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lundi 23 août 2021

Nous n’obéirons pas : Une campagne contre la tyrannie médicale

 Par Brandon Smith − Le 5 Août 2021 − Source Alt-Market

J’ai écrit fiévreusement ces derniers temps sur les questions de mandats Covid et de passeports vaccinaux, et je suis sûr que la plupart des lecteurs comprennent pourquoi – Nous sommes actuellement à l’aube d’un grand conflit contre les pouvoirs en place ; des gens qui exploitent la crise Covid (largement fabriquée) pour exercer un contrôle politique et économique sans précédent. Et quand je dis « fabriquée », je veux dire qu’il n’y a pas de crise, pas besoin de mandats, pas besoin de confinement et pas besoin de passeports vaccinaux.

Nous avons affaire à un virus auquel 99,7 % des gens survivront facilement selon les études et les statistiques de l’establishment médical et de nombreuses études indépendantes, mais pour une raison quelconque, les médias et les gouvernements nous bombardent de propos alarmistes.

Pourquoi la seule solution proposée au grand public implique-t-elle que nous renoncions à toutes nos libertés et à notre autonomie médicale ? Pourquoi 99,7 % de la population est-elle censée s’enfermer, se masquer et se soumettre à un vaccin expérimental à ARNm dont l’innocuité n’est pas prouvée par des tests à long terme ? Pourquoi les 0,26 % de personnes qui risquent vraiment de mourir du virus ne prennent-elles pas simplement des précautions ou ne restent-elles pas chez elles pendant que le reste d’entre nous mène une vie normale ? Bon sang, je ne verrais pas d’inconvénient à contribuer à un fonds destiné à soutenir les 0,26 % de personnes à risque, à aider leurs familles et à payer leurs factures médicales.

La Réserve fédérale et d’autres banques centrales ont dépensé des milliers de milliards de dollars en mesures de relance et en prêts PPP pour empêcher les entreprises de faire complètement faillite et pour empêcher les travailleurs « non essentiels » de mourir de faim pendant les premiers arrêts de production. Mais, nous aurions pu simplement maintenir l’économie en marche pendant tout ce temps et payer une fraction de ce coût pour aider l’infime minorité de personnes qui souffriraient réellement de la maladie.

Oui, c’est vrai, je vais le répéter encore et encore parce que je vois encore aujourd’hui les médias et les adeptes mal informés sur la Covid-19 prétendre que le taux de mortalité de la Covid-19 est beaucoup plus élevé. Ce n’est pas le cas. Le taux médian de mortalité par infection de la Covid est SEULEMENT de 0,26%. C’est un FAIT. C’est la science selon la grande majorité des études médicales sur l’IFR. Laissez-moi vous répéter : le monde entier est enfermé et on nous dit que nous devons renoncer à nos libertés humaines inhérentes parce que 0,26% de la population pourrait avoir plus qu’un reniflement et un brouillard cérébral à cause d’une infection Covid. Pourquoi ?

Eh bien, c’est facile ; parce que la réponse et les restrictions concernant la Covid-19 n’ont rien à voir avec la santé publique et tout à voir avec le contrôle public.

Cet article est un peu différent de ce que j’écris habituellement, car il ne s’agit pas tant d’un appel à la raison pure ou à la science pure que d’un appel aux principes. De nombreux lecteurs m’ont demandé dernièrement s’il n’était pas préférable d’argumenter contre les mandats de lutte contre les pandémies en se fondant sur des idéaux et des principes plutôt que de marteler la science. Je pense qu’il est important de faire les deux, mais prenons un moment pour considérer la question morale et uniquement la question morale. Pour ce faire, nous devons poser quelques questions simples :

Qui a le droit de contrôler vos décisions médicales ? Qui est qualifié pour contrôler votre droit constitutionnel à la vie, à la liberté et au droit de rechercher la prospérité ? Qui devrait avoir le pouvoir de vous dire ce que vous pouvez dire, où vous pouvez travailler, où vous pouvez acheter, où vous pouvez vendre, où vous pouvez marcher, où vous pouvez voyager, en quoi vous devez croire ?

