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jeudi 17 février 2022

« Tous les contre-pouvoirs ont disjoncté en France », s'alarme François Asselineau


 Sputnik France

Cinq ans après sa première candidature à l’élection présidentielle et un score de 0,92% des suffrages, François Asselineau brigue à nouveau l’Élysée. En première ligne contre la politique sanitaire menée par le gouvernement et défenseur acharné du « Frexit », le président de l’Union populaire républicaine (UPR) joue son va-tout en 2022. Peut-il vraiment créer la surprise ? Pass vaccinal, climat social, Union européenne, politique nationale et internationale, celui qui s’estime insuffisamment relayé dans les médias livre ses vérités à Sputnik.

Levée des restrictions ? Oliv Oliv En Direct 17/02/2022/ 🔴👉Le Gouvernement a été clair attention ⚠️.


 

lundi 14 février 2022

Injections expérimentales : et si les résultats des essais cliniques étaient erronés ?

 

Au Québec, les parents séparés d’un enfant de 13 ans se déchirent.
D’un côté, la mère, qui veut que leur fille se fasse injecter, afin de pouvoir poursuivre ses activités sportives soumises au PassDeLaHonte.
De l’autre, le père, qui s’est renseigné sur ces injections, et refuse en bloc que sa fille participe à l’expérimentation.
Entre eux, la justice du Québec.

Pour défendre le papa et en même temps avoir un avis de la justice québécoise qui puisse être utile pour tous les enfants de la province, l’avocate Gloriane Blais a pris contact avec la Christine Cotton, biostatisticienne qui a également été PDG d’une société de recherche sous contrat avec l’industrie pharmaceutique.

Christine Cotton a alors décidé d’écrire un rapport d’expertise concernant les essais cliniques de l’injection « anti-Covid » Cominarty produite par Pfizer, disponible sur ce lien : https://www.francesoir.fr/sites/francesoir/files/media-icons/Vaccine-expertise-GCP-CCotton-2022-01-11-French2-copyright_comp.pdf

Elle nous a présenté les résultats de son enquête, avec panache, lors de l’émission Science en Conscience pour RéinfoCovid du 31 janvier. La vidéo (avec sous-titres s’il vous plait) est visible ici :

La retranscription de l’émission est disponible sur ce lien et la présentation pdf de Christine Cotton est disponible ici.

Christine Cotton démontre ou rappelle que :

Les biais de l’essai clinique sont nombreux (notamment essai pas en double-aveugle, confusion possible des effets indésirables de l’injection avec ceux du « Covid », mauvais suivi des participants, plutôt livrés à eux-mêmes)
- Faible différence (6,5 %) du nombre de personnes avec symptômes (malades ou hospitalisés toutes causes) entre le groupe qui a reçu l’injection et ceux qui ont reçu le placebo
- Il y a trop peu de cas sévères de « Covid » sur l’ensemble des participants, donc ce chiffre n’est pas statistiquement significatif et on ne peut pas en tirer de conclusions
- Il n’y a pas de recul suffisant (expérimentation actuellement en phase 3, démarrée le 29 avril 2020) pour connaître la tolérance de ces injections !
Certains groupes de personnes n’ont pas été inclus dans l’essai : femmes enceintes, patients immunodéprimés et présentant de comorbidités… pourtant ensuite les premiers à recevoir ces injections ! On ne peut donc rien conclure sur ces groupes de personnes ! Enfin, on n’a pas d’info dans cet essai de l’interaction possible avec d’autres injections (pourtant, le panachage des injections dites « vaccins anti-Covid » a été la norme !).
Les bonnes pratiques cliniques n’ont pas été respectées (Cf. page 15 de la présentation) = « affaire Ventavia »
Quant à l’essai sur les enfants de 5-11 ans, il n’a pas inclus assez de participants pour détecter un risque accru de myocardites (rapport du 26/10/2021), risque pourtant observé en vie réelle…
Rappel aussi de l’affaire « Maddie de Garay », jeune fille de 13 ans qui a participé à l’essai Pfizer, est aujourd’hui en fauteuil roulant et nourrie par une sonde gastrique suite à un grave effet indésirable de l’injection, effet indésirable qui n’a pas été remonté dans l’essai clinique !
Aussi, il est très étonnant qu’autant de personnalités politiques et médicales aient fait la promotion de ces injections, allant au-delà même des conclusions des rapports de l’essai clinique Pfizer, se transformant en véritables VRP de cette entreprise multi-condamnée.

