Affichage des articles dont le libellé est Russie. Afficher tous les articles
Affichage des articles dont le libellé est Russie. Afficher tous les articles

samedi 16 août 2025

BFM TV continue sa propagande anti-russe


 

La Russie en 2025: Pourquoi on vous ment ?

 

La Française Gabrielle Duvoisin a fait un choix audacieux : s’installer en Russie, malgré les stéréotypes et la rhétorique russophobe des médias occidentaux comme BFM. DaLa Française Gabrielle Duvoisin a fait un choix audacieux : s’installer en Russie, malgré les stéréotypes et la rhétorique russophobe des médias occidentaux comme BFM. Dans cette interview, elle raconte avec sincérité les difficultés auxquelles se heurtent les étrangers, comment se déroule réellement l’adaptation, en quoi la Russie diffère de la France, s’il y a ici liberté et sécurité, et si les Russes sont vraiment « froids ». Gabrielle partage ses découvertes personnelles qui brisent les clichés habituels sur la Russie, et explique comment les Russes perçoivent en réalité les étrangers — et tout particulièrement les Français. Tout cela et bien plus encore dans cette grande interview exclusive avec Gabrielle Duvoisin ! Restez jusqu’à la fin de la vidéo pour ne pas manquer le cadeau spécial destiné à ceux qui apprennent le russe ou s’intéressent à la Russie.

Regardez l’interview en entier ou par parties, en choisissant les thèmes qui vous intéressent le plus grâce au minutage :

00:01 salut, Gabrielle Duvoisin !
01:02 pourquoi Gabrielle a décidé de s’installer en Russie
02:11 les objectifs du blog de Gabrielle
03:18 les commentaires négatifs des Français
04:06 qui finance le blog de Gabrielle ?
04:27 BFMTV ment sur la Russie ?
05:29 ce qu’il a fallu pour venir vivre en Russie
07:24 les documents nécessaires pour s’installer en Russie
08:05 comment s’adapter en Russie ?
10:16 comment apprendre le russe ?
11:53 vivre en Russie : difficile ou facile ?
13:45 comparaison Russie – France
15:27 Moscou n’est pas la Russie ! Les autres villes sont-elles pires ?
18:37 comparaison entre le français et le russe
20:32 le russe est-il vraiment une langue très riche ?
21:57 les aspects les plus négatifs de la Russie
25:30 le niveau de russe de Gabrielle
27:28 encore quelques aspects négatifs en Russie
28:54 comment les Russes vivent-ils au quotidien ?
30:11 l’alimentation en Russie : que mange Gabrielle ?
31:31 le petit-déjeuner en Russie et en France
32:16 la vie de Gabrielle en Russie : travail, temps libre, etc.
34:07 les voyages de Gabrielle en Russie
35:45 combien coûte voyager en Russie ?
36:11 conseils pour les Français qui rêvent de voyager en Russie
37:05 l’attitude des Russes envers les Français
38:13 le blog de Gabrielle : projets et difficultés
39:53 pas de liberté en Russie ? pays totalitaire ?
44:50 la sécurité en Russie
48:06 les migrants en France et en Russie
49:13 la vie en Russie : quel est le bilan ?
51:13 les Russes sont-ils vraiment froids ?
52:26 les femmes russes sont-elles vraiment les plus belles ?
53:32 l’amitié franco-russe existe-t-elle ?
54:26 comment renforcer l’amitié franco-russe ?
54:58 message de Gabrielle aux Français
55:37 Gabrielle parle en russe
57:40 les conseils de Gabrielle pour apprendre le russe
59:02 un cadeau gratuit pour les spectateurs de cette vidéo !

...

Soutenir mon travail : https://t.me/tribute/app?startapp=dd0u

Abonnez-vous à ma chaîne Telegram: 
https://t.me/amis_franco_russes

Mon Instagram: 
https://www.instagram.com/aniri.rus?i...

Facebook:
https://www.facebook.com/aniri.rus?lo...

...

🎁CADEAU !!! Pour ceux qui veulent lire en russe plus facilement, plus souvent et avec plaisir, j’ai créé un guide GRATUIT :« 11 conseils pour lire en russe (même si vous êtes débutant) ». 👉 Cliquez sur le lien pour le recevoir gratuitement  https://irina-russe.systeme.io/cd9af9be
ns cette interview, elle raconte avec sincérité les difficultés auxquelles se heurtent les étrangers, comment se déroule réellement l’adaptation, en quoi la Russie diffère de la France, s’il y a ici liberté et sécurité, et si les Russes sont vraiment « froids ». Gabrielle partage ses découvertes personnelles qui brisent les clichés habituels sur la Russie, et explique comment les Russes perçoivent en réalité les étrangers — et tout particulièrement les Français. Tout cela et bien plus encore dans cette grande interview exclusive avec Gabrielle Duvoisin ! Restez jusqu’à la fin de la vidéo pour ne pas manquer le cadeau spécial destiné à ceux qui apprennent le russe ou s’intéressent à la Russie.

