dimanche 4 mai 2025

« Aucune preuve de l’existence des virus » : Jérémie Mercier démonte les fondements de la virologie

Source :  https://lemediaen442.fr/aucune-preuve-de-lexistence-des-virus-jeremie-mercier-demonte-les-fondements-de-la-virologie/

Et si les virus, ces entités invisibles érigées en coupables des plus grandes pandémies, n’étaient qu’une illusion scientifiquement entretenue ? C’est la thèse profondément déstabilisante que défend Jérémie Mercier, auteur et chercheur indépendant, lors d’un entretien exclusif accordé à notre journaliste Kate. Pour lui, la virologie moderne repose sur des postulats non vérifiés, et aucune preuve tangible ne viendrait étayer l’existence de ces particules infectieuses.

Vaccins, mortalité, pseudoscience : Jérémie Mercier démolit le récit viral.

« Virus Mania » et l’accusation de pseudoscience

S’appuyant sur des ouvrages critiques comme Virus Mania, Jérémie Mercier dénonce une « escroquerie intellectuelle ». Selon lui, les virologues n’isolent pas réellement les virus, mais extrapolent leur existence à partir d’effets cellulaires non spécifiques. « La grippe, le Covid… Aucune de ces maladies n’a été rigoureusement reliée à un virus. On nous vend un modèle qui ne résiste pas à l’examen », assène-t-il. Une position marginale, mais qui gagne en audience depuis la « crise sanitaire », notamment auprès de personnalités comme Pierre Chaillot.

Mortalité et Covid : une « crise organisée », pas une pandémie

Pour étayer sa thèse, Jérémie Mercier cite des données de mortalité : « À part des pics saisonniers normaux – comme ceux de la grippe hivernale –, on ne voit rien d’anormal. Le “Covid long” ? Ces symptômes ont toujours existé, on les appelait juste autrement. » Il attribue les surmortalités de 2020-2021 non pas à un virus, mais aux mesures sanitaires (« confinements destructeurs, stress sociétal, privation de soins ») et, plus tard, aux campagnes vaccinales massives. « Quand on vaccine des millions de personnes en quelques mois, dont des populations fragiles, les effets indésirables explosent mécaniquement. Cela ne prouve en rien l’existence d’un virus. »



La grippe, les particules fines et les carences : des explications alternatives

Et la grippe, pourtant considérée comme un archétype viral ? « Les pics hivernaux sont synchrones dans les deux hémisphères, ce qui invalide l’idée d’une contagion. » Jérémie Mercier avance d’autres causes : « L’air sec, les particules fines irritantes, le manque de vitamine D… La “détoxification” de l’organisme pourrait expliquer les symptômes. » Une hypothèse déjà explorée par certains naturopathes, mais évidemment rejetée par la médecine conventionnelle.

Vaccins : une « escroquerie historique »

Le chercheur enfonce le clou en s’attaquant à la vaccinologie, qu’il qualifie de « charlatanisme institutionnalisé ». « Les accidents post-vaccinaux ne datent pas d’hier : sclérose en plaque après l’hépatite B, syndromes grippaux mal étiquetés… La différence, c’est qu’aujourd’hui, on vaccine des populations entières, donc les dégâts sont visibles. » Une critique qui rejoint celle des mouvements « viro-sceptiques » émergents, qualifiés par certains de « nouveaux climatosceptiques. »

Notre interview de Jérémie Mercier : « Quand les masques tombent, la vérité éclate »