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vendredi 7 juillet 2023

Loi de programmation militaire de la France : quels intérêts ce Gouvernement va-t-il défendre au prix de la Nation ?

 Source : http://russiepolitics.blogspot.com/2023/07/loi-de-programmation-militaire-de-la.html


Ces derniers jours, les réseaux sociaux et les médias alternatifs ont largement diffusé des extraits du projet de loi de programmation militaire de la France pour les années 2024 à 2030. Les dispositions en jeu sont celles du nouveau chapitre II du Titre Ier "Réquisitions pour les besoins de la défense et de la sécurité nationale" du Code de la défense. Ce Chapitre prévoit la possibilité de réquisitionner les biens et les personnes, lorsqu'un danger menace la sécurité du pays. Cette disposition fait peur, car elle rappelle qu'il existe en cas de guerre un intérêt supérieur à l'intérêt individuel, ce à quoi les Français ne sont plus habitués depuis bien longtemps. Mais à ce nihilisme individualiste s'ajoute un problème Ô combien plus grave pour la France : peut-on sérieusement affirmer que ce Gouvernement défend l'intérêt national ? En allant plus loin, on peut même penser, que c'est justement la politique de ce Gouvernement, qui met la Nation en danger. D'où l'anachronisme de ces dispositions et les risques de déstabilisation qu'elles contiennent.

Le projet de loi de programmation militaire de la France pour les années 2024 à 2030 a déjà été adopté le 7 juin par l'Assemblée nationale à une majorité écrasante de 408 pour et 87 contre, vote qui s'est globalement répété devant le Sénat le 27 juin (314 pour et 17 contre). Désormais, le projet doit passer demain 6 juillet devant la Commission mixte paritaire, pour harmoniser le texte et les modifications apportées.

Au-delà des grands objectifs pompeux annoncés sur le site du ministère de la Défense, on n'y trouve finalement rien d'exceptionnel. Un renforcement du budget, comme exigé par l'OTAN. Une protection des minorités sexuelles, comme exigée par la globalisation. Toujours pas de service militaire, mais une journée dénuée de sens, comme le culte individualiste post-moderne l'exige. Bref, rien de nouveau, la France ne retrouvera pas sa capacité militaire et tel est bien le but. Dans un monde globalisé, auquel elle se soumet, elle doit être en mesure d'apporter le soutien qui lui est demandé (d'où la timide relance de production militaire), mais elle ne doit surtout pas avoir les moyens de sa souveraineté (si jamais l'envie en prenait à nos dirigeants, sait-on jamais ...).

Or, cet exercice de style somme toute assez peu intéressant a provoqué une véritable vague médiatique dans les réseaux sociaux et les médias alternatifs sur le mode : vous vous rendez compte, ils veulent pouvoir réquisitionner les biens et les hommes si besoin se fait sentir. Bref, nous et nos biens. 

Pour comprendre, je vous renvoie au Chapitre II du Titre Ier du Code de la défense, ainsi formulé dans le projet de loi de programmation (à lire ici) :

 

 

Le principe de proportionnalité est posé. Il s'agit donc bien de mesures exceptionnelles, lorsqu'une menace exceptionnelle pèse sur notre pays. Des mesures, qui doivent prendre fin lorsque le danger disparaît.

Le champ d'application est précisé ici :

 

 

 

Evidemment, ces mesures sont exécutoires d'office et entraînent une responsabilité pénale, pour celui qui s'y oppose, de 5 ans d'emprisonnement et de 500 000 euros d'amende. L'abus d'autorité est également sanctionné.

La violente réaction, émotive et instinctive, que l'on retrouve ici ou là, montre l'anachronisme de ces dispositions, à la fois au regard du culte individualiste et de l'absence de souveraineté de la France.

Cela fait plus de 50 ans, que les Français sont reprogrammés au culte de leur nombril, élément fondamental de leur vie, le seul qui vaille la peine d'être défendu. Le reste, ce qui entoure ce nombril tout-puissant, n'est là que pour le servir. Or, tout à coup, la Nation réapparaît. Massive. Elle fait de l'ombre au nombril, qui ne veut pas être déchu, d'un culte aussi confortable que dénué de sens.

Une question à ces grands patriotes des réseaux sociaux : si la France est réellement en danger, vous allez rester chez vous ? Tant qu'on peut faire son petit business, le reste, quelle importance. Un pouvoir ou un autre, de toute manière, il y aura toujours besoin de commerçants ou de fonctionnaires ... C'est ça? On l'a déjà vu en 40.

