jeudi 9 septembre 2021

Comment et pourquoi Macron et la caste ont décidé d’en finir avec la vraie démocratie

 par Éric Verhaeghe

La démocratie, la vraie, est très mal en point en France, quoiqu'en disent les thuriféraires de la presse subventionnée pour qui aucune critique n'est possible contre la domination de plus en plus brutale de la caste mondialisée. Ce malaise dans la démocratie n'est pas un hasard, ni un fait sans cause : il correspond à un choix, plus ou moins tacitement partagé, de neutraliser le suffrage universel pour préserver les acquis de la mondialisation, du multilatéralisme et du libre échange face aux menaces que les peuples font peser sur ces choix. Nous retrouvons ici les termes du trilemme de Rodrik, cher au Great Reset de Klaus Schwab et de Thierry Malleret.

La démocratie passe, et même trépasse, en Occident, et ce triste défilé mortuaire part de France. Il est vrai que la maladie est connue, diagnostiquée, depuis plusieurs décennies. Elle tient à l’emprise d’une caste managériale sur l’ensemble de la société, et à l’impossibilité de cette caste à tolérer d’autres choix que les siens. 

Le recours par Nicolas Sarkozy à la voie parlementaire pour valider le traité de Lisbonne, qui contournait le “non” au referendum de 2005, avait constitué un symptôme éclatant de ce déclin. Sans le savoir ou sans forcément le mesurer, Nicolas Sarkozy a donné le coup d’envoi d’une phase terminale où les métastases du cancer qui tue notre démocratie se multiplient à une vitesse grandissante, jusqu’à une agonie à laquelle nous commençons à assister. 

Encore faut-il dépasser le commentaire journalistique habituel, et donner une compréhension à la fois politique et historique de ce phénomène pour en éclairer le sens et la gravité. Et c’est ce que nous nous proposons d’essayer de faire aujourd’hui. 

Great Reset et fin de la démocratie

En réalité, la fin de la démocratie est d’ores et déjà théorisée publiquement par la caste mondialisée. Cette théorisation se trouve de façon quasi-implicite dans le Great Reset, le fameux (et médiocre) ouvrage du fondateur du Forum de Davos, Klaus Schwab. Nous avons tous bien compris qu’une presse zombifiante interdit de lire ce livre sous peine de complotisme. Et pourtant, cette lecture donne les clés des mouvements auxquels nous assistons (je recommande ici chaleureusement le livre commentant le Great Reset que j’ai publié au mois d’avril, qui éclaire ces points). 

Ainsi, dans la version française du livre disponible sur Internet, nous lisons ceci (pages 87 et 88):

La démocratie et la souveraineté nationale ne sont compatibles que si la mondialisation est contenue. En revanche, si l’État-nation et la mondialisation prospèrent tous deux, la démocratie devient intenable. Enfin, si la démocratie et la mondialisation se développent toutes deux, il n’y a plus de place pour l’État-nation. Par conséquent, on ne peut choisir que deux des trois – c’est l’essence même du trilemme. L’Union européenne a souvent été utilisée comme exemple pour illustrer la pertinence du cadre conceptuel offert par ce trilemme. Combiner l’intégration économique (un substitut à la mondialisation) et la démocratie implique que les décisions importantes doivent être prises à un niveau supranational, ce qui d’une certaine manière affaiblit la souveraineté de l’État-nation. Dans le contexte actuel, le cadre du « trilemme politique »
suggère que la mondialisation doit nécessairement être contenue si nous ne voulons pas renoncer à une certaine souveraineté nationale ou à la démocratie. Par conséquent, la montée du nationalisme rend le recul de la mondialisation inévitable dans la plus grande partie du monde ; une impulsion particulièrement remarquable en Occident. Le vote en faveur du Brexit et l’élection du président Trump et de son programme protectionniste sont deux indicateurs importants de la réaction brutale de l’Occident contre la mondialisation. Des études subséquentes valident non seulement le trilemme de Rodrik, mais montrent aussi que le rejet de la mondialisation par les électeurs est une réponse rationnelle lorsque l’économie est forte et les inégalités élevées.

