"Il n'existe rien de constant si ce n'est le changement" BOUDDHA; Nous devons apprendre à vivre ensemble comme des frères, sinon nous allons mourir tous ensemble comme des idiots." MARTIN LUTHER-KING; "Veux-tu apprendre à bien vivre, apprends auparavant à bien mourir." CONFUCIUS ; « Nous savons qu’ils mentent, ils savent aussi qu’ils mentent, ils savent que nous savons qu’ils mentent, nous savons aussi qu’ils savent que nous savons, et pourtant ils continuent à mentir ». SOLJENITSYNE
vendredi 21 juin 2024
PEDOCRIMINALITE : "Il y a tout un système derrière Gabriel Matzneff", Francesca Gee témoigne
Francesca Gee a été une des premières à alerter sur le système Matzneff, en 2004, malheureusement, son livre n'a pas trouvé de maison d'édition capable de lui donner l'exposition nécessaire. Il a fallu attendre le feu vert 20 ans plus tard pour d'autres témoignages. Qu'est-ce qui a changé en 20 ans? Qui protège Matzneff? Pourquoi une secte pédo criminelle a-t-elle pu prospérer au coeur de Paris, pendant des années? ⚡️Rejoignez notre chaîne pour bénéficier d'avantages exclusifs : https://shorturl.at/ptNS3 ✊ Soutenez le Monde Moderne : patreon.com/lemondemoderne ➡️ Notre site web : lemondemoderne.media ➡️ Sur X : @leMondeModerne_
mercredi 5 juin 2024
1ère "Les survivantes" en Belgique, le documentaire qui témoigne des réseaux pédocriminels. Sophie et Senta discutent: comment gérer la situation face à la vérité?
Des informations et des réactions que vous ne lirez pas dans la presse mainstream
Membre de l’aristocratie belge, Sophie est consciente des remous que son témoignage provoque déjà depuis plusieurs semaines. Après avoir “assuré ses arrières” avec des témoignages complets confiés à différents avocats et dépositaires, elle parle de proposer des solutions pour soigner ces blessures collectives.
Candidate aux élections sur la liste de Collectif Citoyen, la journaliste Senta Depuydt qui a collaboré au film réfléchit : après le choc de la vérité, il faudra gérer la situation. C’est le moment de changer les règles pour assainir la gouvernance et mettre fin à au système de chantage et de perversion qui mine notre société.
Vendredi 7 juin au cinéma Stockel, à Woluwe-St-Pierre avec l’équipe du tournage. C’est archi-complet!!!
Maximum respect à ce cinéma indépendant qui fonctionne sans subsides et n’a jamais eu peur de passer des films polémiques (comme “La face cachée des vaccins” que j’avais co-organisé avec Bernadette Bouckaert)
Prochaines séances en juin: dimanche 9 à 20h30 à Stockel, Mercredi 12 à 20h15 à Rixensart, Jeudi 13 à 20h15 à Stockel et au ciné l’Etoile à Jodoigne. Pas de prévente. Le film passera aussi à Couvin, Gedinnes, Tamines, Habay-la-Vieille et Stavelot, mais les dates ne sont pas encore précisées.
Quelque chose d’énorme est en train de se passer, un moment d’éveil collectif, comme si un voile se dissipait peu à peu. Depuis la sortie en France du film de Pierre Barnérias, les appels affluent, la cartographie du réseau s’étend et les informations se confirment. Nous sommes surpris de voir à quel point le public est réceptif. A croire que “la conscience de l’humanité” est aujourd’hui prête à affronter cette vérité.
Rien qu’en Europe, l’on a vu cette année les 50 voix de violences rituelles, Franc-maçonnerie la fin du silence, MK Ultra abus rituels et contrôle mental, le livre magistral d’Alexandre Lebreton , les interviews de Karl Zero, les documentaires de Kla TV, etc.
Reste la Belgique…les astres ont du s’aligner pour que la sortie du documentaire de Pierre Barnérias coïncide avec un autre énorme pavé dans la mare: “Dutroux l’enquête assassinée”, le livre dans lequel l’ancien gendarme Aimé Bille démontre, pièce par pièce, comment toutes les instances du pouvoir ont étouffé la plus célèbre affaire de pédocriminalité, il y a près de 30 ans.
