégrité corporelle et à son autodétermination et à accepter l’intervention dictée par une autorité gouvernementale.
Les interventions médicales sont rarement totalement sûres ou efficaces, et les risques et les avantages diffèrent selon les patients et les circonstances.
Au vu de tous ces éléments, la vaccination doit être envisagée dans l’intérêt premier du candidat vacciné ayant un ou plusieurs facteurs de comorbidité et non dans un intérêt collectif non réellement objectivable puisque l’absence de transmission post-vaccination ne peut être objectivement quantifiée.
La vaccination obligatoire va à l’encontre de la liberté de chacun d’apprécier la balance entre bénéfice et risque individuel.
Votre rôle politique.
En tant que représentant politique des citoyens, votre rôle est de vous assurez qu’aucune discrimination sur base d’un état de santé réel ou supposé n’est pratiquée sur les soignants ou n’importe quel autre citoyen.
Raison pour laquelle les soignants, comme tous les belges, quelle que soit leur profession, leur âge ou leur état de santé, doivent pouvoir décider librement de bénéficier, ou non, de la campagne de vaccination.
En tant que représentant politique, votre rôle est également d’assurer que notre secteur de soin de santé est suffisamment fort et efficace pour faire face à la vague de la nouvelle souche automnale du coronavirus.
Or, il apparaît que rien n’a été entrepris depuis 18 mois pour renforcer les équipes soignantes et que celles- ci étaient en sous-effectif à chaque vague.
Ce n’est pas le moment de subir une nouvelle vague de démissions telle que celle qui a secoué le secteur au printemps 2020 en imposant une obligation vaccinale douteuse sur le plan juridique et éthique.
[1] https://covidrationnel.be/2021/05/11/note-technique-vaccins-contre-la-covid-19-base-de-preuves-et-consentement-eclaire/
[2] https://www.nature.com/articles/s41586-021-03777-9 , https://drive.google.com/file/d/1M4tM59Ev6dFUmxdPd50NZXNAANakWfuB/view
[3] https://www.nature.com/articles/d41586-021-00728-2?utm , https://www.eurosurveillance.org/content/10.2807/1560-7917.ES.2021.26.6.2100096
[4] https://science.sciencemag.org/content/370/6520/eabd4250
[5] https://www.nature.com/articles/d41586-021-00450-z?utm_source=Nature+Briefing&utm_campaign=72250739fb-briefing-dy-20210222&utm_medium=email&utm_term=0_c9dfd39373-72250739fb-45689842
[6] Russell,M.W., Moldoveanu, Z., Ogra, P.L. et Mestecky, J., “Mucosal Immunity in COVID-19: A Neglected but Critical Aspect of SARS-CoV-2 Infection”, Frontiers in Immunology, 30 novembre 2020, https://www.frontiersin.org/articles/10.3389/fimmu.2020.611337/full, (consulté le 7 juin 2021).
[7] ”Can covid vaccines stop transmission ? Scientists race to find answers”, Nature, 19 février 2021, https://www.nature.com/articles/d41586-021-00450-z?utm_source=Nature+Briefing&utm_campaign=72250739fb-briefing-dy-20210222&utm_medium=email&utm_term=0_c9dfd39373-72250739fb-45689842, (consulté le 7 juin 2021), avec traduction libre.
[8] Selon une étude publiée le 30 novembre 2020 dans Frontiers in Immunology, les vaccins administrés par voie parentérale ne semblent pas procurer une forte immunité mucosale de nature à empêcher la transmission du virus : « Presque tous les efforts de développement de vaccins contre la COVID-19 se concentrent sur l'injection systémique, qui induit principalement des anticorps IgG circulants et, potentiellement, des cellules T cytotoxiques. Ces voies sont peu efficaces pour générer des réponses immunitaires muqueuses, qui ne peuvent être induites que par des voies d'immunisation muqueuses, notamment par le NALT dans l'URT. Les réponses immunitaires muqueuses sont partiellement compartimentées, car la distribution des réponses dépend de la voie d'induction réelle » (ce sont les parties appelantes qui soulignent), traduction libre de « Almost all efforts at vaccine development against COVID-19 focus on systemic injection, which predominantly induces circulatory IgG antibodies and, potentially, cytotoxic T cells (18). These routes are poorly effective at generating mucosal immune responses, which can only be induced by mucosal routes of immunization, including through the NALT in the URT. Mucosal immune responses are partly compartmentalized, as the distribution of the responses depends on the actual route of induction”. Voir l’entièreté de l’article à l’adresse suivante : https://www.frontiersin.org/articles/10.3389/fimmu.2020.611337/full.
[9] Mark Connors, Barney S. Graham, H. Clifford Lane, Anthony S. Fauci, “SARS-CoV-2 vaccines: much accomplished, much to learn”, Annals of Internal Medicine, 19 janvier 2021, https://www.acpjournals.org/doi/10.7326/M21-0111, (consulté le 7 juin 2021).
[10] Mark Connors, Barney S. Graham, H. Clifford Lane, Anthony S. Fauci, “SARS-CoV-2 vaccines: much accomplished, much to learn”, Annals of Internal Medicine, 19 janvier 2021, https://www.acpjournals.org/doi/10.7326/M21-0111 .
[11] OMS, Science in 5, Episode #23 - I am vaccinated, what next ?, https://www.who.int/emergencies/diseases/novel-coronavirus-2019/media-resources/science-in-5/episode-23---i-am-vaccinated-what-next?gclid=CjwKCAjw07qDBhBxEiwA6pPbHk09GAflqTMYSfp40HwlAi3ayVAueWdQk_pC2SCrcpvygXeDZMbGQhoCtGAQAvD_BwE, (consulté le 7 juin 2021).
pour signer la pétition, c'est ici :
https://notrebondroit.be/obligation-vaccinale