Regardez l’interview en entier ou par parties, en choisissant les thèmes qui vous intéressent le plus grâce au minutage :

00:01 salut, Gabrielle Duvoisin !
01:02 pourquoi Gabrielle a décidé de s’installer en Russie
02:11 les objectifs du blog de Gabrielle
03:18 les commentaires négatifs des Français
04:06 qui finance le blog de Gabrielle ?
04:27 BFMTV ment sur la Russie ?
05:29 ce qu’il a fallu pour venir vivre en Russie
07:24 les documents nécessaires pour s’installer en Russie
08:05 comment s’adapter en Russie ?
10:16 comment apprendre le russe ?
11:53 vivre en Russie : difficile ou facile ?
13:45 comparaison Russie – France
15:27 Moscou n’est pas la Russie ! Les autres villes sont-elles pires ?
18:37 comparaison entre le français et le russe
20:32 le russe est-il vraiment une langue très riche ?
21:57 les aspects les plus négatifs de la Russie
25:30 le niveau de russe de Gabrielle
27:28 encore quelques aspects négatifs en Russie
28:54 comment les Russes vivent-ils au quotidien ?
30:11 l’alimentation en Russie : que mange Gabrielle ?
31:31 le petit-déjeuner en Russie et en France
32:16 la vie de Gabrielle en Russie : travail, temps libre, etc.
34:07 les voyages de Gabrielle en Russie
35:45 combien coûte voyager en Russie ?
36:11 conseils pour les Français qui rêvent de voyager en Russie
37:05 l’attitude des Russes envers les Français
38:13 le blog de Gabrielle : projets et difficultés
39:53 pas de liberté en Russie ? pays totalitaire ?
44:50 la sécurité en Russie
48:06 les migrants en France et en Russie
49:13 la vie en Russie : quel est le bilan ?
51:13 les Russes sont-ils vraiment froids ?
52:26 les femmes russes sont-elles vraiment les plus belles ?
53:32 l’amitié franco-russe existe-t-elle ?
54:26 comment renforcer l’amitié franco-russe ?
54:58 message de Gabrielle aux Français
55:37 Gabrielle parle en russe
57:40 les conseils de Gabrielle pour apprendre le russe
59:02 un cadeau gratuit pour les spectateurs de cette vidéo !

...

Soutenir mon travail : https://t.me/tribute/app?startapp=dd0u

Abonnez-vous à ma chaîne Telegram: 
https://t.me/amis_franco_russes

Mon Instagram: 
https://www.instagram.com/aniri.rus?i...

Facebook:
https://www.facebook.com/aniri.rus?lo...

...

🎁CADEAU !!! Pour ceux qui veulent lire en russe plus facilement, plus souvent et avec plaisir, j’ai créé un guide GRATUIT :« 11 conseils pour lire en russe (même si vous êtes débutant) ». 👉 Cliquez sur le lien pour le recevoir gratuitement  https://irina-russe.systeme.io/cd9af9be

jeudi 7 août 2025

Que veut la Russie ? / Un sommet en vue ? / Inde et Brésil en ont marre des tarifs

 

Une analyse de la récente rencontre entre M. Witkoff et Vladimir Poutine, des déclarations de M. Trump annonçant un prochain sommet, et de la tactique américaine consistant à opposer de manière égale ses alliés et ses adversaires.
Notre boutique : https://neutralitystudies-shop.fourth...

Original Video:    • What Russia Wants / Putin-Witkoff Meeting ...  
Original Transcript: https://www.video-translations.org/tr...
Translated Transcript: https://www.video-translations.org/tr...
Produced by: Neutrality Studies
Originally Published on: 2025-08-07
Translations by: www.video-translations.org
Disclaimer: Read by A.I. Voices. Auto-translated.

