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mercredi 29 juin 2022

Passe sanitaire : François Asselineau revient notamment sur l'erreur de vote de la France insoumise


 Union Populaire Républicaine

La séquence électorale venant de s’achever, on assiste à un retour de la COVID-19 sur le devant de la scène médiatique et politique française. Faut-il s’en alarmer ? Certainement. Mais, si l’on assiste à un DURCISSEMENT indéniable de l’exécutif, on constate également un phénomène nouveau : une LIBÉRATION DE LA PAROLE qui était inenvisageable jusqu’en mars 2022.   00:00 - Introduction 01:51 – RAIDISSEMENT, La déclaration insensée de Macron 03:04 - Les autorités françaises et européennes veulent prolonger la passe sanitaire 06:47 - B. Bourguignon, ministre démissionnaire promeut la 4e dose 09:29 - Quelle majorité pour voter le prolongement du passe sanitaire ? 10:34 - Vers une vaccination des enfants et même des bébés ! 12:38 – LIBÉRATION DE LA PAROLE 12:48 - Proposition de loi de sénateurs LR pour abroger l’obligation vaccinale des soignants et des pompiers 14:05 - Rapport sénatorial sur les effets indésirables des vaccins 15:45 - Nombreux témoignages, relayés dans la presse, sur les effets indésirables du vaccin 17:31 - De nombreux Français rejettent l’idée d’une 4e dose 19:22 - La Commission européenne a acheté de quoi injecter 10 doses par personne 20:08 - Vigilance et pression sur la représentation nationale pour ne pas prolonger le passe sanitaire 22:34 - S’inspirant des États-Unis, l’exécutif veut constitutionnaliser l’IVG au motif que chacun est libre de son corps 24:25 - Pourquoi ne pas inscrire dans la Constitution l’interdiction de pratiquer des injections sur une personne sans son accord 24:52 - Concernant l’IVG, la France n’est pas les États-Unis 25:55 - Le calcul politicard du gouvernement et de Renaissance 26:56 - Conclusion : l’opposition parlementaire doit tout faire pour empêcher les injections ARNm ➖➖➖➖ Le site de l'UPR : https://www.upr.fr L'UPR a besoin de vous ! Adhérez : https://www.upr.fr/mode-adhesion/ Faites un don : https://www.upr.fr/mode-don/ Retrouvez toutes nos analyses sur notre site : https://www.upr.fr Abonnez-vous à notre chaine YouTube : https://www.youtube.com/channel/UC7OM... Suivez François Asselineau sur les réseaux sociaux : Twitter : https://twitter.com/UPR_Asselineau Facebook : https://www.facebook.com/asselineau/ Instagram : https://www.instagram.com/fasselineau/ TikTok : https://www.tiktok.com/@fasselineau Odysée : https://odysee.com/@UPRTV:a PeerTube : https://videos.upr.fr/

samedi 2 avril 2022

[coronagates] Perseverare diabolicum

 

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La Libre en ligne, 1/4/22, titre : « La vaccination obligatoire des soignants passe la première lecture sans une date d’entrée en vigueur. La commission de la Santé de la Chambre a approuvé vendredi soir, après sept heures de débats, le projet de loi relatif à la vaccination obligatoire des professionnels des soins de santé contre la Covid-19. À la demande de l’opposition, une deuxième lecture sera nécessaire avant le renvoi du texte en plénière pour approbation définitive. »

Tout n’est donc pas bouclé, mais cette décision, aussi interpellante soit-elle, semble en bon chemin d’approbation définitive. Comment en est-on arrivé là, alors que cette future loi fédérale repose sur une croyance depuis longtemps invalidée par les observations scientifiques ?

Cette croyance est celle que – parfois à tort – on tend à appliquer aux vaccins en général, à savoir que non seulement ils protègent le vacciné mais également les personnes que celui-ci rencontre, la vaccination étant réputée capable d’empêcher la propagation. Ce mythe, qui s’applique dans certains cas, est loin d’être la règle. Il est particulièrement infirmé lorsque le site de vaccination et les organes impliqués pour l’immunisation sont différents de ceux où le virus se réplique, ce qui est le cas pour les virus respiratoires lorsque la vaccination est intramusculaire. Ce raisonnement est cohérent par rapport à l’observation de la prévention par les vaccins anti-Covid des formes graves de l’infection (celles où le virus ne se contente pas de se répliquer dans les voies respiratoires, mais se propage vers le sang et les organes internes).

