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mercredi 6 mars 2024

Lettre ouverte au chef d’État sur les diffamations qui courent à son encontre

Monsieur le chef d’État,

Je voudrais vous alerter sur des diffamations graves portées à votre encontre et qui faute de réaction publique de votre part, sont à considérer comme des informations. À l’ère où vos partisans ne cessent de nous alerter sur le prétendu danger de soi-disant « fake-news », votre silence sur des accusations pourtant extrêmement faciles à démentir est plus que déstabilisant, et au delà de votre personne, c’est l’image de la France qui s’en trouve atteinte.

Le 15 février 2024 Faits & Documents a publié en une de son nouveau n° 528 une information très claire au sujet de la personne présentée par vos services dans le monde entier comme « Madame Brigitte Macron », je cite : « « Brigitte » est en effet née homme sous le nom de Jean-Michel Trogneux. Cet individu, qui se fait aujourd’hui appeler « Madame la Présidente », s’est fait connaître sous l’identité civile de naissance de sa sœur, Brigitte Trogneux »
J’ai une question à vous poser : avez vous porté plainte contre Xavier Poussard pour ces propos ? À ma connaissance non.

Je vous ai admiré en train de faire un « paquito » lors du salon de l’agriculture. Ah non, c’était Jean Lassalle, celui qui a déclaré sur toutes les ondes que vous ne vous étiez pas fait vacciner contre le Covid. J’ai une question à vous poser : avez vous porté plainte contre Jean Lassalle pour ces propos ? À ma connaissance non.

Pascale Bordes, députée RN a déclaré sur La Chaîne Parlemenataire, je cite : « on a l’impression qu’il est en permanence sous certaines substances psychotropes. Il devrait arrêter avec ça, c’est manifestement dangereux. »
J’ai une question à vous poser : avez vous porté plainte contre Mme la Députée Pascale Bordes pour ces propos ? À ma connaissance non.

Source

lundi 20 septembre 2021

Lettre ouverte pour une société unie, libre et sûre, adressée aux gouvernements et décideurs politiques

 

ET MAINTENANT?

Avec quelques scientifiques, professionnels de la santé, entrepreneurs et citoyens concernés, nous avons rédigé un court texte de deux pages, en néerlandais, français et anglais. Nous soulignons l'impasse actuelle caractérisée par la stratégie inefficace de la vaccination de masse, ainsi que par la polarisation et la discrimination. Nous proposons également 10 points pour une meilleure approche dans un avenir proche et un peu plus lointain.

Cette lettre a déjà été approuvée par de nombreuses personnes et remise à Alexander De Croo et aux membres des différents gouvernements de ce pays. Mais plus il y aura de personnes qui signeront la lettre dans les heures et les jours à venir, plus il y aura de personnes qui, espérons-le, en tiendront compte. Nous espérons pouvoir compter sur vous pour la signer et la partager.

La lettre a été rédigée par les personnes suivantes de Factor V & COVID-rationnel :

  • Anne Franchimont médecin généraliste diplômée UCLouvain
  • Benoit Bourgine, théologien, UCLouvain
  • Bernard Rentier, virologue, ULiège
  • Callan Correo, artiest, ondernemer
  • Christel De Jonghe, ondernemer
  • Christine Dupont, bioingénieur, UCLouvain
  • Denis Flandre, nano-bio-electronics Engineering, UCLouvain
  • Dirk Theuns, ondernemer
  • Elisabeth Paul, health policies & systems, ULB
  • Erik Van den Haute, rechten, ULB
  • Frédéric Caruso, anaesthesiologist and intensive care physician, ex ULiège / ULB.
  • Greet Verbruggen, consultant, ondernemer
  • Hilde Van Liefferinge, docent, coach
  • Jean-François Raskin, sociology, ihecs Brussels
  • Jean-Louis Lamboray, public Health, Mahidol University Thaïland
  • Lieven Annemans, welzijns- en gezondheidseconoom, UGent & VUB
  • Luc De Wandel, journalist
  • Martin Buysse, physicien, UCLouvain
  • Martin Zizi, epidemiologist, biophysicist
  • Melanie Dechamps, intensive care medicine, Cliniques Universitaires St Luc, UCLouvain
  • Nicolas Vermeulen, psychologie, UCLouvain
  • Olivier Lhoest, anesthésiste-Réanimateur
  • Paul Neefs, criminoloog
  • Pierre Schaus, computer science, UCLouvain
  • Quentin Louveaux, computer science and electrical engineering, ULiège
  • Raphael Jungers, applied mathematics, UCLouvain
  • Raphaël Lefevere, mathematics, Université de Paris
  • Steven Arrazola de Oñate, ondernemer
  • Tom Van Heffen, bedrijfsleider
  • Vincent Laborderie, political scientist, UCLouvain
  • Wim Vermeulen, advocaat