A cela s'ajoute un autre problème : la France n'est plus souveraine. Quels intérêts va-t-elle alors défendre au-delà des belles formulations, malheureusement dénuées de sens, que l'on retrouve à l'article 1er bis ? Et c'est bien tout le problème. Le 3° point de cet article laisse entendre toute l'ampleur de l'atteinte portée à la souveraineté nationale :

"3° De concourir à la sécurité collective et à la défense de la paix dans le cadre de ses alliances, du cadre multilatéral international et de ses partenariats. La stabilité et la paix en Europe restent au cœur des préoccupations de la stratégie de défense de la France. Celle-ci passe à la fois par le renforcement de la politique européenne de défense et de sécurité afin de garantir l’autonomie stratégique de l’Europe et par la construction d’un pilier de défense européen solide au sein de l’OTAN. À ces fins, la France joue un rôle actif au sein de l’Union européenne et de l’OTAN, pourvoyeuse de sécurité comme Nation-cadre et comme partenaire incontournable. La France s’attachera à développer, avec ses partenaires européens, un renforcement de son engagement dynamique dans l’OTAN, notamment au travers de coopérations ;"

La France, avec ces mesures exceptionnelles ne va pas défendre l'intérêt national, mais l'intérêt globaliste, soit régional avec l'UE, soit universel avec l'OTAN. Or, cet intérêt, comme on le voit avec la guerre en Ukraine, va à l'encontre de l'intérêt national. Il est même possible d'affirmer, que c'est justement la politique de ce Gouvernement qui met en danger l'intérêt national français. 

Ce problème, il faudra bien le régler. Ou se préparer à partir défendre l'Atlantisme contre la France.

Publié par Karine Bechet-Golovko à 11:06 

Libellés : armée, France, globalisation, loi

lundi 18 juillet 2022

14 juillet – Les représentants américains, l’amiral transgenre Rachel Levine et Sam Brinton, étaient là !

L’amiral américain transgenre Rachel (ex-Richard) Levine et le secrétaire adjoint à l’énergie nucléaire des États-Unis, Sam Brinton, étaient invités à une soirée à l’ambassade de France à Washington le 14 juillet 2022. Très représentatifs de la sénilité du président démocrate.

Le cliché a été publié sur la page Instagram de l’activiste LGBTQ Sam Brinton avec en commentaire « Champagne et Célébration avec l’Ambassadeur de France dans sa résidence pour le 14 juillet. (Mais aussi l’incroyable opportunité de se connecter avec l’un des seuls autres responsables gouvernementaux transgenres, l’amiral Levine — je ne vais pas mentir, c’était génial de compatir avec une autre personne trans face à la haine. »

Capture écran - page Instagram de Sam Brinton (radioactivenerd1)
Capture écran – page Instagram de Sam Brinton (radioactivenerd1)

Sur Twitter, l’amiral transgenre Rachel Levine : « Aujourd’hui, c’est le 14 juillet, un jour pour célébrer l’engagement de la France en faveur de la paix et de la liberté. Meilleurs vœux de #BastilleDay au peuple de France ! »  N’a-t-il/elle pas confondu 1789 avec 1944, car la prise de la Bastille n’est en rien un symbole de paix, mais de Révolution ?

Bref. Tout ça à de quoi rassurer Poutine…

Le Média en 4-4-2


mardi 2 décembre 2014

Austérité imposée et sobriété volontaire / Imposed austerity and voluntary sobriety

SIMON CHARBONNEAU

vendredi 26 octobre 2012

Source : http://www.reporterre.net/spip.php?article3352
« On peut estimer opportune l’austérité imposée par l’implosion de la croissance dans la mesure où sa contrainte encouragera nécessairement les démarches de sobriété volontaire au niveau individuel comme collectif. »

