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vendredi 23 avril 2021

Cherche-t-on à nous rendre fous ?


 Il était temps de faire une vidéo sur le confinement et les dramatiques conséquences psychiatriques qu'il produit. Pour ce faire je suis accompagné du journaliste Maximilien Delvallée.

#Psychiatrie / #Confinement / #IdrissAberkane SOMMAIRE : 00:00:00 : Introduction 00:03:32 : L’affaire Caccomo 00:10:02 : Point sur la psychiatrie 00:16:32 : Intervention de Maximilien Delvallée 00:30:44 : Conclusion

lundi 21 décembre 2020

Belgique - confinement - violences d'état / policières : des policiers débarquent dans une maison suite à une dénonciation...


Vidéo ici : 

https://twitter.com/CerveauxNon/status/1340753335700381704

 Belgique : témoignage de la personne ayant publié cette vidéo sur Instagram (simple.symphony)

Cette scène s'est déroulée chez des connaissances à deux pas de chez moi. La sœur de mon copain a tout filmé.

1/

Cerveaux non disponibles

@CerveauxNon

·20 déc.

Le confinement et ses règles, pour la plupart absurdes, nous plongent dans un climat anxiogène dans lequel les dommages collatéraux de l'incompétence de notre gouvernement favorisent des mesures liberticides. Les droits fondamentaux sont bafoués dans l'indifférence totale.

2/

Cerveaux non disponibles

@CerveauxNon

·20 déc.

Ces violences policières ne sont qu'une mince partie du spectre visible des débordements que nous vivons actuellement.

Dois-je à présent vivre dans la peur de passer un moment en famille ou avec quelques amis et qu'à n'importe quelle moment des policiers...

3/

Cerveaux non disponibles

@CerveauxNon

En réponse à 

@CerveauxNon

puissent forcer l'entrée de ma maison et décider de blesser mes proches sans raison ?

Ce n'est pas le monde dans lequel j'ai envie de vivre.

Je n'ai qu'une chose à dire. Il est temps de se réveiller.

Filmé par clem_21.02 

4/

vendredi 30 octobre 2020

« Confinement 2. Préparez le PQ et les raviolis ! » L’édito de Charles SANNAT

 

Mes chères impertinentes, mes chers impertinents,

Normalement, si j’ai bien fait mon travail, vous ne serez pas étonné par les annonces du président Macron ce soir à la télé car vous faites partie de ceux qui ont été prévenus, que cette crise sanitaire allait être durable et s’inscrire dans une dynamique en yo-yo et dans le temps long. De la même manière qu’après la pluie vient le beau temps, après le confinement vient le déconfinement, puis le reconfinement.

En Italie, cela chauffe entre la population et la police.

Ce sera vraisemblablement le cas aussi en France et cette situation de tension est très compréhensible.

Les confinements et les restrictions imposées ont pour conséquences d’empêcher de biens braves gens de gagner leur vie dignement. Ils pourraient l’accepter si l’épidémie était grave.

Le problème de fond est une dissonance cognitive majeure et cela va poser de gros problèmes !!

Monsieur le cafetier, Monsieur le coiffeur, Madame la commerçante, vous tous qui bossez, je vous promets la misère pour lutter contre le virus !

D’accord Monsieur le Président mais votre virus c’est combien de morts ?

0.4 %…

Haaa…. c’est po beaucoup.

Et les morts ils ont quel âge ?

85 ans !

Haaa…. c’est beaucoup.

Voilà le nœud du problème.

Un terrible nœud.

Soit c’est grave et les gens peuvent comprendre la nécessité de restrictions terribles, soit, ils ne comprennent pas et ce sera la révolte dans une France déjà tirraillée par de terribles et profondes pulsions de mort.

Comment voulez-vous comprendre que c’est grave si on vous explique que c’est 0.4 % de mortalité avec que des gens de plus de 80 ans ?

Impossible.

Il va falloir couper ce nœud du mensonge !

La vérité libère.

Nous allons au devant d’affrontements violents, car aucune épidémie de 0.4 % de taux de létalité ne mérite objectivement ces restrictions.

Il y a donc deux possibilités. Pas 10.

Il n’y en a que deux.

Soit c’est très grave et l’on nous ment pour éviter que l’on panique.

Soit ce n’est pas grave du tout et on nous ment pour d’autres raisons.

Dans les deux cas, vous remarquerez qu’il n’y a qu’une seule certitude.

On nous ment.

Mais… le moment où la vérité va éclater approche, et les violences en Italie en particulier, mais ce n’est pas le seul pays ou cela se passe sont un bien mauvais présage pour notre pays.

Stockez PQ et raviolis !

Ce n’est pas moi qui le dit c’est Michel Edouard Leclerc, qui explique que les ventes de papier toilette sont en hausse de 20 % et les ventes de pates explosent de 30 % !

Prenez bien soin de vous mes amis, nous entrons dans les heures les plus sombres d’une année qui restera gravée dans nos mémoires. Prenez bien soin de vous, de vos proches et soyez prudents, ce n’est que le début.

