Publié le 24 Mai 2017
Source : https://patrickfrasellepsychanalyse.blogspot.com/2018/08/psychanalyse-du-policier-crs-gendarme.html?fbclid=IwAR2A4snWqa4X2IS1FEV6G4N50Nnw8JqWoYkfmNGjXvclBBi1c2sijETWr6kPsychanalyse du policier CRS gendarme - ces pervers, psychopathes, sociopathes et autres névrosés professionnels par Patrick FRASELLE psychanalyste
a) Au premier niveau - modèle viril et masculin - le petit garçon veut devenir aviateur, footballeur, policier ou pompier. C'est le premier degré du "masculin". Il rattache ainsi son inconscient à l'inconscient collectif; c'est-à-dire, à la fratrie anthropologique des mâles et de leurs rôles dans une société à-priori binaire, balancée par les concepts masculin - féminin séparé culturellement.
C'est un modèle basique, étroit, étriqué et restrictif via le modèle culturel d'une majorité de sociétés. Tout jeune, l'enfant imite les modèles qui l'entourent (parents, éducateurs, professeurs, cultures locales). Mais, c'est aussi le vacarme physiologique induit par l'inconscient de la testostérone chez l'enfant mâle qui agit-là. Envolée hormonale incontrôlable qui se concrétisera dès la pré-adolescence. Son masculin en devenir est vécu en fanfare et en fantasmes. Eu égard à sa construction psychique profonde et génétique, c'est le modèle de l'homme, du "père", de l'identification à la force, à la puissance selon les références culturelles, parentales, environnementales et anthropologiques... Le phallus psychique inconscient étant en pleine "gestation" symbolique.
Aussi l'identification par les jeux, les jeux-vidéos, les films, les jouets, les substituts divers, etc.
Incise Il y aura un débat à avoir eu égard à la conscience psychique ou à la perversité due à la rigidité des femmes qui s'engagent comme CRS ou comme policière : désir phallique, projet de vengeance, violence larvée, refoulements divers, concurrence avec le mâle, perte du féminin, blocage du féminin, concurrence des sexes, ou autres substrats névrotiques ou psychopathologiques plus personnels conscients ou inconscients. Où est le projet socialement créatif et positif dans ce choix professionnel face à la population ?
Dans une société décadente de fin de civilisation qui - hormis les progrès sociaux ainsi que les ouvertures nécessaires et admises - marche complètement sur la tête.
Aussi au plan émotionnel, psychiatrique cet état de fait est très loin d'être banal comme choix "professionnel" ou plutôt comme état d'esprit. Vu les caractéristiques de cette activité d'être CRS, ce choix de société est bel et bien cet état d'esprit avec tout ce qui en découle de délétère et non un choix professionnel socialement noble à-priori.
Abus de pouvoir des CRS utilisant des armes - analyse par le Défenseur des Droits - édifiant de contradiction face au réel
On n'est pas policier, militaire huissier de "justice" ou contrôleur des contributions par hasard mais bel et bien - et majoritairement - par lieux psychique et émotionnels pollués négativement. Voir le développement plus-bas.
C'est un modèle basique, étroit, étriqué et restrictif via le modèle culturel d'une majorité de sociétés. Tout jeune, l'enfant imite les modèles qui l'entourent (parents, éducateurs, professeurs, cultures locales). Mais, c'est aussi le vacarme physiologique induit par l'inconscient de la testostérone chez l'enfant mâle qui agit-là. Envolée hormonale incontrôlable qui se concrétisera dès la pré-adolescence. Son masculin en devenir est vécu en fanfare et en fantasmes. Eu égard à sa construction psychique profonde et génétique, c'est le modèle de l'homme, du "père", de l'identification à la force, à la puissance selon les références culturelles, parentales, environnementales et anthropologiques... Le phallus psychique inconscient étant en pleine "gestation" symbolique.
Aussi l'identification par les jeux, les jeux-vidéos, les films, les jouets, les substituts divers, etc.
