"Il n'existe rien de constant si ce n'est le changement" BOUDDHA; Nous devons apprendre à vivre ensemble comme des frères, sinon nous allons mourir tous ensemble comme des idiots." MARTIN LUTHER-KING; "Veux-tu apprendre à bien vivre, apprends auparavant à bien mourir." CONFUCIUS ; « Nous savons qu’ils mentent, ils savent aussi qu’ils mentent, ils savent que nous savons qu’ils mentent, nous savons aussi qu’ils savent que nous savons, et pourtant ils continuent à mentir ». SOLJENITSYNE
jeudi 9 janvier 2025
Marie Louise von Franz : « Il faut être seul pour que l'inconscient devienne plus fort et que vous…»
Cette vidéo est une invitation à explorer la profonde symbolique du temple de Max Zeller, inspiré par Carl Jung. Découvrez comment chaque décision que vous prenez, aussi petite qu'elle puisse paraître, est une brique dans la construction d'un nouveau niveau de conscience, à la fois personnel et collectif. Tout au long du voyage, nous affronterons les ombres de l’inconscient, nous comprendrons leur pouvoir transformateur et nous apprendrons à les intégrer comme alliés. Nous explorerons la solitude comme portail vers la connaissance de soi et verrons comment le travail intérieur impacte directement le monde qui nous entoure. Grâce à des histoires inspirantes, des faits intrigants et des réflexions puissantes, vous serez guidé pour reconnaître que votre contribution à ce « temple symbolique » est essentielle. Cette vidéo n'est pas qu'un reflet ; est un appel à l'action pour que vous embrassiez votre voyage, inspirez les autres et continuez à construire quelque chose d'éternel. Regardez jusqu'à la fin et découvrez comment chacun de vos gestes transforme le monde.
Trump a été élu il y a exactement 2 mois … et il commence à attaquer frontalement AIPAC et Netanyahu, puis ce sera Macron sa cible … vous en doutez encore ???
Cette fois la guerre est déclaré et dans la danse il y a Trump, Musk, Ron et Rand Paul mais également beaucoup de personnes qui ont compris que l’humanité était au bord du gouffre … la bataille finale
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Cette lettre devrait vous plaire, elle contient beaucoup de surprises, et appellera à une suite, car nous ne sommes qu’aux début des surprises.
Des informations concordantes indiquent que Trump considère que le marais de Washington … c’est l’Aipac … (Musk aussi …) ? Ce qui expliquerai les votes par religion aux USA ?
Si c’est la cas, ce ne sera pas de tous repos.
Le sionisme, dans sa forme la plus crue et destructrice, est devenu le moteur d'un génocide à Gaza. Ce n'est plus simplement une quête de terre ou d'identité, mais un prosélytisme politique qui a atteint des sommets de cynisme. Ce prosélytisme, sous couvert de légitimité historique, s'est transformé en une machine de guerre implacable. À Gaza, on observe une illustration parfaite de cette idéologie déviante : assassinat cibles des journalistes, bombardements, blocus, et destruction systématique des infrastructures civiles en particulier les hôpitaux et les archives, interdiction de l’UNWRA et tout ce qui prouve l’intention de nettoyage ethnique et de génocide par le régime Netanyahu.
Les binationaux américains au Congrès et au Sénat soulèvent la question de l'allégeance. Servent-ils les États-Unis ou Israël? Leur influence dans des agences comme la NSA ou la FED met en doute leur loyauté. Les posts sur X montrent une influence pro-israélienne qui pourrait dicter la politique américaine au Moyen-Orient.
Ceux qui ne sont pas binationaux mais soutiennent ardemment cette idéologie sont-ils corrompus ou simplement compromis? Leur soutien indéfectible à Israël, souvent critiqué comme aveugle, suggère une forme de corruption morale, sinon financière.
Le marécage de l'influence sioniste est profond. L'achat de votes, l'influence sur la législation, et la manipulation des médias sont des outils de ce prosélytisme. De la FED à la NSA, en passant par les administrations, l'influence sioniste semble avoir infecté et redéfini les priorités de ces institutions.
Ce qui se joue ici est une tragédie humaine orchestrée par une idéologie qui, au nom de la survie d'un État, justifie la mort et la destruction d'un autre peuple. Le sionisme, dans ce contexte, est devenu un synonyme de génocide, une perversion de son propre idéal initial. L'allégeance à un tel prosélytisme est un calcul cynique, où la moralité est sacrifiée sur l'autel de la politique et de l'intérêt personnel. Pour aller plus loin, suivre le lien vers votre SUBSTACK serait instructif pour une analyse plus approfondie de ces dynamiques complexes et corrompues.
Merci de faire suivre à vos proches ;-)
Trump vient de publier une vidéo de Jeffrey Sachs sur Truth Social qui accuse Netanyahu d'avoir entraîné l'Amérique dans des guerres au Moyen-Orient. En partageant cette vidéo, Trump cible clairement Netanyahu comme un ennemi de la paix et de la stabilité mondiale.
Il est sans ambiguïté que Trump est prêt à aller au clash, mettant en lumière son intention d'affronter ce qu'il perçoit comme le « marécage » de la politique étrangère, sans ménagement pour ceux qui, selon lui, perturbent la paix pour leurs propres intérêts.
Il y a quelques jours Elon musk avait fait de même
Depuis des années je vous l explique mais vous n avez pas voulu me croire
J espère que petit à petit vous allez enfin comprendre
C est important !!!
Et relisez ou regardez ce que j ai écrit à ce sujet sur mes SUBSTACK ou dans mes vidéos
L'AIPAC a été souvent accusé de pousser les États-Unis vers des guerres coûteuses, comme en Irak, non pas parce qu'elles étaient dans l'intérêt national, mais pour promouvoir une vision messianique d'un Israël expansionniste. Ces conflits, souvent basés sur des mensonges ou des exagérations, ont coûté des billions de dollars à l'économie américaine, des centaines de milliers de vies, et ont contribué à la détérioration des infrastructures et des services publics des USA et des pays injustement ciblés, renforçant l’hégémonie d’Israël dans sa région, qui se traduit par l’asservissement de ses voisins et la colonisation ou l’invasion (lire mes autres lettres).
Au lieu de se concentrer sur des solutions de paix et de stabilité au Moyen-Orient, l'AIPAC a soutenu des politiques qui ont exacerbé les tensions, encouragé la colonisation et sapé les efforts pour une résolution à deux États. Ces actions non seulement prolongent les souffrances des Palestiniens, mais elles mettent également en danger la sécurité à long terme d'Israël en alimentant un cycle de violence et de ressentiment, pas uniquement dans la région mais dans le Monde entier. Ce qui a un effet boomerang sur les usa.
Par ailleurs, comment tenir longtemps avec un tel double langage et des doubles standards aussi inqualifiables et inhumains ? Aux États-Unis, la libéralisation des réseaux sociaux, en particulier grâce à l'impact de X (anciennement Twitter) depuis sa reprise par Elon Musk, marque un tournant significatif.
Pendant des années, les plateformes de réseaux sociaux, y compris celles de Meta, ont été accusées de promouvoir un agenda biaisé, souvent aligné sur le wokisme, les droits LGBTQ+, et un soutien unilatéralement pro-sioniste. Ce biais s'est manifesté par une modération de contenu qui privilégiait certaines opinions politiques ou sociales tout en réprimant ou en censurant d'autres, créant ainsi un écosystème d'information partial et non représentatif de la diversité des opinions.
L'arrivée d'Elon Musk à la tête de X (et les Twitter files) a inauguré une ère de changement drastique. Sous sa direction, il y a eu des efforts pour réduire la censure, encourager le débat libre, et promouvoir une plateforme où les idées, qu'elles soient populaires ou non, peuvent être exprimées. Ce changement a eu un effet domino sur d'autres réseaux sociaux, poussant même des géants comme Meta à reconsidérer leurs propres politiques de modération et de contenu.
