Nous Vaincrons
"Il n'existe rien de constant si ce n'est le changement" BOUDDHA; Nous devons apprendre à vivre ensemble comme des frères, sinon nous allons mourir tous ensemble comme des idiots." MARTIN LUTHER-KING; "Veux-tu apprendre à bien vivre, apprends auparavant à bien mourir." CONFUCIUS ; « Nous savons qu’ils mentent, ils savent aussi qu’ils mentent, ils savent que nous savons qu’ils mentent, nous savons aussi qu’ils savent que nous savons, et pourtant ils continuent à mentir ». SOLJENITSYNE
vendredi 24 décembre 2021
Samadhi Movie ... Je me souviens de qui je suis
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Documentaire
de Daniel Schmidt- 1 h
- 2015 (France)
L'enseignement ancestral Samadhi mène à une profonde prise de conscience de notre véritable nature et une réorientation de la conscience humaine.
Résumé du film n°1 / mes prises de
notes :
Pour ceux qui n’ont pas envie de regarder ces films, je vous partage mes prises de notes personnelles que j’ai aimé garder par écrit.
PRISE DE NOTE SUR LE SAMADHI – FILM N°1 :
Samadhi, c’est un terme sanskrit qui n’a pas équivalent. Il révèle quelque chose en nous qui ne peut être retranscrit au niveau du mental.
En tant qu’humain, nous avons peu de considérations pour nous même, nous vivons plongé dans notre vie quotidienne.
Pourquoi nous sommes ici et où nous allons ? La plupart d’entre nous n’avons jamais réalisé le vrai soi, l’a^me où ce que Bouddha a appelé Anahata, ce qui est au delà de la forme, au delà de la pensée. En conséquence, nous croyons que nous avons un corps limité en pensant que nous mourrons.
Toutes les pratiques spirituelles que nous avons aujourd’hui sont conditionnés, ce qui signifie qu’elle font parties de l’égo. Penser que l’on trouve la réponse en faisant quelque chose d’extérieur n’est pas une réponse, c’est une agitation de plus du cerveau. À chaque fois qu’il y a désir d’acquérir quelque chose, on peut perte sur qu’il y a de l’égo derrière. Samadhi, ce n’est pas ajouter quelque chose de plus à nous même, c’est apprendre à mourir avant de mourir. La vie et la mort sont comme le Yin et le Yang. Lorsque nous repoussons la mort, nous repoussons la vie.
Notre société et notre culture nous disent ce que nous sommes et en même temps, nous sommes esclaves de nos besoins profonds et inconscients qui régissent nos choix. La structure de l’égo est une pulsion de répétition, c’est le chemin que l’énergie a pris auparavant et sa tendance à reprendre ce chemin à nouveau, qu’il soit positif ou négatif pour nous. Nous sommes liés à un conditionnement social : la matrice. Il est possible de laisser derrière la vie qui a été héritée du passé pour celle qui attend derrière le monde intérieur.
Nous sommes venus au monde sans conscience de soi, nous étions pures. La personne que l’on devient est une masque que le conscience porte. Quand nous sommes identifié à notre personne, c’est Maya, l’illusion de soi. Samadhi, c’est se réveiller du rêve de votre personnage. Le monde de la pensée et le seul monde que nous connaissons, mais il y a d’autres mondes qui sont au delà de la pensée du monde dualiste.
Êtes vous prêts à quitter ce que vous avez connu pour découvrir qui vous êtes ? Samadhi, c’est se réveiller du soi égoïque, de l’identification et de sa prison que l’on appelle “moi”.
- Humain = Identification au soi matériel
- Samadhi = La cessation de soi. Pas de “moi”, pas de dualité mais il y a le “je suis” (Anahata)
Il n’est pas rare, durant une méditation d’avoir un aperçu profond de la nature de notre être mais pour retourner dans les mêmes habitudes ensuite.
Réaliser l’immobile ou le vide, c’est devenir la danse du vide. Le calme n’est pas séparé du mouvement, ce n’est pas l’opposé. En Samadhi, l’immobile est reconnu comme étant le mouvement, la forme identique au vide.
Descartes dit ” je pense donc je suis”. Aucune autre phrase ne résume plus la chute de la civilisation. Son erreur; assimiler la pensée avec le corps.
La différence, c’est que Descartes a arrêté de chercher au niveau de la pensée et que Bouddha lui a continué à chercher au niveau profond de l’intellectuel. Peut-être que si Descartes avait continué a chercher, les occidentaux ne seraient pas ce qu’ils sont aujourd’hui.
Les gens veulent toujours blamer quelque chose d’extérieur que Descartes appelle le démon. Quand on réalise Samadhi, il est clair que quelqu’un commande; vous ! Nous passons beaucoup de temps à satisfaire les petits patrons à l’intérieur de nous qui commandent. La structure du “moi” est composée de nombreux sous programmes, de petits patrons conditionnées. Un se goinfre de nourriture, l’autre désir de l’argent, le statut, la puissance, l’attention… Les désirs sont sans fin et ne peuvent pas être satisfaits. Nous dépensons beaucoup de temps à décorer nos prisons, à subir les pressions pour améliorer ses masques et nourrir les patrons pour les rendre encore plus puissants. Plus on les nourrit, plus nos désirs grandissent. Le chemin de la liberté, ce n’est pas de les rendre plus puissants, ou d’améliorer le soi, mais d’abandonner le soi.