Voici la conclusion de Christine Cotton :

« Continuer à utiliser le vaccin Comirnaty en vie réelle constitue un risque important pour la vie des personnes. Il est donc nécessaire de suspendre urgemment toute vaccination par Comirnaty, non seulement pour les populations sur lesquelles nous ne disposons d’aucune information à ce jour, mais également sur l’ensemble de la population en attendant les explications du laboratoire Pfizer concernant le choix de son design d’essai, de ses méthodes d’évaluation, de l’algorithme de calcul des critères d’efficacité … »

Et voici la mienne car j’ai envie d’aller beaucoup plus loin à présent :

Il est temps d’en finir avec les mensonges de l’industrie pharmaceutique, notamment concernant les vaccins. Les preuves sont nombreuses que cette technologie, depuis ses débuts, ne présente aucun intérêt pour la santé humaine et au contraire participe à la mauvaise santé, terreau essentiel pour faire prospérer l’industrie de la maladie. Les mensonges répétés ad nauseam et le marketing outrancier en faveur des injections dites « vaccin anti-Covid » sont l’apothéose de ces mensonges, et j’espère qu’ils feront tomber une fois pour toutes cette technologie bidon !

Pour en avoir le cœur net, je te conseille l’excellent livre « Vaccination, la grande désillusion » de Suzanne Humphries et Roman Bystrianyk, disponible (malheureusement) à l’achat en ligne uniquement sur Amazon sur ce lien : https://www.amazon.fr/Vaccination-d%C3%A9sillusion-Maladies-infectieuses-%C3%A9pid%C3%A9mies/dp/287434186X et peut-être chez votre libraire (à commander si besoin ?).

Retrouve cet article ici https://www.jeremie-mercier.com/les-petits-arrangements-de-pfizer/ et laisse-moi ton commentaire sous l'article sur mon blog ;)

Bon visionnage, bonne découverte et bonne semaine !

Avec espoir :)
Jérémie

vendredi 11 février 2022

Puces vaccinales, une réalité ??!

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Voici une capture d’écran de smartphone, prise devant un supermarché. Il semble que beaucoup de vaccinés aient un code alphanumérique spécifique, une adresse MAC Bluetooth unique, qui apparaît à l’écran lorsque le Bluetooth est activé en mode recherche de périphériques. Ce type d'adresse physique, assigné à chaque puce Bluetooth injectée avec le vaccin, propose environ 281.000 milliards d'adresses MAC possibles et change tous les jours, en fonction d'un algorithme évitant la falsification de l'adresse  !

Lorsque l'on marche dans la rue, les codes alphanumériques changent avec le flux continu de piétons et de véhicules. Les adresses ont toutes le même format alphanumérique normalisé (adresse MAC), douze chiffres et lettres, séparés par deux points.

Plus il y a de monde, plus les codes apparaissent, la liste évolue en permanence. Le fait que les codes changent avec les passants n’a de sens que si ces personnes elles-mêmes en sont porteuses. Pour information, les GSM et les objets connectés ne renvoient que rarement ce type de code, mais des noms d'appareils ou des références constructeurs.

Ces codes ne sont visibles qu'avec certains smartphones, Samsung, Asus et d'autres, certains téléphones chinois ne les affichent pas, ainsi que les IPhones (1). Les smartphones plus anciens sont plus sensibles et sont capables de détecter ces codes alphanumériques uniques sur plus de 20 mètres.

Avant de crier au fake, faites vous-même l'expérience suivante, qui est à la portée de tous :

Vous ne devez pas être vacciné et être en possession d'un smartphone qui détecte ces codes. Vous ne devez avoir sur vous aucune montre connectée et autre oreillette Bluetooth.

Placez-vous dans un endroit naturel ou au centre d'un parking non-fréquenté, à l'air libre, sans personne dans un rayon de 40 mètres, afin de ne pas polluer l'expérience.

Lancez une première recherche de nouveaux périphériques Bluetooth sur votre smartphone, afin de vérifier qu'aucune adresse MAC n'apparait. Ensuite, faites signe à un ami vacciné, situé en dehors du périmètre, afin qu'il vous rejoigne et relancez une nouvelle recherche de périphériques Bluetooth sur votre smartphone. Son adresse MAC unique va apparaitre. Demandez-lui ensuite de retourner où il était, son adresse MAC va disparaitre. Relancez régulièrement la recherche dès qu'elle s'arrête. Vous pouvez recommencer avec plusieurs vaccinés.