Il est déjà trop tard, mais tout n’est pas perdu. Préparez-vous !

Charles SANNAT

source :  https://insolentiae.com/confinement-2-preparez-le-pq-et-les-raviolis-ledito-de-charles-sannat/

dimanche 10 mai 2020

Article de l'Antipresse en libre accès : "Des LBD au confinement strict: la France à l’heure de l’Etat total"

PAR  | 10.05.2020 | EN ACCÈS LIBREENFUMAGESERIC WERNERNOUVEAU
Il faut, comme Tocqueville, s’écarter un peu de la France pour voir à quel point la réalité de ce pays contredit les principes dont il se réclame. Par-delà les questions de personnes et de partis, n’est-il pas temps de faire table rase de son culte inconsidéré de l’État? À moins de se laisser délibérément tomber dans la tyrannie absolue ou la guerre civile.
Nous avions évoqué il y a quelques semaines le chef-d’œuvre de Tocqueville, son grand livre sur la Démocratie en Amérique. Revenons-y une nouvelle fois, car on ne se lasse pas de le faire.
Tocqueville est bien sûr intéressant par ce qu’il nous dit de l’Amérique. L’Amérique est le sujet du livre. Mais le lecteur comprend vite en parcourant l’ouvrage qu’il n’y est pas seulement question de l’Amérique, mais de la France. C’est peut-être même elle, surtout, le sujet. Tocqueville feint de nous parler de la démocratie en Amérique, mais au travers même de ce qu’il en dit, il nous parle de la France et de la démocratie en France. Tocqueville emprunte ce détour pour aborder des problèmes qu’il estime ne pouvoir aborder que de cette manière: non pas donc directement, mais indirectement. On est ici dans le non-dit. Mais ce non-dit se lit bien entre les lignes.
C’est en quoi Tocqueville est un très grand penseur. Ce qu’il dit de l’Amérique est certes important. Mais ce qu’il dit de la France est presque plus important encore. Pas seulement parce qu’il le dit indirectement («obliquement», dirait Montaigne. Les choses importantes se disent toujours obliquement: sans les dire tout en les disant), mais parce qu’il est plus ou moins le seul à l’avoir dit. Que dit-il en effet? Que la France, tout comme le reste de l’Europe, va très vite, si ce n’est pas déjà fait, basculer dans la démocratie (la démocratie telle que lui, Tocqueville, la définit: non pas comme un certain régime politique, la démocratie par opposition à la monarchie, mais comme un certain type de société, celle articulée à l’idée d’égalité), mais qu’il n’est pas sûr pour autant qu’elle ne bascule pas en même temps dans le despotisme. Tant il est vrai qu’on peut très bien imaginer l’égalité sans la liberté. On l’imagine même mieux sans qu’avec.