Nous vous présenterons bientôt d'autres nouvelles concernant le facteur V. Nous vous présenterons plusieurs initiatives positives auxquelles chacun pourra contribuer et participer.

#FactorV -> Liberté, Responsabilité, Connexion.

ET MAINTENANT ?

Lettre ouverte pour une société unie, libre et sûre

Aux: gouvernements et décideurs politiques

CC: la population

Considérant que:

a. si les vaccins contre le SRAS-CoV-2 étaient initialement efficaces, leur efficacité diminue sensiblement avec le temps et à cause des nouveaux variants;

b. les personnes vaccinées peuvent donc encore être contaminées dans une mesure importante (voir les données récentes d’Israël, des USA et du Royaume-Uni) et peuvent également être contagieuses pour d'autres personnes;

c. l'immunité acquise par l'infection naturelle est plus durable et plus résistante aux variants que l'immunité induite par les vaccins;

d. les vaccins actuels entraînent des effets indésirables rares mais graves, dont l'ampleur est sous-estimée et insuffisamment signalée. La déclaration des effets indésirables par les médecins généralistes et hospitaliers et par les vaccinés serait actuellement largement insuffisante;

e. les enfants jouent un rôle modeste dans la propagation du virus, et ils sont très rarement (gravement) malades du virus. Au Royaume-Uni, le Joint Committee on Vaccination and Immunisation (JCVI) déclare que sur base de l’état actuel des connaissances, la balance entre les risques liés à la maladie de Covid-19 et aux vaccins contre le Covid-19 ne justifie pas la vaccination de masse des enfants qui ne sont pas à risque;

f. les tests PCR très sensibles peuvent donner lieu à de nombreux faux positifs (c'est-à-dire des personnes qui ne sont en fait pas contagieuses);

g. les formes sévères de Covid-19 sont liées à des conditions sous-jacentes, principalement l'obésité, le diabète, l'hypertension, l'anxiété et la dépression.

Nous pouvons maintenant conclure que :

- même avec 100% de la population vaccinée, l'immunité de groupe ne peut être atteinte avec les vaccins actuels. La stratégie actuelle de vaccination de masse ne représente donc pas une option efficace ni efficiente à poursuivre et se faire vacciner ne peut être considéré comme un acte de solidarité. Le développement de vaccins contre les variants risque de prendre du retard;

- le Covid Safe Ticket n'est pas efficace d'un point de vue médical/épidémiologique et psychologique, car il conduit à un faux sentiment de sécurité et peut contribuer à de nouvelles infections de SRAS-CoV-2 et au Covid-19;

- faire une distinction entre les personnes vaccinées et non vaccinées n'a aucun sens d'un point de vue épidémiologique. Une telle distinction est également discriminatoire et moralement déplorable;

- la décision de se faire vacciner doit rester un choix personnel fondée sur l'équilibre entre les avantages et les risques, en tenant également compte de l'immunité acquise.

Dans la recherche d'une meilleure approche, et en prévision des futures vagues attendues, nous demandons donc à nos gouvernements de reconnaître que le Covid-19 est une question complexe et hétérogène qui ne peut être résolue par des mesures simples et universelles, mais plutôt par le développement de mesures ciblées, proportionnelles et équitables, en fonction de chaque contexte et de la population cible.