La réponse est PERSONNE, sauf vous-même. Mais bien sûr, le culte Covid et les personnes qui bénéficient de la pandémie prétendront que vos droits ne s’appliquent plus lorsque vous « mettez la vie des autres en danger ». C’est le vieil argument du contrat social – Vous faites « partie d’une société », donc la société a des attentes qui supplantent vos droits. Tout cela n’a aucun sens, mais c’est une stratégie classique utilisée par tous les totalitaires des temps modernes. Il n’a jamais été question de ce que la « société » veut, il n’a jamais été question que de ce que les tyrans veulent.

Comme je l’ai noté dans de nombreux articles, avec des faits et des preuves scientifiques sans fin, personne qui veut rester libre des mandats de vaccination ou des passeports vaccinaux ne met les autres en danger. Encore une fois, le taux de mortalité médian pour la Covid est de 0,26% et ni les mandats, ni les masques, ni les vaccins n’ont mis un terme à la pandémie. Il est intéressant de noter que ce sont les États où les mesures de confinement et les restrictions concernant les masques sont les plus sévères qui ont enregistré les taux d’infection les plus élevés au cours des 18 derniers mois. Même à l’heure actuelle, des milliers de personnes entièrement vaccinées contractent la Covid par des « cas isolés », et certaines d’entre elles sont décédées. Les infections et les décès ont chuté en janvier, bien avant que les vaccins ne soient fabriqués à grande échelle. En février, seuls 5 % de la population américaine avaient été vaccinés avec une seule dose. Le fait est que les vaccins n’ont rien donné.

Même si je faisais partie des 0,26 % de personnes qui risquent de mourir, je n’exigerais JAMAIS que les 99,7 % restants de la population renoncent à leurs libertés et à celles de leurs enfants pour que je puisse me sentir un peu plus en sécurité. Ce serait un acte de folie égoïste.

Mais disons pour un moment que nous mettons de côté toute la science qui soutient la position anti-mandat. Et si le taux de mortalité du virus était beaucoup plus élevé ? Et si nous avions affaire au virus Ebola ou à un autre agent pathogène dangereux ? Et si 1 personne sur 100 était à risque ? Et si 1 personne sur 10 était en danger ? La tyrannie médicale et les confinements de masse seraient-ils alors acceptables ? La réponse est non, ils ne le seraient pas.

Pourquoi ? Honnêtement, c’est une question de qui est au pouvoir et qui met en œuvre de tels mandats. Pourquoi devrions-nous avoir une confiance aveugle dans des gouvernements composés d’élitistes et de globalistes corrompus ? Qui sont-ils pour veiller à nos intérêts ? Comment ces personnes sont-elles qualifiées pour protéger la confiance du public ? Ils ne sont pas qualifiés et ne le seront jamais.

Ils ne se soucient pas de nous. Ils ne cherchent qu’à servir leurs propres intérêts et à faire avancer leurs propres agendas. Il suffit de voir à quel point des institutions globalistes comme le Forum économique mondial se sont emballées, qualifiant la pandémie d’« opportunité«  pour faire passer en force leur programme de « Grand Reset ». Ces goules ne sont pas le genre de personnes que le public veut voir en charge de la micro-gestion de leur vie.

Il appartient donc à l’individu de se protéger comme il l’entend, mais l’establishment nous dit que nous ne sommes pas capables de le faire. Nous devons plutôt nous en remettre à leur « meilleur jugement ». Ils sont censés être plus intelligents que nous tous, et en tant que technocrates « bienveillants », eux seuls ont la connaissance et la droiture nécessaires pour déterminer le cours de l’avenir de chaque personne vivante.

Les globalistes comme Gideon Lichfield du MIT nous ont dit exactement quel était le plan en mars 2020 dans un article intitulé « Nous ne reviendrons pas à la normale« . Ils admettent que l’objectif a toujours été d’instaurer des restrictions sur les passeports vaccinaux qui dureront de nombreuses années, voire pour toujours. Extrait de l’article :

En fin de compte, cependant, je prédis que nous rétablirons la capacité de socialiser en toute sécurité en développant des moyens plus sophistiqués d’identifier qui est un risque de maladie et qui ne l’est pas, et de discriminer légalement ceux qui le sont.