Ne manquez pas de regarder la remarquable interview d’Aimé Bille par Kairospresse, ainsi que celle de Bam.news où il explique comment les ténors du PS lui ont reproché de ‘mettre en cause des juges nommés par le parti! Lizin, di Rupo…il est temps d’exposer le dessous des cartes de ‘la Belgique de papa’.
Deux témoins du film sont belges: Anneke Lucas, qui vit aujourd’hui aux États-Unis et “Sophie”, une aristocrate étroitement surveillée par son milieu.
En hauts lieux, elles inquiètent, depuis plusieurs mois déjà. Mais, malgré les avertissements et les sabotages répétés, rien ne semble les arrêter.
De toutes façons…il est trop tard. Les témoignages détaillés des survivantes ont été enregistrés, copiés, dispersés, déposés chez des avocats, des journalistes ou des personnes de confiance. Chaque jour, le puzzle se complète.
La question qui se pose aujourd’hui est de savoir: comment va-t-on gérer la situation? Après avoir dénoncé la vérité, il faudra agir en conscience.
Retrouvez les meilleurs moments de l'avant-première du film de Pierre Barnérias.
Essentiel News vous présente dans cette vidéo une sélection des meilleurs moments de l’avant-première du film à Paris (Nanterre) le 13 mai 2024, ainsi que des interviews exclusives avec les survivantes Chantal Frei de Suisse, Sophie une survivante belge, la journaliste Senta Depuydt qui a collaboré à ce film durant plusieurs mois, Jean-Jacques Crèvecoeur qui a activement encouragé et soutenu la sortie du film, et le médecin suisse Pablo Buono.
La lettre de Senta est une publication soutenue par ses lecteurs. Pour recevoir de nouveaux posts et soutenir mon travail, envisagez de devenir un abonné gratuit ou payant.
samedi 23 septembre 2023
Le degré zéro du réseau : ma réponse à la RTBF (Radio-TV belge de la Fédération Wallonie-Bruxelles)
[La RTBF vise les sommets. Putasserie, quand tu nous tiens...]
Dernière mise à jour : il y a 3 jours
Cet article, qui n’est pas signé, cite pêle-mêle diverses personnes que l’on tente de regrouper dans « un réseau » auquel sont collées tout un tas d’étiquettes diffamantes.
Je tiens donc à faire respecter mon nom et mes qualités, en réponse à une presse qui cherche plus à diffamer qu’à relayer de l’information.
Si je regarde attentivement la cartographie affichée avec les flèches, et sauf erreur de lecture, je serais donc « en réseau » direct avec :
1° Karl Zéro, journaliste
2° « Innocence en danger France » et « Innocence en Danger Belgique », deux associations de protection de l’enfance
3° « Étincelles » site internet géré par Senta Depuydt (Senta Depuydt a expliqué dans sa réponse qu’elle ne gérait pas ce site)
4° Frédéric Goaréguer, pédopsychiatre
5° Biotempo Zèbre, un magazine
Dans la réalité des faits, j’ai effectivement donné une interview respective à Karl Zéro et à Biotempo Zèbre (que j’invite chacun à aller écouter et lire).
Mais cela constituerait un « réseau »…
En matière d’investigation journalistique, vu le niveau, je vais devoir parler simplement : de ce réseau, il n’y en a zéro !
En revanche, oui, j’ai bien un réseau : il s’agit d’un réseau de professionnels de santé mentale de l’enfant et de professionnels du droit.
Qui suis-je ?
Je suis normalienne de la rue d’Ulm avec une double spécialisation en lettres classiques et philosophie morale et politique (2 Masters à l’Université La Sorbonne, Paris, France).
Je suis également psychologue clinicienne, avec une première spécialisation dans l’enfance maltraitée.
J’ai, à ce titre, rédigé un livre avec ma collègue Amandine Lafargue, Psychopathologie de la pédophilie, dont la première édition est parue aux éditions universitaires Dunod en 2013.
