MICHEL ONFRAY DÉPROGRAMMÉ DE FRANCE 5
Je devais venir parler de mon dernier livre sur l'AVC (Le Deuil de la mélancolie) dans Le Magazine de la santé sur France 5. La date était prise depuis longtemps: lundi 8 octobre de 13h à 14h05. Mon attaché de presse a reçu ce matin un coup de fil de la production annulant mon passage à l'émission au motif de la publication hier de ma "Lettre à Manu sur le doigté et son fondement". Cela a été clairement dit. Après France-Culture, c'est donc France 5 qui me prive de micro. Cela confirme la censure dont je fais l'objet de la part du service public audiovisuel et dont je parlais dans ma satire.
Michel Onfray
source :
https://michelonfray.com/interventions-hebdomadaires/michel-onfray-deprogramme-de-france-5?mode=text
«Quand c'est Charlie Hebdo, on a le droit à la satire» : Michel Onfray défend sa «Lettre à Manu»
© CHARLY TRIBALLEAU Source: AFP
Michel Onfray en 2010.
Michel Onfray plaide l'humour après le tollé qu'a provoqué son dernier pamphlet anti-Macron publié sur son blog. Ses détracteurs dénoncent un texte à la teneur homophobe mais le philosophe soutient que la satire n'a pas de frontières.
Invité sur le plateau de BFMTV le 7 octobre, Michel Onfray a défendu son droit à la «satire» et à «l'humour», face aux nombreuses réactions provoquées par une tribune publiée sur son blog et intitulée «Lettre à Manu sur le doigté et son fondement».
Dans cette lettre ouverte, volontiers grossière, Michel Onfray développe sa vision des rapports entretenus par Emmanuel Macron avec «ceux qui [lui] font savoir leur amour d'une façon qui ne prête pas à confusion». «Il faut t'enlacer torse nu pour te plaire, essuyer sa transpiration sur ta chemise blanche et passer plus de temps en salle de sport qu'en bibliothèque», a-t-il écrit au chef de l'Etat, faisant référence à une photographie du président en compagnie d'«un beau black, bodybuildé en prison et luisant de sueur tropicale» qui avait déclenché une vive polémique. Dans ce contexte, une interview que Michel Onfray devait accorder à France 5 a été annulée.
Opposé au mariage homosexuel ???? et à la théorie du genre, Michel Onfray (https://michelonfray.com/interventions-hebdomadaires/suis-je-homophobe-?autoplay=true&mode=video?????), qui se revendique épicurien et libertaire, n'a jamais exprimé d'opinions hostiles aux homosexuels dans ses œuvres. Il y a un an, il proposait une «généalogie de l'homosexualité», renvoyant dos à dos «homophilie» et «homophobie», refusant d'aborder cette question sur le terrain de la morale.
Lire aussi : «Il faudrait que ce petit garçon devienne un adulte» : quand Michel Onfray recadre Emmanuel Macron
Dans cette lettre ouverte, volontiers grossière, Michel Onfray développe sa vision des rapports entretenus par Emmanuel Macron avec «ceux qui [lui] font savoir leur amour d'une façon qui ne prête pas à confusion». «Il faut t'enlacer torse nu pour te plaire, essuyer sa transpiration sur ta chemise blanche et passer plus de temps en salle de sport qu'en bibliothèque», a-t-il écrit au chef de l'Etat, faisant référence à une photographie du président en compagnie d'«un beau black, bodybuildé en prison et luisant de sueur tropicale» qui avait déclenché une vive polémique. Dans ce contexte, une interview que Michel Onfray devait accorder à France 5 a été annulée.