… on peut imaginer un monde dans lequel, pour prendre un vol, il faudra peut-être s’inscrire à un service qui suit vos déplacements via votre téléphone. La compagnie aérienne ne serait pas en mesure de voir où vous êtes allé, mais elle serait alertée si vous avez été à proximité de personnes infectées ou de foyers de maladie connus. Des exigences similaires s’appliqueraient à l’entrée des grandes salles de spectacle, des bâtiments publics ou des plates-formes de transport public. Il y aurait des scanners de température partout, et votre lieu de travail pourrait vous demander de porter un moniteur qui suit votre température ou d’autres signes vitaux. Là où les boîtes de nuit demandent une preuve d’âge, elles pourraient à l’avenir demander une preuve d’immunité – une carte d’identité ou une sorte de vérification numérique via votre téléphone, montrant que vous avez déjà récupéré ou été vacciné contre les dernières souches de virus.

Je vous dis que c’est la philosophie classique de presque tous les monstres semi-humains qui ont jamais vécu. C’est l’idéologie des sociopathes narcissiques. La religion des robots sans âme. Certains des plus grands maux connus de l’humanité ont été commis au nom du « plus grand bien du plus grand nombre ». Ce mantra ne peut être toléré en aucune circonstance ; on ne peut le laisser infecter notre nation et supplanter nos valeurs les plus profondes. Parce que si cela se produit, nous pourrions nous retrouver esclaves du système pendant très longtemps.

Comme je le préviens depuis un an, de nombreux gouvernements maintiennent ou réintègrent (dans le cas des États-Unis) des mesures de confinement et de restriction en cas de pandémie, et il devrait être clair pour tout le monde que ce processus circulaire de tyrannie médicale n’est pas prêt de s’arrêter. Il n’est jamais censé se terminer. L’objectif de l’establishment, des globalistes et des gouvernements, est de maintenir les restrictions en place indéfiniment.

Les médias grand public ont constamment attaqué l’affirmation selon laquelle les gouvernements appliqueraient les passeports vaccinaux comme une théorie du complot. Maintenant, ils admettent ouvertement que le plan est d’instituer des passeports vaccinaux et ils le défendent vigoureusement. Ils discutent avec une ferveur avide de la manière dont ils pourraient être en mesure de FORCER ou d’obliger chaque personne à se faire vacciner, même si elle ne le souhaite pas et même si le vaccin ne sert à rien.

J’ai mes propres doutes sur le vaccin, sa finalité et sa sécurité, mais n’oublions pas que le vaccin est au minimum un tremplin vers les passeports vaccinaux. Les passeports sont la clé de tout. Sans les passeports, la tyrannie médicale ne peut être établie. Sans les passeports, ils n’ont aucun moyen de pression sur la population pour dicter les aspects fondamentaux de nos vies. Ils ont BESOIN des passeports afin d’obtenir leur « Grand Reset ». Sans un système de crédit social de type « papiers s’il vous plaît » en place, leur « Reset » s’effondrera.

Il est donc impératif par-dessus tout que les passeports vaccinaux ne soient jamais autorisés à prendre racine. Le programme doit être arrêté et détruit.

Je ne suis pas un « influenceur » majeur dans les cercles conservateurs ou du mouvement de la liberté. Je ne suis pas une grande personnalité de YouTube ou un Juggernaut médiatique. Je n’ai pas le soutien d’une grande entreprise ou des poches profondes pour stimuler une campagne nationale. Je n’aime pas particulièrement parler en public, même si j’ai appris à le faire. Je suis simplement un écrivain qui aime les valeurs de la liberté, les valeurs de la raison et, dans de nombreux cas, les valeurs de la foi qui donnent un sens à l’humanité. Et ce que je vois, c’est un besoin extrêmement sérieux ; le besoin d’une ligne de front organisée contre la tempête de la dictature qui est à notre porte.

Ce que je suggère est simple : une campagne nationale contre les passeports médicaux. Les globalistes, les socialistes et les corporatistes comprennent le concept de « pression » et savent comment l’appliquer pour obtenir ce qu’ils veulent. Je crois que nous devons également apprendre à exercer des pressions dans le sens inverse. Il ne suffit pas de rester assis dans nos maisons, isolés les uns des autres, en sachant que des millions d’autres personnes ressentent la même chose que nous. Nous devons aussi agir.