Incise Il y aura un débat à avoir eu égard à la conscience psychique ou à la perversité due à la rigidité des femmes qui s'engagent comme CRS ou comme policière : désir phallique, projet de vengeance, violence larvée, refoulements divers, concurrence avec le mâle, perte du féminin, blocage du féminin, concurrence des sexes, ou autres substrats névrotiques ou psychopathologiques plus personnels conscients ou inconscients. Où est le projet socialement créatif et positif dans ce choix professionnel face à la population ?
Dans une société décadente de fin de civilisation qui - hormis les progrès sociaux ainsi que les ouvertures nécessaires et admises - marche complètement sur la tête.
Aussi au plan émotionnel, psychiatrique cet état de fait est très loin d'être banal comme choix "professionnel" ou plutôt comme état d'esprit. Vu les caractéristiques de cette activité d'être CRS, ce choix de société est bel et bien cet état d'esprit avec tout ce qui en découle de délétère et non un choix professionnel socialement noble à-priori.
Abus de pouvoir des CRS utilisant des armes - analyse par le Défenseur des Droits - édifiant de contradiction face au réel
On n'est pas policier, militaire huissier de "justice" ou contrôleur des contributions par hasard mais bel et bien - et majoritairement - par lieux psychique et émotionnels pollués négativement. Voir le développement plus-bas.
Par ailleurs d'autres garçons, d'autres enfants mâles s'en écartent et activent un choix moins dichotomique. Plus nuancé, plus sensible, plus ouvert du point de vue de la sensation psychique ainsi que des capacités émotionnelles, plus artistique. Le mélange masculin-féminin (yin et yang) est infiniment plus subtil opposé au modèle du masculin patriarcal macho épais brut de décoffrage. Cela en fera des hommes, des êtres humains profondément plus équilibrés, plus subtil ainsi que plus complet humainement ainsi que socialement.
b) Sur un premier versant. A un autre niveau plus mature (pré-adolescent, adolescent et post-adolescent) son choix inconscient devenu conscient peut rester fixé dans son psychisme comme il peut s'en détacher pour diverses raisons. S'il reste plus ou moins fixé au choix premier, son émotionnel ainsi ses valeurs humaines personnelles - se valident - en s'identifiant à des valeurs positives. C'est l'idéal créatif assorti du sentiment de bien-faire : justice (il ne sait pas encore qu'elle n'existe pas, qu'elle n'est qu'une abstraction, une farce, un odieux mensonge et qu'elle est pourrie politisée corrompue, gangrenée ainsi que salie par des castes souterraines pour ne pas nommer la franc-maçonnerie), aider son prochain, lutter contre le mal, lutter contre la violence, lutter contre la laideur, protéger les plus faibles, faire des interventions courageuses, développer et vivre ses facultés d'empathie, etc. Bref vivre à plein temps sa maturité d'homme sa sensibilité ainsi que son humanité.
Et ce, selon un modèle anthropologiquement et socialement fort. Fort culturellement ainsi que civilisationnel. Au niveau inconscient puis conscient c'est un choix humain et créateur d'énergies positives. Ce policier est sain psychiquement. Il est entièrement en adéquation avec lui-même, avec son choix professionnel profond ainsi qu'avec la société. C'est le projet d'amour. Et ce policier est une belle personne humainement adéquate. Et, profondément respectable.
Mais souvent ces policiers remplis d'idéaux positifs - déçus - se suicident ou bien quittent la police constatant que leurs collègues ainsi que toute leur hiérarchie sont violents, abjects, magouilleurs, menteurs et corrompus.