On reconnaît ici une référence très orientée, et déjà très révélatrice, au trilemme de Rodrik, pour qui la mondialisation (entendue comme le multilatéralisme promouvant le libre-échange) ne peut pas coexister pacifiquement avec les Etats-nations et avec la démocratie. 

L’objet ce cet article n’est pas d’épiloguer sur les propos de Rodrik, mais de relever ce que la caste mondialisée en retient, et le passage que nous citons est tout à fait éclairant : le Brexit, l’élection de Trump montrent le danger que le suffrage universel fait désormais peser sur la mondialisation : “le rejet de la mondialisation par les électeurs est une réponse rationnelle”… On ne pouvait pas mieux illustrer l’aversion au suffrage universel qui s’est affirmée depuis cinq ans dans la caste, et on pouvait pas mieux expliquer la dérive à laquelle nous assistons. 

Les dangers du suffrage universel

Nous recommandons de lire ce passage du Great Reset au “premier degré”, car il porte en lui l’essentiel de la vision dominante, spontanée dans la caste, dont subissons les effets. Ces quelques phrases nous donnent au fond l’explication de la situation française actuelle : face au risque de voir le suffrage universel mettre au pouvoir des gens qui contesteront en profondeur les règles de la mondialisation, mieux vaut neutraliser le suffrage universel pour garder la maîtrise de la situation. 

En apparence, Schwab et Malleret indiquent que la fin de la démocratie est la meilleure façon de conserver les Etats-nations dans un univers mondialisé. En réalité, leur proposition est éloignée de ce trilemme de Rodrik, elle est plus radicale et plus liberticide : pour conserver la mondialisation, il faut tuer les Etats-nations par des transferts de souveraineté vers les instances multilatérales, ET il faut mettre en parenthèse le suffrage universel et la démocratie. Rodrik indique qu’une mise à mort de la démocratie suffit. Le Great Reset propose d’y ajouter la mise à mort des Etats-nations, et leur grand remplacement par des technostructures multilatérales qui ne sont pas responsables devant les citoyens. 

Ce qui nous semble important, c’est de relever la grande peur qui agite la caste mondialisée désormais dès que l’on prononce le mot “suffrage universel” : les spectres du Brexit, de Trump, surgissent, et constituent autant d’épouvantails qui justifient un sauve-qui-peut général.

Bien entendu, aucun des membres de la caste ne proclame ouvertement sa haine de la démocratie, régime qui consiste à donner autant de poids dans le choix du gouvernement aux catégories supérieures qu’aux fumeurs de clopes qui roulent en diesel. Entre gens bien élevés, on dit les choses autrement  : on rappelle la République de Platon, on parle des Lumières, de la Civilisation, et on dénonce l’obscurantisme des nationalistes et des complotistes. Mais ces euphémismes ne doivent pas tromper : la détermination de la caste à ne plus se laisser surprendre, à  ne plus être mise en danger par le vote, est farouche et sans limite. 

Passe sanitaire et crédit social

Dans ce climat délétère de reprise en main des sociétés occidentales par la caste mondialisée, les modèles autoritaires ont le vent en poupe. La Chine, Singapour, fascinent. Durant l’épidémie, nous avons d’ailleurs beaucoup entendu les medias subventionnés exprimer leur admiration pour les sociétés asiatiques où la discipline est forte. 

Cette adoration de moins en moins cachée pour le totalitarisme chinois va de pair avec les amitiés que Klaus Schwab ne cesse d’adresser à Xi Jinping. On peut penser que cette inclination pour la Chine ne concerne pas seulement les acteurs du Forum de Davos, mais qu’elle déteint sur de nombreux esprits, à commencer par ceui d’Emmanuel Macron et de ses amis de Mc Kinsey qui l’entourent si bien. 

Qu’est-ce, en effet, que le passe sanitaire, sinon un outil de contact tracing propre à la surveillance de masse, et un outil de crédit social à la chinoise ?

Nous avons eu l’occasion de le dire à plusieurs reprises, l’utilité première du passeport sanitaire est de proclamer l’avènement de l’identité numérique. Dans les mois à venir, le “Wallet” de l’Union Européenne a vocation à remplacer nos vieilles cartes d’identité. Ce “Wallet” sera accessible par un QR Code grâce auquel toute notre vie sera stockée sur le cloud européen en préparation. 

