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mercredi 7 septembre 2022

"Ma garde à vue était préparée de longue date !" - Eric Verhaeghe - Géopolitique, Suicides, Liberté, Sécession... etc.

 


  • Vidéo ici

  • Eric Verhaeghe, fondateur du courrier des Stratèges, revient sur sa garde à vue de 24 heures et détaille les motivations de son interpellation.

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    #LigneDroite


    L'article en question


    Brigitte Macron n’aurait déposé aucune plainte pour diffamation dans l’affaire Jean-Michel

    Nous avons effleuré hier les allégations de la télévision russe concernant le dossier secret qui aurait été saisi au domicile de Trump par le FBI, et dont toute la presse française a parlé sans retenue (preuve, insistons sur ce point, que les plumes se délient, dans le cartel de la presse subventionnée, lorsqu'il s'agit de relayer une information lancée par le Deep State US). Certains lecteurs ont prétendu que Brigitte Macron aurait porté plainte en diffamation concernant ce dossier, notamment contre Faits & Documents, qui a largement documenté son enquête (controversée) sur le sujet. Faits & Documents nous a contacté pour nous signifier qu'il ne faisait l'objet d'aucune poursuite de la part du couple présidentiel, ce qui soulève quelques importantes questions.


    Comme nous le montrons dans la vidéo ci-dessus, et comme nous l’indiquions hier dans nos colonnes, la télévision russe fait des gorges chaudes à propos du dossier secret “President of France” que le FBI s’est vanté d’avoir saisi au domicile de Trump. Selon le reportage diffusé à Moscou, qui s’appuie largement sur le dossier de Faits & Arguments consacré à Brigitte Macron, le FBI détiendrait des preuves concernant l’identité réelle de Brigitte Macron.

    Nous avons pris soin de rappeler que cette ténébreuse et détestable rumeur n’est, à ce stade, pas vérifiée, mais nous nous sommes étonnés, depuis plusieurs semaines, que le couple Macron ne la fasse pas taire par des procès en diffamation.
    Diffamation ? où en sommes-nous des procédures ?

    Assez curieusement, un lecteur a prétendu, dans un commentaire, que :


    En rapport avec l’article, il y a une précision de taille qu’il faut apporter et qu’il n’est pas sorti dans la presse :
    – le couple Macron a effectivement dépose plainte pour diffamation contre Xavier de faits et documents ainsi que contre Natacha Rey ;
    – le Procureur de la République a requalifié la plainte en injure à caractère transphobe et Xavier de Faits et documents a été entendu par les services de police.

    Source : site web E&R et F&D.

    Ce commentaire a fait réagir Xavier Poussard, directeur de la rédaction de Faits & Documents, qui indique que Natacha Rey ferait l’objet d’une procédure pour atteinte à la vie privée, et que Faits et Documents ne fait à ce stade l’objet d’aucune procédure pénale.

    Par transparence, nous devons signaler que l’auteur du commentaire jugé faux par Xavier Poussard est, manifestement, un jeune étudiant qui semble bien informé pour son âge (puisqu’il livre de façon péremptoire des informations qui ne sont pas sorties “dans la presse”), ce qui nous laisse à penser que les affirmations de Xavier Poussard selon lesquelles il n’est pas attaqué en diffamation sont plus sérieuses que les affirmations inverses.

    Autrement dit, nous considérons comme acquis que, près d’un an après les premières interrogations sur son identité, Brigitte Macron n’a accusé personne de la diffamer. Tout juste a-t-elle accusé Natacha Rey de s’être immiscée dans sa vie privée, mais, en aucun cas, elle n’a saisi un tribunal pour rétablir une vérité qui serait tronquée ou contestée par la presse, et en particulier par Faits & Documents.
    Les questions soulevées par l’inaction du couple Macron

    S’il se confirmait que Brigitte Macron ne considère pas comme diffamatoires les affirmations selon lesquelles son identité féminine ne serait pas “native”, selon lesquelles elle aurait commencé sa relation intime avec Emmanuel Macron lorsque celui-ci avait 14 ans, et quelques autres informations de ce genre, nous serions confrontés à quelques questions POLITIQUEMENT MAJEURES.

    Au premier chef, on pourrait s’étonner du silence religieux observé par le cartel des médias subventionnés sur un questionnement fondamental relatif à l’identité de la première dame, et à la légalité de ses pratiques. En effet, alors que les féministes obtiennent de pleines pages sur de prétendus viols commis il y a quarante ou cinquante ans par Roman Polanski ou autres, le tabou sur le couple qui dirige la France rappelle une fois de plus les dangers des subventions (et de la connivence entre les milliardaires propriétaires des journaux et le pouvoir en place) pour une information équitable et loyale.