Nous devons envoyer un message : NOUS NE NOUS SOUMETTRONS PAS !

Je ne suis pas sûr qu’une seule personne ait le « poids » nécessaire pour mener cette campagne seule, et c’est probablement mieux ainsi. Ce qu’il faut, c’est un mouvement de masse uni par des principes, et non un mouvement empêtré dans un culte de la personnalité.

Il existe de nombreuses façons d’y parvenir, des actions simples aux stratégies plus complexes. Tout militant de la liberté peut envoyer un message par le biais de pancartes, d’autocollants pour pare-chocs, de publicités, de panneaux d’affichage, etc., rappelant à l’establishment que nous refuserons de nous soumettre au vaccin ou aux passeports vaccinaux en toutes circonstances. Ils doivent comprendre que rien de ce qu’ils peuvent faire ne nous fera changer d’avis. Rien.

La principale stratégie de la secte Covid a été de travailler avec de grandes entreprises pour exiger des preuves de vaccination (passeports vaccinaux). Nous devons faire savoir à ces entreprises, sans ambiguïté, que nous cesserons tout soutien comme consommateur à leurs activités. Nous ne travaillerons pas pour elles et nous ne leur donnerons pas un centime de notre argent. Au lieu de cela, nous nous adresserons à de plus petites entreprises locales, pour savoir si elles font partie de la campagne « Nous ne nous conformerons pas », et si c’est le cas, nous les soutiendrons à la place. Il est temps de donner une leçon à ces entreprises et de les mettre hors service en retirant notre argent et notre travail de leurs poches.

La stratégie suivante de l’establishment a été de rendre obligatoire la vaccination des fonctionnaires. Encore une fois, les débrayages massifs sont la solution. Laissez-les transpirer en perdant la moitié de leurs effectifs. Et puis peut-être les traîner en justice. Enterrez-les dans des procès tout en étranglant leur capacité à fonctionner.

Finalement, l’administration Biden va tenter de mettre en place des fermetures et des contrôles de vaccins au niveau fédéral. Ce n’est qu’une question de temps. C’est là que l’organisation est vitale. Les comtés et les États à majorité conservatrice et défenseurs des libertés doivent s’unir et dire une fois de plus « Nous ne nous plierons pas ». Si le gouvernement de votre État est de la partie et défie Biden, ce sera encore plus utile, mais ne faites pas l’erreur de croire que les gouvernements des États seront les seuls à vous protéger. Vous devez être organisés au niveau local, avec votre communauté et les entreprises locales prêtes à prendre position. Cela doit commencer maintenant, avant qu’il ne soit trop tard.

Enfin, si la secte Covid décide d’utiliser la force directe comme option, nous devons être prêts à riposter. Sans organisation locale au minimum, se défendre sera difficile voire impossible. Cela signifie qu’il faut faire revenir une vieille tactique des Pères Fondateurs : La milice.

Il y a un temps pour la préparation et un temps pour la prise de risques. Sans risque, il n’y a pas de liberté. Nous approchons rapidement d’un moment où les joueurs et les vrais croyants pourraient décider du sort du monde pour le prochain siècle. Un mouvement populaire et organique doit être rassemblé pour lutter contre la marée montante du totalitarisme. Chacun de nous ne peut faire que sa petite part, mais ensemble, de concert, je crois que nous pouvons arrêter la tyrannie médicale et le Reset dans son élan et même inverser les dommages causés.

Je crois que nous vivons ici, à ce carrefour, pour une raison. Je crois que nous sommes censés être ici, que nous avons la chance d’être les bonnes personnes au bon endroit et au bon moment. Je crois que nous pouvons mettre fin à ce mal, mais seulement si nous osons essayer. Cela commence par un simple geste : Dire au monde « Nous ne nous soumettrons pas ! » Et ensuite, nous devons tenir notre promesse.

