Trump a été élu il y a exactement 2 mois … et il commence à attaquer frontalement AIPAC et Netanyahu, puis ce sera Macron sa cible … vous en doutez encore ???
Cette
lettre devrait vous plaire, elle contient beaucoup de surprises, et
appellera à une suite, car nous ne sommes qu’aux début des surprises.
Des
informations concordantes indiquent que Trump considère que le marais
de Washington … c’est l’Aipac … (Musk aussi …) ? Ce qui expliquerai les
votes par religion aux USA ?
Si c’est la cas, ce ne sera pas de tous repos.
Le
sionisme, dans sa forme la plus crue et destructrice, est devenu le
moteur d'un génocide à Gaza. Ce n'est plus simplement une quête de terre
ou d'identité, mais un prosélytisme politique qui a atteint des sommets
de cynisme. Ce prosélytisme, sous couvert de légitimité historique,
s'est transformé en une machine de guerre implacable. À Gaza, on observe
une illustration parfaite de cette idéologie déviante : assassinat
cibles des journalistes, bombardements, blocus, et destruction
systématique des infrastructures civiles en particulier les hôpitaux et
les archives, interdiction de l’UNWRA et tout ce qui prouve l’intention
de nettoyage ethnique et de génocide par le régime Netanyahu.
Ceux
qui ne sont pas binationaux mais soutiennent ardemment cette idéologie
sont-ils corrompus ou simplement compromis? Leur soutien indéfectible à
Israël, souvent critiqué comme aveugle, suggère une forme de corruption
morale, sinon financière.
Le
marécage de l'influence sioniste est profond. L'achat de votes,
l'influence sur la législation, et la manipulation des médias sont des
outils de ce prosélytisme. De la FED à la NSA, en passant par les
administrations, l'influence sioniste semble avoir infecté et redéfini
les priorités de ces institutions.
Ce
qui se joue ici est une tragédie humaine orchestrée par une idéologie
qui, au nom de la survie d'un État, justifie la mort et la destruction
d'un autre peuple. Le sionisme, dans ce contexte, est devenu un synonyme
de génocide, une perversion de son propre idéal initial. L'allégeance à
un tel prosélytisme est un calcul cynique, où la moralité est sacrifiée
sur l'autel de la politique et de l'intérêt personnel. Pour aller plus
loin, suivre le lien vers votre SUBSTACK serait instructif pour une
analyse plus approfondie de ces dynamiques complexes et corrompues.
Merci de faire suivre à vos proches ;-)
Il
est sans ambiguïté que Trump est prêt à aller au clash, mettant en
lumière son intention d'affronter ce qu'il perçoit comme le « marécage »
de la politique étrangère, sans ménagement pour ceux qui, selon lui,
perturbent la paix pour leurs propres intérêts.
Il y a quelques jours Elon musk avait fait de même
Depuis des années je vous l explique mais vous n avez pas voulu me croire
J espère que petit à petit vous allez enfin comprendre
C est important !!!
Et relisez ou regardez ce que j ai écrit à ce sujet sur mes SUBSTACK ou dans mes vidéos
L'AIPAC
a été souvent accusé de pousser les États-Unis vers des guerres
coûteuses, comme en Irak, non pas parce qu'elles étaient dans l'intérêt
national, mais pour promouvoir une vision messianique d'un Israël
expansionniste. Ces conflits, souvent basés sur des mensonges ou des
exagérations, ont coûté des billions de dollars à l'économie américaine,
des centaines de milliers de vies, et ont contribué à la détérioration
des infrastructures et des services publics des USA et des pays
injustement ciblés, renforçant l’hégémonie d’Israël dans sa région, qui
se traduit par l’asservissement de ses voisins et la colonisation ou
l’invasion (lire mes autres lettres).
Au
lieu de se concentrer sur des solutions de paix et de stabilité au
Moyen-Orient, l'AIPAC a soutenu des politiques qui ont exacerbé les
tensions, encouragé la colonisation et sapé les efforts pour une
résolution à deux États. Ces actions non seulement prolongent les
souffrances des Palestiniens, mais elles mettent également en danger la
sécurité à long terme d'Israël en alimentant un cycle de violence et de
ressentiment, pas uniquement dans la région mais dans le Monde entier.
Ce qui a un effet boomerang sur les usa.
Par
ailleurs, comment tenir longtemps avec un tel double langage et des
doubles standards aussi inqualifiables et inhumains ? Aux États-Unis, la
libéralisation des réseaux sociaux, en particulier grâce à l'impact de X
(anciennement Twitter) depuis sa reprise par Elon Musk, marque un
tournant significatif.
Pendant
des années, les plateformes de réseaux sociaux, y compris celles de
Meta, ont été accusées de promouvoir un agenda biaisé, souvent aligné
sur le wokisme, les droits LGBTQ+, et un soutien unilatéralement
pro-sioniste. Ce biais s'est manifesté par une modération de contenu qui
privilégiait certaines opinions politiques ou sociales tout en
réprimant ou en censurant d'autres, créant ainsi un écosystème
d'information partial et non représentatif de la diversité des opinions.