Si une personne vaccinée reste susceptible de transmettre le virus (la charge virale est identique chez les vaccinés et les non-vaccinés, même si celle-ci s’estompe éventuellement plus rapidement chez les vaccinés, Medrxiv 2021a, Medrxiv 2021bthe Lancet 2021UCDavis.eduNews-Medical-Net 2021Medrxiv 2022the Lancet 2022), rendre la vaccination obligatoire pour le personnel soignant est vide de sens. Une mesure efficace et plus logique serait de tester régulièrement ce personnel et l’écarter prudemment en cas de positivité. Un autre débat est alors de déterminer si un test PCR hypersensible est utile ou si un test antigénique bien réalisé suffit. Une telle mesure qui préserve la liberté de choix des personnes pour un consentement éclairé, s’avère bien plus protectrice vis-à-vis d’un patient fragile.

On en revient à la même logique que celle qui s’appliquait au Covid Safe Ticket, particulièrement « unsafe » puisqu’accordé d’office et sans test de dépistage à toute personne complètement vaccinée (la notion de vaccination complète ayant d’ailleurs varié au cours du temps, de 2 à 3 doses, avec, en outre, l’étonnante exception Johnson & Johnson). Il n’est pas inutile de continuer à insister sur l’aberration que constitue le CST maintenant désactivé puisque tout se met en place pour sa réactivation dès la première occasion que pourrait constituer à tout moment une reprise d’un variant de SARS-CoV-2 ou une flambée d’influenza ou de VRS ou encore d’un autre virus respiratoire.

Qu’on me comprenne bien : ceci n’est pas une critique du vaccin (même si je reste dubitatif quant à son application universelle et non-ciblée ainsi que sur son bien-fondé pour les jeunes) et il est inutile de me taxer d’antivax, ce que ne suis absolument pas. Il s’agit d’une critique de règles soi-disant sanitaires (CST, obligation vaccinale des soignants) qui manquent leur objectif avoué et sont même, par nature, dangereuses pour un public à risque.

Par ailleurs, il convient de s’interroger sur l’intérêt d’entamer, chez des non-vaccinés, une vaccination ciblant une ancienne souche virale, à l’heure où Omicron et son variant BA.2, fort éloignés antigéniquement de leurs prédécesseurs, sévissent et alors que leur pathogénicité est fortement réduite.

« La majorité a approuvé également quatre amendements, dont un concernant l’entrée en vigueur du dispositif. Plus aucune date n’est à présent fixée, celle du 1er juillet était jusqu’ici évoquée. La mise en œuvre de l’obligation devra être décrétée par un arrêté royal délibéré en Conseil des ministres. Celui-ci devra être motivé par des avis scientifiques établis, notamment par la Task Force Vaccination et le Conseil Supérieur de la Santé. »

Le Parlement s’apprête donc à voter une loi qui le dépouille de ses prérogatives en matière législative et ouvre un chemin dangereux par rapport au système démocratique. Je laisserai toutefois ces considérations à d’autres, vu que je n’ai aucune expertise dans le domaine de la politique. Néanmoins, ce procédé ne manque pas de heurter mon opinion de citoyen.

« Le projet de loi concerne uniquement les soignants, et non les autres membres du personnel des établissements de soins. »

Et voilà bien une autre aberration. Il n’est nullement besoin de longues explications pour faire comprendre que cette distinction n’a guère de sens et ne repose que sur une opinion. Certes, je m’en réjouis pour le personnel non-soignant, mais la discrimination est pour le moins interpellante.

« Aux yeux du ministre de la Santé Frank Vandenbroucke, la vaccination est « un devoir déontologique évident ». »

C’est un véritable mantra que nous sert le ministre à chaque occasion. L’évidence dont il parle est, en réalité, une intuition.

« « Va-t-on virer des milliers de personnes ? Non, on pourra convaincre des milliers de personnes de se faire vacciner », a-t-il estimé. »

On peut se demander quel élément de conviction sera utilisé… Remarquons toutefois que le débat à la Chambre des Représentants porte bien « sur le licenciement et l’interdiction absolue d’exercer ». C’est ce qu’on appelle ‘virer’.

Enfin, certain•e•s député•e•s ont contesté la proportionnalité de la mesure, reproché l’absence d’étude rigoureuse de son impact sur l’occupation du personnel soignant, évoqué le court-circuitage du Parlement ou suggéré dans un ultime effort démocratique – en vain – « que l’éventuel arrêté royal soit approuvé dans les 7 jours par la Chambre… »

mardi 30 novembre 2021

Frères vaccinés, qui après nous ne vivrez pas…

Source : https://lecourrierdesstrateges.fr/2021/11/28/freres-vaccines-qui-apres-nous-ne-vivrez-pas/?