L'identité numérique des vaccinés change tous les jours, selon un algorithme spécifique, afin d'éviter leur copie !

L'expérience a été répétée de nombreuses fois avec des vaccinés Pfizer et Moderna, et il semble que de rares vaccinés ne renvoient pas de code, même après deux vaccinations, par moment certains codes, préalablement détectés, disparaissent, reste à en déterminer la cause.

Un vacciné peut aussi réaliser seul cette expérience, dans les mêmes conditions, sauf que quand il lancera la recherche des périphériques Bluetooth, son code apparaitra partout où il se trouve et changera tous les jours.

Comment ce tour de force a-t-il été possible ?

La technologie des micro-puces intelligentes permet de réaliser des puces d'un dixième de millimètre, voire moins, comme le précise le fabriquant Hitachi. La taille de ces puces permet leur injection à travers une aiguille de seringue sans le moindre problème.

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Les flacons servant à la vaccination contiennent plusieurs doses. Le fait de diluer des puces dans le liquide vaccinal, amènerait le risque d'en aspirer plusieurs en même temps, ce qui ne serait pas nécessairement un problème dans la mesure ou une seule s'activerait, en désactivant les autres.

Pour pouvoir injecter une seule puce, il faudrait probablement la placer a l’intérieur des seringues ou des aiguilles. Mais il existe de nombreux fournisseurs et il deviendrait difficile de garder le secret sur cette pratique.

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Lors de l'aspiration du liquide vaccinal, la puce située a l'intérieur de la seringue ou de l'aiguille, se diluerait dans le liquide et serait ensuite injectée avec le produit, dans le muscle.

Fonctionnement

Tant que la micro-puce reste en dehors du corps, elle est inactive, mais dès son injection dans le muscle il se produit une activation radioélectrique de la puce.

Beaucoup essaient de justifier la présence de graphène dans le vaccin, focalisant sur ses propriétés toxiques, ou une capacité d'intelligence numérique qui agirait sur la physiologie du corps. Sa toxicité est reconnue, mais elle serait peut être un effet collatéral chez certains, non recherché par les scientifiques qui ont élaboré le vaccin. Les propriétés électriques du graphène pourraient justifier sa présence.

Le graphène, un fois injecté dans le corps, aurait la propriété d'activer les puces, qui émettraient leur signal Bluetooth, générant un code de marquage. L'élimination progressive du graphène, par les mécanismes naturels du corps, nécessiterait une réinjection régulière de graphène, afin de maintenir la puce active.

Lors d'injections multiples, plusieurs puces se retrouvent donc dans un même corps, et la première puce injectée doit donc désactiver les puces suivantes, tout en mémorisant le nombre d'injections, afin de ne générer qu'un seul code par sujet inoculé.

Pourquoi imposer violemment cette vaccination inefficace ?

Afin de mettre en place l'identité numérique et le contrôle total des populations, chaque humain, au moins dans les pays occidentaux, doit posséder une identité numérique.

Contrôle des populations

Quand la totalité des populations sera vaccinée/pucée, l'ensemble des systèmes de contrôle sera activé, à travers des lecteurs de puces discrets, placés dans tous les lieux publics, des objets connectés et tout autre système permettant de détecter les puces Bluetooth (Smartphones, télévisions, PC, tablettes, électroménager connecté, capteurs divers et variés...). Ces "détecteurs" renverront l'information de votre présence partout où vous vous rendrez, dans les rues, y compris chez vous.

Ces micro-puces ne permettent pas directement le suivi GPS, qui est système gourmand en énergie et nécessitant une antenne conséquente. Votre géolocalisation sera réalisée indirectement, au moyen des informations sur votre présence, communiquées par la multitude des appareils communicants, qui vont envahir votre vie, si ce n'est déjà fait.

Et la 5G dans le paysage ?

Les antennes 5G ont la capacité de balayer une zone, tel un radar, et d'identifier simultanément les propriétaires des GSM présents dans leurs champs.  Cette capacité reliée aux informations renvoyées par la détection de votre puce, permettra, en fonction de contraintes qui vous seront imposées (interdiction de se rendre dans tel endroit, de circuler en voiture, d'entrer dans un hôpital ou un supermarché...), de vous localiser avec certitude et précision, et de déclencher une alerte, avec mise de votre identification numérique en liste noire. Vos comptes en banque, votre permis de conduire, votre carte vitale pourront être immédiatement désactivées et les forces de l'ordre prévenues pour intervention.