Égalité se passe fort bien de Liberté

L’Amérique, elle, a très bien su concilier l’égalité et la liberté. Tocqueville est relativement optimiste sur l’Amérique. Mais il n’est pas sûr que la France, elle, réussisse à le faire. On est même porté à penser le contraire. Tocqueville nous en donne les raisons: une tradition de l’État fort remontant à l’Ancien Régime et que la Révolution française, les guerres aidant, n’a fait que renforcer encore, la centralisation qui lui est associée, la peur de l’anarchie et l’aspiration (en découlant) à l’ordre quel qu’il soit, la disparition des corps intermédiaires, l’habitude, enfin, bien ancrée en France consistant à tout attendre de l’État, alors qu’aux États-Unis les citoyens se débrouillent très bien entre eux pour résoudre les problèmes (en créant par exemple des associations).
Voilà en gros ce que nous dit Tocqueville dans la Démocratie en Amérique. L’Amérique nous offre l’exemple d’une société égalitaire, mais tempérée par un ensemble d’habitudes et d’institutions faisant barrage au despotisme, alors qu’en France de telles habitudes et institutions n’existent pour ainsi dire pas, avec pour conséquence, effectivement, le risque de basculement dans le despotisme. C’est en comparant la société française à la société américaine que Tocqueville parvient à cette conclusion. Insistons sur l’originalité de sa démarche. Tocqueville a compris que pour parler intelligemment de la France, il lui fallait prendre un certain recul, en parler donc non pas de l’intérieur, mais de l’extérieur. C’est ce point de vue décentré qui le hisse au niveau des très grands penseurs politiques (en France, sans doute même, le plus grand). Encore une fois, s’il l’est, ce n’est pas à cause de ce qu’il dit de l’Amérique, mais de la France. Il parle de la France comme personne d’autre, après lui, ne le fera plus. En ce sens, il est resté sans héritier.
Pourquoi est-ce que je dis tout ça? On ne reviendra pas ici sur les violences policières qui ont marqué, en France, l’épisode des Gilets jaunes. Sauf qu’elles ont eu un rôle de révélateur. Elles en ont amené plus d’un à s’interroger sur la réalité, aujourd’hui en France, de l’État de droit, en même temps que sur la nature exacte du régime aujourd’hui en place à Paris. L’État français s’érige volontiers en donneur de leçons quand il s’agit de pays comme la Hongrie et la Pologne, leur reprochant de sortir des rails en un certain nombre de domaines. En Pologne c’est l’indépendance de la justice qui est menacée, en Hongrie celle des médias, etc. C’est l’histoire de la paille et de la poutre. Demandez à François Fillon ou à Jean-Luc Mélenchon ce qu’ils pensent de l’indépendance, en France, de la justice. Ou aux gens en général ce qu’ils pensent de l’indépendance des médias publics ou même privés en France. Ou de la loi Avia.
Dois-je le préciser, le risque actuel de basculement dans le despotisme ne se limite évidemment pas aujourd’hui à la France. Partout ou presque en Europe (davantage, soit dit en passant, en Europe occidentale que centrale et orientale), on a de bonnes raisons de s’inquiéter pour l’avenir des libertés fondamentales. La liberté d’expression est en particulier très menacée. Partout ou presque, également, on assiste à un renforcement des pouvoirs de la police et des services spéciaux, au prétexte de lutte contre le terrorisme. Sauf qu’en France cela va beaucoup plus loin qu’ailleurs. On vient de faire référence à l’épisode des Gilets jaunes, mais l’épisode actuel, celui du Covid-19, est aussi très éclairant. La France n’a pas été le seul pays d’Europe à instaurer un confinement strict de sa population, mais nulle part ailleurs la répression policière en lien avec la mise en œuvre de cette mesure, en elle-même, il est vrai, déjà très discutable, n’a comporté des traits d’une telle férocité, parfois même d’inhumanité. Certaines vidéos en font foi. L’État français traite aujourd’hui sa propre population comme s’il était en guerre avec elle. Une telle situation est complètement atypique et même unique en Europe.
Observons au passage que les Français dans leur ensemble n’en ont pas ou que rarement conscience. Il faudrait que quelqu’un prenne un jour la peine de le leur expliquer: leur dire que nulle part ailleurs sur le continent la police ne se permettrait de traiter ainsi les gens. Ce n’est même pas imaginable. Le leur dirait-on qu’ils se montreraient peut-être moins timides dans leurs protestations. Quand on croit que c’est la même chose ailleurs, on a tendance à dédramatiser, quand ce n’est pas à banaliser. Or, justement, ce n’est pas la même chose ailleurs.

En finir avec le culte de l’État

Pour expliquer toutes ces dérives et d’autres encore (il semble bien, par exemple, que l’État français ait limité par directive l’accès aux urgences des personnes âgées, ce qu’on interprétera comme on voudra, mais assurément pas comme un acte de particulière philanthropie), certains rappellent que la Cinquième République est née en France d’un coup d’État militaire et que ceci explique peut-être cela. La constitution de 1958 confère au président de très grands pouvoirs. Le poste avait été taillé sur mesure pour le général de Gaulle, qui était un dictateur, mais à la romaine, autrement dit complètement dévoué au bien commun. Après lui, le poste aurait raisonnablement dû être repensé. Tout pouvoir corrompt, le pouvoir absolu corrompt absolument, disait Lord Acton. On insistera dans ce contexte sur le fait que le président actuel et son entourage donnent souvent l’impression d’être dépourvus de tout surmoi et par voie de conséquence aussi particulièrement sujets à succomber à certaines tentations dans ce domaine. On l’a vu lors de l’épisode des Gilets jaunes, mais pas seulement (affaire Benalla).
Ces explications éclairent une partie de la réalité, mais restent insuffisantes. Il faut remonter plus haut encore dans le temps. Je suis toujours frappé quand je lis les déclarations des hommes politiques en France par le fait que tous, qu’ils soient de droite ou de gauche, participent du même culte inconsidéré de l’État, culte les conduisant, presque unanimement également, à ne rien remettre en question de ce qui en découle: le nucléaire civil, entre autres, mais aussi militaire. C’est ici, peut-être, qu’il pourrait être utile de relire Tocqueville. La démocrature macronienne, biberonnée à l’idéologie managériale et aux nouvelles théories du maintien de l’ordre enseignées dans les séminaires de l’OTAN, n’a qu’un lointain rapport avec la statolâtrie capétienne et son retapage gaullien au XXe siècle. Mais même lointain il n’en imprime pas moins sa marque à la réalité française actuelle. Il serait peut-être temps de remettre les compteurs à zéro.
  • Article de Eric Werner paru dans la rubrique «Enfumages» de l’Antipresse n° 232 du 10/05/2020

samedi 9 mai 2020

Les potins instantanés du confinement - 2





Table des matières



Page

Les pharmaciens se fâchent! 1

Bouillon va le boire…! 2

Yves COPPIETERS se mouille le masque! 3

Oh là, la Ola! 4

L'étoile montante 4

Les Coréens sont à nouveau heureux! 4

L'OMS monte aussi aux créneaux… ! 4



Les pharmaciens se fâchent!