Concrètement, cela signifie que nous recommandons les points suivants à nos décideurs politiques à tous les niveaux:

1. Abandonner l'utilisation du Covid Safe Ticket car, en plus d'être inefficace, il est également discriminatoire et conduit à une ségrégation de la population; le faux sentiment de sécurité est également dangereux de la part des personnes vaccinées qui peuvent être infectées et contagieuses sans le savoir. Les gouvernements devraient lancer un appel public pour mettre fin à la ségrégation et à la polarisation entre les personnes vaccinées et non vaccinées.

2. Abandonner la vaccination des enfants et des adolescents, sauf pour les enfants qui présentent un risque élevé de développer une forme grave de Covid-19 et uniquement à la demande de leurs parents. Cela signifie également que les écoles ne doivent en aucun cas prendre la responsabilité ou intervenir dans la vaccination des enfants et des adolescents, qu'il doit être interdit de demander le statut vaccinal des enfants et des adolescents et qu'il doit être interdit de faire une discrimination entre les enfants vaccinés et non vaccinés.

3. Proposer - conformément au principe de précaution - les vaccins disponibles uniquement à ceux dont on attend un rapport bénéfice/risque positif en fonction de leur propre état de santé et de leur situation personnelle. Concrètement, cela signifie en premier lieu qu'il faut offrir la possibilité (et non l'obligation) d'une troisième dose aux personnes immunodéprimées, aux personnes âgées (p. ex. > 70 ans) en milieu résidentiel et à domicile et aux personnes présentant une multi-morbidité ou des facteurs de risque et qui n'ont pas encore été infectées par le SRAS-CoV-2.

4. Mettre fin à l'utilisation abusive des tests PCR comme outil de détection de masse chez les personnes asymptomatiques et non à risque; adopter plutôt une politique de test rationnelle pour identifier les personnes contagieuses et les contaminations et détecter rapidement et efficacement les nouveaux clusters.

5. Aider les professionnels de soins de santé primaires à promouvoir la santé parmi les populations vulnérables (y compris par une supplémentation nutritionnelle si nécessaire), à conseiller leurs patients en cas de comorbidités et d'autres besoins spécifiques, et à appliquer des directives pour traiter leurs patients de manière précoce lorsqu'ils sont infectés, avec un traitement adapté à la situation sanitaire et aux besoins de chaque patient (comprenant éventuellement des anticoagulants, des corticoïdes, des anti-inflammatoires et/ou des antibiotiques si une infection microbienne secondaire est suspectée).

6. Ne plus jamais utiliser les enfants comme cible de mesures restrictives (fermeture d'écoles, port de masques): il est désormais démontré que les fermetures d'écoles sont plus dommageables pour les enfants - en particulier les plus vulnérables - que les gains sanitaires possibles pour la communauté, et rien ne prouve que le port de masques à l'école soit efficace pour prévenir la propagation du Covid-19.

7. Promouvoir les activités de plein air et investir dans la ventilation/filtration des lieux publics intérieurs.

8. Investir des ressources suffisantes dans le renforcement de notre système de santé, tant au niveau de la première ligne de soins qu'au niveau des hôpitaux, afin de s'assurer qu'il est résilient et prêt à faire face aux prochaines menaces sanitaires. Cela nécessite également une vision à long terme de la santé publique, en commençant dès l'enfance et en incluant l'éducation.

9. Mener des campagnes de promotion de la santé de masse pour réduire le fardeau des maladies non transmissibles et renforcer l'immunité de la population face aux épidémies virales et bactériennes actuelles et à venir.

10. Évaluer de manière continue et indépendante les mesures d'intervention mises en œuvre, rendre publics les résultats de ces évaluations et promouvoir un dialogue politique transparent et inclusif afin d'adapter les politiques de santé aux spécificités du contexte, aux attentes de la population et à l'évolution des priorités.

