jeudi 9 décembre 2021

Le 20h, by Le Monde Moderne - 9/12/21


 

Kairos et extrême droite? Manquait plus que ça!...


 

Vidéo ici : https://www.kairospresse.be/kairos-et-extreme-droite-manquait-plus-que-ca/


"Juste une mise au point...sur les plus belles images de ma vie..."


 

Le codeco-game - FREDMAN


 

Marcel D. sur Delfraissy et la quatrième dose


 

Idriss Aberkane - La semaine de l'Hyperdoctor : Chute des actions et du bitcoin à la suite des craintes soulevées par l’annonce du variant sud-africain Omicron

 source : https://grandangleeco.com/presentation-de-dans-loctogone-la-lettre-dinformation-didriss-aberkane/

Je suis intimement convaincu de ce que la chute des actions et des crypto-monnaies relève d'une manipulation de marché en ce qui concerne le variant au micron. On sait déjà que ce variant est beaucoup moins dangereux que le variant Delta, qui lui-même n'était pas très dangereux.

Rappelons bien que même en considérant tous les variants et bien entendu, ce variant sars cov 2  qui à un niveau de mutation très élevé, un niveau de mutation sans doute encouragé par les vaccins et les premiers traitements qui avaient été tentés, à commencer par le remdesivir (NDLR : Le remdésivir est un dérivé monophosphate d'un analogue de nucléosides de l'adénine créé par le laboratoire Gilead Sciences pour traiter la maladie à virus Ebola et les infections à virus Marburg) dont on sait qu'il est mutagène aujourd'hui.
 
Mais rappelons-nous que le sars cov 2 n'avait occupé nos hôpitaux qu'à 2% et nos salles d'urgence à 4% de leurs capacités. Donc, c'est vraiment une fausse nouvelle. Et quand on met autant d'attention et d'énergie médiatique sur une fausse nouvelle, on a la première alerte qu'il s'agit d'une manipulation, et en particulier une manipulation de marché.


On a le commentateur et essayiste au vitriol Aldo Sterone, qui vit au Royaume-Uni et qui fréquente la City de Londres, qui a très bien résumé l'idée : On sort un nouveau variant, les marchés s'effondrent, on rachète. Il est vrai que les insiders, les initiés, ont violemment profité de cette séquence en 2020. En achetant des actions de la société Boeing au plus bas, quand Boeing était en train de se rapprocher des 100 dollars et en achetant les sociétés propulsées au sommet par les effets des confinements comme Zoom (et d’autres) au prix le plus bas.

Cette capacité à pouvoir faire se pâmer le marché pour ensuite le racheter moins cher, au plus bas, est devenu une drogue pour certaines élites. On pense notamment à Nancy Pelosi (NDLR : Nancy Patricia Pelosi, née D'Alesandro le 26 mars 1940 à Baltimore, est une femme politique américaine, membre du Parti démocrate et présidente de la Chambre des représentants des États-Unis de 2007 à 2011 et depuis 2019), dont la fortune personnelle a atteint les 300 millions de dollars alors que son salaire annuel de représentante de la Chambre atteint 200 ou 280 000 dollars par an.

On voit bien qu'en fait, les initiés ont goûté à cette drogue du profit facile et qu'ils ne vont pas la lâcher.


Ajoutons à ces remarques le fait que Pfizer a sans doute manœuvré et intrigué pour pouvoir faire peur à l'Afrique du Sud, qui avait initialement refusé ces stocks de vaccins.

Peu de temps après, l'Afrique du Sud s'est retrouvée pulsée star du variant Omicron. Et surtout, l'Afrique du Sud s'est retrouvée sous embargo de facto, puisque ses avions ne pouvaient plus quitter l'Afrique du Sud.


Donc, c'est une manipulation. Mais du coup, c’est une opportunité. Et ça signifie bien qu'il faut continuer à être acheteur.

Achtung false flag

source : https://www.chroniquesdugrandjeu.com/2021/12/achtung-false-flag.html

 

L'hystérisation évoquée dans le dernier billet ne s'essouffle pas, bien au contraire. A peine la crise migratoire biélorusse évacuée, l'Ukraine fait son retour en fanfare et certains nous prédisent même sans rire la date de la prochaine invasion russe.

Joe l'Indien a eu fort à faire pour "convaincre" ses chers alliés européens de la réalité de la menace et la une du Financial Times est un formidable aveu en creux :

Une technique qui fait furieusement penser à un certain MH17 dans la même région il y a sept ans, quand Barack à frites "persuadait" les euronouilles de la responsabilité russe avec des « preuves extraordinaires » que personne n'a d'ailleurs jamais vues. Mais, comme votre serviteur le narrait dans son opus...

L’important est ailleurs. Nous sommes dans le rapport de force géopolitique, dont la guerre de l’information est une composante de plus en plus importante. À défaut de preuves de l’implication russe dans le crash du Boeing, l’émotion suscitée par la campagne de diabolisation médiatique permet aux Américains d’emporter les dernières réticences européennes et de mettre en place ce dont ils rêvent depuis longtemps : un régime de sanctions perpétuellement renouvelé contre Moscou (...) Dans un discours à l’université de Harvard, le vice-président Joe Biden l’avoue sans remords : l’Amérique a forcé la main des pays européens qui rechignaient à cette escalade suicidaire.

Il ne faut pas être grand clerc pour déceler, derrière l'actuelle tragi-comédie, les pressions faites sur le nouveau gouvernement allemand par rapport à un certain gazoduc dont nous avons déjà beaucoup parlé : si les Russes envahissent l'Ukraine, vous abandonnez définitivement Nord Stream.

S'il ne veut pas le remettre en cause, il est un fait que le néo chancelier Olaf Scholtz est moins enthousiaste vis-à-vis du tube baltique que frau Milka tandis que que sa ministre des Affaires étrangères est, en bonne écologiste, totalement alignée sur le Washingtonistan.

Attention aux false flag dans l'est ukrainien ces prochaines semaines...