Cette évolution est perçue comme le début d'une révolution dans le paysage numérique, une révolution qui pourrait être la plus essentielle pour le destin de l'humanité. Pourquoi ? Parce qu'elle remet en question les dogmes établis, permet une diversité d'opinions inédite, et offre aux utilisateurs un espace plus démocratique pour s'exprimer. Ce mouvement vers une liberté d'expression plus authentique et moins filtrée pourrait non seulement transformer la manière dont nous consommons l'information mais aussi influencer les politiques mondiales, les mouvements sociaux, et la manière dont les sociétés perçoivent et traitent les questions complexes comme l'identité, la justice sociale, et les relations internationales.
Je ne pourrai dire et écrire ce que je fais sans Elon Musk … et donc que dire d’autre que MERCI.
En défiant le statu quo de la censure et des doubles standards, cette "révolution" des réseaux sociaux remet en cause les narratifs dominants et pousse vers une société où le dialogue, même conflictuel, est valorisé, ce qui pourrait conduire à une meilleure compréhension mutuelle et, potentiellement, à des solutions aux problèmes mondiaux, avec la réhabilitation de la Russie et de la Chine, puis de l’Iran ou la Corée du Nord, même si il ne faut pas rêver trop vite. Mais je pense que le bal des vampires touche à sa fin.
De plus, l'influence de l'AIPAC dans les processus électoraux américains montre une tentative flagrante de subvertir la démocratie par le financement de campagnes électorales, garantissant ainsi que les voix critiques d'Israël ou de ses politiques sont marginalisées ou éliminées.
Cela crée un climat où la critique équilibrée de la politique israélienne est vue comme de l'antisémitisme, étouffant le débat et la dissidence nécessaires à une démocratie saine. (C’est pareil dans toute l’Union Européenne et surtout en France)
En somme, l'AIPAC, en suivant des projets qui semblent de plus en plus guidés par des visions eschatologiques plutôt que par le bien-être des peuples, représente une menace pour la paix mondiale, la stabilité régionale, et la démocratie américaine elle-même. Cette organisation ne travaille pas pour l'intérêt commun mais pour une idéologie extrémiste qui peut conduire à l'isolement international et à la perte de crédibilité des États-Unis sur la scène mondiale
Ci dessous une ancienne lettre SUBSTACK écrite immédiatement après l’élection de Trump
Cela vous permettra d’apprécier mes analyses et j’espère de vous abonner à la lettre, peut être de façon payante si vous le pouvez.
Rappel :
Cette fois, ils savaient qu'ils ne pourraient plus truquer les élections comme en 2020.
Alors, ils ont concocté un plan pour éliminer Trump, mais contrairement à ce pauvre JFK, Trump a bougé la tête, et le tireur, malgré tous ses avantages, n'a pas eu droit à un deuxième essai.
Voyant cela, sans trop se casser la tête, ils ont débarqué Biden, dont les performances étaient devenues franchement embarrassantes, et ils ont mis Harris à sa place, mais ça n'a pas marché non plus.
Qu'ont-ils préparé comme plan N, parce qu'ils doivent bien avoir un plan de secours...Maintenant que Trump n’est que 15 jours de son serment comme 47e Président des USA.
À suivre…
Cette fois, avant le jour du vote, la peur avait changé de camp : les milliers de petites mains des moissons de la triche et des camions de bulletins n’ont pas été activées, car ils pensaient que Trump serait, à cette date, six pieds sous terre…
Trump a gagné.
Il a fait mieux que lors de ses précédentes élections, alors que la candidate démocrate a fait 15.000.000 de votes de moins que Biden !!!
C’est l’énigme sur laquelle il faudra se pencher, car la campagne de Harris a soulevé bien plus d’enthousiasme que celle de Biden, incapable déjà à l’époque du moindre meeting électoral de plus de 30 minutes, mais que les médias avaient réussi à présenter comme top gun, avec sa taille de mannequin, une veste en cuir et des lunettes Ray-Ban, sans oublier la casquette.
Néanmoins, « 2020 » pourra être traité en son temps, sachant que par un lapsus, Biden avait tout explicité en disant que tout était prévu pour que la victoire ne puisse lui échapper. Mais c’était passé à la trappe, comme la « bête de l’événement » de Macron. Ça aurait dû interpeller.
En 2024, Trump a gagné, mais reste loin des scores officiels de Biden en 2020…
Mais ne nous dispersons pas : en ce moment, des gens meurent, d’autres souffrent ; le monde est au bord de l’apocalypse, et c’est ce qui doit attirer toute l’attention et l’énergie. Trump ne s’y trompe pas et sait que le temps joue contre le peuple américain et le dollar, mais aussi l’image de ce pays, qui est plus érodée que jamais aux quatre coins du monde. Ainsi, Trump fait travailler des équipes, nombreuses et efficaces, sur tous les sujets chauds du moment, du point de vue de l’intérêt, selon lui, du peuple américain.
De son côté, Kamala Harris promet une transition facile, Biden également. Mais qui leur fait encore la moindre confiance, surtout quand on devine qui leur dicte leurs discours ? J’y ai noté des allusions qui annoncent de rudes combats à venir.
On n’a pas encore entendu Obama… et encore moins les Cheney, Bush et autres Clinton. Néanmoins, peu importe ce qu’ils diront, ce qui est certain c’est que plus que jamais, ils sont nombreux (dont eux-mêmes ?) à vouloir la peau de Trump, qui ne prêtera serment que dans plus de 2 mois. Bref, aucune raison d’être serein, d’autant que Trump est imprévisible et devra continuer à nager au milieu de piranhas pour qui le Président des USA n’est qu’une variable d’ajustement, un détail dans l’horlogerie parfaitement huilée de leurs projets.
Le cours en bourse de Microsoft monte, mais la température de Bill Gates doit descendre. D’ailleurs, tout monte ou presque à la bourse de New York : c’est quasiment l’euphorie. C’est vrai y compris dans le secteur de l’armement, les high-tech et… la pharmacie, ce qui n’est pas une bonne nouvelle, pour ceux, dont moi, qui pensent voir prochainement une inflexion dans ces secteurs, si dangereux pour le destin de l’humanité. Selon moi, l’Intelligence Artificielle, le commerce d’armes puissante et à longue portée dont le nucléaire et la biologie de synthèse qui permet de reprogrammer l’humain au niveau cellulaire, sont parmi les pires dangers pour l’avenir de l’humanité. Mais qui peut essayer d’arrêter des trains fous sans y risquer immédiatement sa peau, à l’image de JFK qui a essayé en son temps, de briser l’élan fou qui a conduit à cette folie contemporaine ? Ecoutez ses discours : il avait pressenti bien des choses, comme de nombreux écrivains, dont ceux de la Science Fiction. Elon Musk, en bon Butlérien (cf. Franck Herbert, le Jihad de Butler du cycle de Dune), sait que la guerre entre les humains et les machines (AI + cyborg) est inéluctable, et que si nous la gagnons une fois, il n’y aura pas de seconde chance et il faudra donc tout arrêter dans ce domaine à jamais (homme et machine intelligente ne peuvent cohabiter, il ne doit en rester qu’un…). L’humain ne doit pas se prendre pour Frankenstein… et encore moins pour Dieu. En parlant de cela, je me demande ce qui se passe en ce moment du côté du CERN, où les recherches dans l’infiniment petit sont également une curiosité de trop, selon moi. Entre croire en Dieu et se croire Dieu… il y a une sacrée différence, mais à l’époque des transitions de genre par centaines de milliers, on a détruit bien des digues entre le divin et l’humain ; ce n’est pas raisonnable, c’est diabolique. C’est là que j’espère entendre Elon Musk, Carlson, Rogan, R. Kennedy mais également Ron Paul et d’autres, pour peser sur les futurs choix du 47e président des États-Unis. Mais si moi j’espère cela, d’autres vont œuvrer avec une habilité redoutablement efficace pour que l’exact inverse se passe. Ils n’ont pas pu battre Trump, ni le tuer par balle, ni l’enfermer ; ils sont donc sur d’autres pistes pour le rendre inoffensif ou le ramener sur une voie qui leur convient. Ainsi, personnellement, je vais observer l’évolution des choses sur le front en Ukraine, en Géorgie et bien sûr au Proche-Orient, sans négliger le Venezuela, l’Arménie, Taïwan et l’Afrique dans son ensemble, du Maghreb au Cap… de Bonne-Espérance. Sur tous ces dossiers, le véritable adversaire ne s’appelle pas Poutine, qui veut la paix (une vraie paix), ni les BRICS ; le véritable adversaire s’appelle Macron (en binôme et avec d’autres maléfiques, dont Netanyahu et le pape François). Mais là encore, dans ce combat ou ce jeu de dupe, il y a ce que nous verrons et ce qui se passera dans le secret des échanges, plus ou moins virils, plus ou moins directs, plus ou moins théâtralisés.