Mais souvent ces policiers remplis d'idéaux positifs - déçus - se suicident ou bien quittent la police constatant que leurs collègues ainsi que toute leur hiérarchie sont violents, abjects, magouilleurs, menteurs et corrompus.
c) Sur un autre versant.. Au-delà, au plan réel et symbolique, ce choix de profession est loin d'être banal et non innocent : force loi autorité code civil code pénal un pied dans la force de frappe prison cachot surveiller ergoter pinailler frustrer emmerder menacer réprimander violence irrespect tutoiement abusif mépriser l'autre porter une arme porter des menottes porter des armes pré-létales ou bien létales frapper avec "légalité" mutiler démolir blesser matraquer assommer voire tuer un autre avec "permis de tuer" utiliser l'abus de pouvoir la magouille et le mensonge permanent se croire intouchable ainsi que tout permis. Appliquer des règles étroites sans aucune forme de jugeote "parce que c'est la loi" et ainsi, étouffer toute forme de vie.
En bref, la définition parfaite de l'idiot patenté et pas tentant ! Racisme machisme sexisme. Protéger l'ensemble de l'oligarchie. Agir en permanence au-dessus des lois alors qu'il devrait être le parfait modèle... loyal.
En bref, la définition parfaite de l'idiot patenté et pas tentant ! Racisme machisme sexisme. Protéger l'ensemble de l'oligarchie. Agir en permanence au-dessus des lois alors qu'il devrait être le parfait modèle... loyal.
Aussi : cow-boyades, préjugés, violeurs, voleurs, maître-chanteur, identification aux séries policières américaines de série B, etc. Néo-nazis, voyous, suppôts d'extrême-droite en puissance par la symbolique de la force castrée psychiquement. Intégration dans une caste à part au mépris total de la société dans son ensemble. Corporatisme primaire.
Psychanalytiquement, nous savons qu'il est extrêmement dangereux d'accorder du pouvoir à un individu. D'autant plus quand cet individu se révèle être un sombre idiot utile pour d'autres qui sont eux aussi avides de pouvoir ! Mais qui mange une part du gâteau beaucoup plus importante. L'armée et la police étant le dernier rempart qui protège l'oligarchie, les pouvoirs en place, les milliardaires contre les peuples méprisés et en révolte permanente.
Corruption collusions mensonges. Agir ses fantasmes sadiques. Faire toutes les infractions aux codes de la route tout en se cachant derrière son statut "d'homme de loi" faire sauter ses procès ou ceux des autres. Rouler en état d'ébriété. Se garer quatre roues sur le trottoir passage piéton ou place pour handicapé pour aller acheter sa pizza. C'est la définition du pervers sur le plan psychiatrique. Le pervers commet tous les méfaits tout en se cachant toujours du côté de la loi. Mais le lendemain il ira verbaliser les citoyens pour les infractions - qu'il faisait lui-même hier - sans vergogne.
Cherchez l'erreur ! Comportement quotidien ainsi que basique de la police et pourtant pas encore les pires.
Cherchez l'erreur ! Comportement quotidien ainsi que basique de la police et pourtant pas encore les pires.
Le mauvais policier corrompu et en abus de pouvoir permanent est donc un pervers, un psychopathe sur le plan psychanalytique et psychiatrique. Il ne mérite que la mise à pied immédiate et définitive ainsi que l'idée d'un emprisonnement voire d'un internement. Seulement, les instances qui pourraient décider d'acter ces idées sont aussi corrompues que lui (politiques, IGPN, préfets politisés, hiérarchie policière corrompue, juges et magistrats) et protègent ce genre de police défectueuse principalement par collusion puisque cette police protège cette classe politique perverse et corrompue ainsi que la magistrature perverse et corrompue. On est proche de la droite, de l'extrême droite autant que des idées fascistes ou dictatoriales.
D'où : le policier, cet idiot utile, c'est confirmé...
Une majorité des forces de l'ordre sont corrompues ainsi qu'en collusion malhonnête autant que malsaine avec différentes coteries issues de l'oligarchie autoritaire. Aussi la justice corrompue et à deux vitesses tout autant que les différents préfets, politiques divers et toutes formes de hiérarchie policière perverties et pas très nettes.