L’intérêt du passe sanitaire, qui est l’un des aspects de notre identité numérique, est de commencer à nous habituer à présenter notre identité partout où nous allons pour permettre un contact tracing, c’est-à-dire un archivage de notre vie privé, et un pistage de nos relations. Il s’agit d’un projet industriel de vaste ampleur, porté par Thalès, qui explique pourquoi nous sommes à peu près sûrs que le passe sanitaire sera reconduit au-delà du 15 novembre sous les prétextes les plus fallacieux : il faut rentabiliser l’investissement !

L’intérêt annexe (mais pas moindre) du passe sanitaire est de constituer une première expérimentation du crédit social légitimée par la “protection” des vaccinés : les non-vaccinés doivent être dégradés dans leur vie sociale, puisqu’ils n’obéissent pas aux instructions. Il faut bien comprendre ici la portée du geste macronien annoncé le 12 juillet. Sans le dire, nous avons basculé dans une logique liberticide à la chinoise. 

Un totalitarisme soft… en attendant le pire

Bien entendu, ce basculement dans une société de la surveillance permanente, industrialisée grâce aux technologies numériques, et de la disqualification collective des dissidents ne se fait pas avec les oripeaux brutaux d’un Staline ou d’un Hitler. Ici, pas de défilés massifs dans les rues, pas de vitrines cassées par des miliciens inquiétants, pas de goulags où les dissidents sont mis à mort à petit feu. Pour les instants, les apparences de la démocratie sont sauvegardées, ce qui permet aux soutiens du régime de nier les évidences. 

Ainsi, les décisions en France sont désormais prises par un conseil de défense qui n’est pas constitutionnel. La presse subventionnée cache à peine la belle unanimité qu’elle met à véhiculer sans complexe les pires âneries exprimées par le gouvernement pour justifier les limites aux libertés. L’appel à l’exclusion des non-vaccinés est quotidien, et leur désignation comme des boucs-émissaires de la pandémie n’a rien à envier aux dénonciations staliniennes ou nazies. Ce sont des prémices, des mises en bouche, qui nous mettent sur la voie d’un durcissement tout à fait possible le jour venu. 

Cette mise entre parenthèse de la démocratie, on le voit, n’est ni un accident, ni un épiphénomène. Elle résulte d’une lente maturation intellectuelle déjà évoquée par Rodrik au tournant des années 2000, et qui s’est accélérée avec le Brexit et l’élection de Trump. 

La caste mondialisée a compris que si elle ne reprenait pas le contrôle des opérations, le suffrage universel déboucherait sur une remise en cause de la mondialisation, ce qui touche à ses intérêts fondamentaux et la contraint à réagir. Cette réaction est concertée, théorisée, et coordonnée internationalement. 

Autrement dit, la réaction autoritaire de la caste mondialisée est sérieuse, profonde, déterminée, et elle ne s’évanouira pas miraculeusement. 

L’heure de la confrontation vient

Les démocrates ont ici compris ce qu’il leur reste à faire : leur devoir. L’heure du rapport de force vient, et nous ne le remporterons pas avec des fleurs au bout de notre fusil, ni avec le pessimisme des défaitistes morts de trouille, qui nous annoncent chaque jour une défaite certaine. Nous ne vaincrons pas non plus avec cette tribu d’avocats opportunistes qui marchandent leur parole et leur action. 

Il nous faut désormais construire une démarche en deux temps :

1° donner une lisibilité politique à notre conception de la démocratie

2° construire un rapport de force victorieux avec la caste mondialisée et organiser son remplacement par une contre-élite attachée aux valeurs humanistes et laïques. 

Je vous donne rendez-vous dans nos colonnes pour suivre ces étapes et y participer activement ! Nous avons besoin de votre énergie. 

Source : https://lecourrierdesstrateges.fr/2021/09/08/comment-et-pourquoi-macron-et-la-caste-ont-decide-den-finir-avec-la-vraie-democratie/

Abonnez-vous à notre newsletter Rester libre !