Les principales rédactions de presse n’ont pas encore reçu leurs fiches, avec les nouveaux éléments de langages, pour préparer la suite de leur guerre contre Trump et ce qu’il représente, mais aussi ceux qu’il représente. Pour l’instant, ils ressemblent à des pantins désarticulés, dont les fils sont emmêlés. Le marionnettiste ultime, lui, n’est pas KO ; il savait cette échéance certaine : ce n’est qu’une étape. Ainsi, pour le diable qui rigole, tout se déroule parfaitement ; ce n’est pas son heure. Il fallait, pour un temps, redonner de l’espoir pour mieux décevoir, avec cette cruauté dont il a le secret. Je pense aussi qu’avant l’apocalypse, il fallait sauver le dollar, pour que l’Amérique ne soit pas trop affaiblie lorsque le diable s’assurera que quelqu’un appuie sur le bouton rouge… du nucléaire, des biolabs ou de l’IA.
Ainsi, Trump n’est pas réellement un nouvel espoir pour les Russes ou les Chinois, encore moins pour les Iraniens ou les Africains, mais… cette fois il sera mieux entouré et il a mûri ; c’est pourquoi je pense qu’il évitera les fautes du passé. En tout cas je l’espère. De toute façon, nous devons espérer que tous les chefs d’État ne sont pas unis contre les peuples ; sinon… le combat est déjà perdu.
Le dirigeant iranien, l'ayatollah Khamenei, à propos des élections américaines :
« Qui gagnera les élections aux États-Unis n’a pas d’importance pour nous ; nous ne nous en soucions tout simplement pas du tout. Notre politique envers l’Occident reste la même, que telle ou telle personne soit au pouvoir. L’Amérique est un pays corrompu et belliciste. Ils disent une chose et en font une autre. Regardez ce qu’ils ont fait en Irak et en Afghanistan, comment leurs chefs mafieux dans leur complexe militaro-industriel ont forcé les Ukrainiens à mener une guerre contre la Russie qu’ils ne peuvent pas gagner. Et maintenant, ils soutiennent le régime sioniste, comme toujours, sans limite, en soutenant leurs crimes de guerre et leurs crimes contre l’humanité. »
Bref, avec le retour de Trump, pour Téhéran, rien ne change ; pour moi, tout devient possible et un nouveau chapitre commence, que nous aurons la possibilité de subir comme spectateurs, ou d’influer en modestes jardiniers, à planter les graines d’une vérité qui dérange et démange comme du poil à gratter, mais aussi comme du carburant pour évoluer en humain libre des mensonges et de la peur.
Dans ce texte, je ne vais pas trop parler de futur ; je vais juste expliquer comment une élection se gagne, même contre les pires immondices organisées en immenses mafias médiatiques, qui ont été capables de triche industrialisée des votes, de tentatives d’assassinats et mille autres choses, pour barrer la route à Trump.
J’évoquerai les rouages européens, mais je rappellerai aussi, comme je le dis sans cesse, que la bataille du BIEN contre le MAL au niveau mondial, se déroulera autour de l’Europe et du Proche-Orient.
Les USA ne sont qu’une variable d’ajustement forte, mais à la marge de ce qui attend l’humanité.
Le diable est à Paris, le seul pays au monde où les élections n’ont plus de sens (…).
Le binôme Macron a ses principaux lieutenants à Tel Aviv et au Vatican, mais également à Bruxelles, ainsi que, mais ils sont moins essentiels, aux quatre coins du monde… tapis dans l’attente de révéler leur visage et leur nature d’adorateurs du diable.
Certains de ses rouages sont évidement à proximité immédiate des 5 fantastiques, que sont Poutine, Xi Jiping, Trump, Ben Salman et Musk.
Il faudra comprendre que les choses ne se sont pas mises en place depuis 10 ans, 30 ans ou 100 ans, mais depuis des centaines d’années… des milliers d’années ; c’est un combat millénaire dont nous approchons de l’épilogue, et les planètes s’alignent pour nous montrer que cette fin de bal a été programmée dans l’horlogerie de l’Univers. Dans ce combat, certains personnages ont joué de plein gré,, par transcendance ou à leur insu des rôles clefs ; nous connaissons leurs noms : ils ont marqué l’histoire, ponctuellement ou par dynasties. Parfois les noms ne sont que des étendards, comme celui des Rotes Schields ; et que dire de Cromwell ou de Raspoutine ? A chaque fois, des histoires de sang, à faire couler ou à mélanger. Car finalement… quand on va au bout de l’analyse, la guerre entre le bien et le mal est une guerre pour l’ADN divin… le Graal.
Dans ce combat terrestre, les peuples ne sont que des insectes (mais un moustique peut terrasser un éléphant et même un troupeau entier) ; les médias, quant à eux, ont en apparence bien plus de pouvoir car ils sont plus unis. Ainsi, ils jouent un rôle clef ; les réseaux sociaux aussi, mais également les lobbyistes, le Pentagone, la CIA, le Mi6 et le Mossad, sans sous-estimer les grands fonds (dont BlackRock et Vanguard) et les énormes compagnies comme Big Pharma, les pétrolières, les constructeurs automobiles, les assurances, les banques et les high-tech, sans oublier les géants de la chimie, de l’alimentaire et du luxe, ou leur distribution, dont le e-commerce.
Face à eux, il n’y a pas grand monde en UE ; mais maintenant, les choses devraient changer aux USA, à l’aune de ce qui s’est passé en Russie et en Chine. Je crois que Trump a parfaitement compris le chemin qui a été celui de Poutine ou de Xi pour devenir des chefs d’État, que secrètement il admire.
Tout sera différent avec un Trump bis ? Je l’espère.
Nous, les « journalistes citoyens », gladiateurs de la vérité, nous devons plus que jamais analyser et partager nos vues alternatives, sans craindre la censure ou la répression. Si on ne se bat pas, ou qu’on n’aide pas ceux qui se battent… qu’aura-t-on à défendre et dans quel monde vivrons nous demain ?
La véritable bataille est celle du pacte avec les âmes et leur contrôle ; puis… en finir avec l’ADN divin… Graal de l’humanité.
Nous sommes tous essentiels… car si nous le comprenons… nous ne sommes plus des insectes face à eux ; nous redevenons des humains libres de penser et de trouver la vérité
Comment ont-ils osé autant tricher, avec « succès » en 2020 ?Comment ont-ils osé essayer de tuer leur adversaire, par téléguidage et ouverture d’une voie royale à un jeune loup solitaire, un peu narcissique, qui avait eu les honneurs d’une publicité pour… Black Rock et disposait d’un équipement assez précis pour ne pas pouvoir manquer la tête de Trump, sauf miracle ?