Cette
évolution est perçue comme le début d'une révolution dans le paysage
numérique, une révolution qui pourrait être la plus essentielle pour le
destin de l'humanité. Pourquoi ? Parce qu'elle remet en question les
dogmes établis, permet une diversité d'opinions inédite, et offre aux
utilisateurs un espace plus démocratique pour s'exprimer. Ce mouvement
vers une liberté d'expression plus authentique et moins filtrée pourrait
non seulement transformer la manière dont nous consommons l'information
mais aussi influencer les politiques mondiales, les mouvements sociaux,
et la manière dont les sociétés perçoivent et traitent les questions
complexes comme l'identité, la justice sociale, et les relations
internationales.
Je ne pourrai dire et écrire ce que je fais sans Elon Musk … et donc que dire d’autre que MERCI.
En
défiant le statu quo de la censure et des doubles standards, cette
"révolution" des réseaux sociaux remet en cause les narratifs dominants
et pousse vers une société où le dialogue, même conflictuel, est
valorisé, ce qui pourrait conduire à une meilleure compréhension
mutuelle et, potentiellement, à des solutions aux problèmes mondiaux,
avec la réhabilitation de la Russie et de la Chine, puis de l’Iran ou la
Corée du Nord, même si il ne faut pas rêver trop vite. Mais je pense
que le bal des vampires touche à sa fin.
De
plus, l'influence de l'AIPAC dans les processus électoraux américains
montre une tentative flagrante de subvertir la démocratie par le
financement de campagnes électorales, garantissant ainsi que les voix
critiques d'Israël ou de ses politiques sont marginalisées ou éliminées.
En
somme, l'AIPAC, en suivant des projets qui semblent de plus en plus
guidés par des visions eschatologiques plutôt que par le bien-être des
peuples, représente une menace pour la paix mondiale, la stabilité
régionale, et la démocratie américaine elle-même. Cette organisation ne
travaille pas pour l'intérêt commun mais pour une idéologie extrémiste
qui peut conduire à l'isolement international et à la perte de
crédibilité des États-Unis sur la scène mondiale
Ci dessous une ancienne lettre SUBSTACK écrite immédiatement après l’élection de Trump
Cela
vous permettra d’apprécier mes analyses et j’espère de vous abonner à
la lettre, peut être de façon payante si vous le pouvez.
Rappel :
Cette fois, ils savaient qu'ils ne pourraient plus truquer les élections comme en 2020.
Alors,
ils ont concocté un plan pour éliminer Trump, mais contrairement à ce
pauvre JFK, Trump a bougé la tête, et le tireur, malgré tous ses
avantages, n'a pas eu droit à un deuxième essai.
Voyant
cela, sans trop se casser la tête, ils ont débarqué Biden, dont les
performances étaient devenues franchement embarrassantes, et ils ont mis
Harris à sa place, mais ça n'a pas marché non plus.
Qu'ont-ils
préparé comme plan N, parce qu'ils doivent bien avoir un plan de
secours...Maintenant que Trump n’est que 15 jours de son serment comme
47e Président des USA.
À suivre…
Cette
fois, avant le jour du vote, la peur avait changé de camp : les
milliers de petites mains des moissons de la triche et des camions de
bulletins n’ont pas été activées, car ils pensaient que Trump serait, à
cette date, six pieds sous terre…
Trump a gagné.
Il
a fait mieux que lors de ses précédentes élections, alors que la
candidate démocrate a fait 15.000.000 de votes de moins que Biden !!!
C’est
l’énigme sur laquelle il faudra se pencher, car la campagne de Harris a
soulevé bien plus d’enthousiasme que celle de Biden, incapable déjà à
l’époque du moindre meeting électoral de plus de 30 minutes, mais que
les médias avaient réussi à présenter comme top gun, avec sa taille de
mannequin, une veste en cuir et des lunettes Ray-Ban, sans oublier la
casquette.
Néanmoins,
« 2020 » pourra être traité en son temps, sachant que par un lapsus,
Biden avait tout explicité en disant que tout était prévu pour que la
victoire ne puisse lui échapper. Mais c’était passé à la trappe, comme
la « bête de l’événement » de Macron. Ça aurait dû interpeller.
En 2024, Trump a gagné, mais reste loin des scores officiels de Biden en 2020…
Mais
ne nous dispersons pas : en ce moment, des gens meurent, d’autres
souffrent ; le monde est au bord de l’apocalypse, et c’est ce qui doit
attirer toute l’attention et l’énergie. Trump ne s’y trompe pas et sait
que le temps joue contre le peuple américain et le dollar, mais aussi
l’image de ce pays, qui est plus érodée que jamais aux quatre coins du
monde. Ainsi, Trump fait travailler des équipes, nombreuses et
efficaces, sur tous les sujets chauds du moment, du point de vue de
l’intérêt, selon lui, du peuple américain.
De
son côté, Kamala Harris promet une transition facile, Biden également.
Mais qui leur fait encore la moindre confiance, surtout quand on devine
qui leur dicte leurs discours ? J’y ai noté des allusions qui annoncent
de rudes combats à venir.
