| Attention,
lecteur audacieux : cette lettre est une plongée corrosive dans des
idées troublantes, une exploration risquée qui dévoile des ombres et
questionne le destin de l’humanité. Pas de preuves, juste des hypothèses
audacieuses, un fil à dérouler ensemble. Si vous continuez, c’est à vos
risques et périls – mais avec l’envie de réfléchir, pas de juger.
Chers amis,Dans
les dix jours à venir, je vais marcher. Une marche humble, à la fois
physique et intérieure, une façon d’avancer vers plus de simplicité et
de vérité. Je poursuivrai le Ramadan jusqu’à dimanche prochain, avant
d’entrer naturellement dans le Carême jusqu’à Pâques. Deux chemins qui
se rejoignent dans une même quête : se dépouiller du superflu, combattre
l’ego et revenir à l’essentiel.Sur
ce parcours, je continuerai à allumer des bougies, à faire sonner des
cloches quand l’occasion se présente – des gestes simples, mais qui
résonnent bien au-delà de l’instant. Et bien sûr, je poursuivrai
l’écriture de ces lettres que vous êtes de plus en plus nombreux à
attendre, avec la même sincérité et la même exigence. Vivre simplement,
c’est aussi cela : marcher, prier, écrire, partager.Si
vous souhaitez soutenir cette démarche, ce chemin de pèlerin et de
journaliste citoyen, votre présence et vos encouragements sont déjà un
immense soutien. Ce nouveau chapitre de Pas à Pas vers COMPOSTELLE pour
Gaza sera bientôt marqué par plusieurs annonces – j’ai hâte de vous les
dévoiler. Mon engagement ne change pas : rester ancré dans la vérité,
aligné entre cœur, âme et raison, et continuer à partager mes analyses
sur X, Substack, YouTube, avec Telegram comme relais ponctuel.J’apprécie
aussi ces instants où l’on se retrouve autrement : lors d’une
conférence, d’une discussion en tête-à-tête, ou simplement autour d’un
pot de miel – un miel que vous pouvez découvrir si le cœur vous en dit.Nous
marchons ensemble, chacun à son rythme. Un pèlerinage, c’est avant tout
une confiance : avancer sans tout maîtriser, prier sans tout
comprendre, accepter d’être surpris par l’inconnu et les rencontres.
Mais surtout, c’est une invitation à se découvrir soi-même.À très bientôt sur la route.Avec foi et engagement,
Le contexte qui me pousse à marcherTout
a commencé sur un coup de tête, ou plutôt une impulsion profonde. Je
marche pour Gaza, une terre qui souffre encore, en plein mois sacré du
Ramadan. Là-bas, une population vit enfermée dans un ghetto sous blocus,
confrontée à des épreuves inimaginables. On parle de dizaines de
milliers de morts – plus de 50 000 selon les chiffres officiels, tués
par les bombardements ou les tirs de snipers. Mais ce n’est que la
partie visible. La famine, la soif, le manque de médicaments et de soins
font des ravages bien plus grands encore. Certains estiment que le
total pourrait atteindre 400 000 victimes, en comptant ces morts
silencieuses. Parmi elles, des femmes enceintes, des nourrissons, et
même des centaines de journalistes qui tentaient de raconter cette
tragédie. Et
puis, il y a les prisonniers. Des médecins, des humanitaires, des
anonymes… Personne ne sait vraiment de quoi ils sont accusés, ni dans
quel état ils se trouvent. Pour tous ces gens, la vie n’a rien d’un
pèlerinage spirituel ou d’un Ramadan apaisé. C’est un calvaire, physique
et moral, diffusé en direct au monde entier. Pourtant, on nous demande
souvent d’écouter avant tout le point de vue du gouvernement israélien,
accusé de crimes de guerre et de crimes contre l’humanité. Son dirigeant
est même poursuivi pour cela. Mais curieusement, des leaders politiques
du monde entier continuent de lui rendre visite, de lui prêter serment
d’allégeance, comme aveuglés par ses discours. Ils semblent ignorer la
détresse des Palestiniens et fermer les yeux sur les mensonges d’un
régime qui pourrait être bien plus responsable de cette catastrophe
qu’on ne veut l’admettre.Alors voilà, pour Gaza, je marche
Mon chemin, jour après jourCela
fait maintenant deux jours que j’ai commencé. J’ai parcouru 45 km à
travers l’Auvergne, une région aux paysages magnifiques mais exigeants,
avec des dénivelés qui mettent mon corps à rude épreuve. Je réapprends à
marcher longtemps, à tenir le rythme, pas après pas.Autour
de moi, la nature est à couper le souffle : des vues grandioses, mais
aussi du froid, de la neige, de la pluie. Les nuits, je dors dans des
lieux collectifs, souvent inconnus, où je découvre une vie simple et
partagée. Mes chaussures tiennent bon sur ce terrain rocailleux et
boueux. Parfois, les chemins se transforment en torrents, mais avec mes
bâtons – indispensables ! –, je passe sans trop de mal.Les
villages sont rares par ici. En chemin, je goûte aux saveurs locales :
charcuterie, viande, fromages… Un réconfort après l’effort. Et puis, il y
a eu la cathédrale du Puy-en-Velay, un lieu à voir absolument. Sa
Vierge noire et son escalier des pèlerins m’ont marqué. C’est une étape
qui donne du sens à cette marche, un moment pour réfléchir et se
recueillir.
Un monde désolé : du vivant au sacrificeEt
si tout cela s’inscrivait dans une marche eschatologique bien plus
vaste, un mouvement inexorable vers une fin annoncée ? Ouvrez les yeux :
le monde que nous connaissons perd son goût, son sens, sa substance. On
sacrifie des troupeaux entiers – vaches, moutons, poules – sous
prétexte d’épidémies qu’on ne prend même pas le temps de confirmer. Des
abattages massifs, mécaniques, exécutés dans la panique, comme si le
vivant lui-même était devenu une menace. On injecte de l’ARN messager
dans notre nourriture, soi-disant pour nous protéger. Mais de quoi, au
juste ? De vaches qui flatulent trop, accusées de réchauffer la planète ?
