Montreux Comedy
"Il n'existe rien de constant si ce n'est le changement" BOUDDHA; Nous devons apprendre à vivre ensemble comme des frères, sinon nous allons mourir tous ensemble comme des idiots." MARTIN LUTHER-KING; "Veux-tu apprendre à bien vivre, apprends auparavant à bien mourir." CONFUCIUS ; « Nous savons qu’ils mentent, ils savent aussi qu’ils mentent, ils savent que nous savons qu’ils mentent, nous savons aussi qu’ils savent que nous savons, et pourtant ils continuent à mentir ». SOLJENITSYNE
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samedi 23 juillet 2022
lundi 13 décembre 2021
Mon enfant face à l'ennemi invisible
Le livre ici https://fr.calameo.com/read/006598344b9ab86d48c91
À propos de Eléonore Visart de Bocarmé
Eléonore Visart de Bocarmé est née à Bruxelles en 1942. Catholique pratiquante, elle vit comme la majorité de ses concitoyens. A la suite d'une dépression, elle remettra tout en question : la société et notamment la religion et la médecine. Elle comprend que l'humanité doit changer complètement d'attitude envers la vie, humaine et animale et abandonner ses traditions, ses cultures, ses croyances qui l'ont amenée au bord du gouffre, sinon elle risque bien de disparaître. Elle va tenter d'éveiller les consciences par des lettres, des conférences, des livres : Ces chrétiens, ambassadeurs du Christ (1989), Cette vie que nous assassinons (2000), Parcours d'une révolutionnaire, en 2 tomes (2007.
Ce dernier livre, Mon enfant face à l'ennemi invisible
Ce livre est la suite de « Parcours d'une révolutionnaire » paru en 2007
Nous partageons, au fil des pages, la longue quête de l'auteure, son cheminement respectueux de toutes formes de vie sur Terre, sa vision claire et acide d'une existence humaine qui planifie consciemment sa perte.
Réveillons-nous !
Entre désespoir et colère, Eléonore y décrit ses actions dans ce monde en péril.
En miroir, c'est le calvaire de sa fille, atteinte d'un cancer du sein, qu'il nous est donné de vivre au jour le jour. La jeune femme témoigne de son vécu de guerrière, face à ce qu’elle appelle, « l’ennemi invisible
L’auteure propose des solutions pour changer le cours des choses, éviter l’autodestruction de l’humanité et nous faire entrer dans une nouvelle ère.
Une ère de paix, de lumière et d’amour !
lundi 4 mai 2020
Déconfinement- 7 actions simples pour résister au virus, via le système immunitaire et les émonctoires et bonus HE
Autant mettre toutes ses chances de son côté !
Le 11 mai, tout le monde dans la rue ! Plus d’autorisation de sortie à Paris, plus de restriction pour courir… La belle vie ?
Oui, mais ! Qui dit déconfinement, ne dit pas « tout va bien, madame la marquise » ! Et qu’est-ce qu’on entend comme solution et proposition pour se protéger ? Pas folichon !
Moi, je veux vous parler de notre organisme, de nos mécanismes de protection, et de ce que l’on peut faire pour se prendre en main ! Ce n’est pas une garantie, mais c’est un énorme plus qui va dans le bon sens. Je dirais même, c’est le moins qu’on puisse faire pour ne pas subir en croisant les doigts !
Le 11 mai, tout le monde dans la rue ! Plus d’autorisation de sortie à Paris, plus de restriction pour courir… La belle vie ?
Oui, mais ! Qui dit déconfinement, ne dit pas « tout va bien, madame la marquise » ! Et qu’est-ce qu’on entend comme solution et proposition pour se protéger ? Pas folichon !
Moi, je veux vous parler de notre organisme, de nos mécanismes de protection, et de ce que l’on peut faire pour se prendre en main ! Ce n’est pas une garantie, mais c’est un énorme plus qui va dans le bon sens. Je dirais même, c’est le moins qu’on puisse faire pour ne pas subir en croisant les doigts !

Je suis vraiment estomaquée en ce moment par la situation que nous vivons. Nous sommes en plein confinement pour cause de virus planétaire mortel. On nous demande de pratiquer les fameux gestes barrières, que sont le masque, la distance d’un mètre et éventuellement des gants, la désinfection des mains soigneusement et bien sûr de rester chez soi au maximum. Ok.
Pour que la situation s’améliore de quoi parle-t-on ?
