Mes amis, Michel Onfray continue sa cavalcade. Après avoir trahi ceux qui l'ont rejoint sur
Front Populaire, accompagné par son acolyte et producteur
Stéphane Simon, rien ne va plus. Si t'as mis tes billes dans sa boutique alors que tu pensais sauver la France face à la dictature sanitaire qui pointait son blair via le Covid-19, tu dois certainement te dire que tu t'es fait enfiler sévèrement. Alors je vais pas te mentir : oui, et bien profond. T'aurais mieux fait d'mettre tes billes chez moi, elles n'auraient pas servi à faire la promotion de la vaccination ou du Pass sanitaire. On en voit d'la trahison, mais il faut avouer que celle-là est costaud.
Le philosophe s'est mis du jour au lendemain avec le camp d'en face en se positionnant pour la picouse et le Pass sanitaire et critique désormais ceux qui ne se soumettent pas à la dictature sanitaire, comme étant
des capricieux « d'enfants rois ».
Comme notre anarchiste du dimanche patauge dans sa trahison la plus crasse et ayant conscience que ses soutiens prennent leur cliques et leur claques après leur avoir fait miroiter une révolution qui s'est terminée à servir Macron et les élites — on est loin, très loin du libertarien anarchiste proudhonien — , c'est donc au tour de la philosophie du bégaiement et du non-sens de faire surface (à découvrir dans les vidéos ci-dessous). Car, comprenez bien une chose,
quand tu mens, que tu trahis les tiens, que tu persistes dans le mensonge, tu auras beau nous sortir toutes tes histoires à la con, ça sentira comme dans les ruelles où tout le monde pisse pas loin d'la boîte de nuit. Mon pauvre Onfray, t'auras beau t'laver les mains quinze fois à l'hydroalcoolique, y'aura toujours cet arrière goût d'pisse.
Heureusement, cette époque malheureuse est révélatrice, nous pouvons contempler nos alliés et nos ennemis d'un seul coup d'œil...
tout remonte à la surface et voici à quoi ressemblent aujourd'hui les non-vaccinés pour Onfray : « Des racailles, des contaminateurs conscients d'avoir le Sida ou des violeurs de jeunes filles. » Rien que ça !
Point Godwin atteint.
Pour terminer sur une anecdote sympatoche, le producteur Stéphane Simon m'avait contacté à plusieurs reprises pour rejoindre l'équipe d'Onfray et le joli casting en devanture — le p'tit Marcel du peuple qui a la gouaille pour faire rire, c'est le bon plan pour ratisser large —, mais voilà, j'avais refusé pour une simple et bonne raison, je savais que le « très radical » Michel,
allait faire volte-face et dévier la colère populaire afin de la canaliser pour, au final, la trahir et rejoindre le camp ennemi. Pile-poil ce qui s'est passé ! Pour faire clair, le Front Populaire c'est clairement de la merde, c'est
la « Résistance » contrôlée par le pouvoir. Barrez-vous de là et rejoignez Le Média en 4-4-2, là où la liberté n'est pas d'avoir un Qr-code ou un pass vaccinal pour bouffer une andouillette dans le resto du coin.
Commentaire : Sur la 4e de couverture de son ouvrage sorti en 2019,
Théorie de la dictature, Michel Onfray écrivait :
Il est admis que 1984 et La Ferme des animaux d'Orwell permettent de penser les dictatures du XXe siècle. Je pose l'hypothèse qu'ils permettent également de concevoir les dictatures de toujours.
Comment instaurer aujourd'hui une dictature d'un type nouveau ?
J'ai pour ce faire dégagé sept pistes : détruire la liberté ; appauvrir la langue ; abolir la vérité ; supprimer l'histoire ; nier la nature ; propager la haine ; aspirer à l'Empire. Chacun de ces temps est composé de moments particuliers.
Pour détruire la liberté, il faut : assurer une surveillance perpétuelle ; ruiner la vie personnelle ; supprimer la solitude ; se réjouir des fêtes obligatoires ; uniformiser l'opinion ; dénoncer le crime par la pensée.
Pour appauvrir la langue, il faut : pratiquer une langue nouvelle ; utiliser le double langage ; détruire des mots ; oraliser la langue ; parler une langue unique ; supprimer les classiques.
Pour abolir la vérité, il faut : enseigner l'idéologie ; instrumentaliser la presse ; propager de fausses nouvelles ; produire le réel.
Pour supprimer l'histoire, il faut : effacer le passé ; réécrire l'histoire ; inventer la mémoire ; détruire les livres ; industrialiser la littérature.
Pour nier la nature, il faut : détruire la pulsion de vie ; organiser la frustration sexuelle ; hygiéniser la vie ; procréer médicalement.
Pour propager la haine, il faut : se créer un ennemi ; fomenter des guerres ; psychiatriser la pensée critique ; achever le dernier homme.
Pour aspirer à l'Empire, il faut : formater les enfants ; administrer l'opposition ; gouverner avec les élites ; asservir grâce au progrès ; dissimuler le pouvoir.
Qui dira que nous n'y sommes pas ?
M.O.
Ce serait risible, si ce n'était pas aussi tragique. L'homme, au discours schizophrène et visiblement atteint de dissonance cognitive, semble avoir perdu tous ses repères (pour être gentil et lui laisser le bénéfice du doute). Son AVC et le COVID qu'il a contracté l'année dernière auraient-il endommagé ses facultés mentales de manière irréversible ? L'avenir nous le dira.
Commentaire : Sur la 4e de couverture de son ouvrage sorti en 2019, Théorie de la dictature, Michel Onfray écrivait : Ce serait risible, si ce n'était pas aussi tragique. L'homme, au discours schizophrène et visiblement atteint de dissonance cognitive, semble avoir perdu tous ses repères (pour être gentil et lui laisser le bénéfice du doute). Son AVC et le COVID qu'il a contracté l'année dernière auraient-il endommagé ses facultés mentales de manière irréversible ? L'avenir nous le dira.