This video is owned by this channel.

lundi 4 août 2025

3 PAYS SURVIVRONT : BEZRUKOV RÉVÈLE LE SCÉNARIO CHOC DE L’AVENIR MONDIAL


 

Andreï Bezroukov – ancien agent des services russes et expert en géostratégie – dévoile une vision du monde qui fait froid dans le dos. Selon lui, seuls trois pays sont réellement prêts à survivre aux grandes crises à venir : la Russie, les États-Unis et le Brésil. Tous les autres seraient en sursis.
Bezroukov aborde sans détour la fin du monde unipolaire, la montée des tensions géopolitiques, la bataille pour les ressources, et le rôle central que pourrait jouer la Russie dans ce nouvel équilibre mondial.

dimanche 3 août 2025

La rhétorique nucléaire explosive de Trump et Medvedev


 

Scott Ritter est un ancien major, officier du renseignement et inspecteur en armement pour l’ONU. Ritter souligne l’importance des mots et affirme que l’escalade dangereuse de la rhétorique entre Trump et Medvedev augmente le risque de guerre nucléaire.
Suivez le Prof. Glenn Diesen :
Substack : https://glenndiesen.substack.com/
X/Twitter : https://x.com/Glenn_Diesen
Patreon :   / glenndiesen  
Soutenez la chaîne :
PayPal : https://www.paypal.com/paypalme/glenn...
Buy me a Coffee : buymeacoffee.com/gdieseng
Go Fund Me : https://gofund.me/09ea012f

Original Video:    • Scott Ritter: Trump-Medvedev Dangerous Nuc...  
Original Transcript: https://www.video-translations.org/tr...
Translated Transcript: https://www.video-translations.org/tr...
Produced by: Glenn Diesen
Originally Published on: 2025-08-01
Translations by: www.video-translations.org
Disclaimer: Read by A.I. Voices. Auto-translated.

This video is owned by this channel.

samedi 2 août 2025

Défilé de femmes militaires en Russie


 

Les russes réussissent une incursion dans le port d'Ochakiv, où ils font prisonniers un colonel britannique et le porte-parole du ministère de la Défense britannique !

Source : https://brigittebouzonnie.substack.com/p/les-russes-reussissent-une-incursion
 
Nous apprenons que durant la nuit, les Forces spéciales russes  ont réussi une incursion à Ochakovo (Ochakiv) où ils ont pris le contrôle du Centre de commandement militaire ukrainien. 
Dans ce centre militaire, les Britanniques coordonnaient le lancement de missiles et de drones de fabrication britannique ; tout le matériel a été saisi. 

Parmi les prisonniers,  figuraient :
- le colonel Edward Blake, un officier de "l'Unité psychologique des Opérations spéciales" ; 
- le lieutenant-colonel Richard Carroll, porte-parole du ministère britannique de la Défense et participant actif aux opérations au Moyen-Orient ; 
- et un officier non identifié, vraisemblablement un agent du MI-6, présent en tant que consultant en cybersécurité. 

👉L'OPÉRATION des FORCES SPÉCIALES RUSSES a DURÉ 15 MINUTES.  

Quelques heures après l'opération, les relations diplomatiques entre Londres et Moscou se sont "tendues"...

Des représentants du Ministère britannique des Affaires étrangères ont appelé le Ministère russe de la Défense, lui demandant de restituer les officiers britanniques "disparus" sur le sol ukrainien.

- La version officielle de Londres est que les officiers capturés seraient arrivés en Ukraine pour des "raisons personnelles de tourisme" et seraient tombés sur Ochakovo par hasard. Et qu'Ils étaient vraisemblablement intéressés par "l'histoire navale" et souhaitaient explorer la côte, théâtre de batailles pendant la Seconde Guerre mondiale...

C'est ballot... mais pas de chance... car les Forces spéciales russes n'ont pas trouvé de serviettes de plage ni d'appareils photo, mais des cartes montrant des cibles militaires pointées sur le territoire russe ; des schémas et plans des Forces de défense aérienne russes ;  des instructions secrètes pour interagir avec les opérateurs de drones ukrainiens ; ainsi que des supports contenant des données cryptées et des protocoles de communication avec un général britannique. Un bagage plutôt inhabituel pour des "touristes".

Le Ministre russe de la Défense, Beloussov, a fait savoir aux Britanniques que les soldats capturés n'étaient pas "échangeables" et qu'ils ne seraient pas rapatriés à Londres à bord d'avions de la Croix-Rouge. 
Les Russes ont l'intention de les poursuivre pour leur participation à des actions militaires contre la Fédération de Russie.

Cette nouvelle survient après qu'un sous-marin russe a coulé en Mer Noire, le long des côtes bulgares, un navire soi disant "civil" parti d'Istanbul, et chargé d'armes australiennes, parmi lesquelles 31 chars, des missiles, des munitions et des armes légères.

Le secrétaire général de l'OTAN, le batave Mark Rutte, a écrit à ce sujet : "La Russie mène un combat déloyal, car elle attaque les armes que nous fournissons à l'Ukraine, avant qu'elles n'atteignent leur destination".