On
n’a pas encore entendu Obama… et encore moins les Cheney, Bush et
autres Clinton. Néanmoins, peu importe ce qu’ils diront, ce qui est
certain c’est que plus que jamais, ils sont nombreux (dont eux-mêmes ?) à
vouloir la peau de Trump, qui ne prêtera serment que dans plus de 2
mois. Bref, aucune raison d’être serein, d’autant que Trump est
imprévisible et devra continuer à nager au milieu de piranhas pour qui
le Président des USA n’est qu’une variable d’ajustement, un détail dans
l’horlogerie parfaitement huilée de leurs projets.
Le
cours en bourse de Microsoft monte, mais la température de Bill Gates
doit descendre. D’ailleurs, tout monte ou presque à la bourse de New
York : c’est quasiment l’euphorie. C’est vrai y compris dans le secteur
de l’armement, les high-tech et… la pharmacie, ce qui n’est pas une
bonne nouvelle, pour ceux, dont moi, qui pensent voir prochainement une
inflexion dans ces secteurs, si dangereux pour le destin de l’humanité.
Selon moi, l’Intelligence Artificielle, le commerce d’armes puissante et
à longue portée dont le nucléaire et la biologie de synthèse qui permet
de reprogrammer l’humain au niveau cellulaire, sont parmi les pires
dangers pour l’avenir de l’humanité. Mais qui peut essayer d’arrêter des
trains fous sans y risquer immédiatement sa peau, à l’image de JFK qui a
essayé en son temps, de briser l’élan fou qui a conduit à cette folie
contemporaine ? Ecoutez ses discours : il avait pressenti bien des
choses, comme de nombreux écrivains, dont ceux de la Science Fiction.
Elon Musk, en bon Butlérien (cf. Franck Herbert, le Jihad de Butler du
cycle de Dune), sait que la guerre entre les humains et les machines (AI
+ cyborg) est inéluctable, et que si nous la gagnons une fois, il n’y
aura pas de seconde chance et il faudra donc tout arrêter dans ce
domaine à jamais (homme et machine intelligente ne peuvent cohabiter, il
ne doit en rester qu’un…). L’humain ne doit pas se prendre pour
Frankenstein… et encore moins pour Dieu. En parlant de cela, je me
demande ce qui se passe en ce moment du côté du CERN, où les recherches
dans l’infiniment petit sont également une curiosité de trop, selon moi.
Entre croire en Dieu et se croire Dieu… il y a une sacrée différence,
mais à l’époque des transitions de genre par centaines de milliers, on a
détruit bien des digues entre le divin et l’humain ; ce n’est pas
raisonnable, c’est diabolique. C’est là que j’espère entendre Elon Musk,
Carlson, Rogan, R. Kennedy mais également Ron Paul et d’autres, pour
peser sur les futurs choix du 47e président des États-Unis. Mais si moi
j’espère cela, d’autres vont œuvrer avec une habilité redoutablement
efficace pour que l’exact inverse se passe. Ils n’ont pas pu battre
Trump, ni le tuer par balle, ni l’enfermer ; ils sont donc sur d’autres
pistes pour le rendre inoffensif ou le ramener sur une voie qui leur
convient. Ainsi, personnellement, je vais observer l’évolution des
choses sur le front en Ukraine, en Géorgie et bien sûr au Proche-Orient,
sans négliger le Venezuela, l’Arménie, Taïwan et l’Afrique dans son
ensemble, du Maghreb au Cap… de Bonne-Espérance. Sur tous ces dossiers,
le véritable adversaire ne s’appelle pas Poutine, qui veut la paix (une
vraie paix), ni les BRICS ; le véritable adversaire s’appelle Macron (en
binôme et avec d’autres maléfiques, dont Netanyahu et le pape
François). Mais là encore, dans ce combat ou ce jeu de dupe, il y a ce
que nous verrons et ce qui se passera dans le secret des échanges, plus
ou moins virils, plus ou moins directs, plus ou moins théâtralisés.
Les
principales rédactions de presse n’ont pas encore reçu leurs fiches,
avec les nouveaux éléments de langages, pour préparer la suite de leur
guerre contre Trump et ce qu’il représente, mais aussi ceux qu’il
représente. Pour l’instant, ils ressemblent à des pantins désarticulés,
dont les fils sont emmêlés. Le marionnettiste ultime, lui, n’est pas KO ;
il savait cette échéance certaine : ce n’est qu’une étape. Ainsi, pour
le diable qui rigole, tout se déroule parfaitement ; ce n’est pas son
heure. Il fallait, pour un temps, redonner de l’espoir pour mieux
décevoir, avec cette cruauté dont il a le secret. Je pense aussi
qu’avant l’apocalypse, il fallait sauver le dollar, pour que l’Amérique
ne soit pas trop affaiblie lorsque le diable s’assurera que quelqu’un
appuie sur le bouton rouge… du nucléaire, des biolabs ou de l’IA.
