lundi 8 août 2022

Le “tournant profond” de Poutine

source : https://www.dedefensa.org/article/le-tournant-profond-de-poutine

8 août 2022 (14H55) – Lorsque l’Opération Militaire Spéciale (OMS) a commencé, le 24 février 2022, tout paraissait clair dans l’esprit des observateurs. La Russie devait aller vite pour régler cette affaire, surtout éviter l’“enlisement”. Certains y voyaient, qui pour s’en réjouir qui pour s’en désoler, une consigne de l’au-delà, une sorte de doctrine “RIP-Brzezinski” opérationnalisé en un piège de type-“néo-Zbig” : faire de l’Ukraine un “second Vietnam” pour la Russie, comme l’Afghanistan avait été, en 1980-1988 et à l’instigation du même Zbigniew Brzezinski, le “Vietnam de l’URSS” (donc “premier Vietnam” de la Russie).

Très vite, en même temps que s’élevait comme un opéra wagnérien scandé par le régiment-Azov le concert d’admiration médiatique et de louanges communicationnelles pour l’héroïsme ukrainien et le génie stratégique de Zelenski, il devint admis que cette doctrine “néo-Zbig” était bien la pensée profonde de D.C. et du Pentagone. Il fallait « mettre la Russie à genoux », la chose fut dite par l’imposant secrétaire à la défense Austin ; c’est-à-dire, faire durer le conflit, pour que la Russie s’y épuise, militairement et économiquement, conduisant en toute logique américaniste à une révolte populaire mettant Poutine à bas et instaurant la démocratie néo-libérale et bien entendu américaniste.

En plus et pour la parfaite équité, il faut être juste et songer aux quarante discours-Macron qui ont fait la France ! Avec son flair infaillible, son intuition quasi-divinatoire, sa sublime vision stratégique, son sens moral exacerbé à la manière de la cithare lancinante comme le destin de  l’Anton Karas du ‘Troisième Homme’, la France macroniste avait vu juste avant tout le monde. Elle nous avait averti, dès le lendemain de l’attaque et d’une voix de maître par Bruno Lemaire, que nous allions « faire s’effondrer l’économie russe » et mettre la Russie dans un sinistre et mortel isolement. Ensuite, on la découperait en parts égales, et pour les US un peu plus égale que les autres, comme l’on fait d’une tarte au miel de Samarcande.

Bref, nous étions fixés, c’est-à-dire, – après avoir consulté notre dictionnaire des “idées reçues” à la rubrique Bouvard-et-Pécuchet, – que nous étions  mystifiés... Car peu à peu, les choses changèrent très vite. L’opéra wagnérien sur l’héroïque Zelenski se transforma en une ‘Prova d’orchestra’ à-la-Fellini et nous pûmes commencer à reconnaître, dans les torrents de censures diverses déversés sur nous pour nous assurer d’une exceptionnelle récolte idéologique sans canicule inopportune pour l’héroïsme-woke, quelques éclats de ce que nous appelons une vérité-de-situation ; certes et redite, “peu à peu, les choses changèrent très vite” pour nous faire comprendre que les choses n’allaient pas du tout dans le sens impérativement proclamé, mais plutôt inversement, dans le sens interdit par les consignes du Camp du Bien.

Bref (bis), je passe là-dessus car on en connaît assez pour en arriver à la situation présente. Les Russes dominant leur sujet, mais peu à peu sans trop se presser et plutôt en canonnant diablement l’adversaire pour éviter les pertes ; l’économie russe rose de plaisir et pétante de santé tandis que l’inverse survient de l’autre côté, du côté que je nomme, comme vous le savez, bloc-BAO comme si l’on y trouvait la force d’un bloc de granit ; et comme d’habitude, enfer et damnation, simulacre de la chose, papier-mâché plutôt que granit...