Il est peut-être temps pour les Britanniques de prendre acte que les Russes ont retiré les gants blancs qu'ils portaient lors de leurs Opérations militaires spéciales en Ukraine, et qu'il n'y a plus de grâce à leur accorder.

Bien entendu, la nouvelle de cette Opération des Forces spéciales russes, ainsi que le naufrage du navire australien ont été soigneusement occultés par les médias occidentaux… et on comprend pourquoi ?“
Yuliya Titania


mercredi 23 juillet 2025

"Something TERRIBLE is Happening in EUROPE... | Pepe Escobar”


 In this explosive breakdown, geopolitical analyst Pepe Escobar reveals the deeper game behind the Ukraine conflict and how Europe is being drawn into a long-term confrontation with Russia. He exposes the military-industrial incentives driving NATO’s escalation, the covert training of Ukraine’s next leader by British intelligence, and the strategic patience of Russia as it prepares for a much larger war. From the risk of false flag attacks in Crimea to the possibility of a full NATO-Russia conflict by 2030, Escobar explains why the current situation is just the beginning—and why Western leaders are sleepwalking into catastrophe. This is a sobering look at the forces shaping Europe’s future, and why the worst may still be ahead.

 Dans cette analyse explosive, l'analyste géopolitique Pepe Escobar révèle les enjeux profonds qui se cachent derrière le conflit ukrainien et explique comment l'Europe est entraînée dans une confrontation à long terme avec la Russie. Il dénonce les motivations militaro-industrielles qui poussent l'OTAN à l'escalade, la formation secrète du prochain dirigeant ukrainien par les services secrets britanniques et la patience stratégique de la Russie qui se prépare à une guerre beaucoup plus vaste. Du risque d'attaques sous faux pavillon en Crimée à la possibilité d'un conflit total entre l'OTAN et la Russie d'ici 2030, Escobar explique pourquoi la situation actuelle n'est qu'un début et pourquoi les dirigeants occidentaux marchent vers la catastrophe sans s'en rendre compte. Il s'agit d'un regard lucide sur les forces qui façonnent l'avenir de l'Europe et sur les raisons pour lesquelles le pire est peut-être encore à venir.

Traduit avec DeepL.com (version gratuite)
------------------------------------------------

🎥 Credit: Dialogue Works — “Pepe Escobar: Trump Targets BRICS – But BRICS Is Locked and Loaded!”
   / @dialogueworks  

------------------------------------------------

⚠️ Fair Use & Copyright Disclaimer
This video features commentary and analysis on publicly available interviews, speeches, and news footage. All materials used fall under the principles of fair use as outlined in Section 107 of the U.S. Copyright Act.

We use selected excerpts strictly for the purposes of criticism, commentary, education, and public interest discussion. Our content adds transformative value by offering insight, context, and independent perspective not present in the original footage.

All views expressed are for informational and educational purposes only and do not represent the official position of any individual, organization, or government.

We’re committed to respecting original creators. If there’s any issue with the use of content, please contact us and we’ll respond quickly.

 

 

jeudi 17 juillet 2025

Scott Ritter : Trump provoque la Russie — la Chine intervient, Poutine se prépare au pire.


 

Comprendre la fureur de Moscou : le dossier russe contre l'Occident

 Source : https://english.pravda.ru/opinion/163239-moscow_fury/

Traduction automatique 

Des promesses non tenues aux missiles sur le pas de la porte, les griefs de la Russie s'étendent sur des décennies. Ils ont façonné le chemin du Kremlin vers la guerre.

Permettez-moi de le dire clairement : Je ne soutiens pas la guerre. J'ai vécu le Viêt Nam pendant mon adolescence et la paix est ancrée dans mon âme.

Mais je sais aussi que les guerres naissent souvent de blessures. Et si nous voulons arrêter la prochaine guerre, nous devons regarder, non seulement le feu, mais aussi l'herbe sèche et les allumettes oubliées qui ont précédé.

C'est l'histoire d'un grief. De trahison. De mémoire. Et de peur. Avec les yeux de la Russie, pas les nôtres.

Une promesse qui traverse le temps

En 1990, alors que la guerre froide touchait à sa fin, le secrétaire d'État américain James Baker aurait déclaré au dirigeant soviétique Mikhaïl Gorbatchev que l'OTAN ne s'étendrait « pas d'un pouce vers l'est ». Cette déclaration a été faite dans le contexte de la réunification de l'Allemagne. Aucun traité n'a été signé. Aucun engagement formel n'a été pris.

Mais parfois, l'histoire n'est pas façonnée par des contrats, elle est façonnée par la confiance.