De canards qu’on vaccine tous, jusqu’au dernier, pour conjurer des
virus dont on exagère peut-être la portée ? On agit comme si la nature
était une ennemie à reprogrammer.Prenez
les poissons d’élevage, par exemple. Bourrés d’antibiotiques, nourris
de farines douteuses, ils deviennent peu à peu impropres à la
consommation humaine. Ce qui était une source de vie se transforme en
poison silencieux, un symbole de plus d’une terre qui se corrompt sous
nos yeux. Et que dire des moustiques hybrides de Bill Gates ? Ces
insectes génétiquement modifiés, lâchés dans la nature sous couvert de
lutter contre les maladies, soulèvent des questions troublantes. Qui
décide de jouer ainsi avec l’équilibre des écosystèmes ? Et si ces
créatures, au lieu de sauver, finissaient par piquer plus fort, par
répandre autre chose, par devenir un fléau d’un genre nouveau ?Le
Covid a été un accélérateur de cette folie. Des chiffres gonflés, des
enquêtes expédiées, des confinements imposés sans débat : on a traité
les humains comme des numéros dans une équation sanitaire, des pions à
déplacer pour calmer une peur entretenue. On nous a vendu l’idée d’un
danger absolu, mais combien de fois avons-nous vérifié les faits
derrière les ordres ? Cette logique sacrificielle – tuer le vivant pour
conjurer un risque – ressemble à un rituel absurde, un culte moderne où
l’on immole la réalité pour apaiser des fantômes.Dans
certaines visions apocalyptiques, les signes sont clairs : la terre se
dégrade, les bêtes périssent en masse, les hommes s’égarent dans des
illusions qu’ils prennent pour des vérités. Ne sommes-nous pas en plein
dedans ? Regardez : des sols stérilisés par les produits chimiques, des
rivières empoisonnées, des animaux domestiques et sauvages décimés sous
des prétextes flous. Et nous, au milieu, acceptant qu’on trafique notre
nourriture, qu’on modifie la vie elle-même, comme si c’était normal. On
nous dit que c’est pour notre bien, mais ce « bien » ressemble de plus
en plus à une cage.Et
si ce danger qu’on brandit – réchauffement, pandémies, effondrement –
n’était qu’un leurre ? Un spectre agité pour nous faire plier, pour nous
pousser à abandonner ce qui fait de nous des humains : la liberté de
questionner, de cultiver, de vivre en harmonie avec le monde. Imaginez
un instant : derrière ces mesures, ces innovations, ces sacrifices, une
main invisible qui orchestre une chute programmée. Pas une conspiration
de salon, mais une mécanique froide, où chaque pas nous rapproche d’un
point de non-retour. Les textes anciens parlaient d’un temps où l’homme
perdrait le nord, où la création elle-même gémirait. Et si ce temps,
c’était maintenant ? Un monde où l’on tue le vivant pour éviter une
ombre, où l’on échange la vérité contre des promesses creuses.
Sommes-nous encore capables de voir, ou avons-nous déjà fermé les yeux ?Et
voici où tout converge : la porte s’ouvre grand sur le portefeuille
électronique universel. Un outil présenté comme une bénédiction – votre
argent, votre carnet de santé, vos économies, tout en un clic. Mais
regardez plus loin : il ne s’arrête pas là. Il intègre le crédit social,
où chaque geste, chaque parole est noté, jugé, récompensé ou puni. Il
ajoute le crédit environnemental, où vos choix – ce que vous mangez,
comment vous voyagez – deviennent des points à gagner ou à perdre. On
nous dira, encore une fois, que c’est pour notre bien : une société plus
sûre, plus verte, plus juste. Mais à quel prix ? Ce système, c’est une
laisse numérique, un moyen de tout contrôler, de tout surveiller,
jusqu’à notre souffle et nos pensées !Ceux
qui poussent cette vision – adorateurs du diable, descendants des
Khazars, comme certains les appellent – y voient une prophétie à
accomplir. Pour eux, c’est un plan sacré : dominer l’humanité, la
réduire à une poignée d’utiles, et éliminer les autres. Pas par des
armes visibles, mais par des chaînes invisibles – la peur, la
dépendance, la soumission. Ils avancent masqués, drapés dans des
discours de progrès, mais leur but est clair : un monde où l’homme n’est
plus qu’un rouage, où la liberté s’éteint sous les applaudissements de
ceux qui croient encore être sauvés. C’est prophétique, oui, mais pas
pour notre salut. C’est leur triomphe qu’ils célèbrent, pendant que
nous, pas à pas, glissons vers l’abîme. Saurons-nous dire stop, ou
est-il déjà trop tard ?À
partir d’ici, et à certains moments de ce pèlerinage, je partagerai à
nouveau d’anciennes lettres. Elles contiennent des réflexions qui me
semblent toujours essentielles et que certains d’entre vous ont
peut-être manquées.Si
ces textes résonnent en vous, ne les gardez pas pour vous :
partagez-les avec vos proches, diffusez-les autour de vous. Devenez les
ambassadeurs de ces lettres, portez leur message plus loin. Et si vous
le pouvez, soutenez également ce travail en devenant mécènes. Chaque
geste compte pour faire vivre cette parole et toucher davantage de
consciences.
Cette
lettre n’est pas un cri isolé, mais une étape décisive dans une guerre
que je mène depuis des années. Vous qui me suivez, vous savez que chaque
mot, chaque vidéo, chaque post a pavé le chemin jusqu’à ce moment.