Soit, il y a dix ans.
En termes concrets, cette spécialisation professionnelle signifie : rédiger des signalements, être confronté à différentes horreurs, réaliser des expertises judiciaires, lutter contre les dysfonctionnements institutionnels de la protection de l’enfance, de la justice et de la police, subir les pressions psychologiques, juridiques et fiscales sur certains dossiers, réfléchir sur les conditions de guérison des traumatismes infantiles.
J’ai, durant de longues années, été aussi en charge des formations sur la « prise en charge de la délinquance sexuelle » pour l’administration pénitentiaire en France.
Je suis également docteur en psychopathologie et psychologie clinique (Université Lyon II, France, sous la direction du Professeur Albert Ciccone), d’un doctorat portant sur « le temps vécu dans la psychose » ce qui m’a valu d’effectuer mes recherches dans des services de psychiatrie adulte, et d’y acquérir une expertise sur la psychose adulte.
J’ai enseigné durant des années, dans différentes universités, tant des cours dirigés que des cours magistraux, en psychopathologie et psychologie clinique.
J’ai, enfin, écrit plus de quarante livres, dont beaucoup sont référencés désormais comme des classiques dans les bibliothèques universitaires, et des centaines d’articles dont certains dans des revues scientifiques à comité de lecture.
J’ai également audité, durant des années, sur des plaintes de harcèlement dans les entreprises et les institutions, ce qui m’a permis de réfléchir aux mécanismes et aux processus psychologiques tant pour les individus que pour les collectifs, et j’ai rédigé (et je rédige encore) de nombreuses expertises et des avis consultatifs produits en Justice. Mes travaux sur le harcèlement sont reconnus internationalement, et m’ont valu d’être invitée à en parler dans différents pays, mais ils ont également été repris en France par le Sénat pour la rédaction de lois sur le sujet.
Si je prends la parole publique depuis 2017 au sujet de ces « programmes » « d’éducation sexuelle »/« éducation à la sexualité », ce n’est donc pas depuis une opinion subjective, mais depuis une posture professionnelle, avec des arguments sérieux. Je subis depuis une campagne de calomnies qui laisse songeur quant à sa virulence.
Revenons donc à mon réseau de professionnels de santé mentale de l’enfant et de professionnels du droit. Ces professionnels, pour certains, se montrent à visage découvert, pour d’autres, préfèrent travailler à la protection de l’enfance sans s’exposer et ce, afin d’éviter les nombreuses et désagréables représailles publiques que nous subissons.
Est-ce un complot contre le pouvoir ?
Nous sommes tous indépendants, mais nous travaillons ensemble, pour alerter sur ces programmes dits « d’éducation sexuelle » ou « d’éducation à la sexualité », et affirmer qu’ils ne correspondent en aucune manière au développement psychique de l’enfant ni à sa protection juridique.
Nous sommes également très inquiets quant au fait que ces programmes « pédagogiques », qui se déploient dans différents pays en même temps, s’appuient sur le contenu et le référencement de recommandations de l’OMS consignées dans un document intitulé « Standards pour l’éducation sexuelle en Europe. Un cadre de référence pour les décideurs politiques, les autorités compétentes en matière d’éducation et de santé et les spécialistes ».
Nous contestons lesdites références « scientifiques » de ce document, au regard de nos connaissances dans le développement psychique de l’enfant et de sa protection face à sa vulnérabilité.
Lorsque des professionnels de santé mentale de l’enfance, des professionnels du droit, des associations de protection de l’enfance, s’inquiètent des dangers de cette « éducation à la sexualité » ou « éducation sexuelle », n’y a-t-il pas là matière, dans l’intérêt supérieur de l’enfant, à faire une grande pause pour réfléchir avec prudence et tempérance, sur cet enseignement de masse standardisé de nature à créer des effractions traumatiques sur les enfants ? Pourquoi une telle précipitation dans l’imposition de ces programmes ? Pourquoi le débat est-il interdit, la contestation argumentée, muselée sous l’amalgame et la calomnie ?
