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"Il n'existe rien de constant si ce n'est le changement" BOUDDHA; Nous devons apprendre à vivre ensemble comme des frères, sinon nous allons mourir tous ensemble comme des idiots." MARTIN LUTHER-KING; "Veux-tu apprendre à bien vivre, apprends auparavant à bien mourir." CONFUCIUS ; « Nous savons qu’ils mentent, ils savent aussi qu’ils mentent, ils savent que nous savons qu’ils mentent, nous savons aussi qu’ils savent que nous savons, et pourtant ils continuent à mentir ». SOLJENITSYNE
samedi 18 janvier 2025
dimanche 3 mars 2024
mercredi 28 février 2024
La lettre alternatif bien-être
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« Franc-Tireur » est un journal d’opinion âgé d’à peine deux ans, et « Le Monde diplomatique » une publication plus solide de 70 ans, cousine du « Monde » mais plus indépendante que cette dernière publication également fondée par Hubert Beuve-Méry.
Mais ceci n’explique pas tout.
Il faut beaucoup de déontologie et, tout simplement, d’honnêteté intellectuelle pour reconnaître que les choix faits dans un passé encore tout récent étaient mauvais.
Et c’est ce que font, dans cet article[7], ses auteurs Alexandre Fauquette et Frédéric Pierru, avec une lucidité et un sens de la formule admirables.
L’article débute ainsi :
« "Antivax", "complotistes"… Les soignants qui ont refusé la vaccination ont subi l’opprobre, en plus des suspensions. Leurs décisions n’étaient pourtant pas étrangères à la rationalité mais l’exécutif ne les a pas écoutés. Trop occupé à faire entendre sa raison. »
Les auteurs rappellent date après date les choix politiques effectués par Emmanuel Macron et son gouvernement qui ont conduit à ce scénario terrifiant : « la séquence vaccinale a vu la police sanitaire se substituer à la santé publique [8]».
Ils racontent l’implacable enchaînement des faits à partir de la mi-juillet 2021 aboutissant à ces scènes que l’on croyait réservées aux dictatures nazies et soviétiques : les soignants « sont expulsés parfois par un vigile manu militari de leur service où ils étaient pourtant considérés et bien évalués ; certains sont même convoqués à la gendarmerie ou au commissariat. »
Au terme de l’enfer de presque deux ans qu’ils décrivent – des carrières abandonnées, des familles effondrées, des vies gâchées – les auteurs écrivent (j’en ai eu la gorge serrée) :
« Or souvent ces soignants voyaient juste. La plupart savaient, pour avoir été sur le pont en 2020, dans des unités Covid, que la maladie tuait prioritairement des personnes de plus de 80 ans (l’effet « moisson ») ou des gens atteints de comorbidités (obésité, diabète, hypertension, immunodépression). Ils ont aussi constaté que la vaccination vantée fin 2020 par M. Macron n’avait rien de miraculeux . Dès lors, fallait-il faire autant de dégâts humains pour un vaccin qui s’est avéré peu efficace pour empêcher la transmission d’une maladie menaçant en premier lieu la vie des plus âgés et certains malades chroniques ? Car il y a aussi eu des dommages collatéraux ; la suspension a brisé des familles et plongé des enfants dans la précarité. En tout état de cause, le président de la République a préféré politiser le vaccin et banaliser le recours à l’État d’exception plutôt que de faire de la santé publique .[9] »
Merci, messieurs, de me redonner un peu foi dans le journalisme français.
Chers lecteurs, je vous invite vivement à lire ce numéro du Monde diplomatique.
Le chemin de la tortue est tout tracé, mais il est encore long
L’article du Monde diplomatique est, à mes yeux, un jalon important sur ce chemin de vérité et, même j’oserais dire de réconciliation nationale, de notre tortue.
Alors, je ne me leurre pas : je sais que cette vérité et cette prise de conscience qui adviennent peu à peu ne feront guère le prime-time des chaînes de télévision.