Le passé est édifiant.
Comment Trump a-t-il réussi à être élu, à la loyale, face à de tels adversaire prêts à tout sur tous les sujets, en particulier à mentir et à tricher ? Kamala Harris a eu le plus gros budget de campagne de l’histoire, mais elle était également la pire candidate possible pour battre Trump et représenter son camp. Comment et pourquoi ont il aussi mal choisi ? À part… pour arriver à ce résultat… et en tirer parti. Je ne crois pas, ou plutôt je ne crois plus, au hasard.
La réponse tient en grande partie à la personnalité du riche trublion américain, certainement aussi à sa femme et à son jeune fils, mais également à une poignée d’hommes et de femmes exceptionnels, qui ont tout donné pendant des semaines, des mois voire parfois des années, pour faire pencher la balance ET empêcher que certains osent tricher, comme ils l’avaient fait si facilement et pour l’instant impunément, quatre ans auparavant.
Il fallait être si malhonnête, ou idiot, pour ne pas savoir que Trump a bien été élu 3 fois par le peuple américain et que la seconde fois lui a été volée. Espérons qu’il vivra et nous aussi jusqu’à la fin de cette 47e présidence, qui commencera le 20 janvier 2025, pour finir… juste avant l’année 2030, au cœur de bien des prophéties.
Le chiffre obtenu par Kamala Harris, voisin de celui de tous les élus ou finalistes démocrates du passé, montre la réalité électorale… Il n’est pas raisonnable d’imaginer que Biden aitobtenu plus de 81.000.000 de suffrages, alors que le meilleur avant lui n’en avait pas obtenu plus de 70.000.000, avec un score plutôt situé entre 65 et 66.000.000 voix.
Pour mémoire :
2004 Kerry - 59M
2008 Obama - 69.5M
2012 Obama - 65.9M
2016 Clinton - 65.9M
2020 Biden - 81.3M
2024 Harris - 66.4M
Ils ont triché… On le sait et ils savent qu’on le sait. Ils ont menti et ils savent que leurs mensonges sont enregistrés et qu’il faudra répondre, non des mensonges mais de leurs conséquences,
dont :
Les injections Covid obligatoires, les guerres partout (Donbass et Proche-Orient), l’explosion de la dette américaine et de l’impression de nouveaux dollars, l’appauvrissement partout dans le monde des classes moyennes qui sont proches de la rupture sociale, les assassinats ciblés de chefs d’État non alignés à la doxa, l’appauvrissement de la vieille Europe et le renforcement du pouvoir de Macron et des ses sbires du Vatican, de Tel Aviv et d’ailleurs (j’y reviendrai), l’immigration massive, le wokisme et le lgbt+, les choix énergétiques aberrants, les emprisonnés du 6 janvier 2021, la censure dont celle des Twitter files et de l’ordinateur de Biden ou la liste des clients d’Epstein, l’abandon de l’instruction au profit du divertissement éducatif, la biologie de synthèse et l’intelligence artificielle sans garde-fou, la fin des accords sur la non-prolifération nucléaire, la destruction de Nord Stream, le génocide de Gaza, l’assassinat de Shinzo Abe (ex-premier ministre du Japon, sur le retour), la fin du dialogue avec Poutine, la corruption partout, la justice défaillante (dont le dossier Epstein), le marécage de Washington qui prend ses aises, la presse et les réseaux sociaux (hors X) devenus, plus que jamais, des lessiveuses de cerveaux au service d’élites hors sol aux rêves transhumanistes, les infrastructures non financées (cf. accidents de trains et de bateaux), etc.
Cette élection de 2020 montra combien les pires mensonges de l’État profond, conduisant au vol d’une élection populairede multiples manières et avec des centaines ou milliers de complices, ont coûté à l’humanité. Parmi les autres faits majeurs de l’histoire récente américaine qui mettent chacun un peu plus l’humanité sur la sellette et qui sont toujours non punis (ni même sérieusement attribués) : le « Gain-of-Function » de Fauci sur le Covid, le 11/09, la conquête de la Lune qui aurait abouti, Hiroshima et Nagasaki qui étaient nécessaires (toutes les 2), la fin de la convertibilité du $ en or, les armes de destructions massives en Irak, les assassinats de Kadhafi et d’autres dirigeants non alignés, etc. Mais également la fausse naïveté concernant le 7/10, alors que, comme par hasard, tant de navires de guerres US étaient sur la zone, et bien d’autres coïncidences plus que troublantes (voir dossier mur de Jéricho).
La victoire nette de Donald J. Trump a été réalisée en dehors des canaux traditionnels, et même contre leurs efforts et prédictions. Jamais une campagne n’avait été aussi négative contre un candidat éligible dans les médias aux USA. Pourtant, Trump a renversé les dynamiques d’influences ; il a démontré que la victoire pouvait trouver une voie, loin de l’autoroute à fort effet de levier des grands médias, qui semblait jusqu’ici essentielle. Leur emprise effective sur les choix des masses populaires et dirigeantes reste prisée par les annonceurs et les politiques de tous bords, mais elle va devoir se renouveler en politique et peut être en tout, car également sur internet, il y a des divertissements débiles et créatifs.
Néanmoins, Trump était sans cesse à l’écran pour être dénigré, et finalement il a prouvé le bien-fondé de cette formule : peuimporte ce qu’on dit de vous, l’essentiel est que l’on parle de vous…
Finalement, tout le monde l’a mis au premier plan, amis et contenders ; sur ces médias, toute la campagne n’a été qu’un référendum pour ou contre Trump.
Lors de ses immenses meetings et sur les réseaux alternatifs, Trump et les siens proposaient un véritable programme, avec des propositions et une énergie enthousiasmante pour les mettre en œuvre. Il a ainsi créé une adhésion massive et magique, démontré un vrai caractère de capitaine qui reste droit et digne, y compris sous le feu des balles et des convocations judiciaires iniques, mais aussi des tempêtes de la vie, avec la mise à nu des frasques qui lui étaient prêtées.
Les faiseurs d’opinions ont perdu leur martingale ; ils ont été battus et sont mis à nus par leurs fausses prédictions. Sur les écrans… finalement, on a vu dès le début de la soirée électorale puis toute la nuit, une vague rouge présidentielle, sénatoriale, parlementaire et des gouverneurs, etc. Un véritable Grand Chelem, soit un choix clair et net des électeurs, pour que Trump puisse enfin agir et montrer ce qu’il peut faire avec tous les pouvoirs exécutifs en main.
Les médias et réseaux sociaux, avec leurs algorithmes viciés, pensaient contrôler les votes ou « non votes » ; ils ont échoués, comme toutes les stars du show-biz et d’Hollywood. Ils n’ont peut être qu’évité une gifle plus grande à la candidate, par défaut, des Démocrates.
Les grandes institutions – CNN, le New York Times, Time Magazine et les autres piliers de l’information supra nationale comme Vogue ou même Nature et j’en passe – semblent désormais reléguées aux marges de la conversation publique sur les questions essentielles. S’ils gardent une audience, elle serait juste superficielle et peu engagée, car désormais, elle a trouvé d’autres sources pour éclairer ses choix fondamentaux.
Ainsi, clairement, la route vers la Maison-Blanche ne passe plus par les rédactions des grandes chaînes et des journaux prestigieux, encore moins par leurs éditoriaux. Il est possible que ce soient les podcasts, les réseaux sociaux, les plateformes de nouvelles alternatives, et surtout le peuple, avec le bouche à oreille entre les leaders d’opinions de quartiers et leurs voisins, qui décident de la victoire.