D’une éventuelle immunité de groupe à partir de 70% de la population, ce qui va être difficile si nous suivons les gestes barrière, ou alors je n’ai rien compris; et quoi d’autres ? De médicaments et de vaccins qui sont en préparation. Voilà ! Les labos sont au taquet, tout le monde se réjouit de pouvoir avoir bientôt un médicament à prendre, c’est tout !
Pour que la situation s’améliore de quoi parle-t-on ?
D’une éventuelle immunité de groupe à partir de 70% de la population, ce qui va être difficile si nous suivons les gestes barrière, ou alors je n’ai rien compris; et quoi d’autres ? De médicaments et de vaccins qui sont en préparation. Voilà ! Les labos sont au taquet, tout le monde se réjouit de pouvoir avoir bientôt un médicament à prendre, c’est tout !
Renforcer ses défenses immunitaires
Mais personne ne parle de la façon d’éviter au maximum d’être atteint par le corona virus ! Des gestes barrières, eux aussi, pour renforcer ses défenses immunitaires, ni des habitudes qui font que la population est de plus en plus amoindrie face aux agressions extérieures ! Aucun message d’incitation à de bonnes pratiques dans la vie de tous les jours ! Comme si, tout ce qu’on fait chaque jour, tout ce qu’on met dans sa bouche, n’avaient absolument rien à voir avec le fait de succomber à un virus.
Je ne dis pas que tout est simple. Mais il manque, à mon avis, tout un pan des recommandations possibles.
Personne ne parle du rôle de l’alimentation, des toxines qui s’accumulent dans l’organisme et l’empêchent de réagir efficacement, de l’impact du sommeil sur l’immunité, surtout entre 22h et 2 h du matin où tout se répare. On nous autorise à sortir 1 h pour faire un jogging ou une bonne marche, mais on ne dit pas au gens à quel point c’est important de continuer à bouger son corps ! Il n’y a pas d’annonces là-dessus, à la radio ! On nous dit juste d’appeler le SAMU en cas de respiration empêchée. Bon, c’est vrai, mais un discours bienveillant qui donne des pistes pour aller bien, ne serait pas de refus !
Moi, je trouve ça triste parce que lorsque les gens vont se retrouver dans les bus et métros plus serrés que maintenant, après avoir été privés de soleil, de sortie, de sport, de bonne nourriture (les rayons de pâtes dévalisés !), parfois entassés dans des appartements minuscules, qu’est-ce que ça va donner ?
Donc, je veux vous parler ici d’un aspect des choses :
Comment donner toutes ses chances à son système immunitaire en quelques aliments et pratiques quotidiennes indispensables.
Encore une fois, ce n’est une garantie, j’en ai bien conscience. Mais cela me semble suffisamment important pour que j’ai envie de partager avec vous ce que je fais et en quoi je crois pour me prémunir du virus.
Tout d’abord, je voudrais revenir sur les toxines et polluants du corps, et en quoi cela impacte terriblement nos défenses immunitaires. Puis, qu’est ce qui les créent en nous, et quels sont les organes à chouchouter pour qu’elles soient bien expulsées du corps. Et enfin, quoi faire tous les jours pour avoir un organisme sain, le plus sain possible selon notre situation.
Alors, on y va ?

Déchets corporels et pollutions
L’accumulation de toutes petites quantités de polluants chimiques a une action délétère sur notre corps et son mode de fonctionnement. Nous respirons des gaz indésirables, buvons de l’eau qui aussi contient des polluants, absorbons des pesticides, sans parler des additifs de toutes sortes qu’on trouve dans l’alimentation. En plus, il faut savoir que nous fabriquons aussi des déchets en mangeant tout simplement par le simple fait de la digestion.
Par exemple, si les apports alimentaires sont supérieurs aux besoins de l’organisme, ce dernier se trouve en présence de substances qu’il ne peut pas utiliser. Obligé de les stocker, il les accumule dans ses tissus. Cette surconsommation alimentaire se transforme donc également en toxines.
Même quand on ne mange pas trop, les soucis, les peurs, le stress, perturbent la digestion qui s’effectue plus difficilement et les aliments donnent naissance à une multitude de déchets, de toxines.
Notre organisme doit aussi se débarrasser des cellules mortes, des radicaux libres, des déchets acides, des résidus de médicaments et des pollutions par les ondes… donc notre corps a beaucoup à faire à longueur de temps !