Avec tout ce qui précède, nous demandons à nos gouvernements de développer une stratégie de communication avec la population qui ne soit pas basée sur la culpabilité, l'anxiété, l'application de la loi et le blâme, mais sur l'éducation, stimulant la vigilance, la responsabilité et la connexion, et qui offre des perspectives réalistes.

Les sources scientifiques sont disponibles dans la littérature et peuvent être obtenues sur simple demande (contact@factor-v.be).

Cosignez la lettre!

mercredi 2 septembre 2020

Coronagates. Superbe lettre ouverte collective à nos responsables politiques belges - PETITION

SOURCE :  
https://belgiumbeyondcovid.be/petitions/lettre-ouverte-open-brief-covid/#Francais
La gestion de la pandémie nécessite une confrontation large et multidisciplinaire des connaissances et des idées. Nous demandons la mise sur pied urgente de nouveaux groupes de travail qui puissent enfin proposer des mesures scientifiquement prouvées efficaces, proportionnées au regard des autres problèmes de société et de santé publique, sans effets collatéraux néfastes et dans le respect de l’état de droit, de la démocratie et des libertés individuelles.
 

La gestion de la pandémie nécessite une confrontation large et multidisciplinaire des connaissances et des idées.


La gestion actuelle de la crise sanitaire de la COVID-19 montre énormément de failles et trop d’inadéquation. Elle manque singulièrement de clarté et de transparence. Les questionnements qu’elle provoque restent désespérément sans réponse. Il faut dans les plus brefs délais mettre sur pied un ou plusieurs groupes de travail, indépendants du monde politique, constitués d’un large panel de personnes compétentes dans tous les secteurs impactés par cette crise (médical, santé publique, économie, secteurs sociaux, enseignement, justice, etc, …) et représentatif de l’ensemble des citoyens.

 

La légitimité des experts actuellement aux commandes doit être remise en question.


La crise est actuellement gérée par quelques experts dont les critères de sélection restent jusqu’ici inconnus et incompris. Leurs éventuels conflits d’intérêts ne sont pas déclarés. Trop de décisions ont été basées sur des données scientifiquement infondées et dont les conséquences directes et indirectes ont été sous-évaluées. Le processus d’auto-évaluation tel que prévu par le gouvernement sous forme de Commission Parlementaire ne permettra pas une vraie remise en question, pourtant indispensable. 

 

Les erreurs du passé ne peuvent plus être reproduites. 


Ces groupes de travail devront évaluer objectivement les bénéfices et les conséquences néfastes du système de confinement imposé par le gouvernement afin de les mettre en balance. 

L’efficacité des mesures prises pour limiter la propagation du virus doit être évaluée. Il semble bien que les pays n’ayant pas pris des mesures aussi restrictives que les nôtres n’aient pas été confrontés à une mortalité différente, bien au contraire. Les faits n’ont jamais corroboré aucune des estimations catastrophistes du nombre de décès de certains biostatisticiens et modélisateurs, comme ils n’ont pas pu confirmer les effets espérés du confinement. Confiner les personnes saines n’a aucun fondement scientifique, et confiner les personnes malades avec les personnes saines aura pu favoriser les contaminations entre personnes vivant sous le même toit.

Sur le plan médical, le confinement a entraîné une surmortalité dans les autres pathologies. Des données récentes estiment cette surmortalité à au moins 30% de la surmortalité globale (1), ce qui correspond précisément au nombre de patients « suspects de Covid-19 » et que le gouvernement belge, contrairement à ses voisins, a comptabilisé dans la mortalité liée au Covid-19 surestimant celle-ci de façon importante. D’autres chiffres corroborent ce phénomène puisque les hôpitaux belges ont observé une nette diminution du nombre de patients pris en charge pour infarctus du myocarde pendant la période du confinement, et en France pendant la même période une grosse augmentation du nombre d’arrêts cardiaques extrahospitaliers et un excès de mortalité liées à ceux-ci, qui n’est pas expliquée par l’existence du Covid-19 à lui seul (2, 3). La médecine préventive n’a pu être conduite correctement en particulier les diagnostics de cancer ont diminué de moitié (4) (moins 2500 diagnostics par mois en Belgique) avec une surmortalité attendue également (5,6).

