Extrait résumé :
Les alliés à Israël : hum vous tuez un peu trop de gens.
Israël à leurs alliés : attention, nous on lutte contre les terrroristes, si vous continuez, vous risquez d'en avoir chez vous.
Israël n’est pas simplement un acteur parmi d’autres dans l’économie numérique mondiale. Il en est le moteur invisible, la plateforme de tests grandeur nature pour des technologies de surveillance, de contrôle comportemental et d’ingénierie sociale. Ce que l’on appelle la Quatrième Révolution industrielle, souvent camouflée derrière les promesses de modernité et d’efficacité, repose en réalité sur une architecture de domination pilotée par un axe technocratique international dont Israël constitue l’épicentre stratégique. Derrière les mots-clés vendeurs comme intelligence artificielle, objets connectés ou big data, se cache une restructuration totale des sociétés humaines. L’identité numérique n’est pas un simple outil pratique : c’est une brique de contrôle intégral, un moyen de dissoudre les libertés individuelles dans un système de notation sociale implicite. Ce système n’est pas en devenir, il est déjà là, importé, installé et testé, notamment en France. Dans l’ombre de cette révolution technologique, les véritables lignes de fracture se dessinent : souveraineté contre dépendance numérique, humanité contre post-humanisme, démocratie contre algorithmes. La Startup Nation ne vend pas que de la technologie : elle exporte un modèle de gouvernance algorithmique, un système fondé sur l’anticipation, la préemption et la neutralisation des comportements. À travers des partenariats sécuritaires, des programmes de recherche croisés et une influence discrète sur les élites occidentales, Israël impose les normes d’un monde où l’homme devient un objet connecté, soumis à l’autorité de la machine. Ce projet, issu des doctrines du Forum de Davos, dépasse Klaus Schwab lui-même : il redéfinit les structures fondamentales du réel. Et pendant que l’opinion publique est tenue à l’écart par une information sous contrôle, les rouages s’enclenchent. L’Occident entre dans une phase de synchronisation systémique avec ce programme. La révolution industrielle 4.0 n’est pas une évolution naturelle. C’est une prise de pouvoir technopolitique globale. Ce que Marc Gabriel Draghi révèle aujourd’hui, aux côtés de Raphaël Besliu sur GPTV, dépasse les simples enjeux géopolitiques : c’est la matrice même du pouvoir de demain qui se dessine.