Michel Onfray ne semble pas près pour autant de renoncer à son opposition virulente au président de la République, quelle que soit la forme prise par celle-ci. «A un moment donné, est-ce qu'on peut avoir un regard critique sur un président de la République qui nous fait savoir qu'il est un président jupitérien [...] et qui régulièrement fait la démonstration qu'il n'est pas Jupiter du tout ?», a-t-il lancé sur BFTMV ce 7 octobre. Et de préciser : «Il consent à ce selfie. On ne peut d'un côté dire "je joue au Général de Gaulle" et laisser passer des choses comme ça. Vous imaginez le Général de Gaulle avec quelqu'un qui ferait un doigt d'honneur ?»On ne peut d'un côté dire "je joue au Général de Gaulle" et laisser passer des choses comme ça. Vous imaginez le Général de Gaulle avec quelqu'un qui ferait un doigt d'honneur ?
Quant aux accusations d'homophobie qui ont été formulées à son encontre après la publication de sa lettre ouverte, le philosophe se défend en ces termes, invoquant le droit à la satire : «Homophobie me dit-on. Mais je rêve ou quoi ? Est-ce que depuis tant de temps, j'ai écrit tellement de choses depuis 1989, est-ce qu'il y a un livre, une phrase qui permette de dire que je suis homophobe ? [...] Quand c'est Charlie Hebdo, quand c'est Siné Hebdo, quand c'est le Canard enchaîné ou quand ce sont les comiques de France inter, on a le droit à la satire. Pourquoi les philosophes n'auraient-ils pas le droit ?»Quand c'est Hebdo, quand c'est Siné Hebdo, quand c'est le Canard enchaîné ou quand ce sont les comiques de France inter, on a le droit à la satire. Pourquoi les philosophes n'auraient-ils pas le droit ?
Opposé au mariage homosexuel ???? et à la théorie du genre, Michel Onfray (https://michelonfray.com/interventions-hebdomadaires/suis-je-homophobe-?autoplay=true&mode=video?????), qui se revendique épicurien et libertaire, n'a jamais exprimé d'opinions hostiles aux homosexuels dans ses œuvres. Il y a un an, il proposait une «généalogie de l'homosexualité», renvoyant dos à dos «homophilie» et «homophobie», refusant d'aborder cette question sur le terrain de la morale.
Lire aussi : «Il faudrait que ce petit garçon devienne un adulte» : quand Michel Onfray recadre Emmanuel Macron
la position d'Onfray sur l'homosexualité
La vidéo complète ici :
https://michelonfray.com/interventions-hebdomadaires/une-genealogie-de-l-homosexualite?mode=video
Les doigts de l'homme selon Onfray
Mariage des homosexuels : sodomites de tous les pays, unissons-nous !
Publié le 28-01-2013
Par Michel Onfray
Philosophe
LE PLUS. Ils étaient entre 125.000 et 400.000 dimanche à défiler en faveur du projet de loi pour le mariage pour tous. Le texte sera débattu à partir de mardi à l'Assemblée nationale après des mois de débat dans la société. Le philosophe Michel Onfray revient sur certains échanges et analyse la rhétorique des différents représentants religieux.
Notre époque utilise les mots à contre-emploi : on traite d’antisémite, de fasciste, de stalinien, d’homophobe, de raciste n’importe qui, et à tour de bras, la plupart du temps, mal à propos, dans le seul but d’insulter, de salir, de flétrir une pensée alternative. Dès lors, quand il apparaît un véritable antisémite, un véritable raciste, les mots ayant tellement servi, et si souvent hors de propos, qu'on se trouve dépourvu et qu'on ne peut plus nommer la vilenie. Ainsi avec le terme "homophobe".
Or, il faut appeler un chat un chat, et un homophobe un homophobe. Dans son "Dictionnaire culturel en langue française", l’excellent Alain Rey définit le terme de la manière suivante : "qui craint et déteste les homosexuels, l’homosexualité".
Si la détestation n’est pas avérée par tous les opposants au mariage homosexuel, du moins ouvertement, la crainte est certaine. Que n’a-t-on entendu des conséquences de ce mariage homosexuel (arrêtons d’utiliser l’expression "mariage pour tous" et, là aussi, là encore, donnons aux choses leur nom véritable : il s’agit du mariage des homosexuels, et c’est cela qu'il faut défendre) : la fin de la civilisation, la production d’enfants névrosés, la mort de deux mille ans d’un judéo-christianisme tellement civilisateur, la porte ouverte à l’inceste, à la polygamie, aux partouzes institutionnelles, à la zoophilie... Si cela n’est pas craindre les homosexuels, ça y ressemble drôlement !