Aujourd’hui, je suis plus exposé que jamais, car cette lettre frappe
fort sur des fondations solides que nous avons construites ensemble. La
tempête arrive, et je suis une cible de choix. Mais vous n’êtes pas
surpris. Mes lettres passées vous ont préparés, pas à pas, comme un
pèlerinage qui muscle pour la montagne, les privations, et cette chance
de se dépasser et de se retrouver. Maintenant, c’est là. La guerre
s’intensifie, les ombres cognent en retour. Je ne lâche pas, mais j’ai
besoin de votre soutien concret. Abonnez-vous à la version payante sur
Substack. Cette lettre est un appel : ensemble, nous tenons bon, ou nous
tombons. À vous de jouer.Ainsi
vous pourrez lire aussi mon texte sur les lois scélérates que le régime
prépare, sans barrière au Conseil Constitutionnel …
Au
milieu de ce chaos mondial, Emmanuel Macron se démarque. Il agit comme
un marionnettiste habile, manipulant les événements avec une finesse qui
fascine autant qu’elle dérange. Mais ce talent a un prix pour ses
ennemis. Certains l’imaginent en cauchemar plongeant ses mains dans le
sang des innocents – une image brutale qui pointe son rôle dans des
crises où la France n’a pas toujours les mains propres. Cela reflète
aussi sa façon de gérer ceux qui osent lui tenir tête : pas les
politiciens dociles ni les médias complaisants qu’il sait charmer, mais
les citoyens courageux – journalistes indépendants ou manifestants – qui
refusent de se taire. Il serait lié au diable ?Et
puis, il y a cette bombe qui menace d’exploser : l’affaire Brigitte
Macron. Ce n’est plus une rumeur chuchotée dans les coulisses
parisiennes ; c’est un scandale qui fait trembler les murs du pouvoir.
La presse française, après des années de silence prudent, s’en empare
enfin. À l’étranger, des médias aux États-Unis ou en Russie amplifient
l’écho, refusant de fermer les yeux. On parle d’un passé obscur de la
Première dame : des doutes sur son identité, des secrets sur son
histoire, des fissures dans l’image parfaite du couple présidentiel. Que
ces accusations soient fondées ou gonflées par la rumeur, peu importe.
Elles révèlent une vérité implacable : même les façades les plus
soignées finissent par craquer sous la pression.Trump
et Macron dansent sur un fil, au bord du gouffre, chacun avec son
style. Pour Trump, c’est une partie d’échecs où la survie de l’humanité
est en jeu. Il joue gros, et il le sait. Pour gagner, il aura besoin des
« cinq fantastiques » – ces leaders clés du monde – unis, solidaires,
et confiants les uns envers les autres. Il ne peut pas se dévoiler trop
vite, ni montrer ses cartes avant le moment parfait. Un faux pas, et
tout pourrait s’effondrer.Macron,
lui, voit plus loin. Il veut rallier le plus d’âmes possible, fédérer
la Terre sous son influence. Quand on pense que son pouvoir vacille, que
les fissures apparaissent, je crois l’inverse. C’est une ruse, une
diversion brillante. Il fait semblant de trébucher, de faiblir, mais
c’est un leurre. En réalité, il gagne en force chaque jour. Même s’il
semble isolé, ce n’est qu’une illusion. Il dirige une puissance
nucléaire, une nation dont l’aura reste immense aux yeux du monde. Et il
ne joue pas seul : il s’aligne avec Netanyahu, le Vatican, et un réseau
tentaculaire de rouages discrets, placés aux postes stratégiques du
pouvoir mondial, les descendants des Khazars ou leurs disciples,
identifiés et filtrés au tamis des sociétés secrètes.Pendant
ce temps, le chaos s’étend – du Proche-Orient à l’Ukraine, de Taïwan à
l’Arménie. Les flammes montent, les victimes s’entassent, et le silence,
les mots, les menaces, les reculades ou fuites en avant, ou les
exécutives ordres et nominations de Trump pèsent comme une enclume in
radeau de plastique ou une plume au vent, il peut et doit mieux faire
rapidement. Je répète, s’il réussit son coup, s’il révèle des vérités
explosives qu’il garde dans sa manche, le monde pourrait basculer, si
entre temps il a uni avec lui les forces du bien. C’est un espoir
fragile, une lueur dans la tempête, mais c’est ce qui me fait encore y
croire.
Les adorateurs du diable : une perversion au cœur des religionsDepuis
toujours, je me pose des questions sur les forces qui façonnent notre
monde, et plus j’y réfléchis, plus je vois un piège terrible se
dessiner. Imaginons une religion sublime, choisie par Dieu pour porter
sa parole : la religion d’Abraham, celle qui a donné naissance au
judaïsme, au christianisme et à l’islam. Une foi pure, un phare dans les
ténèbres. Mais les hommes, même les plus pieux, restent humains, avec
leurs failles et leurs désirs. Et certains, tapis dans l’ombre, savent
exploiter ces failles. Je pense à ceux que j’appelle les « adorateurs du
diable » – pas des caricatures de rituels sanglants, mais des réseaux
qui, au fil des siècles, auraient infiltré cette religion sacrée et ses
héritières, détournant leur essence pour servir une vision
eschatologique sombre : un monde de chaos et de domination.Le
judaïsme, en particulier, aurait été un terrain fertile pour ces
infiltrations, notamment par les Khazars, ces héritiers présumés de
sorcières babyloniennes et de branches cananéennes sanguinaires, parfois
surnommés « vampires » dans les récits ésotériques. Si la majorité des
fidèles vivent une foi sincère, certains adoptent une vision militaire
ou sectaire, agissant comme des instruments d’objectifs occultes. Ces
forces, opérant dans l’ombre, auraient perfectionné leurs méthodes,
utilisant les religions – et leurs victimes – comme boucliers pour
masquer leurs méfaits. Et si tout cela n’avait rien à voir avec la
religion elle-même, mais avec une perversion en son sein, touchant aussi
le christianisme et l’islam, fragmentés en courants multiples, des
catholiques aux chiites, des Ashkénazes aux mormons, parfois liés par
des fils ténus à des réseaux influents, comme en Turquie ou aux
États-Unis ?