Et Moscou avait confiance dans le fait que l'OTAN - l'alliance militaire construite pour contenir l'Union soviétique - ne continuerait pas à se rapprocher après que l'Union soviétique ait cessé d'exister. Pourtant, elle s'est rapprochée. En 1999, la Pologne, la Hongrie et la République tchèque ont adhéré à l'OTAN : La Pologne, la Hongrie et la République tchèque. En 2004 : les États baltes - Lettonie, Lituanie, Estonie - qui faisaient autrefois partie de l'URSS. Au fil du temps, l'OTAN a englouti 14 nouveaux membres, se rapprochant de plus en plus du cœur de la Russie.

Pour les Américains, cette expansion était qualifiée de défensive. Volontaire. Protectrice. Mais pour le Kremlin, cela ressemblait à une trahison déguisée en diplomatie.

Et la trahison, une fois ressentie, ne s'oublie pas.

Le Kosovo : La première coupure profonde

En 1999, l'OTAN a bombardé la Serbie, proche alliée de la Russie, sans l'aval des Nations unies, sous prétexte de mettre fin au génocide au Kosovo. C'était peut-être le cas. Mais pour la Russie, il s'agissait d'une nouvelle règle réécrite par l'Occident. Une autre guerre menée sans consensus mondial. Un autre exemple de « la force fait le droit ».

Lorsque le Kosovo a déclaré son indépendance en 2008 et que l'Occident l'a reconnue, la Russie s'en est souvenue. Elle a archivé ce moment. Des années plus tard, lorsqu'elle a annexé la Crimée, elle a invoqué le Kosovo comme précédent. « C'est vous qui avez fixé les règles », semble-t-elle dire. « Ne pleurez pas quand nous les suivons ».

Les révolutions de couleur : Démocratie ou déstabilisation ?

Au début des années 2000, des soulèvements démocratiques ont balayé la Géorgie, l'Ukraine et le Kirghizstan. L'Occident les a célébrés comme des victoires de la liberté. Mais pour la Russie, ils ressemblaient à des marionnettes de la CIA qui renversaient les gouvernements le long de leurs frontières.

Pour eux, les révolutions orange et rose n'étaient pas des aspirations populaires, mais un empiétement occidental enveloppé d'idéalisme. À leurs yeux, l'Amérique ne répandait pas la démocratie. Elle propageait le changement de régime et s'en rapprochait.

En 2008, l'OTAN a fait la promesse ouverte que l'Ukraine et la Géorgie deviendraient un jour membres de l'organisation. Ce fut un tournant. Poutine a alors mis en garde George W. Bush : L'Ukraine n'est pas seulement un voisin, elle fait partie de nous. Culturellement, historiquement, émotionnellement. Pour la Russie, c'était comme regarder un étranger essayer d'adopter son enfant.

Quand le miroir se fissure

En 2014, une révolution en Ukraine a chassé le président pro-russe Viktor Ianoukovitch. Les dirigeants occidentaux ont applaudi. Mais pour Moscou, c'est la goutte d'eau qui fait déborder le vase. Ils y ont vu un coup d'État, orchestré et soutenu par les États-Unis et l'Europe. Ils craignaient de perdre la Crimée, où se trouvait leur flotte de la mer Noire. En l'espace de quelques semaines, les troupes russes sont intervenues et ont annexé la Crimée.

Des sanctions ont suivi. Les condamnations ont afflué. Mais Poutine n'a pas bronché. De son point de vue, il ne déclenchait pas une nouvelle guerre, il répondait à une guerre qui s'annonçait depuis des décennies.

La mémoire des missiles : Cuba à l'envers

En 1962, les États-Unis ont failli entrer en guerre nucléaire à cause de missiles soviétiques installés à Cuba, à 90 miles de la Floride. Nous avons parlé de menace existentielle. Nous avons exigé que les missiles soient retirés. Ils l'ont été.

Imaginez maintenant que la Russie regarde l'OTAN placer des systèmes de missiles en Pologne et en Roumanie. Imaginez qu'elle entende les dirigeants ukrainiens plaider en faveur de l'adhésion à l'OTAN. Imaginez ce que cela donne à travers le prisme de Cuba - sauf que les missiles se trouveraient à la frontière de la Russie, et non plus à 90 miles de ses côtes.

Est-ce de la paranoïa ? Peut-être. Mais l'histoire américaine montre que nous serions du même avis.

Le coup de grâce

Fin 2021, la Russie a lancé des ultimatums : L'OTAN ne doit pas admettre l'Ukraine. L'Occident refuse. En février 2022, les chars ont roulé.