Nous est-il encore possible d'être entendus de nos frères vaccinés, ou bien la rupture est-elle déjà consommée et sommes-nous, nous les non-vaccinés, déjà "sortis" de l'humanité, bannis de notre propre pays, de notre propre société ? S'il est encore possible de se parler, voici une adresse sur le droit à la vie, et sur la peur de la mort.

Frères vaccinés, je vous fais une bafouille par amitié, par agacement, pour tenter de vous rappeler à la raison. Même si j’ai bien compris que la peur qui vous tétanise vous rend imperméable à cette fameuse raison dont vous vous réclamez, mais dont vous donnez si peu l’exemple.

La peur du virus n’évite pas de mourir

Sur le fond, j’ai bien compris : vous êtes flippés par le virus.

Vous le voyez partout et surtout dans les non-vaccinés, mais aussi dans les boîtes de nuit, les cafés, les restaurants, les salles de concert, de théâtre, de sport, les piscines, les bibliothèques publiques où nous ne pouvons plus nous rendre sans vaccin. Mais curieusement pas chez les autres vaccinés, que vous fréquentez sans plus porter le masque, à qui vous ne demandez pas de se tester régulièrement, sauf lorsqu’ils tombent malades comme Jean Castex, malgré leurs deux doses. Ni dans les centres commerciaux où vous vous êtes rués pour le Black Friday.

Et je peux comprendre pourquoi ce virus suscite une telle peur en vous. Depuis des années, les medias dominants vous bassinent avec l’espérance que la médecine peut rendre immortel. Confiants dans la parole officielle, vous avez commencé à y croire. La science va dépasser les limites de l’humanité !

Et patatras cette bonne vieille mère Nature vous rappelle à la triste réalité : vous êtes mortels, et vous aussi, nous aussi, nous redeviendrons poussière, malgré toutes les espérances déraisonnables que des idéologues ont fait naître en vous. L’atterrissage est douloureux. 

Alors, on cherche des boucs-émissaires : si le rêve est brisé, ce doit être la faute de quelqu’un. Des non-vaccinés sans doute. C’est à cause d’eux que le virus est apparu, pas à cause de la nature. Ils doivent donc être punis. 

Ce que je peux juste vous dire, c’est qu’avoir peur du virus ne vous empêchera pas de mourir. Et si vous regardiez la vérité en face, vous sauriez que le vaccin n’y change vraiment pas grand chose. 

Frères vaccinés, vous les complotistes qui s’ignorent

En lisant les propos publics tenus de-ci de-là par des vaccinés, je comprends que vous nous accusez, nous les non-vaccinés, d’être la cause de tous les problèmes : à cause de nous, le virus continue à circuler. Sans nous il aurait disparu. 

Voilà des propos très amusants !

Quand certains d’entre nous ont évoqué leurs doutes sur l’origine naturelle du virus, beaucoup d’entre vous ont crié au complotisme. Bien sûr, le monde s’est arrêté brutalement parce qu’une chauve-souris avait franchi 400 kilomètres pour mordre un pangolin qui a mordu un Chinois. C’était la version officielle chinoise, donc fiable, donc impossible à remettre en cause tant elle est sérieuse. Il fallait être un hurluberlu d’extrême droite pour rester sceptique. 

Quelques mois plus tard, je vois que le complotisme a changé de camp. Cela vous ennuyait d’imaginer que le virus avait pu s’échapper d’un laboratoire humain. Mais cela ne vous ennuie pas d’expliquer qu’il circule à cause des non-vaccinés, alors même que plus aucun gouvernement ne dissimule le fait qu’être vacciné une fois, deux fois, trois fois, quinze fois s’il le faut, n’empêche pas d’attraper la maladie et de la répandre. Origine animale un jour, origine humaine le lendemain.

Je suis absolument convaincu que, dans quelques années, vos enfants, s’ils sont épargnés par les cancers et les maladies à prion qui risquent d’exploser (mais je leur souhaite de vivre), vous demanderont comment vous avez pu être aussi ridicules. Et j’espère qu’ils vous demanderont des comptes sur la naïveté avec laquelle vous avez avalé (de façon aussi arrogante et fate) autant de bobards en même temps. 

Et si vous ouvriez enfin les yeux ?

Car, si vous mettez pendant quelques instants votre peur puérile de la mort de côté, et si vous reprenez vos esprits pour regarder les choses en face, vous pouvez (sans vous exposer à un complotisme démesuré) vous demander comment il se fait que, avec plus de 80% de Français vaccinés et un passe sanitaire qui écarte les bombes virales que sont les non-vaccinés loin des lieux publics, une cinquième vague arrive, avec une troisième dose obligatoire. Vous en connaissez beaucoup, vous, des vaccins qui n’empêchent pas de tomber malade malgré trois doses ? On ne vous mentirait pas sur les vertus de ce produit ? Ce ne serait pas un genre de placebo ?

