"Il n'existe rien de constant si ce n'est le changement" BOUDDHA; Nous devons apprendre à vivre ensemble comme des frères, sinon nous allons mourir tous ensemble comme des idiots." MARTIN LUTHER-KING; "Veux-tu apprendre à bien vivre, apprends auparavant à bien mourir." CONFUCIUS ; « Nous savons qu’ils mentent, ils savent aussi qu’ils mentent, ils savent que nous savons qu’ils mentent, nous savons aussi qu’ils savent que nous savons, et pourtant ils continuent à mentir ». SOLJENITSYNE
Où il sera question d'uchronies qui se réalisent sous nos yeux, des rues désertées de Brescia, de la nouvelle religion à laquelle nous sommes tous prier d'adhérer, de la signification des «smart cities» dans le projet du nouvel ordre social, de ce projet lui-même, du refuge des «chemins noirs», de la taille de l'homme et de la beauté d'une soirée d'été!
J'en suis arrivée à la conclusion que, plus qu'une imposition de mesures, nous assistons à une demande généralisée. Et il faut bien se demander pourquoi. J'ai failli employer le mot "consentement", mais il ne s'agit pas de ça. Je crois qu'indirectement, tout ceci révèle combien les gens ne se supportent plus sans l'avouer. Le coronavirus sert à établir des barrières au rapprochement, en riposte à l'invitation de n'en n'avoir aucune.
Oui, il y a un mystère dans la servitude volontaire des hommes. Etienne de La Boétie l'avait déjà relevé. Et Alexandre Zinoviev, en remarquant que le dissident, si altruiste pur soit-il dans ses revendications, n'est jamais aimé de ses voisins d'immeuble. Au contraire, ils le dénoncent sitôt qu'ils le peuvent.