Sur le plan de la santé publique, la Covid-19 doit être remise en perspective de l’ensemble des autres pathologies et les mesures prises ne peuvent plus être disproportionnées au regard d’autres fléaux au moins tout aussi mortels.

Sur le plan psychosocial, le confinement a généré de la violence conjugale et de la maltraitance infantile. Le taux de pauvreté explose et cette dernière est reconnue pour diminuer l’espérance de vie de plusieurs années (7). Le stress sous de nombreuses formes, généré par le confinement, aura sans aucun doute des effets néfastes sur la santé mentale (8).

Sur le plan économique, 50 milliards se sont évaporés. Jamais autant d’argent n’aura été investi pour « sauver » si peu de vies, même dans les estimations les plus folles du nombre de décès soi-disant évités (chiffre qui reste inconnu à ce jour). Tout cet argent ne pourra plus être investi dans des secteurs pourtant tout aussi indispensables comme la sécurité sociale, l’enseignement, la justice et les soins de santé eux-mêmes.

Sur le plan juridique, on constate que bon nombre de mesures, adoptées par l’exécutif, reposent sur des bases légales inadéquates et non valables. Celles-ci ne permettent pas de servir de fondement pour imposer, par exemple, le port obligatoire du masque, le traçage, la distanciation sociale ou interdire les rassemblements. Plus encore, le pouvoir exécutif est incompétent pour accompagner ces mesures des sanctions pénales prévues par la loi de 2007. Les mesures futures doivent être prises dans le respect de la Constitution Belge (9). On ne compte plus les régimes discriminatoires et les différences de traitement entre les différentes professions. Les règles changent sans cesse et ne sont même plus identifiables et ce au mépris de la sécurité juridique. La négligence des libertés fondamentales, de la démocratie et de l’état de droit est une porte ouverte à poursuivre ou réitérer cette négligence dans le futur pour d’autres prétextes bons ou mauvais. Nous devons sérieusement nous interroger sur le principe de pouvoir porter atteinte à ces valeurs fondamentales quelle que soit la situation. UNIA et l’INDH ont eux-mêmes appelé à la prudence dans le maniement des mesures attentatoires aux droits fondamentaux (10). La justice a été mise à l’arrêt avec des conséquences néfastes pour de nombreuses victimes. La justice et la police ont été détournées de leurs missions habituelles pour faire respecter les directives gouvernementales.

Sur le plan éthique, les principes de justice distributive, de non-malfaisance et d’autonomie qui sont les bases de l’éthique médicale ont été bafoués. L’exemple le plus illustratif est celui des personnes âgées vivant en résidence, qui ont été enfermées contre leur gré, privées de relations sociales et de soins médicaux, soi-disant pour leur bien… Ils représentent la majorité de ces morts « suspects Covid19» dont on peut raisonnablement penser qu’ils sont décédés d’autres choses que l’on a tout simplement pas prises en charge. Chaque personne à risque devrait être libre de se protéger comme bon lui semble. Les experts et le gouvernement semblent ignorer que beaucoup de nos ainés préféraient mourir heureux et entourés que de vivre confinés les derniers mois de leur vie. 

Tous ces éléments sont bien entendus interdépendants et ne peuvent être envisagés séparément.

 

La gestion future de la crise doit être scientifiquement fondée, rationnelle et proportionnée.


Le point actuellement le plus important à débattre est de définir précisément le but des mesures  antiCovid19. Initialement, il fallait éviter la saturation des hôpitaux en aplatissant la courbe, ce qui était compréhensible. Toutefois, aucune donnée objective sur le bénéfice du confinement de l’entièreté de la population n’a été fournie à ce jour. Ensuite, les mesures ont été prolongées et il semble maintenant qu’il faille à tout prix éviter de se faire infecter par un virus dont la dangerosité ne dépasse pas celle de la grippe saisonnière que nous vivons chaque année dans la « quasi » indifférence générale. Cela ne nous paraît plus raisonnable.

