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"Il n'existe rien de constant si ce n'est le changement" BOUDDHA; Nous devons apprendre à vivre ensemble comme des frères, sinon nous allons mourir tous ensemble comme des idiots." MARTIN LUTHER-KING; "Veux-tu apprendre à bien vivre, apprends auparavant à bien mourir." CONFUCIUS ; « Nous savons qu’ils mentent, ils savent aussi qu’ils mentent, ils savent que nous savons qu’ils mentent, nous savons aussi qu’ils savent que nous savons, et pourtant ils continuent à mentir ». SOLJENITSYNE
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D’habitude, la cérémonie des voeux est toujours un peu morne et répétitive, souvent très formelle. Mais, pour 2022, il y a une exception. Depuis longtemps, nous n’avions pas connu une année de tous les dangers qui commençaient avec une telle urgence.
Donc, rompons avec la tradition, et souhaitons-nous de bons voeux.
Premier voeu : profitez bien de ce premier week-end de l’année pour prendre des forces et un plein de bonne humeur. Lâchez prise et videz vos bouteilles de whisky, de rhum, de Bordeaux, de Cognac. Car dès lundi matin vous aurez la gueule de bois, et quitte à l’avoir, que ce soit au moins pour une bonne raison !
La bataille du passe vaccinal est une nouvelle offensive éclair lancée par Emmanuel Macron. Celle du passe sanitaire en était une, qui nous a pris à froid, et qui a montré que nous n’étions pas, nous les résistants, suffisamment organisés pour y faire face efficacement.
Macron profite des vacances de Noël, de la trêve traditionnelle, pour reprendre la main, alors que 5 millions de personnes au moins (mais probablement le double selon nous, voire le triple) refusent encore et toujours les mystérieux produits du docteur Bourla, et que 5 autres millions au moins promettaient de ne pas aller chercher leur troisième dose.
Nous avons cet été beaucoup comparé l’offensive du passe sanitaire à la bataille de Stalingrad. Nous maintenons cette analyse. Sur le papier, la force est du côté d’Emmanuel Macron, mais, en réalité, la détermination est de notre côté.
Hitler a perdu Stalingrad parce qu’il sous-estimait les forces soviétiques et qu’il sur-estimait les siennes. Ce pêché de dictateur, c’est aussi celui d’Emmanuel Macron, et c’est à nous de le lui démontrer.
Je suis très optimiste sur la bataille qui a discrètement commencé au Parlement entre Noël et la Saint-Sylvestre, mais qui va réellement débuter lundi.
Soyons clairs !
Nous sommes des partisans face à une armée régulière. Nous avons de vieux fusils de chasse, parfois de simples fourches, pour battre une armée blindée.
Je n’imagine donc pas, sauf emballement imprévu de la “machine”, que Macron soit à terre le 15 janvier.
En revanche, nous pouvons raisonnablement atteindre plusieurs objectifs de guerre à notre portée :
Si nous parvenions, dans notre guerre de partisans, à atteindre tous ces résultats, nous pourrions revendiquer une très belle victoire.
Je sais que certains rêvent d’un grand soir beaucoup plus rapide et vont rester sur leur faim en épluchant cette liste de courses.
Mais il faut être réaliste ! Si Emmanuel Macron était seul à décider, nous pourrions juger ces objectifs tactiques trop peu ambitieux.
Malheureusement, Macron n’est que l’un des affranchis d’une mafia internationale qui coordonne une vaste offensive contre les peuples. Nous voulons la peau du marionnettiste, mais nous ne combattons que l’une de ses marionnettes.
Cette marionnette, nous pouvons l’embourber sur sa scène, mais nous ne pouvons aussi facilement effacer le scénario qui dicte ses mouvements. Pour y parvenir, il nous faudra plus de temps et sans doute plus de coordination internationale. Celle-ci ne se décide pas en un claquement de doigts.
Dans ce tableau digne d’un paysage hollandais en hiver, je voudrais vous dire que nous avons une immense chance, qui s’appelle le temps.
Le temps joue en notre faveur.
Chaque jour qui passe sert à démonter le scénario mensonger d’un COVID comme calamité mondiale. Peu à peu, la létalité du virus diminue, et le variant O Micron, au fur et à mesure qu’il va se répandre, va montrer sa faible dangerosité et RASSURER les gens sur le risque viral.
Cette course contre-la-montre explique l’empressement de la caste mondialisée à injecter le maximum de poison le plus rapidement possible aux Européens : tout ce qui sera pris par les actionnaires de Pfizer ne sera plus à prendre !
