Chère lectrice, cher lecteur,
L’Assemblée nationale a adopté le pass vaccinal.
Les mesures de notre gouvernement ressemblent de plus en plus à celles d’un État totalitaire.
Et pourtant…
Il faut garder espoir.
Car j’en suis convaincu : le vent est en train de tourner pour cette année 2022.
Depuis quelques semaines, de plus en plus de personnes prennent conscience des dérives de nos autorités.
Les Français ne veulent pas d’un abonnement vaccinal à vie… et la propagande intensive, la répression et la politique du bouc émissaire ne pourront rien y changer.
Même les grands médias et les habitués des plateaux TV commencent à changer leur fusil d’épaule.
Les avis « divergents » commencent (enfin) à sortir dans les médias mainstream
Le coup de gueule de David Pujadas est emblématique de ce revirement de situation.
Le journaliste de LCI, ancien présentateur de France 2, s’est emporté contre les médias qui « entretiennent un climat de peur » :
« Aujourd'hui, on nous présente les 200.000 contaminations quotidiennes comme un drame. Or, la contamination aujourd'hui n'a plus rien à voir avec la contamination du printemps 2020, quand c'était le premier variant et que l'on n'était pas vacciné. Aujourd'hui, la contamination n'est plus un indicateur aussi pertinent", estime-t-il. "Donc, arrêtons de nous mettre la rate au court-bouillon tous les jours et d'être dans ce climat d'anxiété, alors que beaucoup d'éléments incitent, d'une certaine manière, à être un peu plus sereins. C'est tout ce que je dis, mais c'est vrai que ça m'exaspère[1]. »
On peut aussi citer Cyril Hanouna et Benjamin Castaldi, qui ont avoué dans l’émission Touche Pas à Mon Poste qu’ils ne feraient pas vacciner leurs enfants[2].
Depuis la rentrée, certains médias osent aussi inviter des scientifiques qui auraient été « persona non grata » en 2021.
Mercredi, Europe 1 interviewait par exemple l’épidémiologiste Alice Desbiolles pour une interview pleine de bon sens.
Je vous conseille d’ailleurs vivement de la visionner.
En 15 minutes, elle remet les points sur les « i » au sujet de la crise et des mesures qui sont prises pour y faire face.
Avec beaucoup de calme, elle explique pourquoi la vaccination de masse et le pass vaccinal ne sont pas de bonnes solutions, et comment la médecine et la santé publique basculent peu à peu dans le domaine de la morale, avec des bons et des méchants, plutôt que de rester dans le champ de l’éthique.
Deux jours plus tard, c’est au tour du Figaro de publier une interview complète du Dr Alice Desbiolles, toujours aussi critique sur la politique vaccinale.
De telles paroles auraient été impensables quelques mois plus tôt dans un grand média.
Les « experts des plateaux TV » retournent leurs vestes
Depuis deux ans, on voit toujours passer les mêmes têtes à la télévision pour soutenir les mesures du gouvernement (vaccination de masse, confinement…).
Je pense notamment au Dr Martin Blachier et au Pr Eric Caumes, omniprésents sur BFM TV, TF1 ou encore LCI.
L’été dernier, l’épidémiologiste médiatique Martin Blachier défendait avec ferveur la vaccination obligatoire[3] et souhaitait même sanctionner financièrement les personnes qui refusaient la vaccination[4].
Mais la magie de Noël semble avoir transformé Martin Blachier, car ses propos sont désormais bien différents : aujourd’hui, il défend la vaccination uniquement pour les personnes âgées et à risque et demande de laisser tranquilles les jeunes[5]. Il est aussi l’un des premiers à avoir signalé publiquement que le variant Omicron se propageait surtout au sein des populations vaccinées, remettant ainsi en question l’intérêt de la vaccination[6].
Quant à l’infectiologue Eric Caumes, il est connu pour ses prises de parole alarmistes au sujet de l’épidémie[7] et pour avoir promu les confinements[8] et la vaccination de masse[9].
À la surprise générale, il vient d’avouer avoir été déçu par la faible efficacité du vaccin et estime désormais qu’il vaut mieux miser sur l’immunité naturelle : « il y a probablement 500 000 infections par jour. (…) À ce rythme-là, on obtiendra plus rapidement l’immunité par l’infection que par la vaccination[10] ».
Mais Eric Caumes ne s’arrête pas là. Il reconnaît aussi que le pass vaccinal est « une régression sanitaire[11] », ou encore qu’il est « très possible que le virus se soit échappé du laboratoire de Wuhan[12]. »
Avec de tels propos, il aurait été considéré comme un complotiste en 2021, preuve en est que les mentalités sont en train de changer.
Le peuple se manifeste de plus en plus
Olivier Véran et Emmanuel Macron cherchent à faire croire que l’immense majorité des Français soutiennent les mesures du gouvernement, prétextant une ferveur pour la vaccination puisque près de 80 % de la population en a reçu au moins une dose.
Mais ils oublient de préciser que cela s’est fait le couteau sous la gorge, avec des mesures toujours plus contraignantes en cas de refus.
Par ailleurs, de nombreux double-vaccinés, à qui l’on avait promis la fin proche de l’épidémie, sont désormais fermement décidés à ne pas renouveler leur abonnement vaccinal. L’annonce de Jean Castex d’une quatrième dose à venir n’a pas arrangé les choses, si bien qu’actuellement, seul un tiers des Français a fait la troisième dose.