Brandon Smith

Traduit par Hervé pour le Saker Francophone

source : https://lesakerfrancophone.fr/nous-nobeirons-pas-une-campagne-contre-la-tyrannie-medicale

samedi 3 janvier 2015

La fin de la partie du jeu économique expliquée / The Economic End Game Explained

Source  : http://www.les-crises.fr/rdpi-du-04-01-2015/

Traduction partielle de l'article original

La fin de la partie du jeu économique expliquée...

"Tout au long de l'histoire, dans la plupart des cas d'effondrement économique, les sociétés en question ont cru, juste avant leur chute désastreuse, qu'elles étaient financièrement invincibles. Il est rare que quelqu'un soit vraiment capable d’apercevoir le bord du précipice ou même le fond de l'abîme avant d'y avoir été englouti. Ce manque de prévoyance, cependant, ne vient pas entièrement de la faute du public. Il est, plutôt, une conséquence provoquée par la manipulation de l'information fondamentale à la disposition du public par les gouvernements et les gardiens sociaux. [...] Combien de conspirations ont été tout juste exposées au cours de ces dernières années ? Combien de crimes du gouvernement ont défrayé la chronique et ont ensuite disparu? Benghazi, Fast and Furious, l’IRS ciblant des militants, l'immigration illégale subventionnée par l'État, etc. ­ un défilé non­stop de corruption que peu de gens auraient cru possible il y a seulement dix ans. Nous sommes en train de bouillir lentement, aussi bien économiquement que politiquement. Nous sommes conditionnés à accepter toute crise imminente comme un moyen de la vie quotidienne, à s'y habituer et à blâmer ces crises sur des centaines de différents boucs émissaires, mais jamais les banques internationales. Et alors que le Titanic coule, le groupe joue toujours, comme les experts et les dupes traditionnels qui accusent les analystes indépendants de « crier au loup. » La fin de partie économique n’est pas un seulement effondrement. L’effondrement n’est rien de plus qu'un processus qui se termine brusquement uniquement lorsque la confiance du public a finalement été perdue. La fin de la partie c’est de l'acceptation ­ l'acceptation par les masses d'une «nouvelle normalité» dans laquelle la terreur financière et politique devient le fondement de la vie quotidienne. La fin de partie est, d'abord et avant tout, au niveau de la psyché de l'humanité et sa mutation en quelque chose de méconnaissable. Ce type de conditionnement général veut une peur incommensurable. Notre philosophie économique du commerce souverain et l'identité ne peut être effacée sans elle. Les élites nous ont déjà donné leur chronologie. Le crash de 2008 n’était que le début du programme, et 2014 à 2015 semble être la prochaine étape. J'ai écrit des centaines d'articles sur la façon de se préparer et de désamorcer les dangers de la réinitialisation imminente, mais la question la plus importante entre toutes reste bien que les gens comprennent que la menace est à leur porte. Ce n’est plus une question de quelques années ou de décennie : elle est ici, maintenant même. Nous sommes en plein milieu de l'effondrement, même si beaucoup ne peuvent pas encore le discerner. Regardez attentivement les développements mondiaux, comme la volatilité du marché augmente et les conflits internationaux qui dégénèrent. Le temps s’est déjà écoulé."