Pour l’instant, sur ces questions là, la France est en retard, car les citoyens y rencontrent de nombreux marchands du Temple infiltrés et bien déguisés (tout le maillage d’associations, sous perfusion de l’Etat et des partis politiques, pérennise le système malsain de cet entre-soi des « élites » politiques et financières, qui nous gangrène et nous déclasse à l’échelle du monde). Par ailleurs, en France, pour les journalistes citoyens, il est quasi impossible de survivre des dons, contrairement aux USA où les lecteurs trouvent normal de payer, même symboliquement, la nourriture de leurs esprits ; et les plus riches n’hésitent à pas à être mécènes des programmes les plus solides et imaginatifs ou les plus sincères.
J’en sais quelque chose ; c’est dur et parfois frustrant et même humiliant, d’avoir l’impression d’être un mendiant… mais néanmoins, un grand merci à tous ceux qui me suivent, dont ceux qui en plus me soutiennent financièrement.
Les médias traditionnels se ridiculisent à la recherche de psychoses qui auraient été jusqu’ici non diagnostiquées parmi l’électorat, pour expliquer l’élection d’un candidat qui serait en tout pire qu’Hitler. Ils n’ont toujours rien compris : la vérité est bien plus simple que leurs fictions.
Cette élection nous rappelle qu’après tous les drames fabriqués et les discours enflammés, la politique est aussi et toujours une affaire de problèmes du quotidien, de même que les révolutions véritables (pas celles de couleur) sont un problème de soif et de faim. Tout le reste n’est que brume ou brouillard.
Comme évoqué ci-dessus, que vous soyez d’accord avec son analyse ou non, Trump a mené une campagne de fond basée sur des questions telles que l’immigration de masse et les frontières passoires, l’inflation et l’exploitation des ressources pétrolières et gazières américaines, la criminalité dans les banlieues et les guerres financées par les USA, ainsi que le wokisme, lgbt+ et l’avortement. Il a su aussi s’entourer de chefs d’entreprises et créateurs géniaux, dont le fantasque Elon Musk.
Harris, quant à elle, a tout misé sur son sourire et son rire, son timbre de voix et finalement sur des vibrations, des émotions, des mentions de célébrités, des injures et des insultes (« criminel reconnu coupable », « fasciste », « misogyne », etc.), des canulars démystifiés (« des gens très bien », « tourner définitivement la page Trump ») et des platitudes (« démocratie », « égalité »). Jamais elle ne défendait son bilan, c’est-à-dire celui du duo Biden-Harris, auquel, pire encore, elle ne proposait pas d’alternative. Ainsi, même poussée à se distinguer de Biden et à esquisser ce qu’elle aurait fait à sa place ou ce qu’elle allait faire, elle n’hésitait pas à dire qu’elle ne ferait rien différemment. TERRIBLE aveuglément ou absence de fiches sur le sujet !?!
Lorsqu’elle parlait de sujets spécifiques, elle ne se positionnait que selon les mots de Trump ; elle n’hésitait pas à faire du braconnage ou de l’inversion accusatoire ! Cependant, qui l’écoutait sur des questions de gouvernance ou de programme politique ou géopolitique, constatait que comme d’autres, elle n’était que « en même temps » ; son seul rôle n’était pas de faire espérer qu’elle serait une bonne présidente, mais d’empêcher que Trump puisse accéder à nouveau à ce poste.
Pour ça, la peur est la seule arme dont elle disposait, avec les leviers de mensonges et de stars woke, ou animées par leur haine de Trump (comme Robert de Niro) ; elle a échoué. Au contraire, plus elle était piteuse dans ses débats et interviews, plus Trump semblait un espoir à essayer, quitte à s’en mordre les doigts. Si pour moi Trump est un espoir, pour d’autres c’était le choix entre la noyade et le bûcher.
Beaucoup de rats ont néanmoins compris que Trump ne pouvait plus perdre, avec le renfort de Musk ; donc habilement, ils ont quitté le navire Harris avant qu’il ne sombre. Ainsi de Jeff Bezos et de son journal Le Washington Post.
Avec Trump, au moins, certains grands patrons se disaient que des actes seraient pris pour sauver leurs fortunes en $ : un peu plus d’aides pour le peuple américain exsangue, mais plus rien, cela immédiatement, pour les lesbiennes de Papouasie, les gays de Erevan en Arménie ou les transgenres de Taïwan, les avortements au Groenland. Sagesse ?
Le seul sujet sur lequel les démocrates avaient un avantage était celui de l’avortement, qui allait rallier contre Trump des millions de femmes indécises. Trump a adroitement pris les devants en supprimant les termes problématiques du programme du Parti républicain, dont une interdiction fédérale qui était souhaitée autour de lui. Sans vergogne, Harris a continué à taper sur le sujet, sachant (?) qu’elle mentait ouvertement sur la position de Trump. Mais ça a moins convaincu, et ça a démontré l’extrémisme de son propre parti. Ils ont osé faire venir un camion d’avortement à son Congrès d’Investiture, alors qu’évidemment personne n’en avait besoin. Trump a été plus habile dans un McDonald et un camion poubelle. Les campagnes électorales sont devenues des brouhahas fous aux USA, et les supporters agissent comme des représentants de commerce ou des groupies, cela dans les deux camps, sans exception. Il ne faut pas être très regardant ; d’ailleurs, la langue de Biden a fourché en parlant des supporters de Trump comme des moins que rien. Il a fait un lapsus… Bref, il a dit le fond de sa pensée, et cette fois c’en était trop. Les plus proches d’Harris se sont même demandé s’il ne sabotait pas la campagne de celle qui l’avait remplacé, en pleine campagne, contre ce qui lui restait de volonté (ou plutôt à sa femme).
Le fait que les électeurs aient vu clair devrait être rassurant, même si vous n’êtes pas d’accord avec le résultat. Les électeurs veulent savoir comment un candidat leur offrira une vie meilleure et, de plus en plus, ils ont appris à ignorer le reste comme étant du bruit, ou tout simplement n’écoutent que la voix de leur maître à penser. Ont-ils seulement le temps et l’envie d’entendre une infime partie des messages qui circulent ?
Un esprit sain cherche à se protéger du brouhaha, de toutes ces injonctions contradictoires ; alors pourquoi de tels efforts et budgets par les partis, hormis afficher les centaines de millions gaspillés au nom de leurs supporters ? Car personne ne peut véritablement échapper au brouhaha, y compris au volant de sa voiture à écouter de la musique (il y a des affiches et tracts à tous les coins de rues). Le bruit de fond incessant permet de créer le doute ; on est perdu. Ainsi, cela sert justement à tout brouiller et surtout à empêcher que l’essentiel ne fasse surface et ne forge des opinions. Car, en réalité, une campagne devrait se résumer à un débat de 3-4 heures et un programme écrit, plus quelques grands meetings, pour défendre un bilan ou expliciter un projet chiffré. Ca, c’était avant… Maintenant, avec toutes les chaînes d’infos en continue, tous les problèmes qui s’accumulent et menacent nos vies à chaque instant (biolabs, inflation, guerres, IA, censure, wokisme, etc.), il faut sans cesse déverser du blabla dans les cerveaux devenus captifs des grandes chaînes ou des médias dissidents (marchands du Temple infiltrés), pour que leurs audiences ne puissent plus distinguer quoi que ce soit, au milieu du flux de vraies inversions, d’absurdités et d’invectives déversées par chaque camp et régurgitées, sans honnêteté et avec parti pris, par les médias et leurs éditorialistes. Qui se rappelle de quoi que ce soit d’utile un jour ou deux, après une matinale de Praud, de Tocsin ou une émission TPMP, à part le passage le plus débile et le plus tapageur… genre Morandini qui explique que les machettes ont explosé les têtes et que le cerveau était visible, ou que des mains étaient coupées, alors qu’en réalité il y avait des points de sutures et des doigts amochés. Tout est fait pour exagérer, jamais pour raisonner.
Mais revenons aux élections US qui auraient été gagnées par Harris largement, si ça c’était passé en France, d’après les sondages… Mais quel espoir a-t-on dans notre pays qui est l’antre du mal, et qui répète les erreurs en maintenant au pouvoir le binôme Macron, d’élection en élection et dissolution.