Pétition: NON à la vaccination anticovid obligatoire, stop à la manipulation de la science.

pour signer la pétition, c'est ici :

https://notrebondroit.be/obligation-vaccinale


Madame la présidente de parti, 

Monsieur le président de parti, 

 

Rendre obligatoire l’administration de thérapies géniques, faussement appelés vaccins, qui bénéficient d’une autorisation de mise sur le marché conditionnelle, qui sont toujours en phase d’essai clinique, et

dont l’efficacité est incertaine,

dont certains effets secondaires sont d’ores et déjà notables notamment des décès,

dont les effets secondaires à long terme sont inconnus,

est politiquement imprudent, moralement et éthiquement condamnable et juridiquement illégal.


Des postulats de base erronés. 

Le postulat selon lequel les vaccins contre la COVID-19 empêchent la transmission du virus est inexact et incomplet.

Les vaccinés peuvent continuer à contaminer leur entourage et transmettre le virus [1].

 

Le postulat selon lequel les vaccins contre la COVID-19 empêchent les formes graves de Covid est inexact et incomplet.

Les vaccinés peuvent faire des formes graves de Covid à cause des nouveaux variants, tels que nous les montre les expériences anglaises et israéliennes[2].


Le postulat selon lequel les vaccins procurent une meilleure immunité, plus longtemps est inexact et incomplet.

L’immunité naturelle est plus forte que l’immunité vaccinale, et doit être prise en compte afin d’éviter la discrimination de ceux qui sont naturellement immunisés [3].

 

Une double vaccination n’empêche pas la transmission du virus.

Dans une note technique intitulée « Vaccins contre la Covid-19, base de preuves et consentement éclairé » du 10 mai 2021, plusieurs chercheurs, professeurs et scientifique belges se sont intéressés à l’état actuel des études et des connaissances relatives à l’effet des vaccins sur la transmission du SARS-CoV-2.


Ils concluent sur ce point que:


« Les vaccins sont avant tout conçus pour protéger les personnes vaccinées, mais ils sont souvent présentés comme permettant de réduire la transmission du virus concerné parmi la population et ce faisant, de protéger les autres. Or, cette capacité des vaccins de réduire la transmission n’est pas encore démontrée pour le SARS-CoV-2, et ne devrait donc pas être considérée comme un acquis pour concevoir la stratégie vaccinale. En effet, les réinfections sont possibles, avec des cas souvent asymptomatiques[4]. C’est particulièrement le cas vis-à-vis des variants émergents[5] ».


En effet, les vaccins administrés par voie parentérale ne semblent pas procurer une forte immunité mucosale de nature à empêcher l’infection ou la transmission du virus[6].


Si les essais cliniques limités réalisés sur les différents vaccins permettent de penser que la vaccination réduit les risques de transmission du virus, cette conclusion doit être nuancée pour des situations en environnement réel (à distinguer des essais cliniques).


Selon un article publié dans la revue Nature le 19 février 2021, les analyses préliminaires suggèrent qu'au moins certains vaccins sont susceptibles d'avoir un effet de blocage de la transmission, mais il est difficile de confirmer cet effet – et son ampleur – car une baisse des infections dans une région donnée peut s'expliquer par d'autres facteurs, tels que les mesures de confinement, les changements de comportement et l’immunité naturelle acquise par certaines personnes. De plus, le virus peut se propager à partir de porteurs asymptomatiques, ce qui rend très difficile la détection de ces infections[7].


Cette étude publiée par la revue Nature en février 2021 confirme notamment celle publiée par les scientifiques américains dans la revue Frontiers in Immunology le 30 novembre 2020[8] et qui concerne l’immunité mucosale induite par les vaccins contre la COVID-19.

 

En outre, il convient de noter que le degré (élevé) d’efficacité des vaccins annoncé par les différents fabricants de vaccins se réfère seulement aux cas symptomatiques[9]. Il reste donc à déterminer dans quelle mesure les personnes vaccinées peuvent être contaminées et asymptomatiques, sachant qu’une personne asymptomatique peut transmettre le virus et contaminer d’autres personnes.