Toute personne qui ne possèdera pas de puce valide, ou en fonctionnement, sera facilement localisée, puisque l'antenne 5G essayera de corroborer votre position avec celle renvoyée par les détecteurs locaux. Vous serez donc considérés comme asocial ou terroriste et arrêté, afin d'être inoculé de force, après un séjour de rééducation dans un centre "citoyen".

Pour quand ?

Nous y sommes, la chasse aux non-vaccinés est lancée, ils devront céder, de gré ou de force, afin que ce vaste plan de contrôle des populations se mette en place. La technologie est disponible et va rapidement être effective, avant deux ans, les gens découvriront qu'ils se sont faits pucer sans s'en rendre compte !

L'avenir de l’humanité est donc dans les mains des "ADN Free", les non-vaccinés, leur détermination seule peut encore stopper cette folie de l'oligarchie, ces malades congénitaux.


(1) Sur les IPhones il n'est pas possible de lire directement les adresses MAC. L'OS les transforme directement en adresse UUID, de ce type là :
5962C58F-BAD1-65D4-DCAC-06BBB06307C6

Il est nécessaire d'installer l'application "BLE Scanner" pour les lire :

Qu’est-ce que l’UUID ?

UUID signifie Universally Unique IDentifier , qui signifie littéralement «identifiant unique universel».

En tant que tel, l’UUID est un code d’identification standard utilisé dans le processus de construction du logiciel .

Il est utilisé pour créer des identificateurs universels uniques permettant de reconnaître et de distinguer un objet au sein d’un système, ou le même objet dans différents contextes.

L’UUID a une longueur de 128 bits, soit 16 octets. Le nombre d’UUIDs possibles est de 3×1038, les chances de faire correspondre deux codes UUID sont donc extrêmement faibles.

En tant que tel, un UUID est composé de 32 chiffres répartis en cinq groupes, comme suit : 8-4-4-4-12. Soit 36 caractères et quatre tirets les séparant. Par exemple : 670b9562-b30d-52d5-b827-655787665500.

Les codes de vaccinés ont comme désignation N/A, suivi du code UUID à 32 chiffres.

_______________________________

Document Google sur le Contact Tracing Bluethooth ici 

Le Docteur Broussalian en parle ici

dimanche 26 décembre 2021

Les vaccins COVID contiennent-ils des nanopuces ?

 

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Traduction et synthèse de l’Étude du Dr Campra qui a effectué la première et unique analyse 
indépendante sur des vaccins COVID – Découvertes effrayantes !

Travaux de synthèse réalisés par un scientifique en Suisse, expert en nanoparticules et auteur d’une thèse
 sur le graphène. Pour des raisons de sécurité, le chercheur préfère rester anonyme. D’autres analyses suivront...

Mise à Jour du 24/12/2021 Vidéo traduite en Français
 




Observations des émissions d’un code MAC par Bluetooth



Lien vers le site Internet

 

Lien vers le document

 



          

              

Toutes les références :

C0r0na2inspect.blogspot.com

Le système de routage CORONA pour les nanogrids

Routage CORONA pour les nanogrids


Réseaux de nanocommunication sans fil pour la nanotechnologie dans le corps humain

Réseau de communication sans fil dans le corps humain

Version originale en Espagnole


Pourquoi mettent-ils des nanopuces dans les pseudo vaccins ?

             

Tout est prouvé et documenté.

                                

Partagez l’information à vos proches, les gouvernements vous mentent depuis le début. Ce n’est pas 
pour lutter contre un virus mais vous insérer une puce pour vous contrôler.

Il est encore possible de refuser le projet des milliardaires psychopathes en refusant les doses 
contaminées.

Vaccination : non, "des chercheurs espagnols" n'ont pas montré 
que Pfizer "contient un produit inconnu"

TOXIQUE - "Étude" à l'appui, des internautes assurent qu'une équipe de chercheurs espagnols aurait démontré qu'un produit prétendument toxique - l'oxyde de graphène - se cache dans les flacons des 
vaccins Pfizer. C'est faux.