Ainsi,
Trump n’est pas réellement un nouvel espoir pour les Russes ou les
Chinois, encore moins pour les Iraniens ou les Africains, mais… cette
fois il sera mieux entouré et il a mûri ; c’est pourquoi je pense qu’il
évitera les fautes du passé. En tout cas je l’espère. De toute façon,
nous devons espérer que tous les chefs d’État ne sont pas unis contre
les peuples ; sinon… le combat est déjà perdu.
Le dirigeant iranien, l'ayatollah Khamenei, à propos des élections américaines :
«
Qui gagnera les élections aux États-Unis n’a pas d’importance pour nous
; nous ne nous en soucions tout simplement pas du tout. Notre politique
envers l’Occident reste la même, que telle ou telle personne soit au
pouvoir. L’Amérique est un pays corrompu et belliciste. Ils disent une
chose et en font une autre. Regardez ce qu’ils ont fait en Irak et en
Afghanistan, comment leurs chefs mafieux dans leur complexe
militaro-industriel ont forcé les Ukrainiens à mener une guerre contre
la Russie qu’ils ne peuvent pas gagner. Et maintenant, ils soutiennent
le régime sioniste, comme toujours, sans limite, en soutenant leurs
crimes de guerre et leurs crimes contre l’humanité. »
Bref,
avec le retour de Trump, pour Téhéran, rien ne change ; pour moi, tout
devient possible et un nouveau chapitre commence, que nous aurons la
possibilité de subir comme spectateurs, ou d’influer en modestes
jardiniers, à planter les graines d’une vérité qui dérange et démange
comme du poil à gratter, mais aussi comme du carburant pour évoluer en
humain libre des mensonges et de la peur.
Dans
ce texte, je ne vais pas trop parler de futur ; je vais juste expliquer
comment une élection se gagne, même contre les pires immondices
organisées en immenses mafias médiatiques, qui ont été capables de
triche industrialisée des votes, de tentatives d’assassinats et mille
autres choses, pour barrer la route à Trump.
J’évoquerai
les rouages européens, mais je rappellerai aussi, comme je le dis sans
cesse, que la bataille du BIEN contre le MAL au niveau mondial, se
déroulera autour de l’Europe et du Proche-Orient.
Les USA ne sont qu’une variable d’ajustement forte, mais à la marge de ce qui attend l’humanité.
Certains
de ses rouages sont évidement à proximité immédiate des 5 fantastiques,
que sont Poutine, Xi Jiping, Trump, Ben Salman et Musk.
Il
faudra comprendre que les choses ne se sont pas mises en place depuis
10 ans, 30 ans ou 100 ans, mais depuis des centaines d’années… des
milliers d’années ; c’est un combat millénaire dont nous approchons de
l’épilogue, et les planètes s’alignent pour nous montrer que cette fin
de bal a été programmée dans l’horlogerie de l’Univers. Dans ce combat,
certains personnages ont joué de plein gré,, par transcendance ou à leur
insu des rôles clefs ; nous connaissons leurs noms : ils ont marqué
l’histoire, ponctuellement ou par dynasties. Parfois les noms ne sont
que des étendards, comme celui des Rotes Schields ; et que dire de
Cromwell ou de Raspoutine ? A chaque fois, des histoires de sang, à
faire couler ou à mélanger. Car finalement… quand on va au bout de
l’analyse, la guerre entre le bien et le mal est une guerre pour l’ADN
divin… le Graal.
Dans
ce combat terrestre, les peuples ne sont que des insectes (mais un
moustique peut terrasser un éléphant et même un troupeau entier) ; les
médias, quant à eux, ont en apparence bien plus de pouvoir car ils sont
plus unis. Ainsi, ils jouent un rôle clef ; les réseaux sociaux aussi,
mais également les lobbyistes, le Pentagone, la CIA, le Mi6 et le
Mossad, sans sous-estimer les grands fonds (dont BlackRock et Vanguard)
et les énormes compagnies comme Big Pharma, les pétrolières, les
constructeurs automobiles, les assurances, les banques et les high-tech,
sans oublier les géants de la chimie, de l’alimentaire et du luxe, ou
leur distribution, dont le e-commerce.
Face
à eux, il n’y a pas grand monde en UE ; mais maintenant, les choses
devraient changer aux USA, à l’aune de ce qui s’est passé en Russie et
en Chine. Je crois que Trump a parfaitement compris le chemin qui a été
celui de Poutine ou de Xi pour devenir des chefs d’État, que secrètement
il admire.
Tout sera différent avec un Trump bis ? Je l’espère.
Nous
sommes tous essentiels… car si nous le comprenons… nous ne sommes plus
des insectes face à eux ; nous redevenons des humains libres de penser
et de trouver la vérité
Comment
ont-ils osé autant tricher, avec « succès » en 2020 ?Comment ont-ils
osé essayer de tuer leur adversaire, par téléguidage et ouverture d’une
voie royale à un jeune loup solitaire, un peu narcissique, qui avait eu
les honneurs d’une publicité pour… Black Rock et disposait d’un
équipement assez précis pour ne pas pouvoir manquer la tête de Trump,
sauf miracle ?
Le passé est édifiant.