Je sais bien que les medias et la classe politique (en tout cas la majorité de ses membres) répètent en boucle qu’il faut faire confiance à la science, et que tous ceux qui doutent sont des complotistes antisémites d’extrême-droite. Mais s’il vous reste un peu de raison, si vous choisissez pendant quelques instants seulement de dominer votre peur et d’ouvrir les yeux, vous pourriez aussi vous dire que vous subissez une formidable “guerre pyschologique” qui vise tout simplement à profiter de votre peur de la mort pour vous faire avaler n’importe quoi. Ou pire : pour vous injecter n’importe quoi dans le corps. 

Mais supposons que vous ayez raison. Je lis les chiffres officiels (dont vous avez compris que je me méfie particulièrement dans le contexte de guerre pyschologique actuel). Je découvre que, selon l’OMS, le vaccin a sauvé 39.000 vies en France. Il y aurait donc eu 39.000 morts de plus en 2021 sans le vaccin. 

Regardons cela de plus près. 

Comment ils vous ont transformé en complices

Je prends un seul exemple, en ne retenant que des chiffres officiels, c’est-à-dire ceux de l’INSEE, publiés ici. J’y lis qu’en septembre 2020, la France a compté 48.037 morts, alors que le gouvernement évoquait l’arrivée d’une nouvelle vague, et que le vaccin n’était pas mis sur le marché.  En septembre 2021, l’INSEE estime que la France a compté 48.100 morts, alors que le pays était vacciné à plus de 80%….

Pour que vous en ayez le coeur net, je vous mets ici une capture d’écran avec les chiffres :

Comme vous le voyez, ce document ne retient que les morts en France métropolitaine. On écarte donc les débats sur nos îles. Entre septembre 2020, début d’une nouvelle vague, et septembre 2021, sous vaccination générale, les chiffres sont à peu près identiques. 

Je persiste à dire qu’un esprit rationnel n’est pas capable de démontrer de façon évidente l’utilité du vaccin. 

Donc, quand l’OMS soutient que le vaccin a évité 39.000 morts en France, j’ai un doute. Mais je veux bien retenir le chiffre. Simplement, je le confronte aux chiffres officiels de l’Agence Nationale de Sécurité du Médicament (ANSM) sur les effets secondaires du vaccin. Et je trouve : 

Plus de 110.000 effets indésirables sont recensés, dont 24% de cas graves. Autrement dit, près de 30.000 personnes ont vu leur santé altérée pour en sauver officiellement 39.000. Il n’y a rien qui vous choque là ?

Je sais ce que vous allez me répondre. Mieux vaut condamner 30 personnes à un accident cardiaque pas forcément mortel qu’avoir 39 morts du COVID. Il se trouve simplement que, statistiquement, ceux qui meurent d’une crise cardiaque après un vaccin sont des jeunes, et ceux qui meurent du COVID sont des vieux. La bonne façon de poser votre réponse est donc de dire : mieux vaut mettre en danger la vie de 30 jeunes pour sauver 39 vieux. 

Permettez-moi simplement de douter de ce calcul, et de ne pas y adhérer. Quel monstre la propagande pharmaceutique a-t-elle réveillé en vous pour que vous acceptiez sans broncher ce genre de calcul sordide ? 

Vous pensez que, pour exorciser votre peur de la mort, des sacrifices humains apaiseront le Dieu COVID ?

Je pense simplement que vous êtes devenus son complice. 

La raison perdue des vaccinés

Dans toute cette affaire, je me désole de votre naufrage intellectuel. Tous ceux qui n’ont pas flanché face à la peur, tous ceux qui ne vous ont pas imité, vous les affublez de vos sobriquets grotesques. L’un de vos grands penseurs, Patrick Bruel, vient par exemple de déclarer :

 “Dites à vos copains qui ne veulent pas se faire vacciner qu’ils commencent à nous saouler”

Assumez-vous, frères vaccinés, que diable. Vous êtes à la raison ce que Patrick Bruel est à la musique. Rien de plus. 

jeudi 25 novembre 2021

Colère de Fabrice Di Vizio : "Nous sommes en 1933 ! Ça y est, nous sommes en dictature !"


Dupont-Moretti : "Ceux qui refusent ces vaccins sont des jusqu'au-boutistes, une faille dans notre système" après avoir déclaré "les détenus ce ne sont pas des cobayes (...) ils ont le droit de refuser (l'astrazenica) bien sûr que oui "

DV Fabrice "Vous n'entendez pas le bruit des bottes ?"


