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dimanche 2 février 2025

Tolstoï : La Vérité sur Trump, la Crimée et le Groenland


Plongez dans cette interview exclusive avec Tolstoï, vice-président de la Douma russe, qui dévoile sa vision sur la politique américaine sous Trump, les enjeux en Crimée et l'avenir du Groenland. Découvrez comment la Russie perçoit les pressions occidentales et les défis de la géopolitique mondiale. Restez jusqu'à la fin pour ne rien manquer et n'oubliez pas de soutenir notre chaîne en devenant membre pour accéder à encore plus de contenu exclusif ! Mots-clés : Tolstoï, Douma, Russie, Trump, Crimée, Groenland, géopolitique, sanctions, autodétermination, politique internationale, interview, RT, diplomatie, relations internationales, Donald Trump, politique américaine, décolonisation, géopolitique mondiale

samedi 11 février 2023

Escalade du conflit : la Grande-Bretagne arme l'Ukraine pour frapper la Crimée


Source : http://russiepolitics.blogspot.com/2023/02/escalade-du-conflit-la-grande-bretagne.html


Quand les pays de l'Axe atlantiste affirment, que les armes fournies à l'Ukraine ne toucheront pas le territoire russe, ils retiennent leur conception du territoire "russe", celle qui nie la volonté des peuples légitimement exprimée après le démantèlement de l'Etat ukrainien en 2014. Or, nous voyons petit à petit la Crimée entrer dans la catégorie des cibles légitimes, du point de vue de ces pays. Il est certain que, dans ce cas, la Russie entrerait réellement en guerre. Les Etats-Unis et la Grande-Bretagne, eux, sont loin, ce qui leur facilite la tâche de l'escalade militariste. En tout cas, une forme de psychose collective s'est emparée des nations européennes.

Comme le déclare le Times, la Grande-Bretagne est prête à fournir à l'Ukraine des missiles Harpoon, qui peuvent toucher une cible à 240 km et des Storm Shadow, d'une portée de 400 km. Et comme le titre l'article sans sourciller, l'Ukraine se prépare à utiliser ces roquettes contre la Crimée, c'est-à-dire contre le territoire russe.

L'idée que la Crimée est une cible militaire "légitime" du point de vue des pays de l'Axe fait son chemin, ce qui est censé "légitimer" en retour l'escalade du conflit, provoquée par eux :

"Mais ces dernières semaines, les alliés occidentaux ont assoupli leur position sur l'envoi d'armes offensives et semblent avoir accepté les arguments de l'Ukraine, selon lesquels la Crimée est un territoire occupé, qui constitue une cible légitime.

La semaine dernière, le président américain Joe Biden a effectivement doublé la gamme de l'armée ukrainienne, en incluant dans le dernier lot de soutien américain des bombes de petit diamètre, lancées depuis le sol (GLSDB), qui peuvent frapper des cibles à 93 miles de distance.

Après le don des bombes intelligentes, l'Ukraine a promis qu'elle n'atteindrait pas de cibles en Russie, mais n'a pas exclu de frapper la Crimée."

Comme Zelensky le déclare :

"Cela nous permettra de faire complètement reculer le mal de notre pays en détruisant ses bases aériennes au plus profond des territoires occupés."

Et la rhétorique est toujours la même, l'Ukraine protège l'Europe - manifestement en l'entraînant dans un conflit contre la Russie pour défendre les intérêts de la globalisation, comme l'a déclaré en substance Zelensky à Bruxelles :

""Nous nous défendons contre la force la plus anti-européenne du monde moderne", a déclaré M. Zelensky, "Nous nous défendons nous-mêmes - nous les Ukrainiens sur le champ de bataille - avec vous."

L'Ukraine continue à être le cheval de Troie du Continent européen, dans lequel sont à peine cachés les intérêts atlantistes, qui doivent conduire à la destruction du Vieux Monde, de sa richesse et de sa diversité, qui ne peuvent avoir leur place dans la globalisation. Très concrètement, la guerre lancée en Ukraine contre la Russie et le Monde russe depuis 2014, après une première tentative en 2004, arrive dans une phase décisive et dans tous les cas la face du monde en sera changée.

Mais corrigeons Zelensky, c'est lui et ses commanditaires, qui représentent un danger existentiel pour l'Europe.  

Karine Bechet-Golovko

jeudi 1 septembre 2022

Katya Kopylova, diplomate russe : “La réponse en cas d’attaque sera radicale !”

 


vidéo ici

  • Voilà une personne fort intelligente et qui aime son pays...

    DESCRIPTION SOUS LA VIDEO

    Katya Kopylova, diplomate et juriste russe francophone, a accordé à Livre Noir 2h d'entretien à Yalta en Crimée. L’occasion de tout aborder y compris les questions délicates.