Texte original : The Economic End Game Explained


Source : http://www.alt-market.com/articles/2403-the-economic-end-game-explained

Auteur : Brandon Smith 
Throughout history, in most cases of economic collapse the societies in question believed they were financially invincible just before their disastrous fall. Rarely does anyone see the edge of the cliff or even the bottom of the abyss before it has swallowed a nation whole. This lack of foresight, however, is not entirely the fault of the public. It is, rather, a consequence caused by the manipulation of the fundamental information available to the public by governments and social gatekeepers.
In the years leading up to the Great Depression, numerous mainstream “experts” and politicians were quick to discount the idea of economic collapse, and most people were more than ready to believe them. Equities markets were, of course, the primary tool used to falsely elicit popular optimism. When markets rose, even in spite of other very negative fiscal indicators, the masses were satisfied. In this way, stock markets have become a kind of dopamine switch financial elites can push at any given time to juice the citizenry and distract them from the greater perils of their economic future. During every upswing of stocks, the elites argued that the “corner had been turned,” when in reality the crisis had just begun. Nothing has changed since the crash of 1929. Just look at some of these quotes and decide if the rhetoric sounds familiar today:
John Maynard Keynes in 1927: “We will not have any more crashes in our time.”
H.H. Simmons, president of the New York Stock Exchange, Jan. 12, 1928: “I cannot help but raise a dissenting voice to statements that we are living in a fool’s paradise, and that prosperity in this country must necessarily diminish and recede in the near future.”
Irving Fisher, leading U.S. economist, The New York Times, Sept. 5, 1929: “There may be a recession in stock prices, but not anything in the nature of a crash.” And on 17, 1929:“Stock prices have reached what looks like a permanently high plateau. I do not feel there will be soon if ever a 50 or 60 point break from present levels, such as (bears) have predicted. I expect to see the stock market a good deal higher within a few months.”
W. McNeel, market analyst, as quoted in the New York Herald Tribune, Oct. 30, 1929: “This is the time to buy stocks. This is the time to recall the words of the late J. P. Morgan… that any man who is bearish on America will go broke. Within a few days there is likely to be a bear panic rather than a bull panic. Many of the low prices as a result of this hysterical selling are not likely to be reached again in many years.”
Harvard Economic Society, Nov. 10, 1929: “… a serious depression seems improbable; [we expect] recovery of business next spring, with further improvement in the fall.”
I hear nearly identical statements from pro-mainstream, pro-dollar skeptics all the time. And all of their assertions rest solely on the illusion of the Dow and the dollar index, not to mention statistics that are sourced from the very government that has much to gain by fooling the public into believing all is well.
In 2009, Paul Krugman, perhaps the worst and most famous economist of our age, lamented on the fact that no one in mainstream finance saw the derivatives and credit crash coming. Yet it is the same kinds of manipulative policies that Krugman champions that caused this collective ignorance in mainstream circles to begin with.
What the past proves, time and time again, is that establishment trained and educated economists are perhaps the most useless of all analysts. They are perpetually wrong. Only independent analysts have ever been able to predict anything of value as far as our economic future — not because they are psychic, but because they have the advantage of standing outside the foggy propaganda of brainwashed financial academia.
It also proves that the appearance of prosperity means nothing if the fundamentals do not support the optimism. That is to say, a bullish stock market, a high dollar index and a low unemployment percentage mean nothing if such stats are generated by false methods and fiat.  The fundamentals ALWAYS matter.  As we saw during the Great Depression, the markets cannot hide from reality forever.
I relate these points because the future I am about to suggest here might sound outlandish to some, because it is so contrary to the “official” accounting of our current financial world. It is important to remember that the mainstream, the majority, is almost always wrong and that the truth is very rarely accepted broadly until calamity has already fallen.
I outlined the hard facts behind the reality of economic downturn in my article “We Have Just Witnessed The Last Gasp Of The Global Economy.”
The bottom line is that the stock market, the greatest false indicator of all time, is on the verge of implosion; and the banking elites are positioning themselves to avoid blame for this implosion while the rest of us are being sold on the most elaborate recovery con-game ever conceived. But what is the purpose behind this con-game? Lies are generally only told by those who hope to gain something through deception. What do the elites hope to gain by creating a facade of recovery?
They have openly admitted to the public on numerous occasions EXACTLY what they want — namely, the institution of a truly global and centralized economic system revolving around a highly controlled world currency framework and dominated by a select cult of banking oligarchs. Anyone who claims that this is not the goal is either a liar or an uneducated fool.