Le premier composant de ce développement (tournant ?) “inattendu” (?) de la fortune du monde est peut-être ceci que je désignerais comme le premier élément du “tournant profond” dont l’on parle dans le titre... Ce que l’on annonçait dur comme du granit pour la Russie est en train de se produire pour le bloc de papier-mâché. Au contraire, la Russie caracole, avec une économie florissante et une machinerie militaire qui produit ce qui importe ; au contraire, c’est le bloc-BAO qui sème le carnage dans son économie et qui ne cesse de s’épuiser militairement dans des initiatives grotesques, – par exemple, lorsque CBS.News, pourtant bien vu dans le Camp du Bien, vous annonce que 70% des $milliards d’armements transférés à l’Ukraine au détriment des réserves militaires des donateurs disparaissent dans diverses poches des escouades d’oligarques et des “bataillons spéciaux” des corrompus. (Les tentatives de censure par les petits soldats du GAFAM bloquant la vidéo de CBS.News démontrant cette situation relèvent du pathétique-bouffe ; notre système de censure est vraiment en train de devenir fou tant il est grossier et fait bon marché de lui-même...)

Là-dessus, surprise surprise (pour les prophètes-courts), le deuxième composant du “tournant profond” se trouve dans ce fait que la Russie n’est pas, mais alors pas du tout isolée comme nous le promettaient Lemaire & Cie... Parmi les innombrables signes de la chose, on peut citer une sorte de “preuve par le G20” (celui de novembre en Indonésie). Les pays qui se sont opposées à toute mesure symbolique sinon vexatoire contre la Russie, y compris la non-invitation faite à Poutine, donc ces pays qui ont pris sans équivoque le parti de la Russie sont au nombre de dix : l’Afrique du Sud, l’Arabie Saoudite, l’Argentine, le Brésil, la Chine, l’Inde, l’Indonésie, le Mexique, la Russie et la Turquie. Le reste, dans la volaille du camp adverse, c’est le bloc de papier mâché, regroupé autour du sémillant Biden. Qui est isolé par rapport à qui et à quoi ?

Ainsi est apparu le second constat après le premier qui est que la “guerre longue” avantage la Russie et non le bloc-BAO, et le second  enchaînant directement sur le premier. Cette situation de “guerre longue” fixe un antagonisme non plus d’une guerre régionale, mais d’un affrontement autour du sort d’une civilisation. Cette idée largement partagée désormais, notamment par Jacques Sapir, est celle du “Grand-Sud” faisant sécession du leadership arrogant du bloc-BAO et mettant en cause tout ce qu’il reste de son vacillant édifice. Du coup, l’Ukrisis du départ, composé de l’affrontement de la Russie contre le régime de Kiev, prend la dimension globale et cosmique de l’affrontement entre l’ordre ancien qui s’effrite affreusement dans ses querelles et troubles internes, qui perd sa puissance économique et militaire, et le reste (“The Rest of the World”) qui lève l’étendard de la révolte et ne cesse de pousser à cette dynamique de déconstruction des déconstructeurs.

Ainsi en suis-je conduit à mon hypothèse centrale du “tournant profond” du président russe Poutine. Je suis soudain poussé par le sentiment intuitif que cet homme, soudain pressé, lui, par un affrontement régional peut-être improvisé et délicat, a découvert tout soudain combien l’adversaire, – l’OTAN et non plus le clown-Zelenski, – était faible, vulnérable, totalement intoxiqué par ses propres narrative, et qu’il y avait là une occasion unique à saisir, une occasion que le destin ordonnait de choisir. Ainsi l’homme de la guerre courte et audacieuse aurait-il choisi de passer à la guerre longue et prudente, pour entretenir une dynamique qui enflamme le monde entier et met mortellement en cause la suprématie d’une civilisation plongée dans l’abîme noir...