    Cette diplomate connaît bien la France puisqu’elle a travaillé au sein de l’ambassade russe à Paris pendant plusieurs années. Elle est aujourd’hui rentrée à Moscou. Risque nucléaire, annexion ou rattachement de la Crimée à la Russie, Poutine malade ou pas, crimes de guerre, etc.

    Lien d'invitation : https://odysee.com/$/invite/@sarah.markus:f

    Source LIVRE NOIR

    https://odysee.com/@livrenoir:c/katya-kopylova,-diplomate-russe-%E2%80%9Cla:b

    https://www.youtube.com/watch?v=xedMf06kWdU

    katya kopylovaopération spécialerussie



    vendredi 25 décembre 2015

    Les infrastructures nucléaires en Ukraine : danger constant et en augmentation / The nuclear infrastructures in Ukraine: constant and increasing danger

    MacarelLe 25 décembre 2015 à 14h19
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    Décidément, nous les “sapiens” (les mal nommés), avons créé un monde complexe (trop ???).
    Pour Dmitry Orlov, les hivers anormalement doux seraient une bénédiction par rapport à la situation de plus en plus précaire des infrastructures électro-nucléaires de l’Ukraine, liées à la situation économique et politique désastreuse de ce pays.
    extrait :
    Quel est le risque d’un accident nucléaire majeur en Ukraine ? Eh bien, il s’avère, très élevé : tout récemment on en a évité un de justesse lorsque certains Ukro-nazis ont fait sauter les lignes électriques alimentant la Crimée, déclenchant une panne d’électricité qui a duré plusieurs jours. Les Russes se sont dépêchés de mettre en place une ligne depuis la Russie continentale, permettant à la Crimée d’être à nouveau alimentée. Mais pendant que tout ceci se passait, l’Ukraine du Sud, avec ses 4 blocs d’énergie, a perdu sa connexion au réseau, et ce n’est que grâce aux très rapides, actions expertes prises par le personnel qu’à été évité un accident nucléaire.
    J’espère que vous le savez déjà, mais, juste au cas où, permettez-moi de rappeler à nouveau. Une des pires choses qui puisse arriver à un réacteur nucléaire est la perte de l’approvisionnement en électricité. Oui, les centrales nucléaires produisent de l’électricité- la plupart du temps-, mais elles doivent être alimentés en électricité tout le temps pour éviter un effondrement. C’est ce qui est arrivé à Fukushima Daiichi, avec pour résultat une dispersion au sol de radionucléides aussi loin que Tokyo, et une fuite d’une mixture radioactive dans le Pacifique, qui n’a cessé depuis, .
    Ainsi donc le scénario de cauchemar pour l’Ukraine est simple. La température descend en dessous de zéro et y reste pour quelques semaines. Les réserves en charbon et gaz naturel s’épuisent ; Les centrales thermiques sont fermées; le réseau électrique s’écroule; Les pompes de refroidissement des 19 réacteurs nucléaires (qui, soit dit en passant, n’ont probablement pas été révisées aussi récemment qu’ elles auraient dû l’être) arrêtent le pompage; fusion du coeur!
    Donc, si vous voulez dire une prière pour l’Ukraine en cette saison de Fêtes de fin d’année, ne vous donnez pas cette peine, car c’est peine perdue. Par contre dites en une pour le réchauffement climatique. Si, cet hiver reste très, très chaud, alors le scénario “19 Fukushima” pourrait être évité. Ceci n’est pas impossible: nous avons eu une succession d’ hivers anormalement chaud les uns après les autres, et chaque mois qui passe établit de nouveaux records. L’avenir semble s’annoncer chaud- voire très chaud. Prions pour qu’il ne devienne pas aussi chaud- sur le plan radioactif.
    Quand je pense que certains, proposent de construire toujours plus de réacteurs nucléaires de par le monde, pour lutter contre le réchauffement du climat. Au prétexte que c’est une énergie “bas carbone”, décidément, faire la part des choses entre les rétroactions positives ou négatives, dans un système devenu très complexe, ne va pas être une mince affaire.
    Hors de la décroissance de notre consommation d’énergie point de salut. Cela veut dire réorienter totalement nos modes de vie vers plus de sobriété, donc inverser les flux de population des villes vers les campagnes et relocaliser tout ce qui peut l’être, pour cela : une seule option, sortir du système capitaliste. C’est le défit auquel doit s’atteler sans plus attendre l’humanité, si elle croit encore en l’avenir de l’espèce.
    “Crise du capitalisme : André Gorz avait tout compris”
    En ce jour l’on peut croire au Père Noël, comme je le disais plus haut ;-)
    source : https://www.les-crises.fr/noel/