 Sud Radio

Éric Dupond-Moretti attaque les non-vaccinés, Fabrice Di Vizio contre-attaque en justice : il est l'invité d'André Bercoff. ________________________________________ 🎧 Retrouvez nos podcasts et articles : https://www.sudradio.fr/

samedi 6 novembre 2021

Votre foutur numérique, on l'essaye et c'est maintenant. Parce que c'est notre projet.

Mes frères et mes sœurs, prenez le temps de parcourir les gros titres de cette publication et d'en saisir la portée. 

Pour faire court, nous sommes en fin de cycle (de production).

1. Le marché cherche naturellement de nouveaux marchés 

(révolution numérique / transition "écologique").

2. Le pouvoir cherche naturellement à se maintenir au pouvoir (et bingo la révolution numérique et le covid lui permettent de surveiller de près les gueux déplorables et inquiets pour leur avenir). Merci la 5 G, cette merveilleuse technologie mise en place dans un processus démocratique au sommet de sa forme.

Amen.



1. La Commission propose une identité numérique fiable et sécurisée pour tous les Européens

Communiqué de presse3 juin 2021 Bruxelles

La Commission a proposé aujourd'hui un cadre européen relatif à une identité numérique qui sera accessible à tous les citoyens, résidents et entreprises de l'UE. Les citoyens pourront, prouver leur identité et partager des documents électroniques à partir de leur portefeuille européen d'identité numérique en cliquant sur un bouton sur leur smartphone. Ils pourront accéder à des services en ligne grâce à leur identification numérique nationale, qui sera reconnue dans toute l'Europe. Les très grandes plateformes seront tenues d'accepter l'utilisation de portefeuilles européens d'identité numérique sur demande de l'utilisateur, par exemple pour lui permettre de prouver son âge. L'utilisation du portefeuille d'identités numériques européennes sera toujours laissée à l'appréciation de l'utilisateur.

Margrethe Vestager, vice-présidente exécutive pour une Europe adaptée à l'ère du numérique, a déclaré: «L'identité numérique européenne nous permettra d'agir dans n'importe quel État membre comme nous le ferions chez nous, sans frais supplémentaires et plus facilement, que ce soit pour louer un appartement ou pour ouvrir un compte bancaire en dehors de notre pays d'origine. Et ce, en toute sécurité et transparence. Ce sera donc à nous de décider quelles informations personnelles nous souhaitons partager, avec qui et à quelle fin. Nous aurons ainsi une occasion unique d'approfondir ce que cela signifie de vivre en Europe et d'être européen.»

Thierry Breton, commissaire au marché intérieur, s'est exprimé en ces termes: «Lorsqu'ils ont besoin de s'identifier officiellement, les citoyens de l'UE comptent non seulement sur un niveau élevé de sécurité, mais aussi sur la simplicité des procédures, que ce soit dans leurs relations avec une administration nationale, par exemple pour déposer une déclaration fiscale, ou pour s'inscrire dans une université européenne. Les portefeuilles européens d'identité numérique leur offrent une nouvelle possibilité de stocker et d'utiliser des données pour des services très variés, depuis l'enregistrement à l'aéroport jusqu'à la location d'une voiture. Il s'agit d'offrir aux consommateurs un choix européen. Nos entreprises européennes, grandes ou petites, bénéficieront aussi de cette identité numérique. Elles seront en mesure d'offrir un large éventail de nouveaux services; la proposition apporte en effet une solution pour un service d'identification sécurisé et fiable.»

Le cadre européen relatif à une identité numérique

Dans le cadre du nouveau règlement, les États membres offriront aux citoyens et aux entreprises des portefeuilles numériques qui seront en mesure d'établir un lien entre leur identité numérique nationale et la preuve d'autres attributs personnels (tels que permis de conduire, diplômes, compte bancaire). Ces portefeuilles pourront être fournis par des autorités publiques ou par des entités privées, à condition d'être reconnus par les États membres.

Les nouveaux portefeuilles européens d'identité numérique permettront à tous les Européens d'accéder à des services en ligne sans devoir recourir à des méthodes d'identification privées ni à partager inutilement des données à caractère personnel. Grâce à cette solution, ils auront la pleine maîtrise des données qu'ils partagent.

Le cadre européen relatif à une identité numérique aura les caractéristiques suivantes:

  • Il sera accessible à toute personne souhaitant l'utiliser: Tout citoyen, résident ou entreprise de l'UE qui désire utiliser l'identité numérique européenne pourra le faire.
  • Il offrira de multiples possibilités d'utilisation: Le portefeuille européen d'identité numérique pourra être employé largement, comme moyen soit d'identifier un utilisateur, soit de prouver certains attributs personnels, aux fins d'accès à des services numériques publics et privés dans l'ensemble de l'Union.
  • Les utilisateurs auront la maîtrise de leurs données: Les portefeuilles européens d'identité numérique permettront aux citoyens de déterminer quels éléments de leur d'identité, de leurs données et de leurs certificats ils partagent avec des tiers, et de garder la trace de ce partage. La maîtrise laissée à l'utilisateur garantit que seules les informations dont le partage est indispensable seront partagées.