Parce que nous sommes endormis dans la matrice, la plupart d’entre nous ne trouverons jamais ce que l’âme veut exprimer. Le chemin vers le Samadhi nécessite de la méditation. L’observation de soi conditionne ce qui change et la réalisation de sa vraie nature ce qui ne change pas.
Pour faire sourire l’image dans un miroir, on ne peut manipuler la reflexion, vous devez réaliser le vous qui est la source authentique de la reflexion. Une fois que vous réalisez le soi authentique, vous réalisez que rien d’extérieur n’a besoin de changer. Ce qui change, c’est l’énergie intérieure consciente, le prana, notre énergie vitale. Nous ne pouvons jamais gagner la lutte extérieure car elle est seulement le reflet de notre monde intérieur. Nous possédons une grande puissance, mais nous ne savons pas comment l’utiliser. Ces crises extérieures dans le monde, reflètent de grave crises intérieures. Nous ne savons pas qui nous sommes.
La pensée est un outil merveilleux quand elle est au service du coeur. L’esprit fait un bon serviteur, mais un mauvais maître.
L’égo filtre la réalité en préférant toujours une chose plus qu’une autre nous enfermant dans la matrice. Pour réaliser Samadhi, ne jugez pas vos pensées comme bonnes ou mauvaises, mais découvrez qui vous être avant la pensée, avant les sens, quand toutes les étiquettes sont supprimées.
https://yogamountains.com/2020/08/15/a-la-recherche-du-samadhi/
Maya, l'illusion du soi
Ce n'est pas ce que vous pensez
Le Chemin sans chemin
VEILLÉE (D’ARMES) AU COIN DU FEU. RETROSPECTIVE 2021. — Le briefing avec Slobodan Despot
Antipresse
Affligeant : témoignage d’une dénonciation de non-vaccinés dans un restaurant français
Source : https://www.medias-presse.info/affligeant-temoignage-dune-rafle-de-non-vaccines-dans-un-restaurant-francais/151225/
Reçu d’un lecteur :
« Dimanche à midi, descente de gendarmes dans le restaurant où je taffe.
Scène surréaliste, j’arrive toujours pas à digérer ce qui s’est passé, ça m’empêche de dormir. Veuillez m’excuser pour les fautes et la ponctuation, j’ai vraiment besoin d’écrire ça anonymement pour me soulager.
Service classique d’un dimanche dans le restaurant. A table des familles, des couples, des amies, une soixantaine de clients, tout le monde est content, ils passent tous un très bon moment.
Puis là, sur les coups de 13 heures, les gendarmes qui se garent devant le restaurant. Une table de quatre vieux parle à vive voix « Ah! Ca sent le contrôle sanitaire ».
Gros silence dans la salle.
L’un de mes collègues en salle n’est pas vacciné, il part vite derrière dans les cuisines se planquer et là 6 clients en panique totale se lèvent, tout le monde se regarde, l’ambiance est lourde, malsaine. Deux clients des 6 clients partent vite dans les toilettes, les autres nous supplient de les cacher quelque part. La seule issue possible ce sont les portes de l’entrée. Le responsable leur dit d’aller dans les chambres froides a l’arrière. Un enfant commence à pleurer de voir son père partir en panique, le grand-père et la grand-mère le rassurent.
Les gendarmes prennent le temps, il s’est passé même pas deux minutes depuis qu’ils se sont garés. Cinq minutes après, ils sortent, ils sont quatre, quasiment tous jeunes, à peine 30 ans. J’ai toujours l’espoir qu’ils viennent juste prendre un truc à emporter, mais non, à peine la porte passée, un gendarme reste devant et les autres font : « Bonjour, Gendarmerie Nationale ! Nous allons procéder aux contrôles du pass sanitaire ! Veuillez présenter vos pass avec une pièces d’identité s’il vous plaît ! ».
Un des gendarmes va voir le responsable pour confirmer que nous avons contrôlé les pass, il confirme sans balancer les clients partis se cacher.
Un autre véhicule de gendarmes arrive, ils sont trois, ils viennent aussi, les autres contrôlent les pass. Tout va bien, jusqu’à ce que l’un des gendarmes arrive à une table de trois personnes, deux vieilles et un vieux. Je suis juste a côté et là j’entends la vieille balancer discrètement au gendarme que des gens sont partis se cacher dans les toilettes et dans les chambres froides.
J’ai eu une boule au ventre, je suis tétanisé, le gendarme fonce direct; limite en poussant tout sur son passage, voir mon responsable qui devient blanc. Le gendarme dit à deux de ses collègues d’aller voir dans les WC et lui et deux autres voir dans les chambres froides. Bingo ! Comme vous vous en doutez, ils avaient des pass sanitaires, mais pas à leur nom. Personne dans la salle n’a essayé de les défendre, limite c’était bien fait pour eux. Moi et le chef nous avons essayé d’arranger la situation mais sans soutien autour de nous ils en avaient rien a foutre.
Bref voilà où nous en sommes en fin 2021. »
France Soir La newsletter vendredi 24 décembre
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