« ...notre situation présente, au bord de l’abîme, dégringolant dans l’abîme, disparaissant dans ce trou noir sans fond que nous avons nous-mêmes creusé, et que même nous continuons à creuser au long de la chute comme si nous voulions que cette chute soit encore plus profonde, plus éperdue, plus enfouie, creusant au fond comme l’on fait pour une chute sans fond... »

Évidemment, aujourd’hui que cela semble être fait dans le sens de cette dynamique, on est tenté de penser que l’avisé Poutine ne pouvait pas passer à côté de ce qu’il aurait préparé, et que son “tournant profond” était une évidence qu’il ne pouvait qu’exploiter exactement comme il l’avait prévu. Je suis moins assuré de cela (de cette prévision) dans mon sentiment d’être absolument assuré qu’il y a bien un “tournant profond”, passant d’une Ukrisis locale à l’Ukrisis globale. Je crois que la puissance des événements, qui nous vient de bien au-dessus de nous, a dû surprendre Poutine lui-même, qu’il a caché sa surprise derrière son impassibilité qui fait sa grande force de caractère, et ainsi pouvant s’installer parfaitement pour mieux assurer sa conduite et négocier à merveille ce qui était devenu dans cette aventure incroyable, un “tournant profond” sanctifiant la GrandeCrise dans tous ses états.

La fantastique vitesse de l’événement dont l’impulsion nous vient des dieux nous prend tous par surprise, y compris celui qui en fait le meilleur usage possible. Ainsi sommes-nous assurés de vivre une époque sans pareille dans l’histoire du monde. C’est souvent bien lourd à porter ; c’est parfois lumineux à contempler

lundi 8 août 2022 - [Centrale nucléaire] Une psychopathie ukrainienne jusqu'au suicide

 source : https://alawata-rebellion.blogspot.com/2022/08/une-psychopathie-ukrainienne-jusquau.html

Le 7 août 2022, pour la troisième fois, les forces ukrainiennes bombardent la centrale
nucléaire de Zaporodje située dans la zone contrôlée par la Russie. Cette fois ce sont
des roquettes à sous munitions qui sont tombées dans la zone de stockage des barres
combustibles radioactives et sur des stations électriques régulant le refroidissement
de réacteurs nucléaires dont certains ont du être arrêtés ou ralentis en urgence.

On a vu ces dernières semaines jusqu'où les "ukropithèques" peuvent pousser leur russophobie, activée il y a 8 ans sur le Maïdan, dans un paroxysme criminel jusqu'à "se tirer une balle dans le pied". En effet, le soutien occidental au néo-nazis de Kiev, jusqu'ici inconditionnel, commence à s'interroger et même à se lézarder depuis que les "ukrops" bombardent avec les armes livrées par l'OTAN ou des milliers de mines antipersonnelles les quartiers résidentiels pourtant éloignés de la ligne de front et même du moindre objectif militaire. Et je n'évoque pas l'idéologie nazie qui dans les discours ukro-atlantistes officiels est de plus en plus... décomplexée ! 

Mais le sujet que je veux aborder ici est le bombardement ukro-atlantiste répété de la centrale nucléaire de Zaporodje et dont les conséquences potentielles dépassent l'entendement et repoussent encore et toujours plus loin les limites de cette folie suicidaire qui s'est emparée de l'Ukraine depuis que ce coup d'Etat atlantiste qui l'a condamné à n'être plus que le larbin russophobe et sacrifiable de l'expansionnisme militaro-industriel étasunien en Europe. 

Le site de la centrale de Zaporodje est situé à 55 km en aval, à Energodar

Depuis la fin du mois de juillet les forces ukrainiennes ont augmenté leurs provocations contre la centrale nucléaire de Zaporodje, allant même jusqu'à bombarder des stations électriques réglant le refroidissement des réacteurs et des sites de stockage de combustibles radioactifs.


1 / La centrale nucléaire de Zaporodje 

Mise en service en 1985, la centrale nucléaire de Zaporodje est située à 55 km en aval de la ville, sur la rive gauche du Dniepr au niveau de la retenue d'eau de Kakhovka, créée pour alimenter le refroidissement de ses 6 réacteurs qui font d'elle la plus grande centrale nucléaire d'Europe. 

Lorsque les opérations militaires russes sont engagées en Ukraine, la 58e armée russe atteint très rapidement le site extrêmement sensible de la centrale nucléaire et, dès le 2 mars 2022,  le sécurise, d'ailleurs en coopération intelligente avec les forces de sécurité ukrainiennes du lieu, qui comprennent alors avec les russes qu'aucun combat ni bombardement ne doit menacer les installations nucléaires.