La grande distribution se lance dans la vente de masques chirurgicaux à prix coûtant : 63 centimes l'unité. Vendus par boîtes de cinquante actuellement. Bientôt disponibles en boîtes de cinq.
La grande distribution, par l'intermédiaire de leurs porte-paroles (paroles bien légères… cela ne doit donc pas être considéré comme un métier pénible "porte-paroles"… d'autant que nous ne les voyons pas souvent au travail…évidemment, ils pourraient toujours arguer qu'en ces instants de présence, ils portent tout le poids de "la structure" qu'ils représentent… très, très pénible finalement… ) nous dit sa satisfaction de participer ainsi à la protection de la population (je suis une vraie girouette aujourd'hui… si la porte-paroles nous dit qu'elle est satisfaite et avec le sourire en prime… léger, léger le boulot ! … ).

Une cliente interrogée trouve cela vraiment très cher. "On nous en a promis des gratuits! Mais nous ne les avons toujours pas vus!". Moue exprimant une sorte d'ironie et d'acceptation du "comique" de la situation (il faudra un jour que je vous raconte l'histoire des pneus et des chambres à air en Roumanie, mais ce serait trop long pour ces Potins instantanés...).

Le responsable de l'association des pharmaciens, Monsieur CHASSEPIERRE, ne voit pas les choses de la même façon, ne l'entend pas de cette oreille. Il a un caillou dans la chaussure. Cela se voit rien qu'à sa tête. On dirait qu'il va le cracher ce caillou. Interdiction formelle de cracher depuis le début du confinement, il le sait. Vu sa position, il respecte. Il ferait d'ailleurs mieux d'enlever sa chaussure, c'est plus facile pour éjecter le caillou. Le faire remonter tout le long du corps pour le recracher par la bouche, je suppose que vous imaginez bien la difficulté. Mais passons. Cela n'est qu'un détail. L'important c'est ce que le caillou a à nous dire. Grâce au COVID-19, ce ne sont plus les muets qui parlent, mais les cailloux. Il y a progrès, c'est certain.

Oui, je sais, je dévie… je m'étents… je m'étang et je me mare…et je ne suis pas à mer !
Donc, Monsieur CHASSEPIERRE trouve cela proprement scandaleux (c'est marrant tout de même cette association de "propreté" et de "scandale"… j'ai personnellement plutôt l'idée qu'un scandale c'est tout sauf propre…). Bon, j'arrête les déviations, les contournements, les parenthèses: promesse d'ivrogne !

"Les masques manquent au personnel médical, au personnel de soin, aux pharmaciens aussi alors qu'on nous en a promis depuis longtemps. Il avait été dit que les masques seraient distribués en priorité aux personnes les plus faibles, les plus confrontées au virus ! " nous dit-il.
C'est qu'il n'a pas tout à fait tort le bonhomme, sauf que le déconfinement a commencé et que tout le monde est sensé porter le masque lorsqu'il prend les transports en commun, lorsqu'il va conduire ses enfants à l'école.

Alors, comment faire face avec ces promesses jamais respectées?
Tout cela ne m'empêche pas de me demander quelle mouche a piqué l'association des pharmaciens pour s'en prendre ainsi à la grande distribution qui joue son rôle. En tout cas, si une des porte-paroles ne ment pas: "Le gouvernement nous a clairement dit de faire en sorte que la population puisse disposer de masques chirurgicaux!" (les masques basiques…).

Sans doute, ou je n'ai pas bien compris, que les pharmaciens râlent de n'être pas en mesure de vendre bien cher les masques "griffés" par les firmes pharmaceutiques dont ils ne disposent que sur catalogue (ironique!). Il est vrai (ironique encore) que ceux-ci sont de meilleure qualité, certifiés conformes (normal, ce sont les firmes pharmaceutiques qui ont rédigés les textes de conformité pour les députés européens…). Et le prix, tout le monde sait cela, est en rapport direct avec la qualité.
Peut-être que ces chers pharmaciens risquent aussi de perdre leur clientèle. C'est tellement difficile de modifier les habitudes d'autrui. Je sais de quoi je parle: allez un peu rattraper un client quand il est parti chez un confrère qui lui demande la moitié de ce que vous exigiez comme honoraires !
Faisons confiance à la générosité légendaire de notre peuple belge, déjà César l'avait reconnu. Bientôt des clients offriront des masques à leur pharmacien. Nous aurons droit à un petit spot émouvant sur le sujet tout prochainement au JT de la RTBF, je gage!


Bouillon va le boire…!

Bouillon a été déclarée la commune la plus touchée de Belgique par le COVID.
Bon, je n'ai pas retenu les chiffres. Il me semble que c'était du genre 17 décès par mille habitants. La championne de Belgique qui a été déclarée championne du monde par Donald. Cela devrait se fêter sur la grand place de Bruxelles un tel titre. Bouillon bat NY. Ce serait bien un titre pour La Meuse ou La dernière Heure. Et bien non, Bouillon fait la gueule. La soupe ne passe pas, elle est amère !
Le bourgmestre et le représentant des commerçants montent au créneau. A Bouillon, c'est facile, le château de Godefroid en est truffé.