Afin que cette initiative se concrétise dans les meilleurs délais, la proposition est accompagnée d'une recommandation. La Commission invite les États membres à mettre en place une boîte à outils commune d'ici à septembre 2022 et à entamer immédiatement les travaux préparatoires nécessaires. Cette boîte à outils devrait comprendre l'architecture technique, des normes et des lignes directrices relatives aux bonnes pratiques.

Prochaines étapes

Parallèlement au processus législatif, la Commission collaborera avec les États membres et le secteur privé sur les aspects techniques de l'identité numérique européenne. À travers le programme pour une Europe numérique, la Commission soutiendra la mise en œuvre du cadre européen relatif à une identité numérique, et de nombreux États membres ont prévu des projets pour la mise en œuvre des solutions d'administration en ligne, y compris l'identité numérique européenne, dans leurs plans nationaux au titre de la facilité pour la reprise et la résilience.

Contexte

La boussole numérique de la Commission pour 2030 définit un certain nombre d'étapes et d'objectifs que l'identité numérique européenne contribuera à atteindre. Par exemple, d'ici à 2030, tous les services publics clés devraient être disponibles en ligne, tous les citoyens auront accès à leurs dossiers médicaux électroniques et 80 % des citoyens devraient utiliser une solution d'identification électronique.

Pour cette initiative, la Commission s'appuie sur le cadre juridique transfrontière existant pour les identités numériques de confiance, l'initiative européenne sur l'identification électronique et les services de confiance (règlement eIDAS). Adopté en 2014, ce règlement fournit la base des procédures électroniques transfrontières pour l'identification, l'authentification et la certification de site web au sein de l'UE. Quelque 60 % des Européens peuvent déjà bénéficier du système actuel.

Cependant, rien n'oblige les États membres à créer une identification numérique nationale et à la rendre interopérable avec celle des autres États membres, ce qui entraîne de fortes disparités entre les pays. La proposition à l'examen permettra de remédier à ces lacunes en améliorant l'efficacité du cadre et en étendant ses avantages au secteur privé et à une utilisation mobile.

Pour en savoir plus

Identité numérique européenne – Questions et réponses

Identité numérique européenne – Page d'information

Règlement concernant un cadre européen relatif à une identité numérique

Recommandation concernant un cadre européen relatif à une identité numérique  

Page web eIDAS

Rapport sur l'évaluation du règlement eIDAS

Décennie numérique – Communiqué de presse

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Autres médias

Contacts presse



2. Présentation du groupe Thales :

PUB

Non ce n'est pas un fake, c'est une vraie pub ! 



"Thales se dote d’une raison d’être - « Construisons ensemble un avenir de confiance » - qui exprime ce que le Groupe entend apporter à ses parties prenantes, et, au-delà, à la société dans son ensemble. Une raison d’être dont l’authenticité et la pertinence seront démontrées durant la pandémie de covid-19 durant laquelle le Groupe fera preuve, une fois encore, d’une grande résilience grâce, en particulier, à la diversité de ses activités." 

"La pandémie de covid-19 et sa cohorte d’effets économiques et psycho-sociaux dévastateurs a été l’occasion pour les entreprises de démontrer la validité et l’authenticité de leur raison d’être. Elle les a obligées à mettre cette responsabilité d’entreprise à l’épreuve des faits, à transformer les mots en actes (...) Permettre de travailler à distance en toute sécurité, gérer le trafic aérien de drones qui acheminent du matériel médical, assurer la continuité des services de transport d’un pays ou d’une ville pour garantir les déplacements des personnels soignants ou les transferts de malades, fabriquer des respirateurs pour les hôpitaux, ou développer des solutions sans contact pour faciliter et sécuriser les achats ou les flux de personnes : ces quelques exemples illustrent comment Thales a interprété et mis en œuvre sa raison d’être dans le contexte d’une crise mondiale."  

Comment l'identification numérique peut aider les citoyens à accéder de n'importe où aux services gouvernementaux ?

Traduction automatique 

Pourquoi l'identification numérique est-elle nécessaire maintenant ? Au cours des 18 derniers mois, la numérisation des services publics et privés s'est accélérée comme jamais auparavant. En raison des limitations des contacts physiques et des blocages dans le monde, les citoyens - souvent par nécessité - ont dû se tourner vers l'équivalent numérique des services auxquels ils avaient auparavant accès en personne. Des services bancaires en ligne au remplissage des déclarations de revenus en ligne, la pandémie a agi comme un catalyseur pour un changement radical du comportement des consommateurs. 