Alors heureusement notre organisme est super bien fait, c’est une mécanique extrêmement complexe et merveilleuse car nous avons des organes qui sont nos émonctoires, chargés de nous débarrasser de tous ces déchets et toxines. Pourquoi s’en faire alors ?
On va voir comment ces organes sont totalement dépassés par la situation !
Mais d’abord de quoi parle t- on ?
Les organes qui nous débarrassent des toxines, ce sont nos émonctoires
Les émonctoires sont le foie, les reins, les intestins. On a aussi les poumons, justement très en danger actuellement, qui laissent passer des déchets gazeux et la peau, qui évacue les toxines avec parfois des boutons, plaques rouges, ou autres pour évacuer ces toxines.
Ces 5 usines à dépolluer sont très efficaces mais bien souvent dépassées par l’ampleur de la tâche. Les déchets s’accumulent dans l’organisme, et cet encrassement nuit au bon fonctionnement du système immunitaire par le manque d’élimination via de système lymphatique. D’où faiblesse immunitaire à nous défendre contre les virus dont je veux parler aujourd’hui.
Les foie, reins et intestins agissent avec l’aide du système sanguin, respiratoire et lymphatique. Nos cellules baignent dans le liquide interstitiel, dans lequel les nutriments mais aussi les déchets sont rejetés. Cela forme la lymphe qui via des canaux lymphatiques (des tas de petits canaux qui suivent les vaisseaux sanguins) du bas vers le haut grâce à des petits muscles périphériques qui l’aident à lutter contre la gravité (je rappelle qu’il n’y a pas de pompe pour le système lymphatique contrairement au cœur qui fait circuler le sang et donc on verra que le mouvement, le sport est crucial pour faire bouger cette lymphe).
La lymphe emmène nutriments et déchets vers le sang via la veine cave près de la clavicule, et une fois que les déchets sont dans le sang, ils vont être véhiculés vers le foie, qui va les traiter. Mais évidemment, plus la lymphe est chargée de déchets, et plus le sang en contient aussi et plus le foie puis les reins et intestins vont avoir des difficultés à faire leur boulot d’épuration.

Le foie
300 milliards de cellules, 1kg5 ( 5 x plus que le cœur), il est la pièce maîtresse de l’élimination toxique. Les déchets amenés par le sang sont traités et sortent du foie sous une forme plus ou moins facile à éliminer. Par exemple, la digestion des protéines va créer de l’ammoniac, toxique pour l’organisme. Le foie transforme cet ammoniac en urée qui sera évacuée par la vessie. Le foie traite les polluants, les résidus de médicaments, etc. et il récupère ce qui peut servir. Le reste des déchets est éliminé pour être reversé dans le sang et amené vers les reins.
Le foie fabrique aussi la bile qui se mélange aux substances indésirables, la bile est rejetée dans le tube digestif au niveau de l’intestin grêle et les toxines vont être évacuées par voie intestinale.
Le foie a donc trié les déchets vers la voie rénale ou la voie intestinale. Chargé de trop de déchets, le foie va fabriquer moins d’enzymes digestives et donc appauvrir notre absorption de nutriments.
Les reins
Petits haricots de 12 cm de long, assez haut dans la région lombaire. Les reins vont refiltrer les déchets venant du sang (1 litre par minute) via des petits canaux appelés les néphrons (1 million de néphrons dans un rein). Les déchets sont ensuite mélangés à de l’eau puis concentrés pour former l’urine qui va remplir notre vessie. Et sera évacué lorsque la vessie est pleine. Si le sang arrive super chargé de déchets, là encore, les reins vont fatiguer et ne plus faire correctement leur travail.
Les intestins
Derniers tronçons du tube digestif bouche-anus, avec l’intestin grêle et le gros intestin. L’intestin grêle (8 à 9 mètres) relié à l’estomac, où les aliments sont encore triés au travers des villosités de la paroi intestinale. C’est là que se trouvent nos bactéries qui ont une action très importante. Et le gros intestin, dernière portion des intestins, va éliminer les déchets alimentaires expulsés sous forme de selles. Les cellules mortes et les déchets expulsés par le foie se retrouvent là.
Quoi faire ?
Si on offre des gestes simples à ce fantastique système d’absorption et élimination, tout va se faire de façon de plus en plus efficace. Quand on voit la merveille que cela représente, on se dit que ça vaut le coup de bien traiter notre corps et de mettre dans son alimentation ce qu’il y a de meilleur.