Mais rapidement, la centrale nucléaire devient le théâtre de provocations répétées de la part du régime de Kiev qui tente d'agiter au dessus de "l'opinion internationale" le spectre de Tchernobyl pour bien sûr accuser la Russie de vouloir provoquer une catastrophe nucléaire en Ukraine. 

2 / Les provocations ukrainiennes 

Attaque ukrainienne contre la centrale nucléaire d'Energodar le 20 juillet 

Quelques unes des provocations ukrainiennes contre la centrale nucléaire de Zaporodje:

  • En juillet, plusieurs tirs de roquettes HIMARS étasuniens touchent le barrage de NovaÏa Kharkova, en amont de Kherson, et qui alimente la Crimée en eau courante mais aussi la retenue d'eau nécessaire au refroidissement des réacteurs nucléaires.
  • Le 20 juillet, une première attaque ukrainienne importante, avec une vingtaine de drones kamikazes qui s'abattent sur le périmètre de la centrale nucléaire, blessant 11 personnes et provoquant la colère du Ministère russe des Affaires étrangères:

"Nous mettons en garde le régime de Zelensky contre les provocations continuelles contre la plus grande centrale nucléaire d'Europe, lourdes d'un accident nucléaire, dont les graves conséquences pourraient affecter non seulement l'Ukraine mais la région entière. Nous appelons la communauté internationale à être vigilante dans cette affaire et condamnons les actions de les autorités de Kiev", Maria Zakharova représentante du MID russe.

  • Le 30 juillet , un groupe de journalistes occidentaux encadré par les officiers politiques de l'armée ukrainienne arrive dans le secteur de Orekhov (80 km à l'Est) pour évoquer les "bombardements russes sur la centrale nucléaire de Zaporodje"...

Observation : La logique voudrait que pour couvrir la situation à Energodar il est préférable d'emmener les reporters pro-ukrainiens en face de la centrale, sur la rive droite du barrage de Kakhovka, sauf si c'est justement le secteur d'où partent les tirs ukrainiens contre elle !

  • Le 5 août, sur fond d'exacerbation du front de Kherson, les forces ukrainiennes qui continuent de viser le barrage de Novaïa Kharkova bombardent à nouveau, depuis le secteur de Nikopol, la centrale nucléaire de Zaporodje avec 20 obus de 152mm.
  • Le 6 août, 2 nouveaux bombardements ukrainiens frappent le périmètre de la centrale de Zaporodje, cette fois avec des roquettes de 220mm "Uragan", provoquant des dégâts et incendies suffisants provoquant l'arrêt du réacteur n°3 et le ralentissement du n°4.
Ces attaques ukrainiennes qui menacent dangereusement la sécurité nucléaire de la région et même de l'Europe peuvent avoir plusieurs objectifs concrets et propagandistes que nous révèle ce dernier bombardement du 6 août 2022:
  • En frappant le nouveau réseau électrique extérieur qui doit raccorder la centrale au réseau russe, Kiev cherche à maintenir sans électricité les villages de cette région, 
  • En visant le stockage du combustible nucléaire usagé, par chance sans conséquence nucléaire, Kiev cherche à faire fuir la population civile et saboter le futur référendum,
  • En créant un nouveau "buzz" médiatique autour de la centrale, Kiev met la pression sur ses parrains occidentaux et fournisseurs d'aides militaires et financières.
  • En agitant le spectre nucléaire imputé aux russes, les ukro-atlantistes essayent de réactiver une russophobie délirante faisant diversion loin de leur intentions bellicistes.