Le gouvernement a été jusqu’ici incapable d’organiser un dépistage massif, méthode pourtant reconnue efficace pour isoler les malades et limiter la propagation du virus (11). En lieu et place, les citoyens se voient à nouveau limités dans leurs libertés fondamentales. Ceci n’est plus acceptable.

 
D’autres points majeurs doivent également être débattus.

Le vaccin nous a été présenté d’emblée comme l’unique solution à la fin de cette épidémie, alors que son innocuité, son efficacité et la durée de son éventuelle protection dans le temps sont incertaines. D’autres solutions à moyen ou long terme doivent être envisagées, comme l’immunité collective. En dehors des espaces où la distanciation physique ne peut être respectée, le port du masque n’a strictement aucun intérêt. 

Les risques à long terme liés à l’excès d’hygiène doivent être pris en compte.

 
Il ne peut plus y avoir de victimes collatérales.

Les enfants doivent pouvoir reprendre l’école maternelle, primaire et secondaire dans des conditions normales, moyennant des mesures d’hygiène de base comme le lavage des mains. Des restrictions d’espace et de temps de détente, de jeux ou de relations sociales ne doivent plus exister. Les recommandations très récentes du Centre européen de prévention et de contrôle des maladies confirment que la fermeture et la réouverture des écoles n’ont pas eu d’impact significatif sur la transmission du virus dans la communauté (12). Nous supportons entièrement l’avis de la Task Force pédiatrique exprimé dans sa carte blanche du 12/08/20 (13).

Les étudiants du supérieur doivent retrouver le chemin des auditoires et de la vie sociale en général. 

Les secteurs de la culture, de l’Horeca, de l’évènementiel doivent pouvoir reprendre leurs activités au plus vite.

 

Les citoyens ont droit à une information objective et honnête.


De façon urgente, les citoyens doivent avoir accès à des informations claires, objectives, professionnelles et indépendantes des médias mainstream  et de leur sensationnalisme. Le climat actuel de covidophobie est tout à fait injustifié et génère une anxiété néfaste pour une partie importante de la population.

 
En définitive, nous demandons la mise sur pied urgente de groupes de travail larges et multidisciplinaires qui puissent enfin proposer des mesures scientifiquement prouvées efficaces, proportionnées au regard des autres problèmes de société et de santé publique, sans effets collatéraux néfastes et dans le respect de l’état de droit, de la démocratie et des libertés individuelles.

"Je signe la lettre ouverte"
Cliquez ici

 

Qui sommes-nous?

 

Le collectif Belgium Beyond Covid (BBC)

Nous sommes un collectif créé initialement par un groupe de médecins /professionnels de la santé à l’initiative du Professeur Pierre-François Laterre et du Docteur Mélanie Dechamps, respectivement Chef de service soins intensifs et Cheffe de clinique adjoint aux Cliniques Universitaires St-Luc UCLouvain.

La volonté du collectif est l’ouverture à d’autres professionnels dont les domaines d’expertise permettent d’objectiver les mesures prises pour contrer l’épidémie. 

C’est avec cet objectif et cet esprit d’ouverture que le collectif a publié la lettre ouverte (lien) reprenant les demandes adressées à notre gouvernement, et avait également participé à la création d’une vidéo mettant en avant les conséquences néfastes liés au confinement.

C’est un véritable cri d’alarme que le collectif lance, car outre les conséquences sur la santé publique et les libertés individuelles, c’est le processus légal et démocratique censé assurer la transparence des décisions et leur évaluation dans le futur qui est mis à mal.

Si l’esprit de la lettre/du collectif fait écho à votre propre opinion, nous vous invitons à nous rejoindre en remplissant le formulaire avec vos noms, prénoms et emails et en indiquant, si tel est le cas, votre propre domaine d’expertise.
C’est aussi pour vous le moyen de rester informé(e)s des nouvelles publiées et actions menées par le collectif.

Vous pouvez nous contacter via le formulaire situé sur la page contact