Dès lors, refuser le mariage homosexuel est un point de vue, mais c’est un point de vue homophobe. Il faut l’assumer. Or il y a assaut de rhétorique et de sophistique pour appeler un chat un chien. Et dans cette aventure de construction de paralogismes, le judaïsme, le christianisme, l’islam et le freudisme rivalisent d’ingéniosité !
Le "Canard enchaîné" du mercredi 16 janvier nous apprend que le Grand Rabbin de France, agrégé de philosophie, et sa femme, "psychanalyste réputée", ont joué un rôle non négligeable dans la fourniture d’éléments de langage au christianisme intellectuellement épuisé – sur ce sujet comme sur les autres... L’agrégé ashkénaze et le cardinal Primat des Gaules ont écrit un livre à quatre mains, "Le rabbin et le cardinal" (peuvent mieux faire pour le titre !) .
Le premier, plus malin que le second, tergiverse pour éviter de commenter le propos de Barbarin (un mélange de barbare et de Raffarin...) qui s’oppose au mariage homosexuel avec ce genre d’argument dans cette si belle syntaxe :
"Après, ça a des quantités de conséquences qui sont innombrables. Après, ils vont vouloir faire des couples à trois ou à quatre. Après, un jour peut-être, l’interdiction de l’inceste tombera."
Dix années d’études de théologie ne conduisent guère plus loin que le comptoir des bistrots...
Le Talmud du premier, la Bible du deuxième, mais aussi le Coran du troisième larron monothéiste, stigmatisent les homosexuels. Dans la Torah : "L’homme qui couche avec un homme comme on couche avec une femme : c’est une abomination qu'ils ont tous deux commise, ils devront mourir, leur sang retombera sur eux." (Lev. 20.13)
Dans la Première Epître au Corinthien, Paul, sur lequel est construit le christianisme officiel, dit : "Ni fornicateurs, ni idolâtres, ni dépravés, ni sodomites, ni voleurs, ni cupides, pas plus qu'ivrognes, insulteurs ou rapaces, n’hériteront du royaume de Dieu."(6.9-10) Dans le Coran : "Vous vous approchez des hommes de préférence aux femmes pour assouvir vos passions. Vous êtes un peuple pervers. (...) Chassez-les de votre cité ; ce sont des gens qui affectent la pureté." (VII.81.82)
Certes, il existe nombre de Juifs pour nous expliquer, avec force contorsions dialectiques, que le chat du rabbin est un chien, que le chien du chrétien est un porc et que le porc du musulman est une girafe, mais quiconque dispose d’un minimum de bon sens comprend bien ce qu'il a lu... "Crainte et détestation" écrivait Alain Rey, nous y sommes, non ?
Au cas où les trois vieilleries monothéistes ne suffiraient pas, il en reste une quatrième, plus récente : le freudisme, dernière religion des nostalgiques de contes pour enfants que sont toujours les religions. Freud pense que les homosexuels sont des hommes arrêtés en cours de route dans leur développement libidinal dont il balise le trajet de façon faussement savante. À moitié homme, ailleurs, ça se dit aussi parfois sous-homme... Dans "Trois essais sur la théorie de la sexualité", Freud disserte sur ce qu'il nomme "les aberrations sexuelles" dans lesquelles il range l’homosexualité avec... la pédophilie, la zoophilie, le sadisme, le masochisme et autres "perversions" selon son terme !
Par ailleurs, toutes ses fables racontées dans "Totem et tabou" sur le complexe d'Oedipe, le meurtre du Père, le désir de la Mère, et autres fariboles prétendument transmises depuis l’âge glaciaire sans support biologique ou génétique, mais par héritage psychique, passent pour une théorie qui aboutit à ces sottises : il faut un Père à tuer et une Mère avec laquelle coucher.