I have covered the evidence supporting this program many times in the past, but it would seem with the precariously surreal nature of our world today that much needs repeating. In 1988, the financial magazine 'The Economist' published an article titled “Get ready for a world currency by 2018,” in which it outlined the framework for a global currency system called the “Phoenix” (a hypothetical title), administered by the International Monetary Fund by the year 2018, which would erase all national economic sovereignty and require governments to borrow from the world central banking authority, rather than print, in order to finance their infrastructure programs. This would mean total control by the IMF over member nations as they beg and plead for more capital under the global currency umbrella.
ecocover
If this sounds familiar, it is because I have been warning about the IMF takeover of the global monetary system for at least six years. The Economist actually admits that the Phoenix system would start out in the format of the Special Drawing Rights basket currency:
The phoenix would probably start as a cocktail of national currencies, just as the Special Drawing Right is today. In time, though, its value against national currencies would cease to matter, because people would choose it for its convenience and the stability of its purchasing power…
The plan is to introduce a basket currency system as an alternative to the dollar as world reserve, then slowly but surely phase out all sovereign currencies until the basket becomes a currency itself - the ONLY currency.  Former World Bank Chief Economist Justin Yifu Lin seems to agree with this ideology, arguing that national currencies must be replaced with a supranational currency, and pointing out that no single currency has the strength to stand alone as world reserve:
"I think the dominance of the greenback is the root cause of global financial and economic crises...The solution to this is to replace the national currency with a global currency..."
I would mention that a "Phoenix" rises from the ashes of calamity reborn.  What ashes are the elites expecting the new global currency to rise from?
It is important to note that 'The Economist' is not just any random financial publication; it is in large part owned by the Rothschild banking family and is based out of the London financial center, meaning, The Economist does not have to “guess” on the economic developments of the future; it has an inside track on exactly what is planned to occur.
You can see my more recent analysis on the IMF global currency scheme here.
A plan for global governance has also been touted by international elites over the years, the roots of which would supposedly begin around 2015. The Gorbachev Foundation, which boasts many American elites as members, has long predicted the rise of a global government. In 1995, the executive director of the foundation, Jim Garrison, had this to say to the San Francisco Weekly:
"Over the next 20 to 30 years, we are going to end up with world government. … It’s inevitable. It will happen and become just as normal to have a relationship with the rest of the world as we now have, say, if you are a Californian and you go to Vermont."
At the Gorbachev-led State of the World Forum in 1995, Council On Foreign Relations member Zbigniew Brzezinski had this to say:
“We do not have a New World Order. … We cannot leap into world government in one quick step. … In brief, the precondition for eventual globalization — genuine globalization — is progressive regionalization, because thereby we move toward larger, more stable, more cooperative units.”
Regionalization is already occurring as the BRIC nations form their own bilateral trade agreements and their own global bank, and this is by design.  The catalyst to trigger the end of the dollar and the dominance of a global currency system, I believe, will be the false East/West paradigm. I have seen an incredible array of analytic interpretations of the macro-economy by multiple mainstream and independent financial writers, but very few of them recognize that the conflict between the West and the eastern BRICS is nothing more than a farce. I have compiled a considerable profile of evidence on the reality that governments like Russia and China are actually complicit in the formation of a global currency and global government controlled by the IMF. You can see that evidence herehere and here.
China in particular has loudly pronounced a need for a global currency system to replace the dollar, and they have suggested that this system be controlled by the IMF:
The world economic crisis shows the "inherent vulnerabilities and systemic risks in the existing international monetary system," Gov. Zhou Xiaochuan said in an essay released Monday by the bank. He recommended creating a currency made up of a basket of global currencies and controlled by the International Monetary Fund and said it would help "to achieve the objective of safeguarding global economic and financial stability."
China is NOT anti-establishment or anti-new world order, nor is Russia. Eastern opposition to the NWO is a lie. Period. In fact, the BRICS have argued only for greater inclusion in the IMF system and have no intention of developing a legitimate alternative to “Western” globalization. If you do not understand that the BRICS are part of the NWO, not opposed to it, then you do not understand a thing.
With the BRICS on board with the plan for global currency, what is likely to happen over the course of the next few years if the schedule for an economic reset is on track for 2018?
As I outlined in my last article, the U.S. in particular has been prepped like a sacrificial lamb, with the populace for the most part oblivious to the extent of the threat. Middle-class wealth is being driven into bonds and will be driven more so by market declines, which will progress over the next few months. This “herding” of capital into bonds is only in preparation for the death of the dollar’s world reserve status, thus erasing what little savings were left among the common citizenry.
