Christine Cotton démontre ou rappelle que :
- Les biais de l’essai clinique sont nombreux (notamment essai pas en double-aveugle, confusion possible des effets indésirables de l’injection avec ceux du « Covid », mauvais suivi des participants, plutôt livrés à eux-mêmes)
- Faible différence (6,5 %) du nombre de personnes avec symptômes (malades ou hospitalisés toutes causes) entre le groupe qui a reçu l’injection et ceux qui ont reçu le placebo
- Il y a trop peu de cas sévères de « Covid » sur l’ensemble des participants, donc ce chiffre n’est pas statistiquement significatif et on ne peut pas en tirer de conclusions
- Il n’y a pas de recul suffisant (expérimentation actuellement en phase 3, démarrée le 29 avril 2020) pour connaître la tolérance de ces injections !
- Certains groupes de personnes n’ont pas été inclus dans l’essai : femmes enceintes, patients immunodéprimés et présentant de comorbidités… pourtant ensuite les premiers à recevoir ces injections ! On ne peut donc rien conclure sur ces groupes de personnes ! Enfin, on n’a pas d’info dans cet essai de l’interaction possible avec d’autres injections (pourtant, le panachage des injections dites « vaccins anti-Covid » a été la norme !).
- Les bonnes pratiques cliniques n’ont pas été respectées (Cf. page 15 de la présentation) = « affaire Ventavia »
- Quant à l’essai sur les enfants de 5-11 ans, il n’a pas inclus assez de participants pour détecter un risque accru de myocardites (rapport du 26/10/2021), risque pourtant observé en vie réelle…
- Rappel aussi de l’affaire « Maddie de Garay », jeune fille de 13 ans qui a participé à l’essai Pfizer, est aujourd’hui en fauteuil roulant et nourrie par une sonde gastrique suite à un grave effet indésirable de l’injection, effet indésirable qui n’a pas été remonté dans l’essai clinique !
Aussi, il est très étonnant qu’autant de personnalités politiques et médicales aient fait la promotion de ces injections, allant au-delà même des conclusions des rapports de l’essai clinique Pfizer, se transformant en véritables VRP de cette entreprise multi-condamnée.
Voici la conclusion de Christine Cotton :
« Continuer à utiliser le vaccin Comirnaty en vie réelle constitue un risque important pour la vie des personnes. Il est donc nécessaire de suspendre urgemment toute vaccination par Comirnaty, non seulement pour les populations sur lesquelles nous ne disposons d’aucune information à ce jour, mais également sur l’ensemble de la population en attendant les explications du laboratoire Pfizer concernant le choix de son design d’essai, de ses méthodes d’évaluation, de l’algorithme de calcul des critères d’efficacité … »
Et voici la mienne car j’ai envie d’aller beaucoup plus loin à présent :
Il est temps d’en finir avec les mensonges de l’industrie pharmaceutique, notamment concernant les vaccins. Les preuves sont nombreuses que cette technologie, depuis ses débuts, ne présente aucun intérêt pour la santé humaine et au contraire participe à la mauvaise santé, terreau essentiel pour faire prospérer l’industrie de la maladie. Les mensonges répétés ad nauseam et le marketing outrancier en faveur des injections dites « vaccin anti-Covid » sont l’apothéose de ces mensonges, et j’espère qu’ils feront tomber une fois pour toutes cette technologie bidon !
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