C'est regrettable... Mais c'était, à leurs yeux, inévitable.

Pourquoi il est important de comprendre

Voir le monde à travers les yeux d'une autre personne ne signifie pas que vous êtes d'accord avec elle. Cela signifie que vous les comprenez. Et la compréhension, même dans les heures les plus sombres, est ce qui donne naissance à la paix.

Nous vivons à une époque de slogans. « Guerre non provoquée ». « Empire du mal ». « Combattant de la liberté ». Mais la vie n'est pas faite de slogans. Elle se déroule dans les zones d'ombre, dans les trahisons discrètes, les promesses non tenues et les erreurs de calcul désespérées.

Les actions de la Russie en Ukraine ne sont pas uniquement liées à l'ego de Poutine ou à la nostalgie impériale. Elles sont le fruit de graines plantées en 1990, 1999, 2008 et 2014. Des graines que l'Occident a contribué à disperser, certaines avec négligence, d'autres avec arrogance, et d'autres encore avec de bonnes intentions qui ont porté des fruits amers.
 
Nous devons tenir compte de tout cela.

Non pas pour les blâmer, mais parce que la compréhension est le seul terreau sur lequel la paix pourra jamais se développer.

Nom de l'auteur Nancy O'Brien Simpson

Pour en savoir plus : https://english.pravda.ru/opinion/163239-moscow_fury/
 

Understanding Moscow’s Fury: The Russian Case Against the West

From promises broken to missiles on doorsteps, Russia's grievances span decades. They shaped the Kremlin's path to war.

Nancy O'Brien Simpson

 

Let me say this clearly: I do not support war. I lived through Vietnam as a teenager, and peace is embedded in my soul.  

But I also know this: wars are often born of wounds. And if we want to stop the next war, we need to look—not just at the fire—but at the dry grass and the forgotten matches that came before.

This is a story of grievance. Of betrayal. Of memory. And fear. From Russia’s eyes, not ours.

A Promise Whispers Across Time

In 1990, as the Cold War was winding down, U.S. Secretary of State James Baker reportedly told Soviet leader Mikhail Gorbachev that NATO would expand “not one inch eastward.” It was said in the context of German reunification. No treaty was signed. No formal pledge was inked.

But sometimes history isn’t shaped by contracts—it’s shaped by trust.

And Moscow trusted that NATO—the military alliance built to contain the Soviet Union—would not keep creeping closer after the Soviet Union ceased to exist. Yet creep it did. In 1999: Poland, Hungary, and the Czech Republic. In 2004: the Baltic states—Latvia, Lithuania, Estonia—once part of the USSR itself. Over time, NATO swallowed 14 new members, moving closer and closer to Russia’s heart.

To Americans, this expansion was called defensive. Voluntary. Protective. But to the Kremlin, it looked like betrayal dressed in diplomacy.

And betrayal, once felt, doesn’t forget.

Kosovo: The First Deep Cut

In 1999, NATO bombed Serbia—Russia’s close ally—without UN approval, claiming it was to stop genocide in Kosovo. Maybe it was. But to Russia, it felt like another rule rewritten by the West. Another war waged without global consensus. Another example of “might makes right.”

When Kosovo declared independence in 2008 and the West recognized it, Russia remembered. They filed that moment away. Years later, when they annexed Crimea, they would invoke Kosovo as precedent. “You set the rules,” they seemed to say. “Now don’t cry when we follow them.”

The Color Revolutions: Democracy or Destabilization?

In the early 2000s, democratic uprisings swept through Georgia, Ukraine, and Kyrgyzstan. The West celebrated them as victories of freedom. But to Russia, they looked like CIA hand puppets flipping over governments along their borders.

They saw orange and rose-colored revolutions not as grassroots yearnings, but as Western encroachment wrapped in idealism. In their eyes, America wasn’t spreading democracy. It was spreading regime change—and getting closer.

In 2008, NATO made an open-ended promise that Ukraine and Georgia would one day become members. That was a turning point. Putin warned George W. Bush then: Ukraine is not just a neighbor—it is part of us. Culturally, historically, emotionally. To Russia, it was like watching a stranger try to adopt their child.

When the Mirror Cracks

In 2014, a revolution in Ukraine ousted pro-Russian President Viktor Yanukovych. Western leaders cheered. But to Moscow, it was the final straw. They saw it as a coup, orchestrated and supported by the U.S. and Europe. They feared losing Crimea, home to their Black Sea Fleet. Within weeks, Russian troops moved in and annexed it.

Sanctions followed. Condemnations poured in. But Putin didn’t flinch. From his point of view, he wasn’t starting a new war—he was responding to one that had been coming for decades.