Je ne m’attends pas, non plus, à un mea culpa de la part d’Emmanuel Macron ou de son ministre de la santé de l’époque, Olivier Véran. Ce serait, pour eux, non seulement admettre qu’ils se sont trompés, mais qu’ils sont responsables d’un nombre incalculable de vies brisées.
Mais, peut-être nos futurs dirigeants et nos futurs soignants apprendront-ils de ces erreurs historiques.
Surtout, le chemin de notre tortue est encore long.
Car si l’on peut déjà faire le bilan des ravages provoqués par la suspension des soignants résistants et des effets secondaires cardiaques et neurologiques provoqués par les injections anti-Covid, il est un droit d’inventaire beaucoup plus vaste qui reste à faire.
Ce droit d’inventaire concerne les récidives et les apparitions de maladies chroniques et en particulier de cancers provoquées par ces injections anti-Covid.
J’étais encore, il y a quelques jours, auprès de thérapeutes qui font face à une recrudescence de consultations pour cause de cancers.
Tous ces patients vivant une rechute foudroyante ou un diagnostic inattendu ont tous le même point commun. Je ne vous fais pas un dessin.
Ce lien de cause à effet-là sera plus long à démontrer. Les dégâts liés à la nature de l’ARNm utilisé dans ces produits expérimentaux commencent à peine à être compris.
Le chemin de notre tortue est encore long. Et il est jonché de victimes dupes de notre lièvre.
Portez-vous bien,
Rodolphe Bacquet
lundi 31 janvier 2022
Vaccins Covid : effets secondaires recensés dans les rapports officiels d'Eudravigilance, organe de la pharmacovigilance européenne
https://www.adrreports.eu/fr/
Bonjour à tou(te)s,
Voici comme promis, les chiffres pourtant officiels de EUDRAVIGILANCE, l’organe officiel de la pharmacovigilance européenne, mais que les médias et les politiciens nous cachent, de mortalités, d’invalidités légères, moyennes ou graves et irréversibles au 01 janvier 2022 et publiés le 15 janvier 2022:
Nombre de décès : 37.927
Nombre d’effets secondaires : 3.392.632 parmi lesquels le nombre d’effets secondaires graves ou irréversibles : 1.611.423
Les décès sont regroupés par symptômes, et certains décès peuvent résulter de plusieurs symptômes. Mais OFFICIEL ne veut PAS dire REEL car ces chiffres officiels minimalistes sont malheureusement bien loin de la cruelle réalité : il faut en effet savoir que nombre d’acteurs même vaccinalistes de haut rang du secteur médical tels que virologues, épidémiologistes, statisticiens et autres, mais libres de tout conflit d’intérêts avec l’industrie pharmaceutique, s’accordent à reconnaître que seuls entre 10% et 01% des sinistres vaccinaux ou médicamenteux, létaux ou invalidants à des degrés divers, seraient déclarés spontanément auprès des centres nationaux voire du centre européen de pharmacovigilance par nature passive, et que dès lors entre 90% et 99% des cas d’effets secondaires mortels ou invalidants à des degrés divers ne seraient pas déclarés et passeraient en-dessous des radars.
Ceci s’explique tantôt par la peur des médecins d’être impliqués en responsabilité juridique civile et pénale personnelle pour ce qu’ils ont prescrit et/ou administré alors que cela a mal tourné pour le patient, tantôt par le surcroît de travail que l’introduction de ces déclarations leur demande, tantôt par les liens d’intérêts économiques privilégiés que les laboratoires pharmaceutiques entretiennent avec eux.
Il faut donc au minimum multiplier ces chiffres officiels interdits de médiatisation par x 10… voire par bien plus !
En effet, le statisticien américain Steve Kirsch qui a calculé pour le VAERS, homologue pour les 50 états américains de EUDRAVIGILANCE, le coefficient de x 41, a fait offre financière à quiconque viendra battre en brèche le résultat de ses analyses statistiques, mais personne tant du monde médical ou scientifique que médiatique ou politique ne s’y est encore risqué…
https://www.francesoir.fr/videos-les-debriefings/steve-kirsch-sous-declaration-vaers
Chaleureusement,
A.D.