Le bourgmestre considère que c'est une ineptie, que cela n'a aucun sens sans dépistage. Sans doute qu'en dehors de Bouillon, les chiffres fournis ont un sens sans dépistage (dans mon écrit, c'est ironique… dans la bouche du bourgmestre, c'était l'évidence...). C'est mettre un peu à rien les commentaires de ce bon Yves COPPIETERS, expert épidémiologique à l’université de Bruxelles, si vous ne le saviez pas (je me trompe peut-être, à force de l'avoir entendu quarante fois, je ne sais plus très bien...) . Il n'a pas manqué de marteler au cours de ses nombreuses interventions sur le plateau du JT que les décès en maison de repos (le cas de presque tous les décès à Bouillon qui doit aussi être la commune de Belgique la mieux pourvue en maison d'accueil pour les vieilles personnes à ce qui est dit dans le spot de la TV…) ne sont pas authentifiés "COVID-19. Il serait vraiment temps de parler de la surmortalité dans les maisons de repos (j'en connais deux qui sont en sous-mortalité: pas un seul décès depuis le début du confinement!).

Cette affirmation que la ville de Bouillon serait la plus touchée, serait donc sotte, nous dit le bourgmestre .

Pas plus que toutes les autres affirmations concernant les chiffres qui nous sont donnés chaque jour, plusieurs fois, avec force commentaires. Si vous avez lu les premiers Potins du Confinement, vous avez peut-être compris combien les chiffres sont trompeurs. Regarder les choses de trop loin ne rime à rien sinon à permettre des comparaisons avec d'autres causes de mortalité (COVID, centième cause de mortalité pour l'année 2020, à la grosse louche...). Les regarder de plus près c'est encore relativiser, cela devrait nous permettre de nous poser des questions. Des questions sur ce qui nous est dit, des questions sur ce que nous ressentons à l'écoute de ces chiffres; des questions sur ce que nous aurions pu faire, pourrions faire, pourrons faire.

En tout cas, le représentant des commerçants craint beaucoup que sa ville soit désertée par les acheteurs, que les uns se rendent à Libramont, d'autres à Bertrix ou Florenville et où sais-je encore.
"Cela nuit à l'image de Bouillon!"

La reporter vient au secours de ce pauvre homme désespéré: "Nous y reviendrons en vacances, n'est-ce pas!".

En hiver, pour sûr. Histoire de le boire, ce bouillon!


Yves COPPIETERS se mouille le masque!

Si je voulais me montrer un peu mesquin, un peu plus qu'à l'habitude diront certains, je ferais remarquer que les JT ne sont pas un exemple de respect des règles de distanciation sociale sauf à ce que mon œil d'architecte ait perdu son sens du mètre cinquante (il faut dire que les caméras utilisées en studio déforme terriblement l'espace et le font paraître nettement plus grand qu'il n'est… mais passons sur cette mesquinerie...). Et pas de masque ! Ils auraient l'air de quoi ! Ben, ils auraient le même air idiot que tout le monde pardi bien que cette phrase soit un peu paradoxale (j'aime les paradoxes...) puisque justement nous ne savons plus rien de l'air que les autres ont vu qu'il est caché par leur masque. C'est peut-être tant mieux par les temps qui courent après le COVID, car lorsque je croise des gens en rue, eux à pieds, moi à vélo, une bonne partie des airs me paraît plutôt moins agréable que par le passé: il y aurait comme de la méfiance chez beaucoup !

D'Yves COPPIETERS, je ne puis pas en dire autant. Ce garçon est tout ce qu'il y a de plus charmant. Déjà qu'il accepte la même ritournelle de présentation depuis deux ou trois semaines, tous les jours, parfois tant le soir qu'à midi. Sans doute que c'est pour tenir compte de la partie des auditeurs qui est atteinte de la maladie d'Alzheimer. C'est qu'il ne faudrait tout de même pas les oublier, ceux-là. A force, le COVID pourrait nous faire croire qu'il règne en maître absolu sur le domaine de la santé déficiente.

Donc, Yves ne se départit pratiquement jamais de son sourire, sinon lorsqu'il répond le plus sérieusement du monde aux questions qui lui sont posées. Ses réponses sont généralement pondérées. Mais jusqu'à hier soir, je trouvais tout de même qu'il se cantonnait un peu dans un regard centré sur la Belgique et sur l'absolue nécessité d'appliquer les règles de confinement "à la Belge".