Alors même que nous commençons à revenir à un sentiment de normalité, cette numérisation des services semble prête à prendre de l'ampleur. Cela est dû en partie au fait que les gouvernements du monde entier demandent à leurs citoyens de porter des cartes de santé numériques pour prouver qu'ils sont doublement vaccinés ou qu'ils ont un test négatif avant de pouvoir accéder à certains services. À titre d'exemple récent, le  gouvernement britannique a imposé la preuve de la «vaccination complète» pour entrer dans les boîtes de nuit à partir de septembre et des pays comme l'Italie ou la France suivent une voie similaire. 


Les « passeports de vaccination » numériques joueront un rôle clé en permettant aux citoyens d'accéder à toutes sortes de services et serviront de précurseur au déploiement de l'identification numérique mobile  

Une passerelle vers d'autres services gouvernementaux 

Dans certaines régions, le déploiement de portefeuilles d'identification numérique et la modernisation de services autrefois analogiques sont déjà bien avancés. La Floride, par exemple, est sur le point de fournir des permis de conduire mobiles  à ses citoyens dans le but de développer des méthodes d'identification plus pratiques et sécurisées. Il en va de même pour le Queensland en Australie, où la première application de licence numérique de l'État   a récemment été testée avant son déploiement.    


Dans les deux cas, le déploiement d'un portefeuille d'identification numérique - principalement pour les permis de conduire numériques - servira de passerelle et de base pour d'autres services gouvernementaux vitaux, tels que les cartes de santé.    

Répondre aux ambitions du portefeuille d'identité numérique de l'UE 

En juin de cette année, l'Union européenne a fait un pas vers l'un des plus grands projets d'identité numérique jamais réalisés en proposant un  cadre pour une identité numérique à l'échelle européenne . Ce serait disponible pour tous les citoyens de l'UE, les résidents et les entreprises dans l'UE. 


L'ambition est immense ; à la fois en termes d'échelle – telle qu'elle s'applique à tous les États membres de l'UE – et également en termes de pouvoir qu'elle accorderait aux citoyens de l'ensemble du Bloc. Pour la première fois, les citoyens pourraient utiliser un portefeuille d'identité numérique européen, à partir de leur téléphone, qui leur donnerait accès à des services dans n'importe quelle région d'Europe.  

Il aidera également les gouvernements à mener à bien des projets de modernisation dans tous les ministères du secteur public au fur et à mesure qu'ils numérisent pour correspondre aux capacités de ces identités virtuelles. 

Le portefeuille transformerait essentiellement l'accès aux services gouvernementaux pour les citoyens de l'UE. Il reposerait sur quelques principes clés : 

  • Permettre aux citoyens de prouver qui ils sont : La capacité de prouver qui vous êtes est quelque chose que beaucoup d'entre nous tiennent pour acquis, mais sans identité, vous seriez surpris de  la difficulté d'accéder aux services de base comme les soins de santé. Le fondement de la preuve de votre identité est la confiance et le portefeuille d'identité numérique de l'UE aidera les citoyens à prouver qui ils sont d'un simple clic. Les organisations publiques et privées peuvent également être sûres que l'ID est authentique. 
  • Approche de la sécurité d'abord : l'un des principes clés du portefeuille numérique est son approche de la sécurité. Au cœur du portefeuille se trouvent des protocoles de cybersécurité qui protègent, entre autres, la souveraineté européenne de l'appareil. Les attentes des citoyens en matière de sécurité mobile sont élevées, c'est pourquoi le déploiement de portefeuilles mobiles régionaux devra adopter une  approche de sécurité à plusieurs niveaux . Cela signifie que les pirates potentiels rencontreraient des mesures de sécurité différentes dans chaque partie du portefeuille. Garantir ce niveau de sécurité est une priorité pour les marchés qui souhaitent répondre aux craintes des consommateurs et garantir une forte adoption de l'identité numérique de l'UE. https://www.thalesgroup.com/en/markets/digital-identity-and-security/government/identity/digital-identity-services/mobile-software-security 
  • Plusieurs documents au même endroit :  le portefeuille numérique est pratique car il peut contenir plusieurs documents au même endroit, au lieu que les citoyens n'aient à transporter des portefeuilles remplis de cartes. Encore plus intéressant quand on pense que  90 % des utilisateurs ont un appareil mobile  à portée de main à tout moment.
  • Combiner paiement et identité :  Cela devient vraiment excitant lorsque vous réalisez que le portefeuille peut héberger à la fois une identité numérisée et des informations de paiement. Cela pourrait permettre, par exemple, de verser une caution sur un nouvel appartement ou de régler une amende pour excès de vitesse en souffrance directement depuis son smartphone.
  • Autoriser les signatures numériques :  Les portefeuilles numériques peuvent gérer les signatures numériques, permettant de signer et d'accepter des contrats à la convenance de l'utilisateur (pour l'appartement, il est en train d'acheter par exemple). 
  • Construit avec la confidentialité des données à l'esprit : les  gens se méfient de plus en plus de la façon dont leurs données sont utilisées. Les portefeuilles numériques peuvent aider à résoudre ces problèmes de plusieurs manières grâce à la sécurité et à la transparence de l'utilisation des données ; tout d'abord, les citoyens peuvent choisir les informations qu'ils montrent aux entreprises et aux organisations. Besoin de prouver votre identité dans un bar ? Vous pouvez simplement afficher votre date de naissance sans avoir à partager votre adresse. Deuxièmement, l'identification numérique sera conforme aux principes de l'UE sur  les données (RGPD)  garantissant la minimisation des données, la protection des données et la gestion des droits à la vie privée. https://www.thalesgroup.com/en/markets/digital-identity-and-security/government/identity/digital-identity-services/mobile-id 