3/ Une menace réelle majeure et incontrôlable 

Alors que les ukro-atlantistes réveillent auprès de leurs populations formatées la grande peur d'une apocalypse nucléaire militaire russe, leurs laquais ukrainiens jouent réellement avec le danger atomique, car leurs bombardements récents ont été réalisés avec des roquettes à sous munitions dont certaines ne sont tombées qu'à une dizaine de mètres seulement du site de stockage des combustibles usagés (TVEL) construit par la société américaine Duke Engineering & Services en 2001Ces éléments qui sont toujours radioactifs sont aujourd'hui au nombre de 3744 barres combustibles stockées dans 156 conteneurs à l'air libre. Si un seul de ces conteneurs était éventré le rayonnement radioactif dépasserait les 120 km.

Mais la menace la plus importante reste l'arrêt du refroidissement d'un ou plusieurs réacteurs qui pourrait être provoqué par une destruction des postes de régulation électrique ou du barrage de la retenue d'eau. Surchauffe du réacteur, fusion du coeur et retour vers le scénario de Tchernobyl dont tout le monde se souvient.

4/ La duplicité hypocrite et complice des occidentaux 

A ce stade de la menace, nous avons d'un côté les ukro-atlantistes qui, dans une hystérie russophobe totalement ridicule, accusent la Russie d'être responsable des bombardements sur la centrale nucléaire, et de l'autre côté Moscou qui met en garde Kiev et alerte l'opinion internationale du danger que font peser les actions irresponsables des forces ukrainiennes sur la sécurité nucléaire régionale et européenne. 

Moscou a d'ailleurs plusieurs fois invité l'Agence Internationale à l'Energie Atomique (AIEA) à se déplacer sur le site pour contrôler la situation sécuritaire de la centrale nucléaire.

Or l'ONU, de qui dépend l'AIEA, bloque son accès sur le site d'Energodar, prétextant que l'accès lui est refusé par les autorités gérant la centrale officiellement, à savoir Kiev et l'opérateur qui est toujours une société ukrainienne. 

Pourquoi un tel blocage de la part des ukro-atlantistes ? Deux hypothèses : 

  • Complicité dans les provocations réalisées par les forces ukrainiennes, pour maintenir active la théorie calomnieuse que ce sont les forces russes qui bombardent la centrale de Zaporodje pour mettre en danger leurs propres populations russes. Absurdité coutumière depuis mars à propos de d'Energodar, de Bucha, de Marioupol, de Kiev... 
  • Volonté de ne pas voir des enquêteurs internationaux découvrir les laboratoires militaires illégaux qui travaillaient sur le site à préparer une renucléarisation des forces armées ukrainiennes, intention confirmée publiquement par Zelensky début février et par les stocks excédentaires d'uranium trouvée dans la centrale de Zaporodje.

Conclusion 

Il reste à savoir si le régime ukro-atlantiste de Kiev réalise ici une campagne de bombardements psychologiques ou de communication irresponsable ou si réellement il est prêt dans un jusqueboutisme suicidaire à provoquer une catastrophe nucléaire majeure au coeur de l'Europ, pour ensuite l'imputer, propagande occidentale oblige, à Moscou.

La Russie dans cette histoire des bombardements ukrainiens sur la centrale nucléaire exerce une responsabilité morale qu'elle a déjà exprimé dans ses avertissements à Kiev et aux occidentaux. Si les attaques des ukro-atlantistes continuent il est fort probable que la Russie décide de détruire radicalement toute ressource civile ou militaire ukrainienne susceptible d'abriter ou de participer à ces bombardements sur Energodar, et ce quels que soient les dommages collatéraux humains ou socio-économiques que cela pourrait impliquer. 

A grands maux grands remèdes !

Erwan Castel

Balade dans la centrale après
les bombardements ukrainiens 

Le Monde Moderne - la revue de presse du lundi 8 aout 2022

 


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Coronagates - Téléphone à la pharmacie

 


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Un père dont le fils de 7 ans est hospitalisé pour myocardite suite au vaccin Covid téléphone à la pharmacie qui l'a vacciné.




COMMENT RETROUVER LA VERITE EN SOI ? - ECKHART TOLLE EN FRANCAIS


 L'EVEIL DE LA CONSCIENCE - CLAIRE

Parthénogenèse: génétique d’une autre origine

 


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