Une majorité des forces de l'ordre sont corrompues ainsi qu'en collusion malhonnête autant que malsaine avec différentes coteries issues de l'oligarchie autoritaire. Aussi la justice corrompue et à deux vitesses tout autant que les différents préfets, politiques divers et toutes formes de hiérarchie policière perverties et pas très nettes.
D'un point de vue des systèmes de défense définis par la psychanalyse - se définir comme étant du côté de la loi (*Surmoi liquide transgressif aménagé = abus de pouvoir mensonge violence et corruption - OU- Surmoi rigide = bêtise manque de créativité de souplesse et intransigeance maladive à l'endroit de la collectivité) est aussi une façon de tenter de guérir sa névrose de l'envie d'être délinquant . Le désir d'être un voyou, un voleur, une crapule des grands chemins. Nous appelons cela - la formation réactionnelle - . Pour résoudre sa culpabilité par rapport à la violence un voleur deviendra un bienfaiteur, un désir de meurtre sera masqué par un excès de bienveillance, le désir de contrevenir à la loi fera de vous un policier... (pourri). Cela pourrait déjà expliquer en partie le nombre de policiers ripoux en total dysfonctionnement quant à la déontologie de leur profession très rarement respectée.
* Surmoi : en psychanalyse partie de l'appareil psychique - ensemble des règles, des règlements, des lois respectée par l'individu (éducation, valeurs du sens commun) pour que le groupe social fonctionne sans heurts ainsi que dans le respect des autres. Fonctionne en intelligence souple issue du bon sens ou bien en rigidité (Surmoi rigide pathologique).
* Surmoi : en psychanalyse partie de l'appareil psychique - ensemble des règles, des règlements, des lois respectée par l'individu (éducation, valeurs du sens commun) pour que le groupe social fonctionne sans heurts ainsi que dans le respect des autres. Fonctionne en intelligence souple issue du bon sens ou bien en rigidité (Surmoi rigide pathologique).
Le mauvais policier est donc un délinquant un voyou qui s'ignore ou qui ne s'ignore pas.
Les CRS - quelques fachos s'amusant à casser les citoyens sous prétextes d'ordres reçus...
Les CRS - quelques fachos s'amusant à casser les citoyens sous prétextes d'ordres reçus...
Certaines professions paraissant à priori très malsaines dans le choix psychique profond et ceci confirme cela. Une profession comme celles décrites plus haut a un ancrage symbolique puissant et puisant dans l'inconscient de l'individu. Masquant un projet de haine, de vengeance, de violence sur autrui, tout en se cachant derrière un discours positif socialement reconnu (avocat voyou - huissier de justice ordurier - notaire et curateur détournant argent et biens dépouillant ainsi ses clients - contrôleur des contributions fasciste, contrôleur de la TVA légèrement violent administrativement et partial, etc.).
Sur un versant plus négatif et destructeur, le policier dans un choix plus inconscient (ensuite devenu probablement conscient) - qu'il soit jeune ou bien plus âgé - adhère bien souvent à un choix de psychopathe profond : pouvoir, agir le pouvoir, abus de pouvoir, agir la violence en toute "légalité", agresser les autres, appliquer la loi à tort et à travers, se venger, abuser, etc. Mépris, sans regrets, paranoïaque, indifférence froide, ne ressent rien pour les autres. Ou bien, sans emploi, on fait "police" comme "transporteur routier" "taxi" ou "jardinier." Choix professionnel qui par obligation est une voie de garage sociale et psychique et non un choix réel incarné. Ce choix "professionnel" est tellement singulier qu'il mérite beaucoup de débat.
Le choix mental de cette profession est très discutable dès qu'elle n'y emporte pas son côté créatif serti de son lot de valeurs humaines. Une de mes patientes m'avait dit en séance (en rapport à la frustration de sa vie passée) :
"Je vais devenir policière pour faire chier les autres. Et je serai intransigeante avec tout le monde." Le rôle social positif du policier devenant ainsi l'abus de pouvoir d'une petite policière, petite personne frustrée, utilisant la vengeance à l'endroit d'innocents, au lieu de se remettre elle-même en question...