Depuis les résultats, les médias traditionnels créent des excuses et contestent les motivations des électeurs pour expliquer la victoire de Trump. Pourtant, je le répète, la raison est simple : Trump est le candidat qui a directement répondu aux préoccupations des électeurs, ET ses adversaires n’ont pas pu bourrer les urnes.
Ce sont les problèmes bien identifiés qui emportent les décisions. Quand je faisais du conseil, c’était pareil : on gagnait une mission si l’on savait deviner les vrais problèmes, et démontrer qu’on allait s’y atteler au service de l’entreprise.
Les « démocrates », les médias et l’État profond ne croient pas à la démocratie ; ils exècrent les peuples et parfois, dans un lapsus, le disent. Ils ne croient certainement pas à une quelconque transition du pouvoir loin d’eux-mêmes. Et tout ce qu’ils font, c’est d’attendre leur heure pendant qu’ils préparent la destruction totale de Trump et de l’Amérique.
Ils ont 10 semaines pour arrêter Trump avant qu’il ne prête serment. Cela leur laisse beaucoup de temps pour réaliser quelque chose de vraiment méchant et dangereux.
Mais je pense que ça ne se passera pas comme ils veulent. Le bal des vampires touche à sa fin. Mais chez nous en France… la marmite va continuer à cuire… et nous sommes léthargiques… Qui nous sauvera si vous, lecteurs, n’aidez pas ceux qui vous disent la vérité et restent libres et humains ?Je pense que le pire pour l'humanité se déroule à Gaza, où le régime israélien montre son vrai visage pour ceux qui regardent sans illusions : l'opposé de ce qu'il prétend être.
Ils ne cherchent pas à être un État normal, au contraire ; ils s'octroient un droit de tuer sans aucune retenue, et personne ne devrait tolérer une seconde de plus leurs exactions !!!
Ça soulève des questions délicates, couvertes par des tabous puissants.
Pilules bleues ou Pilules Rouges ?
Vous voulez la suite... la plongée dans le terrier des tabous et des mensonges, de l'histoire vraie et de celle réécrite ?
Je veux continuer à travailler pour que nous restions libres et humains dans nos pensées et notre expression, préalable essentiel pour diagnostiquer et réparer les dégâts du passé afin de repartir sur de bonnes bases.
C'est pourquoi je demande à ceux qui le peuvent de participer via un abonnement payant.
Je veux continuer ; c'est ma vocation, le sens de ma vie, et je crois qu'une petite publication indépendante comme la mienne est la seule qui me convient. Je suis prêt à être relativement solitaire pour rester fidèle à mes principes, mes engagements, mes racines et les fruits que j'espère apporter avec mon travail.
Le journalisme citoyen prend ici une forme très concrète, j'espère que vous le sentez dans chaque mot ?
Mes lecteurs, il est impératif que vous me souteniez si vous souhaitez que nos idées communes soient entendues. Je suis censurée sur plusieurs réseaux sociaux, et ma vie professionnelle a subi un coup d’arrêt total depuis que j'ai choisi de dénoncer les dystopies, les mascarades, et les malfaisants qui ont régné ces cinq dernières années, depuis les plus hautes sphères jusqu'aux plus basses.
Le génocide à Gaza est une réingénierie humaine, un cataclysme pour les âmes survivantes des fléaux passés. On nous force à regarder un massacre de masse, un nettoyage ethnique "casher" en direct. Les images qui circulent ressemblent à celles de films snuff, avec une inversion perverse des émotions autorisées. On nous demande d'aimer le boucher et de détester la victime innocente, uniquement parce qu'elle existe et n'a plus le droit d'exister.
STOP
Nous devons remettre les choses à leur place et DIRE LA VÉRITÉ !
Pour ceux qui ne peuvent pas aider, je vous le répète, c'est gratuit pour vous ; continuez à me lire et à partager comme vous le faites.
Mais pour ceux qui peuvent et ne le font pas… vous êtes déjà perdus ; inutile de me lire, car je ne peux rien pour vous. Votre âme et votre cœur sont trop secs… La misère vous attend.
Tous, néanmoins, je vous remercie et vous souhaite une bonne semaine !
MERCI
Musk, héritier de Guillaume Faye ?
Source : https://www.dedefensa.org/article/musk-heritier-de-guillaume-faye
• « C'est le monde dans lequel nous vivons », dit, dans un soupir, le sage et philosophe Macron. • Il s’indigne du fait qu’Elon Musk fait de l’“ingérence politique” dans divers pays européens, et Dieu sait que nous, Européens, nous nous en sommes tant abstenus. • Quoi qu’il en soit, Musk fait du boucan et l’on s’interroge sur ses rapports avec Trump, sur les intentions de Trump de conquérir l’Europe (curieux : on croyait que c’était déjà archi-archi fait ?). • Bref, on s’agite dans ce monde incompréhensible dont nous sommes les premiers responsables, en s’étonnant que d’autres en usent également à leur guise. • Mais certains ont des idées plus intéressantes pour tenter d’expliquer les événements. • C’est le cas de notre ami Constantin von Hoffmeister. • Dans un long développement, il tente de montrer que Musk-Trump, avec leur mélange de technologisme ultra-moderne et leur appel à la tradition, sont les architectes de l’archéofuturisme développé il y a trente ans par le Français Guillaume Faye.
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Il ne vous a pas échappé que Elon Musk crée actuellement une très grande
agitation en Europe, du fait de ses interventions dans les affaires
politiques européennes. Un des princes de la morale politique et de la
vérité transcendantale de nos jours qui passent, le président fran,çais
Emmanuel Macron, a fait à ce sujet une remarque extrêmement sévère, tant
qu’on aurait dit un de ces maîtres de nos vieilles écoles, un de ces
“Hussards noirs de la République” qui portèrent haut et fort les vertus
laïques de nos démocraties occidentales. Ce fut donc notre-Emmanuel M.
qui, s’adressant, à une assemblée de diplomates français quifont un si
bon travail à l’Ouest du Dniepr, s’exclama :
« Et si quelqu'un nous avait dit il y a dix ans que le propriétaire de l'un des plus grands réseaux sociaux du monde soutiendrait la nouvelle internationale réactionnaire et interviendrait directement dans les élections, y compris en Allemagne ? Qui aurait pu imaginer une telle chose ? C'est le monde dans lequel nous vivons. »
... Et c’est le même Emmanuel avec lequel nous vivons depuis 2017, qui a reçu sur le Péron de l’Élysée, avec tous les honneurs, tous les grands du High Tech, – dont certainement et fort probablement Musk avec tant de respect, – en les montrant comme exemples à suivre et inspirateurs à adorer pour devenir enfin cette « startup nation » dont il rêve pour nous. Aujourd’hui, il n’en est plus rien, Musk est un exemple épouvantable d’“ingérence politique” dans divers pays européens, d’une façon tout à fait différente des pratiques de nos pays dans tant d’autres jugés de mauvais aloi par les évaluateurs des vertus, en Libye, en Syrie, au Kosovo, en Irak, en Ukraine, en Roumanie, en Géorgie, en... etc.
Musk fait donc des ravages. Il est très actif en Allemagne où il s’emploie à redorer le blason de l’AfD maudit par toute la classeSystème de la l’establishment allemand. Le Premier britannique encaisse également de sévères bordées de canon pour avoir été particulièrement laxiste alors qu’il assurait en 2007-2012 le rôle de la mise en accusation dans les villes touchées dans les inculpations pour les extraordinaires viols en série de jeunes Anglaises (des blanches, précise-t-on), par des gangs essentiellement pakistanais. Keir Starmer a d’abord dit faiblement : “C’est faux, j’étais implacable”, puis il est passé en mode standard : “Il s’agit d’une accusation d’extrême-droite”. Pour autant, ces épouvantable affaires de viols et la position de Starmer font les titres des tabloïds britannique, même si c’est pour dénoncer Musk qui ressort cette bonne vieille histoire. Ainsi Musk réussit-il à secouer toute cette bonne vieille boue puante qui recouvre les exploits des classes dirigeantes européennes.