Jusqu'à hier soir, le 4 avril. Car hier soir, il est un peu sorti de ce portrait dans lequel je l'avais enfermé. Je dis "un peu", mais je devrais plutôt dire "énormément". Yves a fameusement trempé le masque qu'il n'a pas. Il a pris de la hauteur, du recul. Il nous a invité à regarder plus large.
Lors du débat animé par Sacha DAOUT dont je n'ai vu que les deux dernières minutes, il lui était demandé pour la xième fois de donner un avis positif sur les mesures de confinement. Et voilà qu'il sort que nous avons affaire à une belle cacophonie au niveau de la gestion internationale. Qu'il aurait été intéressant, ne connaissant rien de ce coronavirus, de faire des expériences, zone par zone, pays par pays. Là, le confinement; ici, les tests; ailleurs, rien du tout; ailleurs encore les masques, rien que les masques. J'aurais bien ajouté les vitamines C, le jus de citron, les bains de soleil, la ciproquine, ou encore l'Artemisia Anua en décoction ou en tisane; mais je ne suis pas sérieux, moi! Yves n'aurait pu se permettre ce genre de sortie. Il en faisait déjà beaucoup. Ainsi nous aurions pu voir ce qui se serait passé et définir des pistes pour la gestion des crises à venir. C'était une toute petite phrase dont j'ai tiré qu'elle voulait dire tout cela. Sans doute pourrez-vous aller voir l'émission en différé, vous qui êtes au fait de toutes ces technologies modernes. Vous pourrez alors me transmettre les mots exacts d'Yves. Je pourrai voir dans quelle mesure ce que j'en ai tiré relève de mes fantasmes ou de la réalité.
Ce qui s'en suivit m'a à la fois éberlué et fait rire de surprise tellement cela m'a semblé énorme. Visiblement Sacha DAOUT n'en attendait pas autant. Je veux dire qu'il ne s'attendait pas à une telle sortie des "rails du confinement". Très rapidement, il a clos le débat en rappelant que, bien entendu, il fallait respecter le confinement et toutes les mesures bien connues de tous.

Yves ne devait pas s'arrêter en si bon chemin. "Bon chemin" vu de mon point de vue. Je n'ai pas formulé ce souhait. C'est juste qu'il a fait aussi fort, si pas plus fort le 5 avril à midi.

Notre Véronique BARBIER nationale, après la ritournelle de présentation et les statistiques du jour en vint à la question cruciale du jour: une nouvelle tentative pour enfoncer le clou du " confinement, la solution absolue ". "Que pensez-vous de cette étude universitaire qui dit que si nous n'avions pas confiné il y aurait eu entre cent et deux cent mille morts?". "Il faut se méfier des effets d'annonce. J'aimerais voir sur quoi cette étude se base pour tirer de telles conclusions. Il est étrange qu'en France, une étude similaire donne un chiffre de cinq cents à six cent mille morts. Une simple règle de trois nous donne a peu de chose près la même mortalité pour la Belgique et pour la France. Par ailleurs, il est tout de même intéressant de regarder ce qui se passe chez nos voisins du Nord qui n'ont pas trop confiné, qui sont dix-sept millions, ont une densité de population plus forte que la nôtre et qui s'en sortent plutôt mieux. Il faut se méfier des chiffres." J'aurais aimé ajouter: "A qui profite ce genre d'affirmation, qui soutient-elle ? "

Là aussi, une part du discours échappe à ma mémoire et je crois me souvenir qu'il est allé encore plus loin dans la remise en question de cette idée que le confinement était l'arme absolue. D'ailleurs, la Belgique est, sur base des chiffres fournis, le plus mauvais des élèves de la classe COVID après NY… je vous le rappelle… et la Grande-Bretagne, qui avait pris un peu la "course aux décès" à la légère et semble vouloir rattraper le temps perdu n'est encore sur le point de nous enlever notre titre de championne du monde (et que l'on ne vienne pas me dire que nous gonflons les chiffres… hein!… nous avons notre fierté nationale à défendre, notre éthique!...). "Rien ne sert de courir, il faut partir à point!".

Mais, de nos jours, qui étudie encore les fables de La Fontaine ? Qui les pratique ?
En tout cas, merci à Yves qui a courageusement mouillé son masque et son maillot. Nous verrons si cela lui coûtera son siège de consultant sur le plateau. A moins qu'il nous soit prochainement dit qu'il s'est retiré pour raisons personnelles.


Oh là, la Ola!

Les amateurs de foot dépriment, c'est sûr. Pas de fins de championnats. Pas de finales de coupes. Pas de championnat d'Europe. Interdiction de stade. Fin du défoulement quasi perpétuel jusqu'à ce nouvel ordre qui paraît bien lointain.

Alors, comme l'imagination des supporters n'a d'autre limite que la quantité de bière ingurgitée dans les stades ou devant les écrans, les voilà qui imaginent lancer un Ola virtuelle. Un formidable défi qui devrait les sortir de la morosité dans laquelle ils s'enfoncent doucement. Enfin, je n'en sais rien si c'est doucement ou brutalement; C'est du langage de média, du langage entendu. Cela ne veut rien dire et en même temps, que dire d'autre?

