La Commission Bronner va-t-elle nous plonger en pleine dictature orwellienne ? |
Chère lectrice, cher lecteur, 55 % des Français se méfient des médias1. C’est le résultat d’un sondage IFOP qui a été réalisé en juin dernier en pleine crise sanitaire. Conséquence logique, les Français cherchent à diversifier leurs sources d’informations. Ils ne croient plus en la seule version servie par les médias traditionnels. Et c'est tout ce qu'il y a de plus normal : nos concitoyens tentent de chercher par eux-mêmes la vérité. Pour le Gouvernement et les médias c’est une catastrophePour le Gouvernement et les médias c’est bien sûr une catastrophe. Les médias voient leur audience s’effondrer. Et le Gouvernement se rend compte qu’il n’a plus le monopole de la vérité. Plutôt que de réfléchir à ce qui provoque cette crise de confiance (les mensonges, les erreurs non reconnues, les censures plus ou moins directes etc.) l’Etat et les médias préfèrent crier au loup et tirer la sonnette d’alarme. C’est ainsi que se multiplient les déclarations indignées des hommes politiques sur les plateaux TV. Ou que fleurissent un peu partout les gros titres sur le thème : les Français tombent dans le panneau des théories du complot ! Les Français seraient manipulés par d’obscures organisations et seraient prêts à se jeter tête baissée dans les bras des plus grandes fake news qui soit :
La dernière initiative en date pour contrôler la véritéCe mercredi 29 septembre, le président Macron lui-même s’est emparé de l’affaire. Il a ouvert une commission contre la désinformation et le complotisme : la "Commission Bronner"2 du nom du sociologue Gérald Bronner. Comme toujours avec ce genre d’initiative, l’objectif est louable. Il s’agit de mesurer l’impact d’internet sur la démocratie et les dangers du numérique sur la cohésion nationale. Moi qui commence à avoir un peu d’expérience, je pense que cette démarche est déplorable et dangereuse. Le résultat final est prévisible. Cela se traduira à nouveau par recul des libertés : liberté de s’exprimer, liberté de s’informer. Cette surveillance permanente des opinions est une menace grave pour nos démocraties. Ces derniers mois nous ont prouvé que la notion de complotisme s’était considérablement élargie. Sous cette étiquette infamante on ne met plus seulement les huluberlus qui expliquent que le voyage sur la Lune n’a jamais eu lieu ou que nous sommes gouvernés par des reptiliens... On y met désormais tous ceux qui osent simplement discuter, réfléchir et émettre une opinion différente sur la crise sanitaire et sa (mauvaise) gestion. Faut-il rappeler que cette crise a été une formidable occasion pour Big Pharma, le Gouvernement et les médias de lancer une attaque massive et globale contre toutes les médecines alternatives ? Depuis 18 mois :
Nous réveillerons-nous demain dans une dictature orwellienne où la pensée unique aura triomphé de la vérité scientifique et du bon sens8 ? Cette question me hante et c’est pourquoi, plus que jamais, je travaille avec mes équipes pour recréer une communauté d’expression libre de la santé. Prenez soin de vous, Thibaut Masco de Santé Non Censurée |
PS : Et vous, n’avez-vous pas l’impression de perdre un peu plus chaque jour vos libertés ? Cliquez ICI pour réagir. |
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