Suite à la crise financière et économique qui s’est déclenchée en 2008 dans tous les pays de l’OCDE, des politiques d’austérité draconiennes sont aujourd’hui menées de manière autoritaire et à rebours de l’opinion publique. Et alors même que cette crise est le fruit des politiques débridées de croissance économique fondée sur l’endettement, la finalité de ces politiques d’austérité vise uniquement à assainir les finances publiques et privées pour faire repartir la croissance considérée comme seule condition de stabilité de l’ordre social.
Mais, outre le fait que ce projet apparaît comme totalement utopique dans la mesure où les tours de vis financiers ne peuvent que mener à la récession, ces derniers ne peuvent aussi paradoxalement qu’alimenter un chaos social permanent.
Indépendamment de ces politiques, est apparu dans le champ social et culturel au début des années 2000, le mouvement de la décroissance favorable à la sobriété volontaire qui rompt radicalement avec l’idéologie de la croissance héritée des années d’après guerre. Contrairement à ce que l’on peut penser, cette conjonction n’est pas le fruit du hasard mais résulte d’un contexte historique particulier marqué par la fin de la croissance dans les pays anciennement industrialisés et d’une manière générale celle de l’idéologie du progrès.
Il faut rappeler les positions des uns et des autres sur la question et en particulier celle de la gauche non gouvernementale représentée par le Front de Gauche, les syndicats ouvriers et une partie des Verts.
Pour cette dernière, c’est le refus des politiques actuelles d’austérité pratiquées partout en Europe au nom de la justice sociale, autrement dit un prêt à penser traditionnel de la gauche. Imposer l’austérité aux catégories sociales les plus modestes alors qu’une minorité de privilégiés n’a pas arrêté de s’enrichir grâce au capitalisme débridé de ces vingt dernières années, a quelque chose de provoquant, il faut bien en convenir.
Mais cette position compréhensible repose sur un non dit qui est celui du déni de la dette. L’endettement affecte en effet aujourd’hui toutes les catégories sociales même les plus modestes, aliénées par une consommation boulimique. Malgré cette situation qui d’ailleurs a fait le miel du capitalisme jusqu’à aujourd’hui, cette gauche continue à raisonner en fonction de ses prérequis idéologiques habituels, à savoir que la justice sociale exige la relance économique par la consommation populaire. Le corollaire implicite de ce raisonnement est alors celui de la nécessité de la croissance sans considération de son impact écologique et financier depuis longtemps négatif.
Malgré son ancrage à gauche et revendiqué comme tel, le courant favorable à la décroissance au sein du mouvement écolo se réclame d’une sobriété et d’une simplicité volontaire qui n’aurait rien à voir avec l’austérité imposée. Cette position ne nie pas le fait de l’endettement généralisé lié à la logique d’une croissance reposant sur des investissements dont on attend des retours rentables.
Et sont cités à ce sujet, le cas il est vrai exemplaire des grands chantiers d’infrastructure de transport (LGV, canal Rhin/Rhône, aéroport de ND des Landes) ou projets d’aménagements pharaoniques dont l’Espagne est devenue le cas de figure classique, boostés par les fonds structurels européens. Ici le lien est alors fait entre l’endettement et l’impact écologique comme social dans la mesure où la logique de la croissance ne peut servir que le capitalisme. L’austérité imposée, outre son aspect antidémocratique, ne saurait être assimilée à la sobriété volontaire qui repose sur une démarche de liberté.
Pourtant, on peut se demander si cette opposition n’est pas trop idéologique dans la mesure où les deux positions ne sont pas sans relations, ni complètement contradictoires. On peut en effet estimer opportune l’austérité imposée par l’implosion de la croissance dans la mesure où sa contrainte encouragera nécessairement les démarches de sobriété volontaire au niveau individuel comme collectif.
Celles visant à la décroissance reposent au contraire sur l’idée qu’elles peuvent être partagées par le plus grand nombre alors qu’il s’agit du choix d’une minorité éclairée et convaincue. Cette idée, aussi généreuse soit-elle, ignore l’addiction de notre société à la croissance, qu’il s’agisse des citoyens ordinaires avec la consommation ou de l’oligarchie politique et économique avec le culte de l’investissement pour des grands travaux.
Il suffit de voir encore aujourd’hui malgré la crise les parkings de supermarché encore bien pleins ou les projets de création de nouvelles zones d’activité économique dans de nombreuses communes pour prendre conscience de l’énorme fossé qui existe entre les convictions des décroissants et l’opinion courante à ce sujet. La vérité est que l’on ne se libère pas de suite de cinquante années de cette addiction sans y être obligé par le contexte économique justifiant des mesures d’austérité. Cela est vrai non seulement du citoyen ordinaire mais aussi des militants écologistes !
La lutte contre les dérives de l’endettement des collectivités publiques, des entreprises et des ménages ne peut donc prendre qu’une forme contraignante, en premier lieu vis à vis des catégories sociales privilégiées. C’est certainement ici que les politiques d’austérité imposées sans distinction des catégories sociales concernées, ni de la nature des activités affectées par ces mesures se distinguent de celles axées sur la sobriété volontaire.
Ce dernier point me semble particulièrement important dans la mesure où les activités économiques contribuant à la crise écologique sont importantes et particulièrement nocives comme celles liées aux grands projets d’aménagement ou encore celles de la recherche visant à développer desOGM, des nanotechnologies ou à augmenter les capacités cérébrales humaines par les neurotechnologies, des activités qui seront certainement moins affectées que le budget quotidien du citoyen lambda !
Une telle politique d’austérité devrait s’attaquer également aux dérives financières et aux choix énergétiques tels que ceux du nucléaire ou encore au budget militaire consacré à la force de frappe. Certes, comme cela a été dit et répété, une telle politique a aussi l’inconvénient de porter atteinte aux investissements nécessaires à la résolution de la crise écologique (énergies renouvelables, isolation thermique, technologies propres, etc.) mais il faut rappeler une évidence rarement affirmée sur l’espace public, à savoir qu’aujourd’hui les moyens financiers alimentant la crise écologique sont autrement importants que ceux destinées à la résoudre.
De ce point de vue, on peut donc dire que la politique suivie est plutôt à géométrie variable en fonction du poids des intérêts concernés et des idées reçues de l’oligarchie. La question de la justice sociale dans les choix actuels destinés à apurer la dette pour faire redémarrer la machine économique est donc effectivement essentielle car ce n’est pas aux exclus de la croissance à faire à nouveau les frais de choix politiques découlant de la fin de cette dernière.
La situation que commencent seulement à vivre les citoyens des pays en crise exige alors non seulement une rupture complète avec nos habitudes héritées de ces cinquante dernières années où à tous points de vue nous avons vécu au dessus de nos moyens dans une parfaite inconscience, mais surtout celles ayant trait à nos représentations collectives léguées par l’idéologie du développement. La vérité est que cette rupture nécessaire sera forcément douloureuse en particulier par tous ceux affectés par le chômage et la baisse du niveau de vie.
D’où la montée actuelle de diverses formes de chaos social et politique se manifestant dans de nombreux pays qui peuvent être source d’affrontements. Cette situation périlleuse pourrait même déboucher un jour sur une conflagration mondiale à coups d’armes nucléaires. Toutes les sociétés qui n’arrivent pas à résoudre leurs problèmes qu’elles ont laissés s’accumuler peuvent être tentées d’avoir recours à la guerre. C’est ainsi que l’humanité pourrait être emportée par un tsunami technologique meurtrier si elle s’avère incapable de faire face à un tel enjeu.