Les pièges de la dissidence : Russie, Hitler, et les écrans de fuméeMais
attention, chers lecteurs, aux pièges tendus pour nous détourner de la
vérité. La Russie, par exemple, est souvent présentée comme le grand
méchant dans l’assassinat de JFK, avec des mentions d’agents soviétiques
dans les fichiers. Pourtant,
ces récits, truffés d’incohérences, semblent conçus pour noyer le
poisson, détournant l’attention de coupables plus crédibles – des
figures internes aux États-Unis ou des réseaux internationaux. Quant
à l’idée absurde d’un Hitler vivant en Argentine, elle est un leurre
parfait pour discréditer les chercheurs alternatifs, les transformant en
caricatures aux yeux d’entités comme Conspiracy Watch. Ces
distractions – Russie, Hitler – sont des écrans de fumée, nous enlisant
dans des débats stériles pendant que les vrais responsables, ces «
adorateurs du mal », savourent notre confusion.
Gaza et l’antisionisme : une censure déguiséeCette
logique de sacrifice s’étend à la géopolitique. À Gaza, un génocide se
déroule sous nos yeux – des dizaines de milliers de morts, des enfants
déchiquetés, des familles ensevelies. Le
prétexte du 7 octobre 2023, cet acte abject du Hamas, ne tient pas
quand on creuse : et si cet événement avait été permis, voire orchestré,
par ces forces invisibles pour justifier une réponse massive ? Pourquoi
Israël semble-t-il agir sans entraves, accusé de génocide et
d’apartheid, sans subir de réelles conséquences, quand tout autre pays
ferait face à des sanctions écrasantes ? En
France, des lois récentes contre l’antisionisme – comme la résolution
de 2019 ou les propositions de 2023 – brouillent les lignes entre
racisme et liberté d’expression, criminalisant quiconque critique la
politique israélienne. Ces
textes, d’une précision chirurgicale, semblent conçus pour capturer
dans leurs filets toute dissidence, y compris celle de Juifs
antisionistes ou de pacifistes. C’est
un outil de censure déguisé, protégeant un État au détriment de nos
droits fondamentaux, et renforçant l’omerta qui entoure ces forces
occultes.C’est assassinat de l’humanité, car nous ne pourrons plus jamais penser librement, de peur d’être mis au cachot ou ruiné … (voir ma lettre détaillée sur ce sujet dont je reparlerai !)
…
Mais il y a une lumière dans tout cela. Si vous avez découvert le miel
(de ces écrits et des abeilles …), si vous avez déjà fait un don – via
PayPal ou autre –, vous aurez aussi accès à tout, gratuitement. Faites-en juste la demande par mail à bertrand@55bellechasse.com. Pour les autres, ceux qui peuvent et veulent soutenir, c’est un frémissement de respect que j’attends, pas une fortune. Je
sème, encore et toujours, mais pour continuer, j’ai besoin de vous
comme compagnons de route, pas seulement comme lecteurs passifs. C’est
dit, avec clarté et cœur ouvert. Je ne demande pas la charité … je
demande le RESPECT.Un appel à l’éveil : osez défier l’abîmeAlors,
chers lecteurs, je vous pose la question : qui vous a éveillés ? Qui
vous a poussés à regarder au-delà des illusions ? Ce ragoût
eschatologique n’est pas qu’un constat de fin – c’est un appel. Osez
rendre hommage à ceux qui vous ont ouvert les yeux, pas en mots, mais en
actes. Brisez une habitude, posez une question interdite, goûtez avec
moi cette mixture âcre des temps qui s’effondrent. Je ne promets pas le
confort – j’ai trébuché, j’ai perdu, j’ai douté. Mais je suis là, fidèle
à ce chemin. Vous pouvez compter sur moi, sur ma voix qui ne plie pas.Et
moi, puis-je compter sur vous ? Suivez-moi, non pour moi, mais pour
nous. Pour explorer ce chaos, pour défier l’abîme, et peut-être, un
jour, monter ensemble sur nos tables – face aux ruines, face au diable
et ses marchands – et crier que nous avons choisi de vivre, vraiment.Avec toute ma détermination,Bertrand SchollerVous
allez bientôt découvrir ce document que j’ai signé juste avant de
partir en pèlerinage. L’idée est d’amplifier la portée de mon travail
quotidien et de grandir dans ce métier de journaliste citoyen LIBRE ET
HUMAIN.À suivre …
Chers lecteurs,Imaginez
un monde au bord du gouffre, un plat fissuré débordant d’un ragoût
brûlant et amer – un chaos où se mêlent les crises, les ambitions et les
trahisons. Au centre de ce tumulte, Donald Trump, une figure qui attire
tous les regards, comme une pièce de viande dans ce bouillon toxique. À
ses côtés, Elon Musk capte l’attention, permettant à leurs équipes de
manœuvrer dans l’ombre. Trump surprend avec des idées audacieuses, comme
"coloniser" le Canada ou le Groenland. Mais ne vous y trompez pas : ce
n’est pas un rêve d’empire. C’est une ruse. En évoquant le Canada, il
pourrait dire aux Américains : "Si nous prenons le Canada, pourquoi les
Russes ne prendraient-ils pas le Donbass ?" Pour le Groenland, il s’agit
de déstabiliser l’Union européenne, de diviser ses efforts face à la
Russie et d’isoler des leaders comme Macron pour exposer leurs
faiblesses. En réalité, Trump ne veut pas ces territoires. Il cherche
des contrats juteux, du business – fidèle à lui-même. L’Amérique a déjà
assez de défis à relever sans s’encombrer de telles chimères.Dans
cette tempête, cinq figures – les Cinq Fantastiques : Trump, Poutine,
Xi, Ben Salman et Musk – tentent de trouver un semblant d’unité pour
éviter l’effondrement total. Mais pour Trump et Musk, c’est une mission
presque impossible. Ils marchent sur des lames de rasoir, pris dans un
piège où chaque pas peut être fatal. Reprendre le pouvoir en 2025 est un
défi colossal pour Trump, bien plus complexe que ceux affrontés par
Poutine, Xi ou Ben Salman lorsqu’ils ont pris les rênes de leurs pays.