  • Identité transfrontalière:  Last but certainement pas moins, l'UE identité numérique permettra aux citoyens d'utiliser leur documentation dans toute la région. Chaque État membre sera responsable de fournir à ses propres citoyens un portefeuille, mais ceux-ci deviendront universellement acceptés où que les gens se trouvent à travers l'Union européenne. Cela devrait permettre aux citoyens d'accéder aux services gouvernementaux de n'importe quel État membre comme ils le font chez eux, en réduisant considérablement les coûts supplémentaires et la complexité.    

Afin d'atteindre l'objectif de l'UE de 80 % de ses citoyens utilisant des eID d'ici 2030, il est essentiel que les gouvernements abordent ces piliers et travaillent avec un fournisseur capable de répondre à ces exigences.  

S'ils le font, l'impact sur les personnes et la manière dont ils accèdent aux services a le potentiel d'être véritablement transformateur et inaugurera une période de numérisation accélérée pour les gouvernements à travers l'Europe.

3. Scenarios for the Future of Technology and International Development. 

This report was produced by The Rockefeller Foundation and Global Business Network. May 2010

Nous sommes à un moment de l’histoire qui est plein de possibilités. La technologie est prête à transformer la vie de millions de personnes à travers le monde, en particulier ont eu peu ou pas accès aux outils qui peuvent apporter des améliorations durables pour leurs familles et leurs collectivités. Peter Schwartz, Cofounder and Chairman of Global Business Network



4. Technologies to address Global Catastrophic Biological Risks. 

Johns Hopkins Bloomberg School of public Health? Center for Health Security, 2018

Ce rapport met en évidence 15 technologies ou catégories de technologies qui, avec une attention et un investissement scientifiques accrus, ainsi qu'une attention aux problèmes juridiques, réglementaires, éthiques, politiques et opérationnels, pourraient aider à rendre le monde mieux préparé et équipé pour prévenir de futures maladies infectieuses. épidémies de devenir des événements catastrophiques.


ou https://jhsphcenterforhealthsecurity.s3.amazonaws.com/181009-gcbr-tech-report.pdf

Exemple parmi d'autres : le self-spreading vaccines... En gros, les vaccinés propagent eux-mêmes le vaccin.



un peu ceci quoi... 


ou encore ceci...




5. IBM® Digital Health Pass : une façon intelligente de revenir à la société

IBM® Digital Health Pass est conçu pour offrir aux entreprises un moyen efficace de vérifier plusieurs types d'informations d'identification de santé COVID-19 pour les employés, les clients, les fans et les voyageurs entrant sur leur site en fonction de leurs propres critères. La confidentialité est la clé. Le portefeuille numérique peut permettre aux individus de garder le contrôle de leurs informations personnelles sur la santé et de déterminer ce qu'ils partagent, avec qui et dans quel but.


Quel monde merveilleux... jusqu'à votre dernier souffle !




La vidéo c'est ici : Digital Health Pass - Overview





12. Humour 

Fresque du chat détournée à Bruxelles - réaction de Philippe Geluck " (...) C'est très fort et c'est ce que j'appelle "le tag respectueux". Il n'y a pas de dégradation du bien commun et le message est passé (...) " 





13. Kody en grande forme




Vivement une performance de Kody avec Klaus Schwab en ligne de mire  (de la RTBF notamment, notre grand média subventionné). Y a de la matière. 




14. Pour conclure provisoirement sur une note de tous les possibles