The ceremony initiating our nation’s fiscal destruction will likely take place in the near term. To achieve global centralization by 2018, the elites would need a serious crisis soon in order to provide the proper collective panic required to generate public consent for global economic governance in four years’ time.
The first, most important factor to consider is the fake conflict between the IMF and the U.S. Congress over the approval of IMF policy changes agreed upon in 2010. The U.S. has yet to officially sign off on the IMF policy measures that would bring more “inclusiveness” for developing nations like Russia and China, and this has led the IMF to assert that a move forward without the U.S. is necessary. IMF head Christine Lagarde is now demanding that Congress pass the reforms of 2010; but with the election of a predominantly Republican government, those reforms have little or no chance of being approved.
Lagarde recently joked that she would be willing to "belly dance" to get IMF reforms passed (I would pass them just to avoid the gut churning image of that belly dance), but the joke will ultimately be on the U.S. as IMF heads suggest that if the current Congress does not pass reforms by the end of this year, they will be forced to apply a "Plan B".  The details of this Plan B are not public.
It is now highly likely that the IMF will set policy WITHOUT the input of the U.S., as they have warned they would, crippling the assumptions by many that the IMF is somehow a “U.S.-owned institution.” It is actually the reverse; the IMF is setting the stage for ownership of the U.S. monetary structure, along with the Bank Of International Settlements, which appears to be the capstone of the NWO system.
The next IMF meeting on SDR inclusion is not set, but will probably take place in early 2015. It is expected that China and the Yuan will be officially added to the SDR basket. Gold should also be watched carefully. There is a reason why the BRICS have been accumulating thousands of tons of the precious metal. The IMF introduction of gold into the SDR basket is inevitable, and a new Bretton Woods style-agreement has already been called for by a number of elites.
The IMF has been openly discussing the ascension of the SDR to replace the dollar as the world reserve currency since at least 2011.
With developing nations already asking for help from the IMF due to volatility caused by the Fed taper and the BRICS well into their own programs to remove the dollar as the world reserve, the only question left is: How will the banks be able to accomplish the currency reset without taking blame for the resulting catastrophe that will no doubt bury the majority of middle-class and poor?
There is no way around it. The elites need a geopolitical disaster so overwhelming that all economic changes taking place in the background go completely unnoticed. They also need to set themselves up as the prognosticators and rescuing heroes in the midst of the coming chaos, as outlined in my last article.
I do not know what that disaster will specifically look like, because there are too many possibilities to consider. Think about this honestly, 10 years ago, would you or your friends and family have ever thought that the U.S. would be at war in Syria with a terrorist organization we created ourselves out of thin air? That we would be immersed in renewed tensions and the possibility of economic warfare with Russia? That our presidency would have attempted and failed the initiation of socialized healthcare? That our military would be tapped as a possible response force for domestic unrest? That an outbreak of Ebola would be suggested as a trigger for medical martial law?
How many conspiracies have been exposed in just the past few years? How many government crimes have hit the headlines and then disappeared? Benghazi, Fast and Furious, IRS targeting of activists, government-aided illegal immigration, etc. — a nonstop parade of corruption that few would have thought possible a decade ago. We are being boiled slowly, economically as well as politically. We are being conditioned to accept imminent crisis as a way of daily life, to become used to it and to blame these crises on hundreds of various scapegoats, but never the international banks.
And while the Titanic sinks, the band plays on, as mainstream pundits and dupes accuse independent analysts of “crying wolf.” The economic endgame is not about collapse alone. Collapse is nothing more than a process that ends abruptly only when public faith is finally lost. The endgame is about acceptance — the acceptance by the masses of a “new normal” in which financial and political terror become the foundation of daily life. The endgame is, first and foremost, about the psyche of mankind and its mutation into something unrecognizable. This kind of pervasive conditioning requires immeasurable fear. Our economic philosophy of sovereign trade and identity cannot be erased without it. The elites have already given us their timeline. The crash of 2008 was only the beginning of the program, and 2014-2015 looks to be the next stage. I have written hundreds of articles on how to prepare and defuse the dangers of the impending reset, but the most important issue of all is that people understand the threat is at their doorstep. It’s not a few years off or a decade away; it’s here now. We are right in the middle of collapse, even if many cannot see it.  Watch global developments carefully, as market volatility increases and international conflicts escalate. Time is up.
 You can contact Brandon Smith at:  brandon@alt-market.com