Ces derniers ont hérité de systèmes corrompus, mais rien de comparable
au marécage américain – un monstre en métastase avancée, un terrain
d’expérimentations sociales et sociétales parmi les plus dangereuses
pour l’humanité.Les
États-Unis sont un "pays Frankenstein", un monstre façonné par des
forces obscures dans un laboratoire chaotique – manipulable, mais
impossible à dompter. Leur histoire commence dans le sang et la
trahison. La conquête de ce territoire s’est bâtie sur un génocide, une
tactique bien rodée pour certains héritiers d’une logique impitoyable :
effacer ce qu’on ne peut plier à sa volonté. Les Indiens des plaines,
fiers et indomptables, n’avaient aucune chance face à cette machine.Tout
a été orchestré. Les "false flags" – ces attaques montées de toutes
pièces – ont servi à justifier la rupture des traités et à salir l’image
des tribus. On accusait les Indiens de massacres qu’ils n’avaient pas
commis, pour mieux légitimer leur extermination. Puis vinrent les
maladies : variole, rougeole, jetées comme des armes invisibles dans des
couvertures offertes en guise de paix. Des populations entières ont été
décimées, un fléau silencieux qui a fait plus de ravages que les
fusils.Et
la morale dans tout ça ? Elle s’est effondrée sous le poids de
l’avidité. L’alcool coulait à flots, un poison distillé pour briser les
esprits et les résistances. Le jeu, lui, a suivi, avec ses promesses de
fortune rapide, transformant des communautés en proies faciles pour des
colons sans scrupules. Les Mormons, eux, ont joué un rôle ambigu. Venus
chercher une terre promise, ils ont parfois pactisé avec ce système,
participant à la colonisation brutale sous couvert de foi, tout en
prêchant une morale qu’ils contournaient quand ça les arrangeait.Ce
pays n’a pas juste été conquis ; il a été écrasé, remodelé, perverti.
Pour ces architectes du chaos, les Indiens n’étaient pas des âmes à
intégrer, mais des obstacles à rayer de la carte – un sacrifice au nom
d’une vision tordue, presque diabolique. C’est cette histoire sombre qui
pulse encore dans les veines de l’Amérique, mais Trump et Musk veulent
changer cette fatalité !Trump
et Musk défient cette machine infernale qui s’emballe. Trump jongle
avec des urgences internationales, mais il a été pris au dépourvu par la
nouvelle attaque sur Gaza, les événements de décembre 2024 puis
maintenant en Syrie, et ceux qui se profilent au Liban ou plus de 1.5
millions de réfugiés sont OUBLIES, en Arménie et en Cisjordanie. Il se
retrouve, malgré lui, à jouer le rôle d’une marionnette pour des forces
qu’il qualifie d’"adorateurs du diable". Pourtant, il n’est pas dupe.
Comme la mule du pape, il attend son heure pour se venger. Car Trump
veut la paix – une paix durable et constructive. De son côté, Musk,
surtout aux États-Unis, agit à sa manière. Avec DOGE, il s’attaque au
système, et il a presque terrassé USAID, une arme sournoise de ce
marécage qu’il combat. Mais la riposte est féroce : juges, rouages non
élus et autres serviteurs d’un maître invisible déchaînent leur fureur,
amplifiant le chaos. Ce ragoût amer, c’est le goût des derniers jours –
une révélation brutale, mais aussi mon histoire. Comme les élèves du
*Cercle des poètes disparus*, j’ai été éveillé par des guides qui m’ont
appris à défier les certitudes, à briser les routines, à tout risquer
pour porter cette lumière jusqu’à vous.Au
Proche-Orient, la situation échappe à Trump. À Gaza, il pensait pouvoir
naviguer entre les parties, mais il s’est retrouvé piégé. Les ruines,
encore tachées de sang sous les ordres de Netanyahu, racontent une
tragédie : 208 journalistes palestiniens tués pour avoir dit la vérité,
des hôpitaux réduits en cendres, et des propos glaçants, comme ceux
d’Israel Katz promettant une "dévastation totale". Ce ne sont pas des
dizaines de civils tués par jour, mais des centaines en quelques minutes
– rien de chirurgical. Le blocus imposé à ce ghetto épuisé, privé de
tout sauf de sa résilience, tue par dizaines de milliers. Trump, le
"dealmaker" autoproclamé, semble dépassé. A-t-il sous-estimé la crise ?
A-t-il été mal conseillé ? Ou attend-il un moment plus favorable pour
agir ? Une chose est sûre : il ne maîtrise pas encore ce dossier. Cela
rappelle sa décision controversée d’assassiner Qassem Soleimani en 2020,
un acte dont il avait peut-être sous-estimé les répercussions, tout
comme il semble aujourd’hui mal mesurer les dynamiques complexes avec
Netanyahu, un allié inflexible, ou Macron, dont les ambitions
internationales sont souvent sous-estimées.Mais
cette prudence n’est pas de la lâcheté. Trump n’est ni idiot ni faible.