On comprend que
toute entrave au bon fonctionnement des organes et systèmes du corps, tout encrassage excessif va fragiliser l’organisme tout entier et nous rendre plus sensible aux virus que nous rencontrons. La question n’est donc pas superflue et manger sain a toute son importance particulièrement en ce moment. Par ailleurs, c’est tout notre mode de vie et de pensée qui a aussi une influence cruciale sur notre santé.

7 actions simples pour résister au virus
Action 1
Gérer son stress, méditer et avoir un bon sommeil réparateur pour évacuer les polluants mentaux et émotionnels.
L’organisme se défend et fonctionne d’autant mieux qu’il est libéré de la pression du stress. En ce moment, les informations sont extrêmement stressantes et il est d’autant plus important de prendre le temps de respirer en conscience matin, midi et soir.
Il existe pour limiter le stress, pourvoyeur de toxines, des exercices respiratoires, temps de décompression, gestion émotionnelle par la méditation, ou l’eft, (suivez les liens pour voir articles sur ces deux techniques) à faire tous les jours. Bien respirer apporte de l’oxygène aux cellules ce qui favorise les échanges intercellulaires, apporte de l’énergie, et favorise les défenses contre le virus.
Quand on dit « prenez 10 ou 20 mn par jour pour revenir en vous, respirer, évacuer vos ressentiments, colères et autres… » ce n’est pas pour faire joli. Ce n’est pas affaire de bobos, c’est vraiment utile et efficace pour être en bonne santé ! On ne le dit pas à la radio dans les appels toute la journée, c’est dommage ! 😉 Je fais une séance de Qi gong et une séance de méditation chaque jour. Cela facilite aussi le sommeil.
J’ai d’ailleurs fait une formation audio qui parle de tout ça et qui donne des actes à faire du matin au soir, en prenant 5 mn par ci par là pour vivre en harmonie et dans la joie intérieure. https://crudivegan.com/produit/sante-energie-vitalite-vivre-pleinement (En ce moment, à -40 € jusqu’à fin mai)
Ces exercices ont un effet détoxifiant.

Si par ailleurs on mange n’importe quoi, ça ne va pas aller !
Pour aider les organes à éliminer, il faut aider le corps à se détoxifier pour aider les émonctoires à faire leur tâche. Sinon, c’est l’intoxication chronique et cela limite très fortement notre réponse immunitaire.
Donc, tous les jours pour aider notre système immunitaire, mettons les bonnes choses dans notre organisme avec :
Action 2
Un jus de citron pressé le matin à jeun, 15 mn avant son petit déjeuner dont j’ai déjà parlé plusieurs fois dans mes vidéos des journées crues. Le jus de citron à jeun fait un bien fou au foie. Recommandée par les naturopathes : le citron est diurétique, il agit comme un anti acide, il apporte plein de minéraux et il nettoie le foie.
Action 3
Manger des végétaux, plein, pour avoir des fibres, qui vont favoriser la détoxification des intestins, préserver l’équilibre de la flore intestinale, apporter des prébiotiques, et hydrater les selles. Donc mangez des fruits, les salades, des légumes et que ce soit la plus belle part de votre alimentation. Il ne manque rien dans les végétaux, je dis bien rien. Toutes les protéines, les bons sucres et les bonnes graisses se trouvent dans les végétaux. Plus ils sont crus et plus ils apportent des vitamines, minéraux, oligo éléments, anti oxydants non dénaturés parce que vivants, et donc actifs ! Vous êtes ici sur la chaîne de Crudivegan, profitez-en pour télécharger plein d’idées repas !
Et limitez (supprimez ?) les aliments manufacturés industriels trop gras, trop salés, trop sucrés et bourrés d’additifs qui détériorent la flore intestinale.
Et limitez (supprimez ?) les aliments manufacturés industriels trop gras, trop salés, trop sucrés et bourrés d’additifs qui détériorent la flore intestinale.