Malheureusement pour les vaccinés, les semaines passants, le prix qu’ils paieront pour avoir été dupes de cette mascarade va se dévoiler : effets secondaires dramatiques dans la durée, et probablement mortalité due au COVID beaucoup plus élevée que pour les non-vaccinés.
Le vaccin est une bombe à retardement, et je suis assez convaincu qu’un Véran ou un Macron le savent. C’est pour cette raison que Macron n’a toujours pas annoncé sa candidature aux présidentielles, et c’est aussi pour cette raison, j’en suis intimement persuadé, qu’il a fait couvrir artificiellement les délibérations du gouvernement sur le vaccin par le secret défense.
Macron et Véran savent chacun que le vaccin est une grenade dégoupillée dans leur slip, mais ils ne savent pas quand elle va exploser.
Un seul slogan, donc, pour la résistance : GAGNER DU TEMPS !
Maintenant, je ne vous le cache pas, nous avons un problème.
Souvent, je lis dans vos commentaires l’importance de s’unir. L’importance qu’il y a, dans la contestation, à faire front ensemble. Et souvent, à juste titre, vous témoignez de votre agacement face à la désunion.
En vérité, je vous le dis, la bataille des ego fait rage, et elle affaiblit la résistance.
Chacun se croit investi d’une mission divine au nom de laquelle il veut être chef. Dans cette cohorte, il y a ceux qui ont vu Jésus leur apparaître, lequel leur aurait dit qu’ils seraient les héros de la France. D’autres, c’est la Vierge Marie. D’autres encore, c’est une petite voix quand ils étaient enfants.
Vous devriez assister aux réunions clandestines qui fourmillent dans Paris et ailleurs : c’est beaucoup plus miraculeux que Lourdes !
Et je ne vous parle même pas de ceux qui ont les yeux rivés sur leur compte en banque et qui, la main sur le coeur, vous prononcent des grands discours en vous demandant de cotiser à l’énième action en justice dont ils savent pertinemment qu’elle ne débouchera sur rien. Ils le savent tellement qu’ils en discutaient la veille dans une salle discrète de l’Elysée, mais ils prennent bien garde à le cacher. Curieusement, ils ne publient jamais les comptes de leurs actions et ne vous disent jamais combien de millions ils ont gagné sur votre dos avec leurs discours sur le sauvetage de l’humanité.
Bref, nous avons un problème. Nous savons qu’il faudra, lorsque nous aurons gagné, faire le ménage dans la classe politique et dans la haute administration. Mais il faudra assez rapidement le faire dans la résistance. Pas parce que nous aimons les purges, mais parce que nous voulons la victoire TOTALE.
D’ici là, nous faisons avec. Mais il est vrai que si tous les résistants promettaient de ne pas être candidats à la présidentielle et publiaient leurs comptes, comme l’association Rester libre ! le fait pour ses adhérents, nous gagnerions beaucoup de temps.
Bref, la caste nous fait la guerre, la résistance est traversée par la guerre insane des egos, mais nous avons quand même des raisons de nous réjouir : nous sommes ensemble, nous portons de belles valeurs, et nous voulons restaurer les libertés et la joie de vivre !
Nous devons nous faire confiance dans cette lutte essentielle pour les générations à venir : nous vaincrons. Battons-nous pour nos enfants !
En ce mois de janvier, il y a plusieurs façons utiles de vous engager :
Je n’ai aucun doute sur le fait que la vérité finira par triompher. Mais elle attend de vous autre chose que de la sagesse.
Elle attend du combat !
Et… vous en êtes capables !
Source : https://lecourrierdesstrateges.fr/2022/01/01/meilleurs-voeux-pour-2022-et-tenez-vous-prets-pour-le-bonheur/?
En 2021, les démocraties se sont finies avec le consentement miraculeux de ceux qui sont en principe chargés de leur défense. Nous avons assisté au fascinant, au sidérant suicide, orchestré par ceux-là même qu’elle nourrit et qu’elle mandate pour la porter, de la liberté.
Depuis 1940, nous n’avions pas été témoins d’un retournement aussi brutal et insane en France. Il aura suffi de quelques mois d’épidémie et de peur de la mort dans les quartiers bourgeois pour que plus une voix ne puisse parler en faveur de nos libertés sans être immédiatement clouée au pilori d’un prétendu complotisme, aussi farfelu que l’accusation de communisme sous McCarthy.