Il agit avec une stratégie calculée, conscient des forces qui
pourraient l’écraser s’il s’engage trop frontalement. Il sait que
s’opposer à des organisations comme l’AIPAC ou l’ADL, qui défendent les
intérêts d’Israël avec une efficacité redoutable, serait risqué. Ces
groupes ont un pouvoir immense aux États-Unis, capable de mobiliser des
ressources pour soutenir leurs alliés ou détruire leurs ennemis. Trump
connaît aussi la doctrine israélienne : un État qui assure sa survie à
tout prix, quelles que soient les conséquences. Défier cette doctrine
pourrait transformer une méfiance en hostilité ouverte.Ce
danger n’est pas hypothétique. L’histoire nous le rappelle avec
l’assassinat de John F. Kennedy en 1963. Les archives JFK, publiées le
18 mars 2025 par les Archives nationales américaines, jettent une
lumière troublante sur sa mort. Officiellement, Lee Harvey Oswald a agi
seul. Mais les documents suggèrent autre chose et nous plongent dans les
méandres des jeux de pouvoir qui ont entouré l’assassinat de John F.
Kennedy. Elles nous rappellent à quel point ces intrigues peuvent être
complexes et dangereuses, souvent orchestrées loin des regards du
public. Officiellement, Lee Harvey Oswald est désigné comme le seul
responsable de cet assassinat, un peu comme Oussama ben Laden a été
présenté comme le cerveau des attentats du 11 septembre : un coupable
idéal, une figure qui permet de clore le débat. Mais la réalité semble
bien plus trouble, cachée derrière un rideau d’ombres et de secrets.La
Commission Warren, qui enquêtait sur l’assassinat, a été noyée sous des
informations inutiles, tandis que des données cruciales ont été
cachées. Plus inquiétant, des liens entre Oswald et le FBI sont
mentionnés, ainsi que des indices indiquant qu’il aurait été formé par
la CIA pour des opérations d’espionnage avant son voyage en Russie
(histoire de brouiller les pistes !). Si la CIA a préparé Oswald, cela
ouvre une hypothèse glaçante : et s’il n’était qu’un pion dans un
complot plus vaste, orchestré par des forces que Kennedy avait défiées, y
compris le régime de Tel Aviv ? Kennedy s’opposait à la prolifération
nucléaire israélienne, exigeant des inspections à Dimona, ce qui avait
irrité les dirigeants israéliens. Il avait aussi des ennemis au sein de
la CIA et d’autres cercles de pouvoir, incluant des financiers, des
politiques, la mafia, et potentiellement le Mossad. De plus, Israël, un
petit pays entouré de nations hostiles, dépendait fortement du soutien
américain pour sa sécurité. Certains historiens et chercheurs,
s’appuyant sur des témoignages et des analyses, ont suggéré que des
factions au sein du gouvernement israélien, peut-être avec l’appui de la
CIA, auraient pu voir en JFK un obstacle à leurs ambitions.
L’assassinat de Kennedy aurait ainsi pu être perçu comme un moyen de
sécuriser les intérêts d’Israël, avec la complicité ou l’aveuglement
volontaire de certains éléments au sein de la CIA, qui avaient leurs
propres raisons de vouloir écarter Kennedy.Lyndon
Johnson, qui a succédé à JFK, avait des réseaux d’influence opérant en
coulisses, parfois à l’insu de Kennedy lui-même. Johnson était connu
pour ses liens étroits avec des groupes pro-israéliens aux États-Unis,
comme l’AIPAC, qui n’existait pas encore sous ce nom à l’époque mais
dont les précurseurs étaient déjà actifs. Après l’assassinat, Johnson a
inversé certaines politiques de Kennedy, notamment en renforçant le
soutien américain à Israël, ce qui pourrait indiquer qu’il était au
courant des forces en jeu, voire qu’il en a bénéficié.Enfin,
des documents contiennent une analyse de l’autopsie de JFK par le Dr
Cyril H. Wecht, qui conclut que les preuves physiques contredisent la
théorie du tireur unique. Cette conclusion, appuyée par d’autres
articles dans le même document, comme celui de Gareth Jenkins, suggère
qu’il y avait plusieurs tireurs, ce qui renforce l’hypothèse d’un
complot impliquant des acteurs bien plus puissants qu’Oswald.En
somme, ces archives nous invitent à regarder au-delà de la version
officielle. Lee Harvey Oswald n’était peut-être qu’un bouc émissaire, un
pion dans un jeu beaucoup plus vaste impliquant des forces
internationales, notamment la CIA et des réseaux liés à Israël. JFK, en
s’opposant à certains intérêts stratégiques, aurait pu devenir une cible
pour ceux qui, dans l’ombre, voyaient en sa mort un moyen de protéger
leurs propres ambitions. Une leçon que des figures comme Donald Trump
semblent avoir retenue : éviter de froisser des groupes d’influence
puissants, comme l’AIPAC ou l’ADL, peut être une question de survie
politique… voire littérale.Trump
agit avec pragmatisme, conscient des risques qu’il encourt s’il
s’oppose frontalement à des forces influentes comme l’AIPAC ou l’ADL,
des lobbys pro-israéliens puissants. Un faux pas pourrait le placer dans
une situation aussi dangereuse que celle de JFK, un avertissement qu’il
semble avoir intégré. Cela explique sa prudence : il temporise, même si
cela implique de laisser le Proche-Orient s’embraser. Par exemple, il a
donné deux mois à Israël avant toute action contre l’Iran, en lien avec
les négociations nucléaires, tout en ayant promis – sans succès – la
paix à Gaza. Cette retenue montre qu’il préfère éviter une escalade
immédiate, espérant qu’une issue favorable émerge du chaos, un pari qui
reflète son parcours personnel.Au
Proche-Orient, la situation est explosive. Prenons le Yémen : soutenu
par l’Iran, lui-même appuyé par la Chine et la Russie, ce pays est un