Action 4
Ne plus manger de viande pour réduire l’inflammation dans le corps. Si votre corp est déjà dans un mode inflammatoire, alors le virus va enflammer très vite le tout. La viande est l’aliment le plus inflammatoire à cause notamment de sa richesse en fer pro oxydant, un acide arachidonique qui est très pro inflammatoire, la leucine qui stimule l’inflammation . (Je vous recommande la série de vidéos de Jean-Paul Curtay, qui vous donnera plus de détails : https://solutions.alternatif-bien-etre.com/video-1-jpc/?source=SNI76080002&utm_source=hotshi&utm_medium=emailing&utm_campaign=20200421&base=647&campaignId=1183767&segmentId=1202613&shootId=1240374) ; En plus, les viandes sont très contaminées par les virus et bactéries, nous dit JP Curtay, 61% des viandes analysées dans les abattoirs sont contaminées par des bactéries antibio-résistantes et des endotoxines !! Or, à quoi a-t on assisté dernièrement ? A la ruée de gens vers des McDo pour avaler leur infâme viande entre deux bouts de pain !! C’est désolant ! Pourquoi ne dit-on pas aux gens « attention, la viande n’est pas le meilleur aliment en ce moment particulièrement » ?
Action 5
Bien mâcher pour bien absorber les nutriments. La digestion commence dans la bouche grâce à la salive pendant la mastication, cela libère les enzymes digestives, et cela va rendre la digestion plus efficace et donc plus de nutriments au final. Ca parait superflue mais ça ne l’est pas. Manger en conscience en prenant son temps est déterminant pour assimiler et nourrir correctement nos cellules.
Action 6
Boire suffisamment d’eau durant la journée. Cela dilue les toxines de l’organisme et favorise leur élimination. Un verre d’eau toutes les heures.
Mais cela n’est pas suffisant, on a jusqu’à présent limité les toxines et favorisé l’action des organes. Mais pour avoir une bonne immunité il faut aider l’organisme à se débarrasser des toxines en booster le système lymphatique dont j’ai parlé tout à l’heure. Pas de pompe, donc comment est-ce qu’il fonctionne ? Par le mouvement. Une personne qui ne bouge pas a un système stagnant. Donc :
Action 7
Jogging, marche, jardinage, danse, trampoline, saut à la corde, mouvement des bras, altères, tout ce que vous voulez, mais BOUGEZ ! J’ai fait une vidéo sur le trampoline, allez voir ça ! ça fait circuler la lymphe ! Allez, debout !
Les muscles mis en activités vont aussi masser les organes de digestions et d’assimilation, accélérer leur drainage et favoriser l’absorption des nutriments.
Le fait de bouger son corps a un effet calmant sur le système nerveux et donc limiter la production de cortisol et d’adrénaline. Moi, je pars courir ou marcher d’un bon pas, tous les matins pendant 50 à 60 minutes. J’en profite pour écouter des podcasts ou formations audio tout en marchant.
Les muscles mis en activités vont aussi masser les organes de digestions et d’assimilation, accélérer leur drainage et favoriser l’absorption des nutriments.
Le fait de bouger son corps a un effet calmant sur le système nerveux et donc limiter la production de cortisol et d’adrénaline. Moi, je pars courir ou marcher d’un bon pas, tous les matins pendant 50 à 60 minutes. J’en profite pour écouter des podcasts ou formations audio tout en marchant.

Ces 7 actions à faire tous les jours, à avoir en tête et qui ne devraient pas vous demander beaucoup d’efforts pour d’énormes bénéfices, sont entre vos mains ! A vous de les mettre en pratique.
Bonus Huiles Essentielles et suppléments :
Aude Maillard, Docteur en pharmacie et aromatologue, nous a donné ( au cours d’aromathérapie) une synergie protectrice à pulvériser dans le nez dans chaque narine, maximum 3 fois par jour, lorsque l’on se trouve dans un lieu public (déconseillé chez les enfant de moins de 15 ans, en cas d’asthme, d’épilepsie, en période de grossesse et d’allaitement, de saignements de nez, d’acouphènes ou de troubles de l’audition).
Cela ne remplace pas un traitement médicamenteux et ne se substitue en rien à un diagnostic médical. C’est un plus, que je vous propose à mon tour.
Huile nasale protectrice (à conditionner dans un flacon vide de 30 ml en verre teinté, muni d’un embout nasal) :
- HE laurier noble, Laurus nobilis 6 gouttes
- HE ravintsara, Cinnamomum camphora CT 1,8 cinéole 6 gouttes
- HE tea tree, Melaleuca alternifolia 6 gouttes
- HV calendula 29,5 ml
Bonus suppléments :
- Vitamine D
- Vitamine C
- Magnésium et B6
- Zinc
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Un esprit sain dans un corps sain, c’est bon aussi pour garder en soi une vision joyeuse de la vie, et un esprit calme et serein.