Notre posture est la suivante :
Plus les adultes vont exhiber des informations et des images sur la sexualité aux enfants, en groupe, et y initier les enfants, plus nous verrons surgir des abus sexuels entre mineurs, sans compter les interrogations que cela suscite quant à ces projections d'adultes sur une supposée « sexualité infantile »... (et les passages à l’acte qui peuvent en découler en termes « d'initiation sexuelle » des enfants).
Ces projections ne correspondent pas au développement psychique des enfants et se fondent sur des confusions dangereuses.
Ce n’est pas parce que les termes « éducation sexuelle » et « éducation à la sexualité » sont passés dans les mœurs qu'ils ne doivent pas être remis en question. Ils font partie d'une novlangue dangereuse et ouvrent des portes psychiques vers la perversion, que les termes « prévention » ou « protection » des enfants n'ouvrent pas.
Il est important d'étudier en profondeur, de manière méthodique et rationnelle, d’où viennent les textes idéologiques qui encadrent ces « programmes », quelles sont leurs dites « références scientifiques », par quels lobbies ils sont sponsorisés et financés, afin de se clarifier les idées. On ne peut pas se contenter, au regard de la gravité du sujet, d’un « je n’y crois pas », ou « c’est trop gros ». Ou d’une banalisation qui n’entend pas les témoignages, déjà recueillis par les psychologues en cabinet, des enfants traumatisés par cette « pédagogie ». Il en va de notre responsabilité de professionnels (pour ceux qui le sont), d’adultes, de citoyens.
En matière de prévention pour les enfants, il y a aussi d’autres sujets : la sécurité routière, les accidents domestiques, etc. Ils sont aujourd’hui totalement passés à la trappe, tant est grande cette « obsession » politique quant aux informations sur la « sexualité » qu'il faudrait, sans précaution ni prudence, de manière précipitée, délivrer massivement aux enfants dans différents pays en même temps...
Nos analyses professionnelles sont amplement soutenues par un grand nombre de nos pairs (le « réseau »), même s'ils n'osent (pour l'instant) pas intervenir en public, ce que l'on comprend aisément, au vu des représailles, notamment les calomnies et les dénigrements.
Pourquoi la parole des experts est-elle essentielle à relayer ?
1° pour éviter les approximations, notamment dans les interventions médiatiques,
2° pour la distinguer des « opinions » des uns et des autres mais aussi des postures subjectives et affectives,
3° pour servir de base conceptuelle et scientifique aux plaintes juridiques.
Aussi, mes collègues et moi-même de ce « réseau » de professionnels ne sommes pas dupes des invisibilisations systématiques dont nos propos, travaux et interventions font l’objet.
Nous subissons, pour certains déjà, des amalgames nous affublant de l’étiquette de « terroristes ».
Or, revenons au sens des mots : les terroristes sont littéralement ceux qui manipulent les populations à la terreur en les réduisant au silence.
Nous ne terrorisons pas : nous apportons des arguments d’experts sur la protection psychique des enfants.
J’ai sonné l’alerte en 2017 avec mon livre L’imposture des droits sexuels.
Ce livre m’a demandé des mois de travail sur les textes internationaux qui, nous le voyons désormais, encadrent l’idéologie de ces « enseignements » à la sexualité dès le plus jeune âge. Il m’a valu de nombreuses menaces et représailles, mais cela n’a fait que renforcer ma conviction et ma volonté de diffuser son contenu.
Je constate que des agitateurs sont encore là pour faire un sale boulot, que des écoles sont brûlées, et que les médias s’en servent pour décrédibiliser auprès de l’opinion publique, et par amalgame, la parole des professionnels et des associations de protection de l’enfance.
Brûler des écoles est une méthode inacceptable.
Mais faire peur, manipuler à l’émotionnel et au sensationnel, pratiquer des interprétations irrationnelles sont aussi des méthodes inacceptables.
Aujourd’hui, les citoyens eux-mêmes ont appris à décrypter les mécanismes de manipulations médiatiques.