Comment
Trump a-t-il réussi à être élu, à la loyale, face à de tels adversaire
prêts à tout sur tous les sujets, en particulier à mentir et à tricher ?
Kamala Harris a eu le plus gros budget de campagne de l’histoire, mais
elle était également la pire candidate possible pour battre Trump et
représenter son camp. Comment et pourquoi ont il aussi mal choisi ? À
part… pour arriver à ce résultat… et en tirer parti. Je ne crois pas, ou
plutôt je ne crois plus, au hasard.
La
réponse tient en grande partie à la personnalité du riche trublion
américain, certainement aussi à sa femme et à son jeune fils, mais
également à une poignée d’hommes et de femmes exceptionnels, qui ont
tout donné pendant des semaines, des mois voire parfois des années, pour
faire pencher la balance ET empêcher que certains osent tricher, comme
ils l’avaient fait si facilement et pour l’instant impunément, quatre
ans auparavant.
Il
fallait être si malhonnête, ou idiot, pour ne pas savoir que Trump a
bien été élu 3 fois par le peuple américain et que la seconde fois lui a
été volée. Espérons qu’il vivra et nous aussi jusqu’à la fin de cette
47e présidence, qui commencera le 20 janvier 2025, pour finir… juste
avant l’année 2030, au cœur de bien des prophéties.
Le
chiffre obtenu par Kamala Harris, voisin de celui de tous les élus ou
finalistes démocrates du passé, montre la réalité électorale… Il n’est
pas raisonnable d’imaginer que Biden aitobtenu plus de 81.000.000 de
suffrages, alors que le meilleur avant lui n’en avait pas obtenu plus de
70.000.000, avec un score plutôt situé entre 65 et 66.000.000 voix.
Pour mémoire :
2004 Kerry - 59M
2008 Obama - 69.5M
2012 Obama - 65.9M
2016 Clinton - 65.9M
2020 Biden - 81.3M
2024 Harris - 66.4M
dont :
Les
injections Covid obligatoires, les guerres partout (Donbass et
Proche-Orient), l’explosion de la dette américaine et de l’impression de
nouveaux dollars, l’appauvrissement partout dans le monde des classes
moyennes qui sont proches de la rupture sociale, les assassinats ciblés
de chefs d’État non alignés à la doxa, l’appauvrissement de la vieille
Europe et le renforcement du pouvoir de Macron et des ses sbires du
Vatican, de Tel Aviv et d’ailleurs (j’y reviendrai), l’immigration
massive, le wokisme et le lgbt+, les choix énergétiques aberrants, les
emprisonnés du 6 janvier 2021, la censure dont celle des Twitter files
et de l’ordinateur de Biden ou la liste des clients d’Epstein, l’abandon
de l’instruction au profit du divertissement éducatif, la biologie de
synthèse et l’intelligence artificielle sans garde-fou, la fin des
accords sur la non-prolifération nucléaire, la destruction de Nord
Stream, le génocide de Gaza, l’assassinat de Shinzo Abe (ex-premier
ministre du Japon, sur le retour), la fin du dialogue avec Poutine, la
corruption partout, la justice défaillante (dont le dossier Epstein), le
marécage de Washington qui prend ses aises, la presse et les réseaux
sociaux (hors X) devenus, plus que jamais, des lessiveuses de cerveaux
au service d’élites hors sol aux rêves transhumanistes, les
infrastructures non financées (cf. accidents de trains et de bateaux),
etc.
Cette
élection de 2020 montra combien les pires mensonges de l’État profond,
conduisant au vol d’une élection populairede multiples manières et avec
des centaines ou milliers de complices, ont coûté à l’humanité. Parmi
les autres faits majeurs de l’histoire récente américaine qui mettent
chacun un peu plus l’humanité sur la sellette et qui sont toujours non
punis (ni même sérieusement attribués) : le « Gain-of-Function » de
Fauci sur le Covid, le 11/09, la conquête de la Lune qui aurait abouti,
Hiroshima et Nagasaki qui étaient nécessaires (toutes les 2), la fin de
la convertibilité du $ en or, les armes de destructions massives en
Irak, les assassinats de Kadhafi et d’autres dirigeants non alignés,
etc. Mais également la fausse naïveté concernant le 7/10, alors que,
comme par hasard, tant de navires de guerres US étaient sur la zone, et
bien d’autres coïncidences plus que troublantes (voir dossier mur de
Jéricho).
La
victoire nette de Donald J. Trump a été réalisée en dehors des canaux
traditionnels, et même contre leurs efforts et prédictions. Jamais une
campagne n’avait été aussi négative contre un candidat éligible dans les
médias aux USA. Pourtant, Trump a renversé les dynamiques
d’influences ; il a démontré que la victoire pouvait trouver une voie,
loin de l’autoroute à fort effet de levier des grands médias, qui
semblait jusqu’ici essentielle. Leur emprise effective sur les choix des
masses populaires et dirigeantes reste prisée par les annonceurs et les
politiques de tous bords, mais elle va devoir se renouveler en
politique et peut être en tout, car également sur internet, il y a des
divertissements débiles et créatifs.