Lorsque la fatigue, le découragement ou une baisse de régime vient poindre son nez, il sera plus utile de trouver une méthode à suivre que de demander de l’aide aux personnes qui n’y connaissent rien ou qui reproduisent toujours les les même schémas.
J’ai créé tout un ensemble de pratiques qui agissent en profondeur, et qui vous donneront, à vous comme à moi, l’énergie dont vous rêvez. Pour découvrir la formation cliquez sur l’image.
Lorsque la fatigue, le découragement ou une baisse de régime vient poindre son nez, il sera plus utile de trouver une méthode à suivre que de demander de l’aide aux personnes qui n’y connaissent rien ou qui reproduisent toujours les les même schémas.
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En ce moment, parce que je pense que cela peut profiter à tout le monde, la formation est à -40 € jusqu’à fin mai
vendredi 24 avril 2020
Pr Henri Joyeux : les traitements efficaces et pas chers contre le CoronaVirus 19
Etat des lieux sur la pandémie; explications sur les coronavirus; réflexions sur les traitements (dont les vaccins); questions-réponses.
D'une manière générale, H. Joyeux fait confiance au Dr Raoult dont il reconnaît la grande expérience. Il ne s'oppose pas à ses traitements et estime, comme lui, que ce virus saisonnier pourrait largement s'estomper avec l'évolution des saisons... d'ici un mois environ.
H. Joyeux n'est pas un médecin "anti-vaccin" mais il est très critique à leur égard. Notamment, il prévient : si le vaccin pour le coronavirus, qui n'est pas pour demain, contient de l'aluminium comme adjuvant (alors que cet aluminium peut être remplacé avantageusement par le phosphate de calcium), il y aura un refus massif de ce vaccin par la population.
Accessible, clair.
mardi 14 avril 2020
Coronavirus : plus de 80 % des personnes en réanimation seraient en surpoids
Source : https://www.les-crises.fr/coronavirus-plus-de-80-des-personnes-en-reanimation-seraient-en-surpoids/
Selon des données préliminaires consultées par des journalistes du quotidien Le Monde, 83 % des patients en réanimation seraient en surpoids.
Selon un récent article paru dans le journal Le Monde, repris par La Ligue contre l’obésité, 83 % des patients en soins intensifs seraient en surpoids ou obèses. Mais les données ne sont pas encore réellement consultables et on ne sait pas bien encore si l’obésité ou le surpoids seul (car elle s’accompagne souvent d’autres facteurs de risques) constitue une véritable prédisposition à des formes graves de la maladie.
Une majorité de patients en surpoids en réanimation
Dans plusieurs centres hospitalo-universitaires de France, des médecins constatent la forte présence de patients souffrant de surpoids ou d’obésité. Aucune statistique n’est disponible actuellement à ce sujet mais cela paraît intuitivement logique étant donné que le surpoids favorise également certaines comorbidités. Avec 15 % de sa population souffrant d’obésité, le risque qu’encourent ces personnes pose question. Aux États-Unis, où l’épidémie fait actuellement des ravages, un adulte sur deux est obèse. Des données provenant des États-Unis pourraient permettre de confirmer ou d’infirmer cette tendance.
Pour l’instant, les seules données européennes robustes réellement publiées dans la littérature scientifique à notre disposition sont celles des services de réanimation italiens de Lombardie où il n’y a aucune information sur le poids des personnes admises.
Comment l’expliquer ?
Hors comorbidité identifiée pour le Covid-19, on sait depuis longtemps que l’obésité est un facteur de risque d’embolie pulmonaire. D’autres mécanismes biologiques, comme un terrain inflammatoire ou la présence de graisse dans les poumons, pourraient expliquer que les patients en surpoids soient plus à risque que ceux dont le poids est « sain ». Mais à ce jour, il serait fortuit de se lancer dans l’explication d’un phénomène dont nous ne savons même pas s’il existe. Il faut des données plus robustes pour savoir si les patients en surpoids sont vraiment très représentés parmi l’ensemble des cas admis en réanimation.
Et puisque nous parlons de poids, L’Anses vient de mettre à jour ses repères concernant l’activité physique et la sédentarité en les adaptant à cette période de confinement. Elle conseille notamment de maintenir une activité physique quotidienne suffisante, même dans un petit espace (se déplacer dans son logement, dans son jardin, porter une charge, monter ou descendre les escaliers, réaliser des tâches domestiques) et multiplier les pauses entre les moments devant les écrans pour bouger et éviter de grignoter. Elle rappelle que la sédentarité et l’obésité sont des facteurs de risques majeurs de maladie chronique. À un âge avancé, cela peut aussi entraîner une décroissance irréversible de l’appareil locomoteur.