D'ailleurs, quelle importance puisqu'il est dit que cela va leur rendre la joie perdue.
Voyant ces deux bambins sautant sur le divan devant les parents qui les filment avec leur "smartphone", bambins simulant une ola, il me vient: "Mais pourquoi faire cela virtuellement, nous pourrions très bien faire cela dans la rue quand nous croisons d'autres personnes qui sortent comme nous pour faire leurs courses ou leur petit tour de santé !" Ce serait sympa au moins. Nous imaginerions tout de suite le grand sourire dissimulé derrière le masque. Et directement, dans la foulée (j'emploie volontairement un terme très foorbalistique… vous l'aviez sûrement remarqué...), il me vient: "Oui mais, Philippe, la ola, comme cela, dans la rue, quand tu croises quelqu'un, cela ne te rappelle rien?"… Oui, bon, ce n'était qu'avec une main, mais tout de même, ou plutôt, ce serait pire encore!


L'étoile montante

Chaque jour, il me semble que la stigmatisation des "infestés" se fait plus présente. Grâce aux tests, ces gens qui nous pourrissent la vie vont pouvoir être écartés. Nous pourrons enfin revivre. Que de nouveaux décès évités. Que "l'étoile jaune" qui leur sera appliquée ne soit visible que sur les écrans ne change pas grand-chose. J'ai même l'impression que c'est pire. Et de ce que j'entends, une belle majorité se détache qui trouve cela "normal", "bien".

Enfin, pas cette dame que j'ai croisée hier soir au hasard du dépôt clandestin d'un courrier dans une boîte aux lettres qui s'est transformé en remise en main propre sans les précautions d'usage… vous voyez le topo ! . Plus de quatre-vingt ans. Dynamique. Distance asociale de 75 cm. Pas de masque. D'un sans gêne total quoi. Quelques mots suffisent pour que nous constations que nous sommes plutôt dans la même mouvance, dans les mêmes réflexions. "Hitler et le Duce sont de retour!" me dit-elle. "Je le crie partout! Les gens ne veulent pas comprendre. Ils n'ont pas connu. Moi bien. C'était pareil. Juste le décor a changé!".

Je vous garde la suite de ses propos au chaud. Pour un autre Potin peut-être.


Les Coréens sont à nouveau heureux!

Si, si, je vous le dis. Enfin, non, c'est cette Coréenne qui nous le dit.
"Je peux de nouveau acheter des petites choses pour me faire plaisir!"
Si c'est pas beau ça! A force de consommer, nous avions perdu de vue le bonheur que cela représente.
Merci COVID (bon, je deviens un peu familier avec cette "bestiole", il va falloir que je me surveille. Ma bonne éducation a tendance à se déliter pour le moment… et se dé-liter, pour le moment, c'est sûrement passible d'une très lourde amende, d'une peine de prison peut-être ! ).


L'OMS monte aussi aux créneaux… !

L'OMS, c'est sûr, serait assez favorable aux "bouillons de culture" qui permettront de mettre au point le ou les vaccins qui devraient mettre définitivement hors d'état de nuire le COVID-19 qui sera déjà rentré dans sa "coquille" quand les premiers vaccins seront enfin disponibles pour la vague suivante pour laquelle ils ne seront efficaces qu'en laboratoire (c'est que, mon bon Monsieur, reproduire les conditions de terrain dans un labo, c'est aussi difficile que d'établir des conditions de labo sur le terrain. Tout le monde sait cela!).

Le "enfin" n'est pas de moi car je n'aspire nullement à l'apparition de ce qui n'est pour moi qu'un mauvais scénario.
Il est d'étranges coïncidences tout de même que le même jour "on" nous parle de Bouillon, de "bouillons de culture" et de "montées aux créneaux" dans une ville célèbre pour son château fort et dans une forteresse prétendument au service de la santé de la population mondiale.
Mais comme d'habitude, je digresse, je digresse.

J'en viens au fait.

Voilà que le Président de Tanzanie, le TRUMP de l'Afrique sans doute, une sorte de pseudo-démocrate (je suis ironique, je ne connais rien de ce bonhomme et de la situation politique dans le pays...)… donc, ce lascar annonce que son pays commande à Madagascar une "boisson" à base de plantes, dont la "tristement célèbre" Artemisia Anua qui aurait des propriétés préventives et curatives à l'égard du paludisme. Cette boisson permettrait de soigner les personnes atteintes du COVID pratiquement pour rien. Il suffit d'avoir les plantes dans son jardin ou dans les "bois et champs" alentours.

C'est là que l'OMS se met en état d'ébullition et que le lait déborde par dessus les créneaux.
"L'OMS ne recommande pas la self-médication avec aucune médecine préventivement ou curativement contre le COVID. Il n'y a pas de raccourcis pour trouver des remèdes efficaces pour combattre le coronavirus. Il y a des essais internationaux pour trouver un traitement effectif." Entendez par là un vaccin.

En d'autres termes, un remède ne peut certainement pas être simple (les simples, autrefois, c'étaient les herbes dont se servaient les "sorcières" pour soigner les gens… faudrait tout de même pas trop déconner!… aujourd'hui les laboratoires extraient les essences des simples pour en faire des pilules. C'est tellement plus efficace que les labos pharmaceutiques ne comprennent pas comment les shamans peuvent avoir des résultats meilleurs qu'eux… alors, pour éviter cette concurrence totalement déloyal, il en est quelques uns qui disparaissent "discrètement"… Attention, Bouillon, tu fais de l'ombre à NY. Toi aussi tu pourrais disparaître discrètement!