Néanmoins,
Trump était sans cesse à l’écran pour être dénigré, et finalement il a
prouvé le bien-fondé de cette formule : peuimporte ce qu’on dit de vous,
l’essentiel est que l’on parle de vous…
Finalement,
tout le monde l’a mis au premier plan, amis et contenders ; sur ces
médias, toute la campagne n’a été qu’un référendum pour ou contre
Trump.
Lors
de ses immenses meetings et sur les réseaux alternatifs, Trump et les
siens proposaient un véritable programme, avec des propositions et une
énergie enthousiasmante pour les mettre en œuvre. Il a ainsi créé une
adhésion massive et magique, démontré un vrai caractère de capitaine qui
reste droit et digne, y compris sous le feu des balles et des
convocations judiciaires iniques, mais aussi des tempêtes de la vie,
avec la mise à nu des frasques qui lui étaient prêtées.
Les
faiseurs d’opinions ont perdu leur martingale ; ils ont été battus et
sont mis à nus par leurs fausses prédictions. Sur les écrans…
finalement, on a vu dès le début de la soirée électorale puis toute la
nuit, une vague rouge présidentielle, sénatoriale, parlementaire et des
gouverneurs, etc. Un véritable Grand Chelem, soit un choix clair et net
des électeurs, pour que Trump puisse enfin agir et montrer ce qu’il peut
faire avec tous les pouvoirs exécutifs en main.
Les
médias et réseaux sociaux, avec leurs algorithmes viciés, pensaient
contrôler les votes ou « non votes » ; ils ont échoués, comme toutes les
stars du show-biz et d’Hollywood. Ils n’ont peut être qu’évité une
gifle plus grande à la candidate, par défaut, des Démocrates.
Les
grandes institutions – CNN, le New York Times, Time Magazine et les
autres piliers de l’information supra nationale comme Vogue ou même
Nature et j’en passe – semblent désormais reléguées aux marges de la
conversation publique sur les questions essentielles. S’ils gardent une
audience, elle serait juste superficielle et peu engagée, car désormais,
elle a trouvé d’autres sources pour éclairer ses choix fondamentaux.
Ainsi,
clairement, la route vers la Maison-Blanche ne passe plus par les
rédactions des grandes chaînes et des journaux prestigieux, encore moins
par leurs éditoriaux. Il est possible que ce soient les podcasts, les
réseaux sociaux, les plateformes de nouvelles alternatives, et surtout
le peuple, avec le bouche à oreille entre les leaders d’opinions de
quartiers et leurs voisins, qui décident de la victoire.
Pour
l’instant, sur ces questions là, la France est en retard, car les
citoyens y rencontrent de nombreux marchands du Temple infiltrés et bien
déguisés (tout le maillage d’associations, sous perfusion de l’Etat et
des partis politiques, pérennise le système malsain de cet entre-soi des
« élites » politiques et financières, qui nous gangrène et nous
déclasse à l’échelle du monde). Par ailleurs, en France, pour les
journalistes citoyens, il est quasi impossible de survivre des dons,
contrairement aux USA où les lecteurs trouvent normal de payer, même
symboliquement, la nourriture de leurs esprits ; et les plus riches
n’hésitent à pas à être mécènes des programmes les plus solides et
imaginatifs ou les plus sincères.
Les
médias traditionnels se ridiculisent à la recherche de psychoses qui
auraient été jusqu’ici non diagnostiquées parmi l’électorat, pour
expliquer l’élection d’un candidat qui serait en tout pire qu’Hitler.
Ils n’ont toujours rien compris : la vérité est bien plus simple que
leurs fictions.
Cette
élection nous rappelle qu’après tous les drames fabriqués et les
discours enflammés, la politique est aussi et toujours une affaire de
problèmes du quotidien, de même que les révolutions véritables (pas
celles de couleur) sont un problème de soif et de faim. Tout le reste
n’est que brume ou brouillard.
Comme
évoqué ci-dessus, que vous soyez d’accord avec son analyse ou non,
Trump a mené une campagne de fond basée sur des questions telles que
l’immigration de masse et les frontières passoires, l’inflation et
l’exploitation des ressources pétrolières et gazières américaines, la
criminalité dans les banlieues et les guerres financées par les USA,
ainsi que le wokisme, lgbt+ et l’avortement. Il a su aussi s’entourer de
chefs d’entreprises et créateurs géniaux, dont le fantasque Elon Musk.
Harris,
quant à elle, a tout misé sur son sourire et son rire, son timbre de
voix et finalement sur des vibrations, des émotions, des mentions de
célébrités, des injures et des insultes (« criminel reconnu coupable », «
fasciste », « misogyne », etc.), des canulars démystifiés (« des gens
très bien », « tourner définitivement la page Trump ») et des platitudes
(« démocratie », « égalité »). Jamais elle ne défendait son bilan,
c’est-à-dire celui du duo Biden-Harris, auquel, pire encore, elle ne
proposait pas d’alternative. Ainsi, même poussée à se distinguer de
Biden et à esquisser ce qu’elle aurait fait à sa place ou ce qu’elle
allait faire, elle n’hésitait pas à dire qu’elle ne ferait rien
différemment. TERRIBLE aveuglément ou absence de fiches sur le sujet !?!