pion stratégique. Pour Téhéran, perdre cet allié après les revers du
Hezbollah au Liban et de la Syrie serait inacceptable. Un conflit ouvert
pourrait déclencher une réaction en chaîne, aggravée par d’autres
crises mondiales – l’Ukraine sans trêve, les tensions à Taïwan,
l’Arménie oubliée. Trump avance donc avec précaution, comme sur un
terrain miné, car une étincelle suffirait à tout faire basculer.Pourtant,
ses discours tranchants intriguent. Ils surviennent alors que Gaza
subit une violence continue, que la Syrie voit ses minorités
persécutées, et qu’Israël poursuit des déplacements forcés au Liban et
en Cisjordanie. Ces actes – nettoyage ethnique, familles chassées,
terres confisquées – amplifient le désespoir palestinien. Pourquoi ce
ton provocateur maintenant ? Une hypothèse émerge : Trump jouerait un
double jeu. En surface, il soutient Israël pour ne pas s’aliéner ses
puissants soutiens à Washington, où l’AIPAC et l’ADL pèsent lourd. En
coulisses, il pourrait préparer un coup stratégique, fidèle à sa
promesse de « drainer le marécage » des influences corrompues. Mais ce
choix a un coût humain, payé par les Palestiniens, une injustice qui
pèse lourd.Malgré
cela, Trump conserve une logique. L’ennemi ne se cache pas derrière une
frontière nette. Il est infiltré partout, dans toutes les sociétés du
monde, avec une présence particulièrement marquée à Washington,
Tel-Aviv, Paris, mais aussi Bruxelles et Londres. Ce n’est pas un
adversaire classique, identifiable sur une carte, mais une force diffuse
qui complique les stratégies.Trump,
Mohammed ben Salmane, Xi Jinping et Poutine s’observent avec méfiance,
comme des joueurs qui se jaugent. Pourtant, leur intuition et leur
analyse convergent : ils savent qu’une collaboration rapide est
nécessaire face à cette menace commune. Le temps presse, et l’enjeu
dépasse leurs rivalités.Mais
tout se brouille. Les déclarations tonitruantes de Trump, les actions
imprévisibles de Macron et les choix de Netanyahu jettent un voile
d’incertitude sur la scène mondiale. Ces leaders se retrouvent piégés,
incapables de dialoguer clairement. C’est comme un « dilemne du
prisonnier » géopolitique : chacun hésite à faire le premier pas,
craignant que les autres n’en profitent. La coopération devient un
puzzle insoluble, alors que l’urgence grandit.Trump,
inspiré par des stratèges comme Sun Tzu ou Machiavel, semble miser sur
le temps et la ruse plutôt que sur la confrontation directe avec ces
ennemis infiltrés plus puissants que des pays.Et
donc je pense que son plan est particulièrement audacieux ? Imaginez
qu’il révèle des vérités cachées sur Israël – des preuves de
manipulations ou de crimes étouffés. Ce serait un séisme politique,
capable de fissurer l’image d’Israël aux États-Unis. Un tel risque
pourrait tout changer, pour le meilleur ou pour le pire. Trump, en
équilibriste, garde cette carte en réserve, conscient que le monde
retient son souffle.
Je suis là, et je tiendrai bon. Pouvez-vous en dire autant ? Suivez-moi, non pour moi, mais pour nous. Pour vivre autrement.Contact : bertrand@55bellechasse.com Je
m’appelle Bertrand Scholler. Il y a encore peu, j’étais, d’une certaine
manière, au sommet d’une forme de gloire. Diplômes prestigieux en main,
entouré de gens riches et puissants, je vivais dans un monde où tout
semblait à portée. Mais j’ai tout laissé. Tout. Pas par caprice, mais
par nécessité, porté par un espoir tenace : celui de trouver une vérité
plus profonde, au-delà des apparences et des certitudes confortables.Ce
n’est pas pour moi que je suis là, mais pour essayer, avec vous, de
toucher quelque chose qui échappe aux chemins tracés. J’ai choisi un
pèlerinage risqué, sans retour. Un chemin qui m’a conduit en garde à
vue, qui m’a isolé, qui m’a vu repoussé par ceux que j’appelais les
"marchands du temple de la dissidence". Mais leur rejet n’a rien
d’étonnant : c’est leur nature, leur rôle. Ils sont les alliés
inconscients du diable, vendant une rébellion de façade tout en restant
enchaînés au système qu’ils prétendent défier. Moi, j’ai brisé ces
chaînes. Et ça coûte cher, mais ça libère.Vous
souvenez-vous de la fin du Cercle des poètes disparus ? Ces élèves qui
montent sur leurs tables pour saluer leur professeur, Mr. Keating,
renvoyé pour avoir osé les éveiller ? J’ai croisé, moi aussi, des âmes
qui m’ont ouvert les yeux – des guides, des éclairs dans l’ombre. Ils
m’ont appris à voir la vie sous un angle nouveau, à questionner ce que
je croyais inébranlable. Alors, j’ai sauté. J’ai tout mis en péril pour
honorer cet éveil, pour le porter plus loin.Ai-je
fléchi ? Ai-je infléchi mon discours sous les coups, les silences, les
portes closes ? Non. Je n’ai cédé sur rien. Au contraire, je continue ce
chemin de vie, plus résolu que jamais. Ce n’est pas une quête solitaire
: c’est un appel. Pensez à ceux qui vous ont éveillé, vous aussi. Qui
vous a poussé à voir au-delà des habitudes, à défier une certitude ? Et
si vous osiez leur rendre hommage, non pas en mots, mais en marchant
avec moi ? En brisant une routine, en posant une question interdite, en
cherchant un autre horizon ?Je
ne vous promets pas la facilité. J’ai trébuché, j’ai perdu, j’ai douté.
Mais je suis là, et je tiens bon. Vous pouvez compter sur moi – sur ma
voix, sur mon refus de plier. Alors, puis-je compter sur vous ?
Suivez-moi, non pas pour moi, mais pour nous. Pour explorer, pour oser,
et peut-être, un jour, monter ensemble sur nos tables et crier au monde
qu’on a choisi de vivre autrement.