Il y aussi, mais c'est un de ces effets collatéraux qui surviennent à l'insu du plein gré de ces sociétés, cela rapporte autrement plus!… (… Philippe… tetetet… tu fais de l'idéologie!… Ah bon! … et pas l'OMS?…Que nenni, cela saute aux yeux qu'elle fait là preuve d'une ouverture d'esprit hors du commun … soit...)

Je vous livre ce qu'en dit la BBC et que j'espère n'avoir pas trop mal traduit.

Pour sûr cette très sainte organisation veille à la santé des humains, aux portefeuilles des firmes pharmaceutiques et à ceux de leurs actionnaires ou "bienfaiteurs". Qui se sent morveux, qu'il se mouche!

La version de la BBC:

The drink was launched as Covid-Organics and was being marketed after being tested on fewer than 20 people over a period of three weeks, the Malagasy president's chief of staff Lova Hasinirina Ranoromaro told the BBC last month.
In response to the launch of Covid-Organics, the WHO said in a statement sent to the BBC that the global organisation did not recommend "self-medication with any medicines... as a prevention or cure for Covid-19".
It reiterated earlier comments by WHO head Tedros Adhanom Ghebreyesus that there were "no short-cuts" to finding effective mediation to fight coronarvirus.
International trials were under way to find an effective treatment, the WHO added.

Al-hazar faisant bien les choses, je me vois contraint de prolonger ce chapitre des Potins instantanés.
Voilà que refermant ce fichier, m'apprêtant à aller rejoindre mon plumard, je vois qu'apparaît dans le haut de mon écran, à droite, un petit message me signalant que je viens de recevoir un courriel. Je n'y prête pas plus attention que nécessaire et en tout cas je ne lis rien de ce qu'il m'annonce (en général cela donne le titre du mail et le nom de l'expéditeur).

Je me rends compulsivement dans ma boîte à courriel pour voir de quoi il retourne.
Et, oh surprise, il s'agit d'une personne qui parle du COVID-19.

Preuve s'il en faut encore que nous sommes traqués en permanence via nos connexions internautiques malgré la super-protection que m'a installée Jean-Henry.

Et, fait encore plus incroyable, c'est que ce message a plutôt l'air de parler comme je le fais à l'occasion: "Il serait temps d'accepter les règles de la Nature. Les accepter n'est pas toujours drôle. Les refuser s'est se promettre des lendemains toujours plus sombres. Nous voilà rendus dans un de ces 'beaux' épisodes consécutif à notre adoration pour des dieux illusoires!"

Je vous mets le fichier en annexe, traduit aimablement et mis en page par mon ami André; Merci André.

 Philippe Tyberghein



jeudi 16 avril 2020

Questions au gouvernement belge sur le coronavirus, le confinement et les futurs vaccins

Source : http://initiativecitoyenne.be/

13 avril 2020

Questions au gouvernement belge sur le coronavirus, le confinement et les futurs vaccins  


Chers lecteurs et visiteurs de ce site, chers citoyens, chers professionnels de la santé, nous portons à votre connaissance le courrier de questions que notre avocat, Me Georges Henri Beauthier, vient de faire parvenir ce jour à notre Première Ministre, Sophie Wilmès, ainsi qu'aux autres Ministres de la Santé en Belgique.

Ce courrier de questions nous paraît extrêmement important en ces temps de crise sans précédent pour nos libertés, notre démocratie et notre santé. Comme vous pourrez le constater, les 6 co-signataires de ce texte, trois médecins et trois non médecins ont tous tenu à axer leur questionnement sur base de sources rigoureuses et aisément vérifiables.

Nous avons fait part à la presse de cette démarche et nous vous invitons tous, très largement, à nous rejoindre sur ces grands enjeux absolument fondamentaux pour l'avenir de nos sociétés. N'hésitez donc pas à nous écrire et à nous soutenir, ce courrier ayant vocation à élargir bien sûr son nombre de signataires car nous sommes immensément plus que 6, bien entendu, à attendre ces réponses claires.

Il est bien évident que nous autres, mais aussi bien d'autres citoyens et collectifs qui travaillent sur tous ces dossiers en ce moment nous réservons la possibilité de futures actions en fonction de l'attitude à venir de nos pouvoirs publics et la teneur des réponses qui seront les leurs.

Bonne lecture et merci à tous de votre large soutien!


Nous vous recommandons aussi vivement la lecture des articles suivants rédigés par deux co-signataires médecins de ce courrier.



Cf. aussi cet article du Dr Gérard Delépine, chirurgien orthopédiste, oncologue et statisticien, sur le confinement: « Confinement, cette mesure d’enfermement collectif est-elle efficace ? Chiffres OMS de mortalité comparés »

message anonyme laissé sur la toile, qui illustre bien les préoccupations grandissantes de nombreux citoyens...
message anonyme laissé sur la toile, qui illustre bien les préoccupations grandissantes de nombreux citoyens...