Lorsqu’elle
parlait de sujets spécifiques, elle ne se positionnait que selon les
mots de Trump ; elle n’hésitait pas à faire du braconnage ou de
l’inversion accusatoire ! Cependant, qui l’écoutait sur des questions de
gouvernance ou de programme politique ou géopolitique, constatait que
comme d’autres, elle n’était que « en même temps » ; son seul rôle
n’était pas de faire espérer qu’elle serait une bonne présidente, mais
d’empêcher que Trump puisse accéder à nouveau à ce poste.
Pour
ça, la peur est la seule arme dont elle disposait, avec les leviers de
mensonges et de stars woke, ou animées par leur haine de Trump (comme
Robert de Niro) ; elle a échoué. Au contraire, plus elle était piteuse
dans ses débats et interviews, plus Trump semblait un espoir à essayer,
quitte à s’en mordre les doigts. Si pour moi Trump est un espoir, pour
d’autres c’était le choix entre la noyade et le bûcher.
Beaucoup
de rats ont néanmoins compris que Trump ne pouvait plus perdre, avec le
renfort de Musk ; donc habilement, ils ont quitté le navire Harris
avant qu’il ne sombre. Ainsi de Jeff Bezos et de son journal Le
Washington Post.
Avec
Trump, au moins, certains grands patrons se disaient que des actes
seraient pris pour sauver leurs fortunes en $ : un peu plus d’aides pour
le peuple américain exsangue, mais plus rien, cela immédiatement, pour
les lesbiennes de Papouasie, les gays de Erevan en Arménie ou les
transgenres de Taïwan, les avortements au Groenland. Sagesse ?
Le
seul sujet sur lequel les démocrates avaient un avantage était celui de
l’avortement, qui allait rallier contre Trump des millions de femmes
indécises. Trump a adroitement pris les devants en supprimant les termes
problématiques du programme du Parti républicain, dont une interdiction
fédérale qui était souhaitée autour de lui. Sans vergogne, Harris a
continué à taper sur le sujet, sachant (?) qu’elle mentait ouvertement
sur la position de Trump. Mais ça a moins convaincu, et ça a démontré
l’extrémisme de son propre parti. Ils ont osé faire venir un camion
d’avortement à son Congrès d’Investiture, alors qu’évidemment personne
n’en avait besoin. Trump a été plus habile dans un McDonald et un camion
poubelle. Les campagnes électorales sont devenues des brouhahas fous
aux USA, et les supporters agissent comme des représentants de commerce
ou des groupies, cela dans les deux camps, sans exception. Il ne faut
pas être très regardant ; d’ailleurs, la langue de Biden a fourché en
parlant des supporters de Trump comme des moins que rien. Il a fait un
lapsus… Bref, il a dit le fond de sa pensée, et cette fois c’en était
trop. Les plus proches d’Harris se sont même demandé s’il ne sabotait
pas la campagne de celle qui l’avait remplacé, en pleine campagne,
contre ce qui lui restait de volonté (ou plutôt à sa femme).
Le
fait que les électeurs aient vu clair devrait être rassurant, même si
vous n’êtes pas d’accord avec le résultat. Les électeurs veulent savoir
comment un candidat leur offrira une vie meilleure et, de plus en plus,
ils ont appris à ignorer le reste comme étant du bruit, ou tout
simplement n’écoutent que la voix de leur maître à penser. Ont-ils
seulement le temps et l’envie d’entendre une infime partie des messages
qui circulent ?
Un
esprit sain cherche à se protéger du brouhaha, de toutes ces
injonctions contradictoires ; alors pourquoi de tels efforts et budgets
par les partis, hormis afficher les centaines de millions gaspillés au
nom de leurs supporters ? Car personne ne peut véritablement échapper au
brouhaha, y compris au volant de sa voiture à écouter de la musique (il
y a des affiches et tracts à tous les coins de rues). Le bruit de fond
incessant permet de créer le doute ; on est perdu. Ainsi, cela sert
justement à tout brouiller et surtout à empêcher que l’essentiel ne
fasse surface et ne forge des opinions. Car, en réalité, une campagne
devrait se résumer à un débat de 3-4 heures et un programme écrit, plus
quelques grands meetings, pour défendre un bilan ou expliciter un projet
chiffré. Ca, c’était avant… Maintenant, avec toutes les chaînes d’infos
en continue, tous les problèmes qui s’accumulent et menacent nos vies à
chaque instant (biolabs, inflation, guerres, IA, censure, wokisme,
etc.), il faut sans cesse déverser du blabla dans les cerveaux devenus
captifs des grandes chaînes ou des médias dissidents (marchands du
Temple infiltrés), pour que leurs audiences ne puissent plus distinguer
quoi que ce soit, au milieu du flux de vraies inversions, d’absurdités
et d’invectives déversées par chaque camp et régurgitées, sans honnêteté
et avec parti pris, par les médias et leurs éditorialistes. Qui se
rappelle de quoi que ce soit d’utile un jour ou deux, après une matinale
de Praud, de Tocsin ou une émission TPMP, à part le passage le plus
débile et le plus tapageur… genre Morandini qui explique que les
machettes ont explosé les têtes et que le cerveau était visible, ou que
des mains étaient coupées, alors qu’en réalité il y avait des points de
sutures et des doigts amochés. Tout est fait pour exagérer, jamais pour
raisonner.