Felicia Sideris - Publié le 8 juillet 2021 à 17h29

Ces opposants à la vaccination ont découvert ce qu'aucune agence sanitaire au monde n'est arrivée à 
repérer. Les vaccins du laboratoire Pfizer/BioNTech cacherait un produit toxique. Un internaute 
coutumier des fausses informations croit ainsi savoir qu'il y aurait un "excipient caché" dans les doses 
du vaccin américain contre le coronavirus. Ce mardi 6 juillet, il a assuré sur les réseaux sociaux que "
des chercheurs espagnols" avaient trouvé un "produit inconnu" dans une fiole du vaccin, et qu'il s'agirait "d'oxyde de graphène connu pour être très toxique". Qu'en est-il réellement ? 

TOUTE L'INFO SUR

L'INFO PASSÉE AU CRIBLE

Les Vérificateurs, une équipe de fact-checking commune aux rédactions de TF1, LCI et LCI.fr
Un seul et très hypothétique flacon
Le document auquel fait référence cet internaute n'a rien d'une étude scientifique. Il s'agit, comme l'écrit l'auteur lui-même, d'un simple "rapport intermédiaire", mis en ligne le 28 juin, en espagnol dans sa 
version originale. Ce fichier PDF n'a pas été publié dans une revue scientifique, ni évalué par des pairs, méthode de référence pour valider les nouvelles découvertes scientifiques. 

 Les travaux ont été menés par un seul chercheur, le Dr. Pablo Campra, professeur à l'Université 
d'Almería. Ils ont pour but  "l'identification microscopique de dérivés du graphène" dans un échantillon présumé du vaccin Comirnaty, produit par le laboratoire Pfizer pour lutter contre le coronavirus. Pour 
cela, des images de l'échantillon sont comparées à celles d'images d'"oxyde de graphène réduit" issues 
de la littérature scientifique. Seulement, ces trouvailles possèdent plusieurs biais. 

LES VÉRIFICATEURS - Trouve-t-on vraiment des nanoparticules dans le vaccin Pfizer ?
Tout d'abord, la qualité de l'échantillon pose problème. Il n'y a en effet aucune preuve que le liquide 
analysé soit le vaccin contre le coronavirus. L'auteur écrit à propos de l'origine de l'échantillon passé 
sous le microscope qu'elle est "inconnue". Il précise que le liquide est arrivé pour analyse d'un certain Ricardo Delgado Martín. Or, selon la presse espagnole, il est un désinformateur notoire, dont le nom est connu dans la sphère anti-vaccin du pays.

Le produit testé n'est donc pas nécessairement un liquide issu du vaccin. C'est pourquoi le professeur 
Pablo Campra reconnaît dans ses écrits qu'il est encore nécessaire "de procéder à un échantillonnage significatif de flacons similaires (…) en enregistrant l'origine, la traçabilité et le contrôle qualité lors de 
la conservation et du transport avant analyse". 

Ensuite, contrairement à ce que pensent les internautes, l'auteur n'est aucunement conclusif dans ses observations. De son propre aveu, si les images du produit ainsi que celles de l'oxyde de graphène 
présentent "une forte similitude", cette simple comparaison ne "fournit pas de preuves concluantes".

L'Université dénonce de "fausses informations"

Tant d'aspects problématiques qui sont soulignés par le chercheur lui-même. Malgré ses précautions, ces travaux servent désormais de preuve d'une prétendue toxicité d'un vaccin pourtant déjà inoculé à plus 
de 44 millions de reprises en France. Face à ces "fausses informations", l'Université espagnole à 
laquelle est rattaché ce professeur a dû communiquer sur le sujet. Le 2 juillet, elle a rappelé ne pas avoir "réalisé d'étude scientifique avec les résultats publiés sur les réseaux sociaux". Dans un communiqué, 
elle regrette que ces derniers "déforment le contenu d'un rapport non officiel d'un professeur d'université
 sur l'analyse d'un échantillon d'origine inconnue avec une absence totale de traçabilité".

Il s'agit donc d'une simple observation d'un professeur espagnol, sur un seul flacon intraçable. Pour le moment, impossible d'assurer que l'oxyde de graphène fasse partie de ce vaccin autorisé contre le 
covid-19. Pour rappel, sa composition, totalement publique, a été rigoureusement examinée par les 
autorités sanitaires nationales, européennes et internationales. 

Felicia Sideris

source  : https://www.lci.fr/sante/vaccination-non-des-chercheurs-espagnols-n-ont-pas-montre-que-pfizer-contient-un-produit-inconnu-ou-de-l-oxyde-de-graphene-2190958.html