Ainsi, en s’attaquant aux professionnels, au lieu de discuter avec honnêteté et rigueur de leurs arguments, cette « presse » du pouvoir se décrédibilise chaque jour davantage.
Beaucoup de citoyens, de parents, de professionnels ont étudié et compris nos arguments. Ils relaient notre travail, nos investigations, nos recherches qui sont particulièrement fouillées.
Comme me le disait l’éminent et regretté Professeur de psychopathologie Jean Louis Pedinielli de l’Université Aix-Marseille : « réjouis-toi toujours de ce que les envieux et les calomniateurs parlent mal de toi, ils sont d’excellents relais pour faire découvrir ton travail. »
Le temps est révolu où nous étions isolés dans notre coin, car effectivement, en tant que professionnels de la psychologie et du droit soucieux de la protection de l’enfance, nous travaillons bel et bien : en réseau.
Et compte tenu de la gravité du sujet, pour ne serait-ce qu'un seul professionnel qui avait émis des réserves, il aurait fallu avoir la prudence : de l’écouter.
Et pour ne serait-ce qu'un seul enfant traumatisé par cette « pédagogie sexuelle », il aurait fallu avoir la prudence : d’arrêter le déploiement massif de ces « enseignements ».
Ariane Bilheran, normalienne, philosophe, psychologue clinicienne, docteur en psychopathologie.
Pour approfondir :
Araújo-Recchia, V. 2023. Protéger les mineurs de l’idéologie totalitaire. « Éducation sexuelle » et changement de mœurs
Un livre sur le corpus juridique pour la protection des mineurs face à ces inflexions idéologiques.
Bilheran, A. 2017. L’imposture des droits sexuels, Bookelis, 5ème rééd. 2022. Préface du Pr. Judith Reisman et du Dr. Régis Brunod.
Un livre sur les textes internationaux dictant la nature des enseignements sur « l’éducation sexuelle » ou « éducation à la sexualité ».
Bilheran, A., Lafargue, A. 2013. Psychopathologie de la pédophilie, Dunod, 2ème rééd. 2019.
Un livre pour la protection des mineurs face aux transgressions sexuelles infantiles.
Brunod, R. 2021. Préserver l’innocence des enfants, Ed. Le Bien Commun.
Un livre expliquant le développement psychologique de l’enfant, et le danger que représentent ces enseignements « l’éducation sexuelle »/« éducation à la sexualité ».
Entretien d’Amandine Lafargue et de moi-même par le média belge Kairos
Un enfant pourrait-il donc avoir un consentement à une sexualité? Interview dans Causeur
Le colloque du 13 mai 2023 à Paris :
Tout est résumé dans le colloque du 13 mai 2023 par les professionnels de santé mentale de l'enfant, notamment ici :
Post-scriptum :
En France, selon les statistiques du Ministère de la Justice (indications données par la journaliste Ceri) en 2021 on a 11 000 plaintes pour viol sur mineur et 700 condamnations.
Donc il y a une hypocrisie certaine du pouvoir politique à impulser ces programmes de « pédagogie sexuelle » issus de l’OMS auprès enfants pour les « protéger » quand 70% des plaintes sont classées sans suite et que seules 6% des plaintes aboutissent par une condamnation pour viol.
Nous professionnels de la santé mentale de mon « réseau » alertons sur le contenu du programme de l’OMS qui chapeaute ces innovations et est cité en référence (avec une reprise de son contenu) par différents gouvernements.
Nous ne jetons pas la pierre aux intervenants qui pour beaucoup sont bien intentionnés.
Mais nous avons recueilli déjà des témoignages d’enfants traumatisés.
Quid de la réelle protection de l’enfance ?
Les institutions fonctionnent-elles correctement ?
Les enseignants sont-ils formés à détecter des traumatismes ?
Nous pourrions égrener le cortège de questions : s’il s’agit réellement de protéger les mineurs, ces programmes d’« enseignements » sur la sexualité dès le plus jeune âge ne sont pas du tout adaptés (méthodes et contenus) au développement psychique des enfants, même s’ils contiennent des modules de prévention au sein du grand corpus.