    Au deuxième chef, on s’étonnera aussi de la façon dont l’opposition est contrôlée en France. Sur le sujet précis de Brigitte, les réseaux sociaux regorgent de trolls qui diffusent les éléments de langage du pouvoir, à commencer par des trolls plus ou moins journalistes qui prennent contact avec nous, dans le cadre de ce qui ressemble à une mission commandée, pour nous conseiller “d’être prudent”. Qui finance ces missions d’influence ? Pourquoi certains médias qui se présentent comme les champions de l’opposition dissidente aujourd’hui observent-ils un silence aussi étrange sur un dossier qui passionne pourtant beaucoup de Français ?

    Au troisième chef, et c’est le plus important, je répète que, dès lors que cette affaire devient une arme diplomatique utilisée par les USA et la Russie dans le jeu des puissances, elle relève de la sécurité nationale et le premier personnage de l’Etat met le pays en danger en ne tordant pas définitivement le cou à la rumeur.

    Cette inaction du couple Macron se transforme progressivement en problème diplomatique essentiel.
    L’urgence d’entamer des procédures claires

    On voit bien que Macron marche avec un caillou désagréable dans sa chaussure aujourd’hui. Le silence des medias subventionnés (et des medias de prétendue opposition) ne pourra en permanence régner sur une affaire qui pèse lourd.

    Il devient urgent qu’Emmanuel Macron et Brigitte dénoncent la diffamation dont ils sont l’objet et, comme ils savent si bien le faire, organisent une interview de Jean-Michel Trogneux dans l’un de medias à leur botte, comme Paris-Match.

    Cette clarification est indispensable pour rassurer les Français sur l’indépendance de notre diplomatie.

    Eric Verhaeghe

    Source : https://lecourrierdesstrateges.fr/2022/09/03/brigitte-macron-naurait-depose-aucune-plainte-pour-diffamation-dans-laffaire-jean-michel/

    mercredi 15 avril 2020

    Pourquoi le ministère français de l'Intérieur a-t-il commandé des centaines de drones pendant le confinement?

    Le ministère français de l’Intérieur a récemment lancé un appel d’offres pour l’achat de 651 drones pour quelque quatre millions d’euros. Selon BFM TV, l’Intérieur dément tout lien avec le confinement en vigueur en France dans le cadre de la pandémie de coronavirus.
    Un appel d’offres pour l’acquisition de 651 drones dont 565 «micro-drones du quotidien», 66 «drones de capacité nationale» et 20 «nano-drones spécialisés» a été lancé par le ministère français de l’Intérieur à la mi-avril, alors que le pays a prolongé le confinement lié à l’épidémie de Covid-19 jusqu’au 11 mai.
    L’appel d’offres pour l’achat de trois lots de drones et de passerelles de réception des trames wifi des drones collaboratifs est évalué à 3,795 millions d’euros.

    Quels sont ces drones?

    Les micro-drones du quotidien, que le ministère veut acheter pour 1,8 million d’euros, sont des appareils de moins d’un kilogramme, d’une autonomie de 25 minutes minimum, capables de voler à 100 mètres d’altitude et de transporter des caméras thermiques. Ils peuvent transmettre des images en 4K et en UHD à au moins trois kilomètres, précise BFM TV.
    Les drones «de capacité nationale» sont plus grands et lourds, ils pèsent jusqu’à huit kilogrammes et peuvent voler à 120 mètres d’altitude en filmant des objets à une distance de 500 mètres avec un zoom. Ces appareils, commandés pour 1,58 million d’euros, peuvent transmettre les images à cinq kilomètres de distance et ont une autonomie de vol de 20 minutes.
    Les nano-drones, qui constituent le troisième lot de 175.000 euros, ne pèsent que 50 grammes et peuvent rester en vol pendant 25 minutes, d’après BFM TV.

    Aucun lien avec le confinement?

    L’annonce sur cette commande a été largement partagée sur Internet.
    «650 drones et pas un seul masque, cherchez l'erreur», «les drones arriveront avant les masques et les respirateurs. On voit que le gouvernement a fait son choix», écrivent notamment des personnes qui commentent dans l’un des groupes de Gilets jaunes sur Facebook.
    Le ministère de l’Intérieur a toutefois noté que ces engins sans pilote devaient accomplir des missions pour la gendarmerie nationale, la police et la sécurité civile, tout en insistant sur le fait que cette commande n’a aucun lien avec le confinement actuel.
    «Cet appel d'offres est sans lien avec la situation sanitaire actuelle, l’expression de besoins et les spécifications techniques ayant été consolidées au cours du second semestre 2019», a affirmé le ministère de l'Intérieur cité par BFM TV.