Or, dira-le mamamouchi freudien, s’il y a deux Pères, lequel tuer, lequel épargner ? S’il y a deux Mères, avec laquelle va-t-on coucher ? Et laquelle épargner ? Je comprends que les rabbins, les curés, les pasteurs, les imams et les psychanalystes cherchent un peu de repos en s’allongeant comme un seul homme sur le même divan ! C’est drôle, j’imagine la scène...
On me permettra de préférer la compagnie des pédérastes et des sodomites, des fornicateurs et des idolâtres, des ivrognes et des dépravés ! Je ne regrette pas d‘avoir écrit, pour eux, avec eux, à leurs côtés, mon "Traité d’athéologie" et "Le crépuscule d’une idole", deux livres qui renvoient le divan au magasin des accessoires périmés, avec le prie-dieu, le bénitier et le confessionnal ! Sodomites de tous les pays, unissons-nous !
source : http://leplus.nouvelobs.com/contribution/769739-mariage-des-homosexuels-sodomites-de-tous-les-pays-unissons-nous.html
Les doigts de l'homme selon Onfray
Publié le 28-01-2013
Par Michel Onfray
Philosophe
LE PLUS. Ils étaient entre 125.000 et 400.000 dimanche à défiler en faveur du projet de loi pour le mariage pour tous. Le texte sera débattu à partir de mardi à l'Assemblée nationale après des mois de débat dans la société. Le philosophe Michel Onfray revient sur certains échanges et analyse la rhétorique des différents représentants religieux.
Notre époque utilise les mots à contre-emploi : on traite d’antisémite, de fasciste, de stalinien, d’homophobe, de raciste n’importe qui, et à tour de bras, la plupart du temps, mal à propos, dans le seul but d’insulter, de salir, de flétrir une pensée alternative. Dès lors, quand il apparaît un véritable antisémite, un véritable raciste, les mots ayant tellement servi, et si souvent hors de propos, qu'on se trouve dépourvu et qu'on ne peut plus nommer la vilenie. Ainsi avec le terme "homophobe".
Or, il faut appeler un chat un chat, et un homophobe un homophobe. Dans son "Dictionnaire culturel en langue française", l’excellent Alain Rey définit le terme de la manière suivante : "qui craint et déteste les homosexuels, l’homosexualité".
Si la détestation n’est pas avérée par tous les opposants au mariage homosexuel, du moins ouvertement, la crainte est certaine. Que n’a-t-on entendu des conséquences de ce mariage homosexuel (arrêtons d’utiliser l’expression "mariage pour tous" et, là aussi, là encore, donnons aux choses leur nom véritable : il s’agit du mariage des homosexuels, et c’est cela qu'il faut défendre) : la fin de la civilisation, la production d’enfants névrosés, la mort de deux mille ans d’un judéo-christianisme tellement civilisateur, la porte ouverte à l’inceste, à la polygamie, aux partouzes institutionnelles, à la zoophilie... Si cela n’est pas craindre les homosexuels, ça y ressemble drôlement !
Dès lors, refuser le mariage homosexuel est un point de vue, mais c’est un point de vue homophobe. Il faut l’assumer. Or il y a assaut de rhétorique et de sophistique pour appeler un chat un chien. Et dans cette aventure de construction de paralogismes, le judaïsme, le christianisme, l’islam et le freudisme rivalisent d’ingéniosité !
Le "Canard enchaîné" du mercredi 16 janvier nous apprend que le Grand Rabbin de France, agrégé de philosophie, et sa femme, "psychanalyste réputée", ont joué un rôle non négligeable dans la fourniture d’éléments de langage au christianisme intellectuellement épuisé – sur ce sujet comme sur les autres... L’agrégé ashkénaze et le cardinal Primat des Gaules ont écrit un livre à quatre mains, "Le rabbin et le cardinal" (peuvent mieux faire pour le titre !) .