Haine de la société = psychopathes et sociopathes.
Haine de la société = psychopathes et sociopathes.
Nous avons-là une belle définition du policier idiot primaire et frustré : c'est le projet de haine. Imaginez, dès lors, le nombre de policiers frustrés qui deviennent policiers pour "faire chier les autres." Et ils sont nombreux les petits capos frustrés, bêtes, travers du système sociologique.
Cet emploi n'est donc pas un métier de noblesse - ou si peu - mais bel et bien un état d'esprit psychiquement dangereux pour la société.
Cet emploi n'est donc pas un métier de noblesse - ou si peu - mais bel et bien un état d'esprit psychiquement dangereux pour la société.
C'est également le cas du "petit sous-chef", du petit fonctionnaire, du petit guichetier qui ont un "petit pouvoir" de frustré ou de castré. Imaginez que chacun d'eux vivent leur pouvoir professionnel avec un projet de haine non élaboré et mal dissimulé.
En effet chaque choix professionnel a normalement un puissant ancrage dans la psyché de l'individu et n'est certainement pas là par pur hasard. Je pointe bien sûr les individus qui ont fait un choix professionnel dès l'enfance ou l'adolescence (vocation). Je ne parle pas des gens qui ont dû par obligation accepter n'importe quel boulot alimentaire. Quoique là aussi, cela pourrait sans doute s'analyser sur le plan psychiatrique ainsi que psychanalytique... en poussant le débat un peu plus loin...
Bêtise et violence du policier.
Beauté de certains policiers, qui se suicident ou qui quittent la police la gerboulade aux lèvres, écoeurés, dégoûtés, meurtris par la pourriture qui règne à l'intérieur de ce Corps Constitué. Les seconds étant la honte des premiers qui voulaient honorer une belle profession possiblement noble ainsi que difficile.
Merveilleux projet de société, n'est-il pas ?
Dans ces millions d'interactions négatives, notre monde est vu comme une casserole d'eau bouillante sans couvercle.
La police est remplie de belles personnes ouvertes humaines déçues ainsi que de petits néo-nazis crétins idiots bêtes analphabètes violents frustrés racistes sexistes homophobes politisés non neutres remplis d'à-priori réglant des comptes personnels sur la société posée en victime idéale ou d'extrême-droite.
Quant au pourcentage, j'ai bien mon idée - 50-50 - je me permets d'en douter.
psychanalyste - psychothérapeute
Patrick FRASELLE
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Magouilles, nazisme et violence: un «policier repenti» se livre
Patrick FRASELLE - psychanalyste psychothérapeute - patrickfrasellepsychanalyse@yahoo.fr - 0477/56.66.17
Dictature oligarchique d'Etat protégée par la dictature policière en France - Le but était de museler le peuple, le pouvoir voyous ayant peur de se faire renverser...
"Dans les derniers jours des civilisations qui s’écroulent, les idiots prennent la relève. Des généraux idiots mènent des guerres interminables et ingagnables qui mettent la nation en faillite. Des économistes idiots appellent à réduire les impôts des riches, et à couper les programmes sociaux des pauvres, en prévoyant une croissance économique basée sur un mythe. Des industriels idiots empoisonnent l’eau, le sol et l’air, suppriment les emplois et réduisent les salaires. Des banquiers idiots jouent sur les bulles financières qu’ils ont eux-mêmes créées et réduisent les citoyens à l’esclavage en vertu d’une dette qui les écrase. Des journalistes et des intellectuels idiots prétendent que le despotisme est la démocratie. Des agents de renseignement idiots orchestrent le renversement de gouvernements étrangers pour créer des enclaves sans loi où prospèrent des fanatiques fous-furieux. Des professeurs, des «experts» et des «spécialistes» idiots s’occupent, avec un jargon inintelligible et des théories obscures, à soutenir la politique des dirigeants. Des animateurs et des producteurs idiots créent des spectacles scabreux, pleins de sexe, de sang et de fantasmes."