Ceci repose sur la distinction fondamentale entre, d’une part, l’immunité qui protège une personne en ce qu’elle empêche le développement des symptômes de la maladie et, d’autre part, l’immunité qui est également capable d’interrompre la transmission du virus. Le fait d’ignorer cette distinction peut procurer une fausse impression de sécurité aux personnes vaccinées en leur faisant penser, erronément, qu’elles ne peuvent plus être contaminées et, partant, qu’elles ne risquent plus de transmettre le virus aux autres personnes[10].


Par ailleurs, l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) elle-même explique sur son site internet que la question de savoir si une personne vaccinée peut être infectée et transmettre le virus n’est pas encore résolue et demeure source de grandes incertitudes[11]. En effet, à la question s’il est encore possible, après avoir été vacciné, d’attraper la COVID-19 et aussi d’infecter d'autres personnes, le docteur Katherine O'Brien a répondu, le 29 janvier 2021, comme suit :


« C'est une excellente question. Les essais cliniques ont démontré que ces vaccins protègent les gens contre la maladie. Ce que les essais cliniques n'ont pas encore démontré, c'est que les vaccins protègent également les personnes contre l'infection par le virus du SARS-CoV-2 et contre la transmission à d'autres personnes. Il s'agit donc d'une partie très importante de notre compréhension de l'action de ces vaccins. Protègent-ils uniquement contre la maladie ou protègent-ils également contre l'infection et la transmission à quelqu'un d'autre, même en l'absence de symptômes ? » (traduction libre de l’anglais)


Il ressort de ce qui précède que le postulat selon lequel les vaccins contre la COVID-19 empêcheraient la transmission du virus de manière totale et efficace – est inexact et incomplet et ne repose pas sur des études scientifiques sérieuses et concluantes.

Rendre la vaccination obligatoire ne rencontrera aucun objectif de santé publique.


Comparaison n'est pas raison!

En Belgique, seule la vaccination contre l’hépatite B est obligatoire pour les soignants.

 

Plusieurs vaccinations contre d’autres maladies touchant directement les enfants sont toutefois exigées pour qu’un enfant puisse fréquenter un milieu d’accueil agréé par l’O.N.E. (crèche, accueillants et accueillantes, pré-gardiennat, maison d’enfants,…) et sont réalisés dans la petites enfance des belges.

 

Tous ces vaccins sont connus et éprouvés de longue date.

 

Dans tous ces cas, une comparaison entre les risques de la maladie et ceux de la vaccination est toujours effectuée et peut donner lieu à des “dispenses” de vaccination le cas échéant.

 

On ne peut pas comparer la vaccination obligatoire contre l’hépatite B, ou celles proposées aux enfants en bas-âge, à celle utilisant de nouvelles biotechnologies à ARN-m de synthèse ou a adénovirus OGM de chimpanzée.

 

Le risque à long terme des vaccins “à matériel génétique” (à ARNm et à adénovirus vecteur) est inconnu.


Les effets à long terme de ces nouveaux produits génétiquement modifiés ne peuvent pas être connus à ce stade. Ceux-ci pourraient inclure des troubles auto-immuns, une maladie à anticorps amélioré, l'infertilité, le cancer ou des malformations congénitales.


Il y a peu de temps, encore, la presse nous annonçait une nouvelle enquête de l’EMA concernant trois nouveaux effets secondaires, dont une atteinte rénale grave.


La vaccination massive, aux conséquences encore inconnues, n’a pas permis d’enrayer l’épidémie en Israël et en Grande Bretagne, où elle est connaît une nouvelle flambée malgré des taux de vaccination record.


L'Association of American Physicians and Surgeons (AAPS) a déclaré récemment que tous les êtres humains ont droit à la liberté, qu'ils ne perdent pas lorsqu'ils servent les malades ou les handicapés.


L'engagement éthique de protéger les autres n'oblige personne à renoncer à son intégrité corporelle et à son autodétermination et à accepter l’intervention dictée par une autorité gouvernementale.


Les interventions médicales sont rarement totalement sûres ou efficaces, et les risques et les avantages diffèrent selon les patients et les circonstances.

 

Au vu de tous ces éléments, la vaccination doit être envisagée dans l’intérêt premier du candidat vacciné ayant un ou plusieurs facteurs de comorbidité et non dans un intérêt collectif non réellement objectivable puisque l’absence de transmission post-vaccination ne peut être objectivement quantifiée.