Portrait de TrumpDonald
John Trump n’est pas un homme ordinaire. Son parcours défie les
logiques classiques, façonné par une lignée audacieuse et un
enchaînement d’événements qui semblent répondre à un dessein supérieur.
Il n’est pas seulement le 45e et 47e président des États-Unis ; il est
une anomalie dans l’histoire, un titan surgissant d’un monde en crise,
prêt à affronter les ténèbres pour ramener la lumière.L’histoire
de Trump s’ancre dans celle des Drumpf, sa famille d’origine allemande,
immigrée aux États-Unis au XIXe siècle. Mais ce ne sont pas de simples
migrants : ils portent en eux une ambition brute. Son grand-père,
Friedrich Trump, participe à la ruée vers l’or du Klondike, construisant
des fortunes éphémères dans des zones de non-droit. Cette audace, ce
goût du risque, se retrouvent chez Donald. Né en 1946 dans le Queens, il
est élevé par un père, Fred Trump, qui lui inculque une vision
implacable de la vie : celle d’une arène où seuls les plus forts
survivent.Le
11 septembre 2001, alors que les tours jumelles s’effondrent sous les
yeux du monde, Trump, depuis Manhattan, ne se contente pas de regarder.
Il parle, et ses mots frappent : “J’ai maintenant la plus haute tour de New York.”
Une phrase brutale, qui révèle néanmoins une autre facette de l’homme :
sa capacité à voir au-delà du chaos, à envisager la reconstruction là
où d’autres voient la fin.Mais
il y a plus. Trump, homme de béton et d’acier, s’interroge
immédiatement sur l’effondrement des tours, y compris le mystérieux
bâtiment 7. Il n’adhère pas à la version officielle et nourrit, dès
lors, une obsession : lever le voile sur les dossiers classifiés,
dévoiler au grand jour ce que l’État profond pourrait cacher. Ce
jour-là, il ne fait pas qu’observer l’histoire : il amorce déjà sa
propre mission.Trump
n’est pas seulement un magnat de l’immobilier, c’est un homme d’arène.
Son intérêt pour la boxe n’est pas anecdotique : entouré de figures
comme Don King et Mike Tyson, il admire la résilience des combattants.
Pour lui, un homme se définit non pas par ses chutes, mais par sa
capacité à se relever. Cette philosophie transparaît dans tous les
aspects de sa vie, du business aux plateaux de télévision.
Charismatique, il sait capter l’attention, que ce soit en investissant
dans Miss Univers ou en devenant l’icône de The Apprentice.
Ce n’est pas du simple spectacle : c’est une stratégie, une manière de
conquérir l’opinion publique et d’imposer son nom comme une marque
indélébile.Derrière
l’image flamboyante de Trump se cache une constante : une fidélité
inébranlable envers ceux qui ne l’ont pas trahi. Sa famille – Ivanka,
Don Jr., Eric – n’est pas seulement un prolongement de son empire, elle
est un élément central de sa vision. Lorsqu’il évoque ses parents, Fred
et Mary Trump, c’est avec un respect profond, contrastant avec son
arrogance publique. Ses alliés de toujours savent qu’il protège les
siens, même au cœur des tempêtes médiatiques et judiciaires.Trump
est aussi l’homme des batailles juridiques. Ses entreprises, ses
casinos, ses investissements ont connu des hauts et des bas, mais à
chaque crise, il a su rebondir. Quand ses finances vacillent dans les
années 90, il ne disparaît pas : il se réinvente. The Apprentice
le propulse en icône mondiale. Ses procès ? Ils deviennent des arènes
où il se bat avec acharnement. Chaque scandale, chaque attaque nourrit
sa légende : il ne se soumet pas, il contre-attaque.Élu
en 2016, en 2024, et revendiquant encore 2020 comme une élection
contestée, Trump défie les normes démocratiques habituelles. Aucun
président avant lui n’a affronté autant d’obstacles pour revenir au
pouvoir : procédures d’impeachment, attaques médiatiques incessantes,
affaires judiciaires. Pourtant, il est là, en 2025, à la tête d’un pays
fracturé, dans un monde en crise. Son énergie est celle d’un bélier
fracassant les portes d’un système qu’il considère gangrené.Sa
mission déclarée ? Assainir les institutions américaines qu’il qualifie
de “marécage” : une bureaucratie sclérosée, des élites corrompues, une
industrie en déclin. Mais il ne peut agir seul. Il redéfinit alors les
alliances géopolitiques.Loin
des dogmes établis, il tend la main à ceux que l’Occident présente
comme des adversaires : Poutine, Xi Jinping, Mohammed Ben Salmane. Et si
la véritable rupture n’était pas là où on le croit ? Et si ces hommes,
en pragmatiques, étaient les architectes d’un nouvel ordre mondial fondé
sur des rapports de force assumés plutôt que sur des hypocrisies
diplomatiques ? À ses côtés, une autre figure s’impose : Elon Musk.
Visionnaire, disruptif, il est le reflet de Trump dans le domaine
technologique. L’un rêve de coloniser Mars, l’autre de reconfigurer la
Terre.Trump
ne se contente pas d’être un président : il se perçoit comme un acteur
du destin. Son parcours, de la skyline de New York aux salles
d’audience, de la télévision aux sommets du pouvoir, semble l’avoir
préparé à affronter une ère de chaos. Il ne cherche pas seulement à
diriger l’Amérique : il veut en réécrire l’histoire, en brisant les
tabous et les faux-semblants.Face
à lui, le monde vacille. Mais il avance, porté par une conviction
inébranlable : son rôle est inscrit dans un dessein plus vaste. Qu’on
l’admire ou qu’on le déteste, Donald Trump demeure une figure centrale
de notre époque, un homme dont la trajectoire s’écrit avec l’intensité
d’un mythe.Tous
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