    Source :  https://fr.sputniknews.com/france/202004151043567692-pourquoi-le-ministere-francais-de-linterieur-a-t-il-commande-des-centaines-de-drones-pendant-le/

    mardi 7 mars 2017

    [Démocratie en danger] La peste ou le choléra en étant sûr d'attraper le typhus

    4 MARS 2017 RÉGIS DE CASTELNAU 
    source : http://www.vududroit.com/2017/03/le-penmacron-stop-ou-encore/

    Depuis longtemps, on sait que c’est Tuco qui avait raison. Le monde est toujours partagé en deux.
    Actuellement, il y a d’un côté ceux qui acclament le coup d’État politico-médiatico-judiciaire destiné à fausser la principale élection sous la Ve République. Et à faire advenir à la tête de l’État une marionnette du Capital et de l’oligarchie mondialisée. Nier l’existence de l’opération relève soit d’un cynisme putride, soit d’un aveuglement pathologique. La nullité de Fillon cible idéale montée sur le pavois par des lodens/barbours imbéciles et aveugles n’est pas le sujet principal. Soyons clairs, on se fout de Fillon, et il n’est pas illogique de penser que c’est bien fait pour sa gueule. Mais ce qui est grave c’est de voir que les libertés publiques ne pèsent plus pour rien et qu’il se trouve des gens de bonne foi pour approuver ce qui s’apparente, combiné aux atteintes aux libertés qui ont émaillé le quinquennat Hollande, à une forme de proto-fascisme. Il fallait s’y attendre, notre ennemi le Capital n’allait pas lâcher l’affaire comme ça. Il ne le fait jamais. Et comparer la manifestation pro-Fillon du 5 mars, au 6 février 1934 est confondant de stupidité. Le danger est en face.
    De l’autre côté, il y a ceux qui même s’il s’agit de soutenir leur candidat en carton, sont parfaitement fondés à dénoncer l’opération. Et ceux qui comme moi n’ont jamais voté pour ces gens-là et ne sont pas près de le faire, mais  pour savoir de quoi ils parlent, sont effarés de ce qui se passe.
    Que le premier président de la Cour de Cassation autorité judiciaire hiérarchique des juges du siège, se fende d’un communiqué COMMUN avec l’Avocat Général, le patron du parquet aux ordres de l’État, est purement un barbarisme judiciaire. Absolument n’importe quoi. Quant au texte de l’USM, à la fois mensonger et d’une arrogance folle, il en dit long sur la dégradation des institutions. Et sur la façon dont la haute hiérarchie judiciaire se vit et envisage ses propres pouvoirs. Détachés des institutions républicaines et de leur fonctionnement.
    L’Europe allemande déteste la démocratie, et a privé les peuples de leur souveraineté en ossifiant les grands choix politiques et économiques dans des traités inamendables. La police du néolibéralisme et du capitalisme financier a été confiée à des juridictions européennes et nationales dont certaines comme en France font du zèle.
    Marine Le Pen qui sait ce que le rapport de force politique veut dire a adopté l’attitude du combat. Et ses troupes et ses électeurs la suivront. Renforcés par les électeurs de droite « raisonnables » en rage à juste titre contre ce que se permettent les vrais dominants. Le deuxième tour de l’élection présidentielle, ce sera donc « stop ou encore. » À Christophe  Guilluy qui lui demandait ce qu’il comptait faire, s’il était élu pour la France des exclus et des invisibles, Macron a répondu très simplement : « je ne sais pas ». En d’autres termes, « je m’en fous », et de son point de vue et de celui de ses maîtres, il a entièrement raison.
    Là où la tragédie se noue, c’est que le « stop » sera incarné par Marine Le Pen ! Serons-nous obligés de nous dire comme le faisait Susan Sarandon au moment des présidentielles américaines avec son « Clinton est plus dangereuse que Trump », « Macron est plus dangereux que Marine Le Pen ». Mais comment en est-on arrivé là ? À devoir peut-être choisir entre la peste et le choléra en étant sûr d’attraper le typhus. Ceux qui nous y ont amenés devront rendre des comptes.
    En attendant, la contradiction principale du jour oppose ceux qui approuvent le coup d’État politico-médiatico-judiciaire et ceux qui le refusent, les républicains et les démocrates. Les élections présidentielles, on verra après.