CE QU’IL FAUT RETENIR
- Une majorité de patients admis en réanimation seraient en surpoids mais des données plus robustes manquent pour confirmer cette tendance.
- Des mécanismes tels qu’un terrain inflammatoire ou la présence de graisse dans les poumons pourraient expliquer cet état de fait s’il venait à être confirmé.
- L’Anses a actualisé ses repères d’activité physique en cette période de confinement. Il est d’une importance vitale de conserver une activité physique.
Coronavirus : les personnes obèses représentent une proportion très élevée des patients en réanimation en France
Source : Le Monde, Sandrine Cabut
Les individus en situation d’obésité risquent plus de présenter une forme grave de Covid. Selon les premières données d’un registre national, 83 % des patients en réanimation sont en surpoids
Les personnes obèses, soit 15 % des adultes en France, sont-elles plus susceptibles de contracter l’infection au SARS-CoV-2 et risquent-elles plus de présenter des formes sévères ? C’est le double motif d’inquiétude des médecins qui les prennent en charge. S’agissant de la gravité, les données sont encore parcellaires, mais sur le terrain, le constat devient évident : les individus en surpoids ou avec une obésité représentent une proportion élevée, voire très élevée, des patients atteints de Covid admis dans les services de réanimation.
En Grande-Bretagne, sur une série de 196 malades hospitalisés en soins intensifs, 32 % étaient en surpoids (indice de masse corporelle ou IMC, soit le poids divisé par le carré de la taille, entre 25 et 30 kg/m2) et 41 % étaient obèses (IMC supérieur à 30 kg/m2), selon un rapport publié le 20 mars. Les statistiques semblent du même ordre en France.
Au centre hospitalier universitaire (CHU) de Nice, l’IMC moyen des patients Covid actuellement en réanimation est de 29 kg/m2, la corpulence normale se situant entre 18,5 et 25 kg/m2. « Parmi nos 40 patients, 95 % sont en surpoids ou obèses, avec souvent une hypertension artérielle et un diabète associés », souligne l’anesthésiste réanimateur Hervé Quintard. Au CHU de Montpellier, 45 % à 50 % des malades Covid hospitalisés en réanimation lors des premières semaines de l’épidémie avaient une obésité cotée sévère (IMC supérieur à 35 kg/m2), voire morbide (IMC supérieur à 40 kg/m2), estime aussi le professeur Xavier Capdevila, responsable du département anesthésie réanimation du site Lapeyronie.
Un registre national des formes graves de Covid permettra bientôt d’en savoir plus sur le profil des patients, leur prise en charge et leur devenir. Lancée le 19 mars par le Réseau européen de recherche en ventilation artificielle (REVA), cette base prospective a déjà enregistré des informations concernant plus de 2 000 malades pris en charge dans 195 services de réanimation francophones, français essentiellement.
Appel à la prudence
« Parmi eux, 83 % sont en surpoids ou obèses, avec souvent une association avec un diabète ou une hypertension artérielle. Il s’agit dans les trois quarts des cas d’hommes et la médiane d’âge est de 63 ans », précise Matthieu Schmidt, réanimateur médical à l’hôpital parisien de la Pitié-Salpêtrière (AP-HP), coordinateur du registre. Il appelle cependant à la prudence dans l’interprétation de ces données encore préliminaires, sans analyse fine des facteurs de risque. Le pronostic de ces patients de réanimation ne peut pas non plus être interprété, un certain nombre étant encore hospitalisés.
Dans sa liste des personnes à risque de forme grave de Covid, le Haut Conseil de la santé publique (HCSP) a pour l’instant retenu – sur la base des données de la littérature – les individus de plus de 70 ans, avec des antécédents cardiovasculaires, un diabète, une pathologie chronique respiratoire, une insuffisance rénale dialysée ou un cancer sous traitement. Les personnes avec une obésité morbide (IMC supérieur à 40 kg/m2) ont également été incluses dans cette liste, par analogie avec la pandémie de grippe A (H1N1) de 2009. « Le risque est probablement en dessous de ce seuil », estime cependant le professeur Olivier Ziegler, nutritionniste au centre hospitalier régional universitaire (CHRU) de Nancy et président du groupe de coordination et de concertation des centres spécialisés de l’obésité, qui insiste sur la nécessité de disposer rapidement de davantage de données internationales et nationales sur ces sujets.