The Missile Memory: Cuba Reversed

In 1962, the U.S. nearly went to nuclear war over Soviet missiles in Cuba—90 miles from Florida. We called it an existential threat. We demanded the missiles be removed. They were.

Now imagine Russia watching NATO place missile systems in Poland and Romania. Imagine them hearing Ukraine’s leaders plead for NATO membership. Imagine how that looked through the lens of Cuba—except now the missiles would be on Russia’s border, not 90 miles off its coast.

Is it paranoia? Maybe. But American history says we’d feel the same.

The Final Shove

By late 2021, Russia issued ultimatums: NATO must not admit Ukraine. The West refused. In February 2022, the tanks rolled.

It was regrettable… But it was, in their eyes, inevitable.

Why It Matters to Understand

To see the world through someone else's eyes does not mean you agree with them. It means you understand them. And understanding, even in the darkest hour, is what gives birth to peace.

We live in a time of slogans. "Unprovoked war." "Evil empire." "Freedom fighter." But life doesn’t happen in slogans. It happens in the shadowlands—in the quiet betrayals and broken promises and desperate miscalculations.

Russia’s actions in Ukraine are not just about Putin’s ego or imperial nostalgia. They are the fruit of seeds planted in 1990, 1999, 2008, and 2014. Seeds the West helped scatter—some carelessly, some arrogantly, and some with good intentions that bore bitter fruit.

We must reckon with all of it.

Not to assign blame, but because understanding is the only soil where peace can ever grow.

Subscribe to Pravda.Ru Telegram channel, Facebook, RSS!

Author`s name Nancy O'Brien Simpson
*

See more at https://english.pravda.ru/opinion/163239-moscow_fury/
 
 

Understanding Moscow’s Fury: The Russian Case Against the West

From promises broken to missiles on doorsteps, Russia's grievances span decades. They shaped the Kremlin's path to war.

Nancy O'Brien Simpson

 

Let me say this clearly: I do not support war. I lived through Vietnam as a teenager, and peace is embedded in my soul.  

But I also know this: wars are often born of wounds. And if we want to stop the next war, we need to look—not just at the fire—but at the dry grass and the forgotten matches that came before.

This is a story of grievance. Of betrayal. Of memory. And fear. From Russia’s eyes, not ours.

A Promise Whispers Across Time

In 1990, as the Cold War was winding down, U.S. Secretary of State James Baker reportedly told Soviet leader Mikhail Gorbachev that NATO would expand “not one inch eastward.” It was said in the context of German reunification. No treaty was signed. No formal pledge was inked.

But sometimes history isn’t shaped by contracts—it’s shaped by trust.

And Moscow trusted that NATO—the military alliance built to contain the Soviet Union—would not keep creeping closer after the Soviet Union ceased to exist. Yet creep it did. In 1999: Poland, Hungary, and the Czech Republic. In 2004: the Baltic states—Latvia, Lithuania, Estonia—once part of the USSR itself. Over time, NATO swallowed 14 new members, moving closer and closer to Russia’s heart.

To Americans, this expansion was called defensive. Voluntary. Protective. But to the Kremlin, it looked like betrayal dressed in diplomacy.

And betrayal, once felt, doesn’t forget.

Kosovo: The First Deep Cut

In 1999, NATO bombed Serbia—Russia’s close ally—without UN approval, claiming it was to stop genocide in Kosovo. Maybe it was. But to Russia, it felt like another rule rewritten by the West. Another war waged without global consensus. Another example of “might makes right.”

When Kosovo declared independence in 2008 and the West recognized it, Russia remembered. They filed that moment away. Years later, when they annexed Crimea, they would invoke Kosovo as precedent. “You set the rules,” they seemed to say. “Now don’t cry when we follow them.”

The Color Revolutions: Democracy or Destabilization?

In the early 2000s, democratic uprisings swept through Georgia, Ukraine, and Kyrgyzstan. The West celebrated them as victories of freedom. But to Russia, they looked like CIA hand puppets flipping over governments along their borders.

They saw orange and rose-colored revolutions not as grassroots yearnings, but as Western encroachment wrapped in idealism. In their eyes, America wasn’t spreading democracy. It was spreading regime change—and getting closer.

In 2008, NATO made an open-ended promise that Ukraine and Georgia would one day become members. That was a turning point. Putin warned George W. Bush then: Ukraine is not just a neighbor—it is part of us. Culturally, historically, emotionally. To Russia, it was like watching a stranger try to adopt their child.