Si l’on fait le compte des mesures liberticides adoptées en 2021, on risque d’y passer un certain temps et pas mal de nuits blanches.
On en citera deux, emblématiques, parmi tant d’autres.
La première, c’est la loi de sécurité intérieure qui a réintroduit la reconnaissance faciale en temps réel par drones. Cette mesure a été explicitement exclue en Allemagne pour la prochaine coalition, tant elle est liberticide.
Curieusement, personne n’a protesté, dans la classe politique, contre cette mesure scélérate qui avait été vidée l’année précédente du projet de loi sur la sécurité globale.
La deuxième mesure emblématique, c’est évidemment le passe sanitaire qui, au nom du “bien public”, de la “santé” et de la protection du groupe, a justifié une mise au pilori de l’Etat de droit qu’on imaginait mal de la part d’une élite qui se prétend éclairée et raisonnable.
Le plus frappant, effectivement, est que ce glissement dans l’autoritarisme est consenti unanimement par tous les contre-pouvoirs habituels.
On savait que le Parlement et la presse en France étaient quotités négligeables et sans utilité profonde. Mais le Conseil d’Etat ? Mais la technostructure ? Mais la magistrature ? Mais le Conseil Constitutionnel ?
Pas un seul de ces corps n’a joué son rôle. Au contraire, tous se sont entendus pour mettre en place un projet élitaire dont le principal objectif est de créer un état d’urgence permanente où le gouvernement dispose de pouvoirs exceptionnels. Pour notre bien, évidemment. Pour notre bonne santé.
Dans les arguments qu’utilisent volontiers ceux qui nient l’évidence de ce glissement autoritaire, on trouve régulièrement le : “si tous les pays adoptent les mêmes mesures en même temps, c’est le signe que c’est la bonne voie. Tous les gouvernements du monde ne peuvent pas se tromper en même temps. Donc, faites confiance.”
On retrouve ici la logique moutonnière du conformisme bourgeois, qui constitue un levier fondamental grâce auquel le “coup” auquel nous assistons fonctionne.
Peu importe que l’on ait tort ou raison, l’essentiel est de ne pas être seul à penser ce qu’on pense. Trop d’originalité serait suspecte.
La grande force du Great Reset dont nous observons jour après jour le déploiement méthodique en Occident est précisément de nous avoir convaincus (ou d’avoir convaincu certains d’entre nous) que cette belle unanimité internationale n’était pas une menace mais une chance.
Souvenons-nous du TAFTA, le traité transatlantique de libre-échange que Trump a abandonné en arrivant au pouvoir. Dans les années 2010, cet approfondissement du multilatéralisme avait mis des millions de gens dans les rues et avait suscité une méfiance très large.
Dans les années 2020, le même multilatéralisme rassure au lieu d’inquiéter. Trump est parti, et tous les bien-pensants d’Occident se congratulent de faire corps par-delà les frontières contre tout ce qui ressemble à une marge de liberté vis-à-vis des appareils étatiques.
Pour obtenir ce renversement formidable, il suffisait de propager la peur. On a beau répéter que le COVID tue très peu, la seule infime probabilité de risquer de mourir suffit à venir à bout de toute forme de rationalité chez des gens qui se prétendent intelligents et légitimes à gouverner la planète.
De qui ces crédules sont-ils les dindons ?
L’histoire finira sans doute par le dire. Mais beaucoup de réponses se trouvent déjà dans le Great Reset, et j’en ai énuméré un certain nombre dans le livre que j’ai consacré au sujet.
Nous pouvons au moins, en France, observer qui est à la manoeuvre pour dérouler cet agenda.
L’ironie de l’histoire veut que des figures très symboliques soient au coeur de cette grande bascule autoritaire.
Je prends l’exemple de Nicolas Revel, le directeur de cabinet de Jean Castex, qui fut aussi directeur de cabinet de Bertrand Delanoë, et directeur de l’Assurance Maladie. Cet homme de gauche, ce “grand serviteur de l’Etat” (et non du peuple…) est le fils du célèbre essayiste libéral Jean-François Revel.
Je me souviens, quand j’avais quinze ans, d’avoir lu son essai “Comment les démocraties finissent”. Jean-François Revel expliquait alors comment la gauche européenne n’en pouvait plus de la démocratie et comment, par confort, elle préférait le totalitarisme communiste.
