Mercredi 22 avril, alors que Petro Porochenko était en visite en France, Bruno, militant en faveur des Républiques Populaires du Donbass, a décidé de réaliser quelques graffitis sur la route longeant l’ambassade d’Ukraine à Paris, avant de chanter la Marseillaise puis l’hymne russe sous leurs fenêtres. Une action, certes pacifique mais qui n’a pas plu à l’ambassade qui s’est empressée de prévenir les autorités.
Les forces de police ont, dès leur arrivée, procédé à l’arrestation de trois partisans des séparatistes, avant de réserver le même sort au journaliste de l’Agence Info Libre présent sur place. Transportés sirènes hurlantes jusqu’au commissariat du 7e où nous avons attendus menottés à un banc la confirmation que cette arrestation était illégale et ne pouvait donc aboutir sur une garde à vue. Nous avons été convoqués le lendemain afin de répondre aux questions des autorités. Aucune suite ne semble être envisagée.
Les forces de police ont, dès leur arrivée, procédé à l’arrestation de trois partisans des séparatistes, avant de réserver le même sort au journaliste de l’Agence Info Libre présent sur place. Transportés sirènes hurlantes jusqu’au commissariat du 7e où nous avons attendus menottés à un banc la confirmation que cette arrestation était illégale et ne pouvait donc aboutir sur une garde à vue. Nous avons été convoqués le lendemain afin de répondre aux questions des autorités. Aucune suite ne semble être envisagée.
Source : http://gaideclin.blogspot.fr/2015/04/liberte-dexpression-manifestation-non.html
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