Non, ceux qui s’opposent aux mesures du gouvernement ne représentent pas une infime minorité.
Un récent sondage Elabe[13] montre d’ailleurs que :
57% des Français estiment qu’« être non vacciné c’est un choix individuel, [qu’]il faut respecter »
53% des Français ont été choqués par les récents propos de Macron visant à « emmerder les non-vaccinés »
72% des parents d’enfants âgés de 5 à 11 ans sont opposés à la vaccination de cette tranche d’âge
Mais le plus bel exemple de la résistance de la population est sans aucun doute la pétition de mon ami Rodolphe Bacquet contre le pass vaccinal, qui a dépassé les 1,2 million de signatures en une dizaine de jours.
C’est historique !
De mémoire, un tel engouement autour d’une pétition n’avait encore jamais eu lieu en France.
Si vous ne l’avez pas fait, je vous invite à la signer sans attendre. Tout n’est pas joué !
Les médecins ont d’ailleurs suivi le mouvement, puisque peu après le lancement de la pétition, le Syndicat de la médecine générale s’est officiellement opposé au pass vaccinal[14].
Et ce n’est pas tout : le 4 janvier 2022, la Défenseure des droits, Claire Hédon, a publié un avis extrêmement détaillé pour avertir des risques graves que représenterait une telle loi pour nos libertés[15].
Même les laboratoires vacillent de leur piédestal
L’industrie pharmaceutique est bien sûr la (seule ?) grande gagnante dans cette épidémie.
Les laboratoires qui commercialisent les vaccins auraient ainsi fait un profit de 34 milliards de dollars en 2021, ce qui représente 1000 dollars par seconde[16] !
Et pourtant, la situation pourrait bien changer pour eux aussi, du moins si on observe le cours de la bourse.
Après une fin d’année record, les actions Pfizer ne font que descendre depuis le début de l'année.
Et c’est encore pire pour Moderna : les actions du laboratoire sont en chute libre : depuis le mois de septembre 2021, celles-ci ont perdu la moitié de leur valeur.
Les actionnaires ont-ils senti, eux aussi, le vent tourner ?
Notez aussi qu’une cour d’appel américaine vient de lancer une action en justice contre plusieurs sociétés, dont Pfizer, AstraZeneca, et Johnson & Johnson, accusés d’avoir contribué à financer le terrorisme en Irak durant la guerre[17]…
Ce n’est pas la première fois que les laboratoires pharmaceutiques ont des démêlés avec la justice (j’y reviendrai dans une prochaine lettre), mais il faut avouer que cette nouvelle ne tombe pas au bon moment pour eux.
Pourquoi tous ces bouleversements ? La faute à « Omicron le trublion »
Il semble bien que le variant Omicron ait contribué à donner un bon coup de pied dans la fourmilière et chamboulé les plans de nos autorités.
Le gouvernement essaie tant bien que mal de nous faire peur en évoquant le nombre vertigineux de contaminations quotidiennes causées par ce nouveau variant, mais les données scientifiques sont en réalité très rassurantes.
Car Omicron serait à la fois extrêmement contagieux… mais beaucoup moins dangereux que les variants précédents.
En Afrique du Sud, premier pays à avoir repéré Omicron, les autorités ont annoncé que le pic était déjà passé quatre semaines après le début de la vague, et sans qu’on ne constate de pic d’hospitalisations ou de décès.
Ces données ont été confirmées au Royaume-Uni, où une étude a montré qu’Omicron entraînait trois fois moins de formes graves que Delta, que les durées d’hospitalisation étaient plus courtes et que les besoins en oxygène étaient moindres[18].
Le Royaume-Uni, à l’inverse de la France, a d’ailleurs fait le choix de laisser circuler Omicron et de ne pas prendre de restrictions supplémentaires[19].
Bref, Omicron circule beaucoup et vite, mais il envoie peu de gens à l’hôpital et tue encore moins.
Il n’y a donc aucune raison de s’inquiéter. Au contraire, ce variant est peut-être même une bonne nouvelle. Comme le disait le Pr Eric Caumes, « on obtiendra plus rapidement l’immunité par l’infection que par la vaccination[20]. »
Au Danemark, Tyra Grove Krause, épidémiologiste en chef de l'Institut National du Sérum a d’ailleurs déclaré qu’Omicron annonçait la fin de l’épidémie : « Je pense qu'on en a pour deux mois, et puis j'espère que l'infection commencera à se calmer et que nous retrouverons une vie normale[21]. »
Finalement, ce variant fait surtout du tort aux laboratoires et à nos autorités qui, avec le temps, auront toujours plus de mal à justifier la vaccination de masse contre un virus peu dangereux et contre lequel les vaccins semblent inefficaces.
J’espère, et j’ai bon espoir, que cette année 2022 marquera un tournant dans cette épidémie et dans la crise politique, sociale et économique que nous vivons depuis deux ans.
Gardons espoir, continuons à défendre vos valeurs, et surtout, prenons garde de toujours le faire dans le respect et la bienveillance des autres.
C’est ce que je souhaite à toutes et à tous pour cette année.
Amicalement,
Florent Cavaler
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