Personne n’imaginait alors que son fils donnerait chair à ce programme en reprenant à son compte des logiques proches du communisme chinois, comme le crédit social qui discrimine les opposants. Le passe sanitaire en est une application directe.
Ceux qui portent la lourde responsabilité du glissement autoritaire, de la fin de la démocratie annoncée par Jean-François Revel en son temps, sont là. Ce sont les enfants nés avec une petite cuillère d’argent dans la bouche, porteurs de la bien-pensance de gauche, détenteurs des leviers de l’Etat, dont ils ont fait leur chose, c’est-à-dire un instrument qui défend leurs intérêts contre le suffrage universel, qui est devenu l’ennemi public numéro un.
Il suffit d’observer la campagne électorale en France pour comprendre combien la bourgeoisie mondialisée a peur du suffrage universel. La possibilité qu’une Marine Le Pen ou qu’un Eric Zemmour soient élus suscitent la même angoisse, la même horreur, que l’élection de Trump ou que la victoire du “Leave” lors du referendum sur le Brexit.
Laisser les “cons” voter (et la caste regroupe sous cette catégorie les complotistes, les fachos, les vieux mâles blancs qui ne se repentent pas et autres indésirables) est devenu l’objet même d’une aversion dans les beaux quartiers.
Je reçois énormément de messages envoyés par des gesn de bonne foi qui se demandent que faire pour empêcher la “dictature” de se mettre en place. C’est le mot qui revient le plus couramment dans les messages.
Je ne suis pas sûr que quelqu’un ait une réponse simple à cette question.
Mais je voudrais vous faire part de ma certitude : on n’arrêtera pas la dictature en restant dans son fauteuil, même si l’on y vocifère toute la journée.
Je vois bien que beaucoup ont envie de s’engager, mais en restant dans leur zone de confort, en continuant une vie normale, et en ne prenant aucun risque. L’engagement serait au fond une occupation parmi d’autres, une sorte de loisir qui ne procure pas d’inconfort ni d’intranquillité.
Je suis absolument convaincu que cette résistance là s’appelle du soutien moral, mais qu’elle n’est d’aucune utilité pour effrayer la caste mondialisée bien décidée à “saigner la bête”. Ils peuvent tenir très longtemps en étant détesté. Ils n’ont pas besoin de votre amour.
C’est d’ailleurs sur cette illusion qu’ont beaucoup de Français de vivre dans un monde de bisounours où quelques manifestations le samedi après-midi suffiront à faire plier le régime qu’Emmanuel Macron table pour mettre en oeuvre le Great Reset en France.
Ma conviction est, si l’on veut désormais peser sur le réel, qu’il faut oublier ce militantisme conçu comme hobby intermittent, et qu’il faut utiliser les armes de la caste pour la combattre.
Dans son Great Reset, Klaus Schwab évoque beaucoup les activistes comme les acteurs efficaces du monde contemporain.
J’ai la conviction profonde qu’il faut adopter les méthodes de l’activisme (Extinction Rébellion, Greenpeace, Act-Up, etc.) pour défendre nos intérêts fondamentaux.
L’association Rester libre ! vous a déjà proposé deux actions de shaming qui ont très bien marché, et qui ne sont pas closes. En trois semaines, les militants ont envoyé plus de 5.000 courriers, et nous ne nous arrêterons pas là.
Il faut continuer sur cette voie, et il faut en ouvrir d’autres.
Rejoignez-nous ! Le pire n’est jamais sûr, et la peur n’évite pas le danger.
D’ici là, je vous présente tous mes voeux pour 2022.
Source : https://lecourrierdesstrateges.fr/2021/12/31/2021-lannee-ou-les-democraties-se-sont-finies/?
République souveraine est un mouvement récent, né de la volonté d’incarner une ligne politique au service du bien commun, et dans laquelle la grande majorité des citoyens et citoyennes pourrait se reconnaître.
Il se fixe pour objectif de redonner à la France la capacité et les moyens de mener les politiques de son choix, dans le respect d’un principe trop longtemps diffamé : la souveraineté populaire.
Contrairement à ce que quatre décennies de propagande en faveur de la mondialisation, de la concurrence débridée et de la poursuite sans fin des profits individuels ont pu laisser croire, la souveraineté du peuple français n’appartient pas aux partis politiques d’extrême-droite, et elle ne constitue pas non plus un repli sur soi.
source : https://lemediaen442.fr/les-voeux-pour-2022-de-marcel-d-et-son-equipe-il-ny-aura-pas-de-negociation-nous-gagnerons/
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