Le pronostic des formes sévères de Covid, qui nécessitent une réanimation, est-il plus défavorable chez les malades avec un IMC élevé, voire très élevé ? « Les résultats d’une petite série américaine sur 24 patients hospitalisés en unités de soins intensifs pour Covid, publiés dans le New England Journal of Medicine le 30 mars, suggèrent que le risque de décès augmente avec la corpulence, poursuit le professeur Ziegler. Ce qui est frappant, dans cette étude, c’est que la mortalité atteint 70 % chez les malades dont l’IMC est supérieur à 35, contre 30 % chez ceux avec un IMC inférieur à 35. »
Pour le nutritionniste, le faible effectif de l’échantillon ne permet pas de tirer de conclusions définitives quant au rôle propre de l’obésité, mais ces données américaines remettent en question le dogme d’un seuil de 40 kg/m2 de l’IMC comme facteur de gravité. « Dans cette publication, la mortalité qui semble liée aux pathologies associées est élevée même chez les jeunes (37 % chez les moins de 65 ans), ce qui est un autre facteur d’inquiétude », ajoute Olivier Ziegler. Il rappelle qu’en France, le nombre de personnes en situation d’obésité sévère de grade 2 (IMC > 35) est d’environ 1,3 million, et de 600 000 pour l’obésité de grade 3 (IMC > 40).
« L’obésité augmente le risque d’embolie pulmonaire »
« L’obésité augmente le risque d’embolie pulmonaire. Or, l’infection au nouveau coronavirus expose déjà particulièrement aux complications thrombo-emboliques, explique le professeur Jean-Michel Oppert, qui dirige le service de nutrition de la Pitié-Salpêtrière (AP-HP). D’autres anomalies associées à l’obésité peuvent pénaliser ces patients : des troubles ventilatoires, mais aussi un état inflammatoire “à bas bruit” et un déficit immunitaire chronique. Ces facteurs sont délétères lors d’infections virales respiratoires comme la grippe ou le Covid. » Un IMC élevé augmente aussi le risque d’escarre.
En revanche, note le réanimateur Matthieu Schmidt, les personnes avec obésité répondent bien aux séances de décubitus ventral (ventilation sur le ventre), une technique utilisée dans les services de réanimation pour améliorer l’état ventilatoire des malades.
Autre donnée a priori positive : ces dernières années, plusieurs études ont suggéré que la courbe de survie en réanimation serait meilleure chez les sujets obèses, car ils ont une réserve métabolique qui leur permet de mieux résister à la dénutrition que les personnes de poids normal. « C’est un sujet controversé sur lequel il faut rester prudent, car cela dépend des causes de la réanimation », tempère Karine Clément, professeure de nutrition à la Pitié-Salpêtrière. Pour cette spécialiste, également vice-présidente de l’Association française d’étude et de recherche sur l’obésité (Afero), l’une des priorités est d’acquérir des données épidémiologiques plus précises sur les facteurs de risque de formes graves de Covid. « Dans les données disponibles, on retrouve souvent l’association de plusieurs pathologies : diabète de type 2, hypertension artérielle, maladies cardiaques et obésité. Mais il faudrait savoir si une obésité à elle seule, sans comorbidité, prédispose aux formes sévères », s’interroge Mme Clément.
L’autre question qui préoccupe la nutritionniste et ses confrères est celle de la possible susceptibilité accrue des personnes obèses à l’infection au nouveau coronavirus.« Pour certains virus grippaux, il a été montré que les patients avec un IMC élevé ont une durée de portage viral plus longue, mais pour le SARS-CoV-2, on ne sait pas », souligne la professeure.
Dans des recommandations, l’Afero et d’autres sociétés savantes insistent sur l’importance du confinement et des mesures barrières pour ces patients. « Les messages de prévention sont cependant souvent difficiles à faire passer dans l’ensemble de la population, et en particulier dans les populations vulnérables sur le plan socio-économique, deux à trois fois plus touchées par l’obésité », rappelle M. Ziegler. La question est aussi posée d’arrêts de travail préventifs pour les personnes avec une obésité sévère dont les conditions de travail ne permettent pas de respecter les mesures barrières.
Source : Le Monde, Sandrine Cabut
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