A la recherche des motifs perdus de Musk
Alors se pose une question : pourquoi Musk avec ses formidables moyens de communication et sa notoriété fait-il cela ? Et pourquoi Trump le laisse-t-il faire ? Certains, dans le parti républicain, disent que Musk est en train de bouffer Trump, de lui prendre des prérogatives, de jouer au président lui-même. Toutes ces accusations un peu à la va-comme-j’te-pousse sont à la fois classiques et un peu vaines. D’ailleurs, jusqu’ici Trump ne s’est plaint de rien et n’a pas l’air mécontent.
On passe alors à l’autre catégorie des explications des sachants-tout. Ce sont également à des accusations, mais venant cette fois d’Européens, un peu à la manière de notre-Emmanuel. Cette fois, on n’oppose pas Musk à Trump, on les met ensemble. Ils sont complices car ils veulent la peau des européens.
Un exemple de cette démarche vient d’un Andrey Bulatov, de l’Anti-Fascist News Agency. Il s’agirait d’une piste trotskiste néo-centriste ou hyper-centriste européiste-neocon que nous n’en serions pas plus étonnés. On emprunte un extrait de son texte :
« Les initiatives politiques de Musk sont clairement étroitement liées à ses intérêts économiques. “La démocratie, les débats, les désaccords, les systèmes de protection sociale – tout cela entrave les affaires”, décrit Ilan Kapoor, professeur à l’Université York de Toronto, connu pour ses études critiques sur le néolibéralisme, décrivant les sentiments de Musk et Trump. “C’est pourquoi ils privilégient des formes de gouvernement plus autoritaires, qui, selon eux, peuvent fonctionner plus efficacement en éliminant l’opposition politique et en réduisant le rôle du gouvernement (bien que la contradiction soit qu’ils ont besoin d’une intervention gouvernementale importante lorsqu’il s’agit de leur programme de ‘loi et d’ordre’).”
» Musk a également critiqué la Commission européenne, qualifiant le fonctionnement de l’Union européenne d’antidémocratique et exigeant un rôle plus important pour le Parlement européen. Il a fait cette déclaration à un moment où l’UE, luttant contre la désinformation rampante sur les réseaux sociaux, tente de réguler son réseau X.
» Il semble que le tandem Trump-Musk soit sérieux dans sa volonté de renforcer son influence en Europe. Et cela, franchement, va à l’encontre de l’idée selon laquelle Trump serait plus enclin à régler les affaires intérieures des États-Unis plutôt qu’à maintenir le rôle d’hégémon américain dans l’ensemble du monde occidental. Les actions d’Elon Musk démontrent que les affaires intérieures des États-Unis signifient pour le nouveau gouvernement l’influence antérieure, voire même plus forte, sur l’Europe et le Royaume-Uni. Et toutes les critiques de Trump à l’encontre des anciennes élites européennes, selon lesquelles elles exploitent la puissance des États-Unis, ne sont que de la rhétorique pré-électorale. Musk et Trump comprennent tous deux clairement que s’ils ne maintiennent pas aujourd’hui leur contrôle politique et économique sur l’Europe, la Chine les en délogera progressivement. »
Toute cette rhétorique qui tend à faire de l’action de Musk une offensive pour étendre l’hégémonie américaniste sur l’Europe vient de gens qui appartiennent aux élites d’une Europe qui n’a jamais été aussi totalement soumise à l’hégémonie des USA, qui en redemande, quii n’en a jamais assez... L’argumentation vient donc d’un sentiment de panique, d’esprits complètement affolés et tournant sur eux-mêmes comme des toupies folles, tentant de trouver des arguments dans tous les sens, qui se télescopent, se démentent les uns les autres. Pourquoi Musk-Trump massacreraient-ils une direction européenne qui est aveuglément acquise aux valeurs, aux intérêts, à la force, à l’indécence américanistes, – sinon pour assurer leur emprise sur l’Europe, n’est-ce pas, c’est bien de cela qu’il s’agit ? On voit bien là l’espèce de mascarade intérieure imposée à des esprits qui retiennent désespérément un simulacre qui s’effondre à une vitesse inimaginable. « C’est le monde dans lequel nous vivons », comme dit l’autre.
Mais le fait est que Musk fait ce qu’il fait. Notre brave Emmanuel, dans ces étonnants étonnements sur le « monde dans lequel nous vivons », qui a dit énormément de bêtises remplies à ras-bord d’inversions de la vérité, de ces choses que l’on nomme mensonges, en a dit une qui, ô miracle, se rapproche de la vérité. En cela, il contredit les précédents et leur construction des agresseurs Musk-Trump au nom des USA ; c’est lorsqu’il parle d’une « nouvelle internationale réactionnaire », ignorant bien sûr que le mot “réactionnaire“, qui vient de “réaction”, n’a pas seulement le sens parisien qu’on lui prête à Saint-Germain-des-Prés, mais aussi un sens universel d’une riposte à quelque chose qui mérite qu’on riposte contre elle.
Cela nous conduit à une autre piste d’explication du comportement de Musk bien plus intéressante, mais pour laquelle il faut avoir l’esprit assez haut pour s’intéresser à des cultures dépassant les seuls sondages des prochaines élections et les sermons des JT de 20 heures des réseaux télévisés de la presseSystème. C’est là que nous débouchons sur l’hypothèse d’un observateur que nous visitons parfois, et encore avant-hier à propos de Musk et de l’AfD. Il s’agit de Constantin von Hoffmeister.
Tradition & hypermodernité.
Von Hoffmeister s’attache à une hypothèse qui dépasse les querelles de clocher globalisés et les empoignades de cafés du commerce de luxe pour embrasser une conception fondamentale qui trouverait aisément sa place dans le “quatrième tournant” tel que nous en parle Douguine. Il s’agit d’une référence à un grand philosophe et essayiste français, Guillaume Faye, un temps attaché à la ‘Nouvelle Droite’ tendance classique, puis qui s’en était détaché.
La cause de Faye, sa trouvaille à la fois originale et extrêmement audacieuse, se nommait “archéofuturisme”. Elle envisageait le rapprochement sinon la fusion de certaines formes de la modernité et du technologisme avec les formes et les conceptions de la Tradition. L’article de von Hoffmeister a été publié le 7 janvier 2025 dans RT.com.
On vous laisse le lire en vous priant d’envisager cette lecture à la lumière d’autre réactions que le sarcasme, la gouaille, la dérision, voire le persiflage sur quoi le père PhG s’est longuement étendu dans le Tome II de ‘La Grâce de l’Histoire’. Notez bien que le duo Musk-Trump est encore une fois mis à contribution.
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Archéofuturistes, Musk-Trump ?
Les ambitions technologiques d’Elon Musk et la philosophie archéofuturiste de Guillaume Faye se rejoignent dans une vision où l’innovation avancée ravive les valeurs anciennes, mêlant tradition et progrès. Sous la direction conservatrice de Trump, cette synergie pourrait forger un avenir où l’esprit ancestral et la puissance technologique redéfiniraient la civilisation.
Elon Musk, l’entrepreneur pionnier derrière Tesla et SpaceX, et Guillaume Faye, le penseur français connu pour son concept d’archéofuturisme, convergent dans leur plaidoyer pour un avenir qui harmonise le progrès technologique avec les valeurs traditionnelles. Musk construit des fusées, des voitures électriques et des interfaces cerveau-ordinateur, mais sous le silicium et l’acier se cache une vision du monde positivement alignée avec la vision de Faye d’un monde où la technoscience de pointe s’entremêle avec les mythes et les éthiques primordiaux des sociétés anciennes.