La vaccination obligatoire va à l’encontre de la liberté de chacun d’apprécier la balance entre bénéfice et risque individuel.


Votre rôle politique.

En tant que représentant politique des citoyens, votre rôle est de vous assurez qu’aucune discrimination sur base d’un état de santé réel ou supposé n’est pratiquée sur les soignants ou n’importe quel autre citoyen.

 

Raison pour laquelle les soignants, comme tous les belges, quelle que soit leur profession, leur âge ou leur état de santé, doivent pouvoir décider librement de bénéficier, ou non, de la campagne de vaccination.

 

En tant que représentant politique, votre rôle est également d’assurer que notre secteur de soin de santé est suffisamment fort et efficace pour faire face à la vague de la nouvelle souche automnale du coronavirus.

 

Or, il apparaît que rien n’a été entrepris depuis 18 mois pour renforcer les équipes soignantes et que celles- ci étaient en sous-effectif à chaque vague.

 

Ce n’est pas le moment de subir une nouvelle vague de démissions telle que celle qui a secoué le secteur au printemps 2020 en imposant une obligation vaccinale douteuse sur le plan juridique et éthique.


[1] https://covidrationnel.be/2021/05/11/note-technique-vaccins-contre-la-covid-19-base-de-preuves-et-consentement-eclaire/

[2] https://www.nature.com/articles/s41586-021-03777-9 , https://drive.google.com/file/d/1M4tM59Ev6dFUmxdPd50NZXNAANakWfuB/view

[3] https://www.nature.com/articles/d41586-021-00728-2?utm , https://www.eurosurveillance.org/content/10.2807/1560-7917.ES.2021.26.6.2100096

[4]        https://science.sciencemag.org/content/370/6520/eabd4250

[5]        https://www.nature.com/articles/d41586-021-00450-z?utm_source=Nature+Briefing&utm_campaign=72250739fb-briefing-dy-20210222&utm_medium=email&utm_term=0_c9dfd39373-72250739fb-45689842

[6]        Russell,M.W., Moldoveanu, Z., Ogra, P.L. et Mestecky, J., “Mucosal Immunity in COVID-19: A Neglected but Critical Aspect of SARS-CoV-2 Infection”, Frontiers in Immunology, 30 novembre 2020, https://www.frontiersin.org/articles/10.3389/fimmu.2020.611337/full, (consulté le 7 juin 2021).

[7]        ”Can covid vaccines stop transmission ? Scientists race to find answers”, Nature, 19 février 2021, https://www.nature.com/articles/d41586-021-00450-z?utm_source=Nature+Briefing&utm_campaign=72250739fb-briefing-dy-20210222&utm_medium=email&utm_term=0_c9dfd39373-72250739fb-45689842, (consulté le 7 juin 2021), avec traduction libre.

[8]        Selon une étude publiée le 30 novembre 2020 dans Frontiers in Immunology, les vaccins administrés par voie parentérale ne semblent pas procurer une forte immunité mucosale de nature à empêcher la transmission du virus : « Presque tous les efforts de développement de vaccins contre la COVID-19 se concentrent sur l'injection systémique, qui induit principalement des anticorps IgG circulants et, potentiellement, des cellules T cytotoxiques. Ces voies sont peu efficaces pour générer des réponses immunitaires muqueuses, qui ne peuvent être induites que par des voies d'immunisation muqueuses, notamment par le NALT dans l'URT. Les réponses immunitaires muqueuses sont partiellement compartimentées, car la distribution des réponses dépend de la voie d'induction réelle » (ce sont les parties appelantes qui soulignent), traduction libre de « Almost all efforts at vaccine development against COVID-19 focus on systemic injection, which predominantly induces circulatory IgG antibodies and, potentially, cytotoxic T cells (18). These routes are poorly effective at generating mucosal immune responses, which can only be induced by mucosal routes of immunization, including through the NALT in the URT. Mucosal immune responses are partly compartmentalized, as the distribution of the responses depends on the actual route of induction”. Voir l’entièreté de l’article à l’adresse suivante : https://www.frontiersin.org/articles/10.3389/fimmu.2020.611337/full.