Mais
revenons aux élections US qui auraient été gagnées par Harris
largement, si ça c’était passé en France, d’après les sondages… Mais
quel espoir a-t-on dans notre pays qui est l’antre du mal, et qui répète
les erreurs en maintenant au pouvoir le binôme Macron, d’élection en
élection et dissolution.
Depuis
les résultats, les médias traditionnels créent des excuses et
contestent les motivations des électeurs pour expliquer la victoire de
Trump. Pourtant, je le répète, la raison est simple : Trump est le
candidat qui a directement répondu aux préoccupations des électeurs, ET
ses adversaires n’ont pas pu bourrer les urnes.
Ce
sont les problèmes bien identifiés qui emportent les décisions. Quand
je faisais du conseil, c’était pareil : on gagnait une mission si l’on
savait deviner les vrais problèmes, et démontrer qu’on allait s’y
atteler au service de l’entreprise.
Les
« démocrates », les médias et l’État profond ne croient pas à la
démocratie ; ils exècrent les peuples et parfois, dans un lapsus, le
disent. Ils ne croient certainement pas à une quelconque transition du
pouvoir loin d’eux-mêmes. Et tout ce qu’ils font, c’est d’attendre leur
heure pendant qu’ils préparent la destruction totale de Trump et de
l’Amérique.
Ils
ont 10 semaines pour arrêter Trump avant qu’il ne prête serment. Cela
leur laisse beaucoup de temps pour réaliser quelque chose de vraiment
méchant et dangereux.
Mais
je pense que ça ne se passera pas comme ils veulent. Le bal des
vampires touche à sa fin. Mais chez nous en France… la marmite va
continuer à cuire… et nous sommes léthargiques… Qui nous sauvera si
vous, lecteurs, n’aidez pas ceux qui vous disent la vérité et restent
libres et humains ?Je
pense que le pire pour l'humanité se déroule à Gaza, où le régime
israélien montre son vrai visage pour ceux qui regardent sans illusions :
l'opposé de ce qu'il prétend être.
Ils
ne cherchent pas à être un État normal, au contraire ; ils s'octroient
un droit de tuer sans aucune retenue, et personne ne devrait tolérer une
seconde de plus leurs exactions !!!
Ça soulève des questions délicates, couvertes par des tabous puissants.
Pilules bleues ou Pilules Rouges ?
Vous voulez la suite... la plongée dans le terrier des tabous et des mensonges, de l'histoire vraie et de celle réécrite ?
Je
veux continuer à travailler pour que nous restions libres et humains
dans nos pensées et notre expression, préalable essentiel pour
diagnostiquer et réparer les dégâts du passé afin de repartir sur de
bonnes bases.
C'est pourquoi je demande à ceux qui le peuvent de participer via un abonnement payant.
Je
veux continuer ; c'est ma vocation, le sens de ma vie, et je crois
qu'une petite publication indépendante comme la mienne est la seule qui
me convient. Je suis prêt à être relativement solitaire pour rester
fidèle à mes principes, mes engagements, mes racines et les fruits que
j'espère apporter avec mon travail.
Le journalisme citoyen prend ici une forme très concrète, j'espère que vous le sentez dans chaque mot ?
Mes
lecteurs, il est impératif que vous me souteniez si vous souhaitez que
nos idées communes soient entendues. Je suis censurée sur plusieurs
réseaux sociaux, et ma vie professionnelle a subi un coup d’arrêt total
depuis que j'ai choisi de dénoncer les dystopies, les mascarades, et les
malfaisants qui ont régné ces cinq dernières années, depuis les plus
hautes sphères jusqu'aux plus basses.
Le
génocide à Gaza est une réingénierie humaine, un cataclysme pour les
âmes survivantes des fléaux passés. On nous force à regarder un massacre
de masse, un nettoyage ethnique "casher" en direct. Les images qui
circulent ressemblent à celles de films snuff, avec une inversion
perverse des émotions autorisées. On nous demande d'aimer le boucher et
de détester la victime innocente, uniquement parce qu'elle existe et n'a
plus le droit d'exister.
STOP
Nous devons remettre les choses à leur place et DIRE LA VÉRITÉ !
Pour
ceux qui ne peuvent pas aider, je vous le répète, c'est gratuit pour
vous ; continuez à me lire et à partager comme vous le faites.
Mais
pour ceux qui peuvent et ne le font pas… vous êtes déjà perdus ;
inutile de me lire, car je ne peux rien pour vous. Votre âme et votre
cœur sont trop secs… La misère vous attend.
Tous, néanmoins, je vous remercie et vous souhaite une bonne semaine !
MERCI
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