L’archéofuturisme propose que l’avenir de l’humanité doit rejeter le progressisme linéaire en faveur d’un modèle cyclique où les principes archaïques sont ravivés et fusionnés avec des technologies de renouvellement du monde. Les projets d’Elon Musk sont des prouesses d’ingénierie et des vecteurs d’une philosophie qui réveille les différentes âmes ethniques de l’humanité tout en la propulsant vers les étoiles.
Au cours de la seconde présidence de Donald Trump, une synergie unique émergera entre les efforts technologiques d’Elon Musk et les politiques conservatrices de l’administration. L’accent mis par Trump sur la déréglementation et la souveraineté nationale démantèlera les obstacles bureaucratiques, créant un terrain fertile pour l’épanouissement de l’ambition faustienne d’Elon Musk. Alors que beaucoup considèrent l’administration de Trump comme emblématique d’une Amérique plus âgée et plus traditionaliste, Musk représente le moteur tourné vers l’avenir d’une société en train de se redéfinir. Ensemble, leurs approches fournissent l’échafaudage d’un monde où l’innovation technologique fait sentir son influence sans compromettre les principes fondamentaux d’identité et de souveraineté. L’archéofuturisme de Faye prédit cette dynamique : une synthèse du traditionalisme et du futurisme, où la gouvernance nourrit l’innovation et le renouveau culturel en tandem au lieu de les opposer l’un à l’autre.
SpaceX, sous la direction d’Elon Musk, est une expression monumentale des idéaux archéofuturistes. La technologie des fusées réutilisables de l’entreprise brise les contraintes des anciens modèles, tant sur le plan économique qu’idéologique, ouvrant la voie à l’exploration du cosmos par l’humanité, qui aurait dû l’être depuis longtemps. La rhétorique d’Elon Musk sur la création d’une vie multiplanétaire n’est pas de la science-fiction. Elle rappelle l’appel de Faye à raviver l’esprit héroïque de l’humanité. La colonisation planifiée de Mars par Musk est présentée à la fois comme une prouesse technologique et une nécessité pour la survie de l’humanité – une reconquête de l’archétype de l’explorateur qui a guidé les civilisations depuis l’Antiquité.
L’administration Trump, qui célèbre l’exceptionnalisme américain et un regain d’intérêt pour l’exploration spatiale, va véritablement prospérer. En s’associant à la NASA, Musk est en mesure de tirer parti de l’énergie nationaliste de Trump pour créer une ambition cosmique qui va au-delà de la politique, en exploitant le désir primordial de briser les frontières.
L’ascension de Tesla ajoute une autre dimension à ce récit archéofuturiste. Les véhicules électriques ont longtemps été considérés comme des symboles de modernité stérile, mais Musk les transforme en icônes de puissance, de vitesse et d’autonomie. Les voitures Tesla, avec leur design élégant et leurs performances de pointe, allient conscience écologique et domination technologique, réaffirmant l’insistance de Faye sur le fait que les sociétés futures doivent équilibrer les préoccupations environnementales avec des solutions audacieuses et dynamiques. L’émergence de Tesla en tant que constructeur automobile le plus précieux au monde n’est pas seulement un succès commercial. Elle symbolise le changement culturel vers un avenir où la durabilité n’est pas synonyme de médiocrité. L’administration Trump, qui donne la priorité à la réduction des contraintes réglementaires, permettra à Tesla d’innover à un rythme sans précédent, démontrant comment les politiques conservatrices peuvent catalyser des révolutions technologiques alignées sur les principes archéofuturistes.
Le projet Neuralink de Musk repousse les limites de l’archéofuturisme dans un territoire inexploré. En cherchant à fusionner le cerveau humain avec l’intelligence artificielle, Neuralink incarne l’objectif archéofuturiste de surmonter les limites humaines. Cela n’est pas sans controverses. Faye prévient dans ses écrits que le progrès technologique incontrôlé risque d’éroder l’essence spirituelle de l’humanité. Neuralink force la société à affronter cette tension : est-il possible d’augmenter l’intelligence humaine sans perdre ce qui fait de nous des êtres humains ?
L’éthique de déréglementation de Trump accélère le développement de telles technologies, créant un paradoxe où l’avenir imaginé par l’archéofuturisme se réalise, mais peut-être au risque de saper ses valeurs fondamentales. Neuralink reflète à la fois la promesse et le danger de l’archéofuturisme, rappelant que l’avenir doit être soigneusement exploité pour préserver l’identité fondamentale de l’humanité.
Le concept de tribus technologiques, tel que le décrit Faye, trouve un parallèle convaincant dans le monde réel dans la construction prévue par Elon Musk de Starbase City. Elon Musk a annoncé ce projet après avoir déplacé SpaceX et X hors de Californie lorsque le gouverneur de Californie Gavin Newsom a signé une loi interdisant aux écoles d’informer les parents si leurs enfants utilisent des noms ou des pronoms différents.
Située sur la côte sud du Texas, Starbase City sera plus qu’un port spatial. C’est le prototype d’un nouveau type d’établissement humain, qui intègre la technologie de pointe à la vie en communauté. Cette communauté expérimentale reflète l’épiphanie de Faye sur la force localisée : un monde où les sociétés s’adaptent aux bouleversements technologiques en adoptant de nouvelles formes d’organisation ancrées dans l’identité et le but civilisationnel. L’Amérique de Trump, imprégnée de la rhétorique des frontières et de l’autonomie, amplifie la résonance culturelle de Starbase. Il ne s’agit pas simplement d’un projet d’exploration, mais d’une déclaration d’indépendance par rapport aux limites du globalisme terrestre – un pas vers l’idéal archéofuturiste de tribus décentralisées mais dotées du pouvoir technologique.
L’influence d’Elon Musk pendant l’administration Trump s’étend bien au-delà des entreprises commerciales. Son utilisation active de X lui permet de façonner le discours public et de diffuser son rêve d’avenir. Cela correspond au concept de « métapolitique », qui souligne l’importance de l’influence culturelle et idéologique comme précurseurs du changement politique. Les publications d’Elon Musk, souvent provocatrices et prophétiques, captivent l’imagination de millions de personnes, transformant des concepts abstraits comme la colonisation spatiale et l’éthique de l’IA en phénomènes culturels. La maîtrise des médias sociaux par Trump lui-même crée un environnement dans lequel les idées d’Elon Musk peuvent s’épanouir, démontrant comment l’interaction entre la métapolitique technologique et le nationalisme conservateur peut catalyser une transformation sociétale à grande échelle.
Le succès financier des entreprises d’Elon Musk souligne la viabilité de l’archéofuturisme en tant que plus qu’une construction mentale – c’est une force économique et culturelle. La valorisation de SpaceX dépasse désormais les 350 milliards de dollars, ce qui en fait l’entreprise privée la plus valorisée au monde. La domination de Tesla dans l’industrie automobile redéfinit le transport à l’échelle mondiale, tandis que Neuralink attire les investissements pour sa promesse d’intégration homme-machine. Ces jalons démontrent qu’une société peut adopter l’innovation technologique tout en préservant et même en revitalisant ses valeurs éprouvées. La carte des jours à venir de Faye, longtemps qualifiée de « radicale », trouve une validation dans le succès tangible des entreprises de Musk combiné à la victoire électorale de Trump.
L’archéofuturisme, autrefois un cadre théorique, est désormais une réalité émergente – une nouvelle société née de la collision de la tradition et de la technologie, ouvrant la voie à un avenir à la fois ancien et sans précédent. Musk et Trump, bien que différents dans leurs méthodes, sont les architectes d’une nouvelle ère où les possibilités de l’archéofuturisme ne se limitent plus aux pages de la philosophie mais se déploient dans le monde réel.