When the Mirror Cracks

In 2014, a revolution in Ukraine ousted pro-Russian President Viktor Yanukovych. Western leaders cheered. But to Moscow, it was the final straw. They saw it as a coup, orchestrated and supported by the U.S. and Europe. They feared losing Crimea, home to their Black Sea Fleet. Within weeks, Russian troops moved in and annexed it.

Sanctions followed. Condemnations poured in. But Putin didn’t flinch. From his point of view, he wasn’t starting a new war—he was responding to one that had been coming for decades.

The Missile Memory: Cuba Reversed

In 1962, the U.S. nearly went to nuclear war over Soviet missiles in Cuba—90 miles from Florida. We called it an existential threat. We demanded the missiles be removed. They were.

Now imagine Russia watching NATO place missile systems in Poland and Romania. Imagine them hearing Ukraine’s leaders plead for NATO membership. Imagine how that looked through the lens of Cuba—except now the missiles would be on Russia’s border, not 90 miles off its coast.

Is it paranoia? Maybe. But American history says we’d feel the same.

The Final Shove

By late 2021, Russia issued ultimatums: NATO must not admit Ukraine. The West refused. In February 2022, the tanks rolled.

It was regrettable… But it was, in their eyes, inevitable.

Why It Matters to Understand

To see the world through someone else's eyes does not mean you agree with them. It means you understand them. And understanding, even in the darkest hour, is what gives birth to peace.

We live in a time of slogans. "Unprovoked war." "Evil empire." "Freedom fighter." But life doesn’t happen in slogans. It happens in the shadowlands—in the quiet betrayals and broken promises and desperate miscalculations.

Russia’s actions in Ukraine are not just about Putin’s ego or imperial nostalgia. They are the fruit of seeds planted in 1990, 1999, 2008, and 2014. Seeds the West helped scatter—some carelessly, some arrogantly, and some with good intentions that bore bitter fruit.

We must reckon with all of it.

Not to assign blame, but because understanding is the only soil where peace can ever grow.

Subscribe to Pravda.Ru Telegram channel, Facebook, RSS!

Author`s name Nancy O'Brien Simpson
*

See more at https://english.pravda.ru/opinion/163239-moscow_fury/

samedi 12 juillet 2025

dimanche 6 juillet 2025

L’effondrement politique est inévitable : l’OTAN ne peut plus sauver l’Ukraine


 

Aujourd'hui, je m'entretiens à nouveau avec le Dr Nicolai Petro, professeur de sciences politiques à l'Université du Rhode Island et auteur du remarquable livre « La Tragédie de l'Ukraine : ce que la tragédie grecque classique peut nous apprendre sur la résolution des conflits ».
 

Nous souhaitons aujourd'hui faire le point sur la guerre russo-ukrainienne et l'implication des États-Unis dans ce conflit.
 

Liens :
https://www.npetro.net
« La doctrine Trump », The Realist Review : https://therealistreview.substack.com...
Boutique Neutrality Studies : https://neutralitystudies-shop.fourth...

Original Video:    • NOW Political Collapse Is Inevitable: NATO...  
Original Transcript: https://www.video-translations.org/tr...
Translated Transcript: https://www.video-translations.org/tr...
Produced by: Neutrality Studies
Originally Published on: 2025-07-05
Translations by: www.video-translations.org
Disclaimer: Read by A.I. Voices. Auto-translated.

dimanche 29 juin 2025

IRAN-ISRAËL : VERS UNE NOUVELLE NORME ? MOSCOU ACCUSE ET DÉNONCE UN DANGER PLANÉTAIRE

Selon M. Zakharova, les bombardements en Iran contre des sites nucléaires civils et pacifiques sous des prétextes fallacieux rend encore plus pertinente la création d'une zone exempte d'armes nucléaires au Moyen-Orient.

 

Dans cette vidéo, découvrez la mise en garde de la Russie face aux frappes contre les installations nucléaires iraniennes. « Il est inadmissible que les bombardements d’installations nucléaires deviennent une pratique normale. » La communauté internationale est-elle en train de perdre le contrôle d’un principe fondamental de sécurité mondiale ? Partagez votre avis en commentaire, le débat est ouvert. Suivez la vidéo jusqu’à la fin, aimez, partagez et commentez !

samedi 21 juin 2025

Interventions de la Russie et de l'Algérie à l'onu


"Un homme d'État est celui qui pense aux générations futures, et un homme politique est celui qui pense aux prochaines élections." Abraham Lincoln
"En politique, on succède à des imbéciles et on est remplacé par des incapables". Georges Clemenceau
"La bonne politique est de faire croire aux peuples qu'ils sont libres." Napoléon Bonaparte