samedi 8 novembre 2014

L'armée secrète de l'union européenne contre le peuple : eurogendfor / The secret army of the European Union against the people: eurogendfor

Source 

: http://blogs.mediapart.fr/blog/jolemanique/301014/larmee-secrete-de-lue-contre-le-peuple-eurogendfor

Qu'est-ce qui se cache derrière Eurogendfor et son droit d'occupation ?
eurogendfor_the_european_genda.gif

A propos d'armées secrètes ou de troupes d'intervention policière secrètes. Elles existent depuis longtemps dans l'UE, mais peu de gens le savent.

La troupe policière de l'UE existe depuis longtemps - et elle dispose de larges pouvoirs ! Actuellement, c'est une « troupe d'intervention spéciale » forte de 3000 hommes ( !) sous le sigle difficile à prononcer « Eurogend­for » (European Gendarmerie Force/troupes de police européennes). Le commandement se trouve à Vincenza en Italie, loin du siège de l'UE !

Ce corps de police a été créé à l'initia­tive de l'ancienne ministre de la Défense française Michèle Alliot-Marie, pour réprimer à l'avenir plus facilement les manifestations qui dégénèrent toujours à nouveau dans les villes françaises.

Le grand problème est le suivant : Eurogend­for va à l'avenir réduire au niveau européen le droit national et la souveraineté natio­nale des Etats-membres de l'UE ! Un « conseil de guerre », qui se compose des ministères de la Défense et de la Sécurité des pays de l'UEparticipant à l'Eurogendfor et du pays concerné, décidera de l'intervention dans un Etat-membre de l'UE - voilà comment est réglementée la nouvelle troupe policière de l'UE dans le « document constitutif » dé­nommé Accord de Velsen (NL).
Eurogendfor
Cela représente pour les observateurs un droit d'occupation par l'UE.

Car, si une intervention à l'intérieur d'un pays « ami », membre de l'UE, est une fois décidée, tous les bâtiments et zones occupés par des unités d'Eurogendfor, jouissent de l'immu­nité et ne sont plus accessibles pour les autorités du pays concerné. En fait, il s'agit d'un droit d'occupation par l'UE. Mais il y a pire : l'Eurogendfor ne dispose pas seulement dans le cas particulier de compétences policières mais aussi de compétences qu'ont les ser­vices secrets et elle a le devoir de réinstaller l'ordre et le calme dans la zone d'intervention concernée en collaboration étroite avec l'armée ( !). En cas de besoin, les troupes doivent avoir à disposition toutes les autorisations et tous les moyens pour remplir leur mandat.