[9]        Mark Connors, Barney S. Graham, H. Clifford Lane, Anthony S. Fauci, “SARS-CoV-2 vaccines: much accomplished, much to learn”,  Annals of Internal Medicine, 19 janvier 2021, https://www.acpjournals.org/doi/10.7326/M21-0111, (consulté le 7 juin 2021).

[10]      Mark Connors, Barney S. Graham, H. Clifford Lane, Anthony S. Fauci, “SARS-CoV-2 vaccines: much accomplished, much to learn”,  Annals of Internal Medicine, 19 janvier 2021, https://www.acpjournals.org/doi/10.7326/M21-0111 .

[11]      OMS, Science in 5, Episode #23 - I am vaccinated, what next ?, https://www.who.int/emergencies/diseases/novel-coronavirus-2019/media-resources/science-in-5/episode-23---i-am-vaccinated-what-next?gclid=CjwKCAjw07qDBhBxEiwA6pPbHk09GAflqTMYSfp40HwlAi3ayVAueWdQk_pC2SCrcpvygXeDZMbGQhoCtGAQAvD_BwE, (consulté le 7 juin 2021).


pour signer la pétition, c'est ici :

https://notrebondroit.be/obligation-vaccinale

Le viol des foules par la propagande


 Le Grenier de l'éco

Définition de violer, au delà de l'acceptation sexuelle que tout le monde connaît, c'est aussi l'action de violer quelque chose comme le viol d'un secret professionnel. Comme le précise le Larousse c'est aussi "le fait de forcer, de contraindre quelqu'un contre sa pensée : Un viol de conscience". Ce n'est pas rien et le viol n'est pas que sexuel, on peut également parler d'un viol de l'esprit, de la pensée, on peut parler d'une violation du psychisme de la personne. C'est ce qu'a étudié Serge Tchakhotine dans son ouvrage "Le viol des foules par la propagande politique". Compte tenu de la situation actuelle il était important de prendre le temps de s'interroger sur les méthodes actuellement utilisées à l'encontre des foules, aussi, pour mieux s'en prémunir. Tchakhotine est né en 1883 à Constantinople, mort en 1973 en Russie, enterré en Corse à Cargèse, c’est un microbiologiste et psychosociologue russe. Il a combattu la révolution russe, exilé en Allemagne il a été l’un des principaux résistants au nazisme et devient l’idéologue en chef du front de fer pour s’opposer au nazisme. Ami d'Albert Einstein et d'Ivan Pavlov, dont il expose et utilise les théories psychologiques dans Le Viol des foules par la propagande politique. Il est considéré comme l'un des inventeurs des méthodes de la propagande moderne et l'un des premiers théoriciens de la psychologie des masses à la suite des travaux du français Gustave Le Bon. Je partage ici et avec vous quelques considérations et analyses et réflexions qui concernent la situation actuelle et aussi la situation future avec la nécessité de poser la question de l'efficacité de la vaccination comme arme qui va tout changer et tout régler. A bientôt. Ici, encore une fois, aucune vérité absolue, mais des pistes de réflexions pour prendre de la hauteur et anticiper ce qui pourrait arriver. Pour vous abonner gratuitement: https://insolentiae.com/ Pour vous abonner et investir dans la lettre STRATEGIES c'est ici: https://insolentiae.com/produit/abonn... Bienvenue dans mon grenier, où je suis toujours très heureux de vous retrouver. Etant un "vieux" à la barbe maintenant blanche, je compte sur votre indulgence pour mes incompétences techniques, mais je suis un dinosaure de l'informatique !! ;) Comme toute analyse j'exprime dans cette vidéo une opinion sur des faits mis en perspective. Cela ne constitue pas la vérité mais des éléments de réflexion à la disposition de tous. A bientôt les amis. Abonnez-vous, partagez sans modération, et "likez" comme on doit dire pour être môôôderne !!! Merci à chacune et chacun de vous pour l'intérêt que vous portez à mon travail. Mille mercis. N'hésitez pas à vous abonner à cette chaîne Youtube mais aussi à la lettre d'informations gratuite sur le site www.insolentiae.com pour mes chroniques économiques quotidiennes. Charles.