Le premier, plus malin que le second, tergiverse pour éviter de commenter le propos de Barbarin (un mélange de barbare et de Raffarin...) qui s’oppose au mariage homosexuel avec ce genre d’argument dans cette si belle syntaxe :
"Après, ça a des quantités de conséquences qui sont innombrables. Après, ils vont vouloir faire des couples à trois ou à quatre. Après, un jour peut-être, l’interdiction de l’inceste tombera."
Dix années d’études de théologie ne conduisent guère plus loin que le comptoir des bistrots...
Le Talmud du premier, la Bible du deuxième, mais aussi le Coran du troisième larron monothéiste, stigmatisent les homosexuels. Dans la Torah : "L’homme qui couche avec un homme comme on couche avec une femme : c’est une abomination qu'ils ont tous deux commise, ils devront mourir, leur sang retombera sur eux." (Lev. 20.13)
Dans la Première Epître au Corinthien, Paul, sur lequel est construit le christianisme officiel, dit : "Ni fornicateurs, ni idolâtres, ni dépravés, ni sodomites, ni voleurs, ni cupides, pas plus qu'ivrognes, insulteurs ou rapaces, n’hériteront du royaume de Dieu."(6.9-10) Dans le Coran : "Vous vous approchez des hommes de préférence aux femmes pour assouvir vos passions. Vous êtes un peuple pervers. (...) Chassez-les de votre cité ; ce sont des gens qui affectent la pureté." (VII.81.82)
Certes, il existe nombre de Juifs pour nous expliquer, avec force contorsions dialectiques, que le chat du rabbin est un chien, que le chien du chrétien est un porc et que le porc du musulman est une girafe, mais quiconque dispose d’un minimum de bon sens comprend bien ce qu'il a lu... "Crainte et détestation" écrivait Alain Rey, nous y sommes, non ?
Au cas où les trois vieilleries monothéistes ne suffiraient pas, il en reste une quatrième, plus récente : le freudisme, dernière religion des nostalgiques de contes pour enfants que sont toujours les religions. Freud pense que les homosexuels sont des hommes arrêtés en cours de route dans leur développement libidinal dont il balise le trajet de façon faussement savante. À moitié homme, ailleurs, ça se dit aussi parfois sous-homme... Dans "Trois essais sur la théorie de la sexualité", Freud disserte sur ce qu'il nomme "les aberrations sexuelles" dans lesquelles il range l’homosexualité avec... la pédophilie, la zoophilie, le sadisme, le masochisme et autres "perversions" selon son terme !
Par ailleurs, toutes ses fables racontées dans "Totem et tabou" sur le complexe d'Oedipe, le meurtre du Père, le désir de la Mère, et autres fariboles prétendument transmises depuis l’âge glaciaire sans support biologique ou génétique, mais par héritage psychique, passent pour une théorie qui aboutit à ces sottises : il faut un Père à tuer et une Mère avec laquelle coucher.
Or, dira-le mamamouchi freudien, s’il y a deux Pères, lequel tuer, lequel épargner ? S’il y a deux Mères, avec laquelle va-t-on coucher ? Et laquelle épargner ? Je comprends que les rabbins, les curés, les pasteurs, les imams et les psychanalystes cherchent un peu de repos en s’allongeant comme un seul homme sur le même divan ! C’est drôle, j’imagine la scène...
On me permettra de préférer la compagnie des pédérastes et des sodomites, des fornicateurs et des idolâtres, des ivrognes et des dépravés ! Je ne regrette pas d‘avoir écrit, pour eux, avec eux, à leurs côtés, mon "Traité d’athéologie" et "Le crépuscule d’une idole", deux livres qui renvoient le divan au magasin des accessoires périmés, avec le prie-dieu, le bénitier et le confessionnal ! Sodomites de tous les pays, unissons-nous !
source : http://leplus.nouvelobs.com/contribution/769739-mariage-des-homosexuels-sodomites-de-tous-les-pays-unissons-nous.html