Eurogendfor résout divers problèmes pour les gouvernements européens. A l'avenir, ils pourront, lors de troubles sociaux ou de manifestations majeures de longue durée, utiliser des armes à feu contre leurs populations, mettre des zones entières sous quarantaine militaire et retirer les meneurs de la circulation sans avoir à engager leurs propres forces militaires ou policières qui pourraient éventuellement se solidariser avec les manifestants. L'Eurogendfor de son côté, ne pourra pas être poursuivi en justice grâce à ses autorisations exceptionnelles, civiles et militaires.
Eurogendfor
Notons que ce n'est que grâce au Traité de Lisbonne - qui n'est rien d'autre que l'ancienne « Constitution européenne » controversée sous un nouveau titre - qu'une telle situation incroyable à pu être instaurée. Grâce au jugement du Tribunal constitutionnel su­prême, les politiques allemands, qui ont soutenu ce traité douteux à la quasi-unanimité au Bundestag, auront à l'avenir le droit d'être entendus. Un homme politique allemand, ramené à la réalité, déclare lors d'un entretien privé : « On s'amusera bien au sein de l'Eurogendfor quand à l'avenir l'état d'urgence sera imposé dans les centres chauds de Bottrop ou Neukölln en Allemagne fédérale. »

Source : Vertraulicher Schweizer Brief du 23/1/10

Je me permets d'ajouter ces 2 liens pour "élargir" l'information :
Christophe

TOUS LES COMMENTAIRES


31/10/2014, 00:39 | PAR ANNIE LASORNE
Oui, la "bavure" du week-end dernier, c'était un échantillon ! Criant
Mais malheureusement quand on n’essaie de parler d'EUROGENFOR à nos concitoyens, au mieux ils sont indifférents, au pire, ils vous prennent pour une complotiste paranoïaque... J'en ai plusieurs fois parlé ici même dans ce média, d'autres aussi (Netmamou, ancienne blogueuse ici, ce qui lui avait valu pas mal d'ennuis...), dans l'indifférence la plus complète.
Les grecs, eux, y ont déjà goûté !

03/11/2014, 15:02 | PAR TANKA EN RÉPONSE AU COMMENTAIRE DE ANNIE LASORNE LE 31/10/2014 À 00:39
Exact ! j'en ai moi aussi fait l'expérience. Pas cru et parano !

31/10/2014, 01:01 | PAR JEAN63
L'Eurogendfor de son côté, ne pourra pas être poursuivi en justice grâce à ses autorisations exceptionnelles, civiles et militaires. 
dictature en marche.

03/11/2014, 15:07 | PAR TANKA EN RÉPONSE AU COMMENTAIRE DE JEAN63 LE 31/10/2014 À 01:01
Mmmm... Il me semble que cette dictature est déjà bel et bien là ! Mais elle prend des formes nouvelles car au regard de l'Histoire, via des tas de connotations, elle se trahirait. Elle prend une gueule de... disons... "meilleur des mondes ". " Je vais bien, tout va bien " !!!

31/10/2014, 01:31 | PAR JACQUES DEPARIS
On se sent tout de suite nettement plus Européen !
Le logo est sympa, les tenues classiques mais efficaces, les missions claires, bon, ils ne sont que 3000... Mais avec les pouvoirs qu'ils détiennent cela doit être suffisant pour nous persuader du bien fondé de cette Europe qui nous fait tant rêver...
Pour ma part j'ignorai totalement que l'UE était dotée d'une telle arme de répression massive ! Il va falloir être bien sage, les enfants...


31/10/2014, 04:43 | PAR DANIELE BARBIER
L'Europe ne s'est pas dotée d'une armée ?
Nous ne sommes vraiment pas informés !
Celle que Alliot Marie a mise en place, et dont nous ne savons rien, est pire car ses hommes ont pour mission de charger contre leurs frères.

31/10/2014, 09:20 | PAR OLCHANTRAINE
Il faut sortir de l'Euro!
Il faut sortir de l'Europe capitaliste.
La dictature européenne s'est dotée de ses forces spéciales, du genre de celles qu'Alliot Marie voulait partager avec Ben Ali.
Il faut sortir de l'Europe avant que ces forces spéciales ne fassent la loi chez nous...
Les droits d'intervention "supranationale" constituent une forfaiture.
Il faut virer l'UMP et le PS qui ont commis cette forfaiture en ratifiant la constitution que nous avions rejetée.