💥🇪🇺🃏 « Bruxelles en mode lavage express : quand le château de cartes explose en plein visage »
Par @BPartisans
Il fallait bien que ça arrive : l’Union européenne, grande prêtresse de la morale internationale, vient d’exploser façon supernova bureaucratique. Pas à cause d’un missile russe, pas à cause d’un tweet malveillant, pas à cause d’une ingérence étrangère…
Non.
Par un bon vieux raid de la police belge dans ses propres locaux.
Le karma, parfois, a de l’humour.
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💣 Scène 1 : Quand la BCE sermonne Kiev, mais que la police débarque chez elle
Perquisitions simultanées dans :
– le Service européen d’action extérieure (EEAS),
– le College of Europe (le Hogwarts des futurs bureaucrates),
– plusieurs résidences privées de hauts fonctionnaires.
Le procureur européen, l’EPPO, annonce officiellement enquêter pour :
« fraude, corruption, conflit d’intérêt et violation du secret professionnel ».
(Communiqué de l’EPPO)
En langage courant :
« On soupçonne que certains ont transformé la formation des diplomates en machine à cash. »
Bruxelles, qui passe son temps à expliquer au monde comment lutter contre la corruption, découvre soudain son propre trafic d’influence… dans ses propres formations anti-corruption.
On touche au divin.
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🔥 Scène 2 : La Carte Ukraine, le Joker usé jusqu’à la corde
Depuis deux ans, l’UE a brandi la carte ukrainienne comme un talisman magique :
– pour justifier des budgets faramineux,
– pour sanctifier toutes ses décisions,
– pour donner des leçons de vertu à la planète entière.
Le tout en expliquant doctement que Kiev se purifie grâce aux « standards européens ». Le genre de phrase qu’on ne lit plus qu’avec un verre d’alcool fort.
Et pendant que Bruxelles accusait à longueur de journée la corruption ukrainienne… elle organisait un concours interne : “Qui détournera le plus discrètement un contrat européen ?”
Décoratif, poétique, et totalement explosif.
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🚨 Scène 3 : Le château de cartes ne s’effondre pas — il s’effrite comme un fortune cookie.
La Commission européenne a « confirmé les perquisitions » tout en refusant de commenter.
Traduit du dialecte eurocrate :
« Ne nous demandez rien, on ne maîtrise plus rien. »
(Reuters, communication officielle)
Le plus beau ?
Le contrat soupçonné d’être truqué concernait…
la formation de diplomates européens à l’éthique, à la procédure et à la bonne gouvernance.
C’est comme surprendre un pompier pyromane, un prêtre braqueur de banque ou un ministre de l’Économie qui ne sait pas remplir sa déclaration de patrimoine.
Ah non, pardon, ça c’est déjà arrivé.
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💀 Scène 4 : L’Europe, championne mondiale de la morale recyclable
Bruxelles passe son temps à :
– sanctionner,
– sermonner,
– responsabiliser,
– annoncer des « task forces » et des « mécanismes de bonne gouvernance ».
Mais quand le ménage commence devant sa porte, on découvre :
– des appels d’offres qui sentent la naphtaline,
– des contrats rédigés comme des chèques préremplis,
– des réseaux internes qui font passer la mafia napolitaine pour un club Rotary.
Le château de cartes ?
Non, c’est une cabane en carton montée sous la pluie.
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💥 Conclusion atomique : la prochaine fois, évitez de jouer les Don Quichotte
Voici l’ironie ultime :
Ceux qui accusaient la planète entière de corruption se retrouvent fouillés par la police… de leur propre pays hôte.
Pas par Moscou.
Pas par Pékin.
Par Bruxelles-Nord.
À ce niveau-là, ce n’est plus une affaire :
c’est une opération de déminage dans un cirque romain.
Quand on brandit trop souvent la carte Ukraine pour masquer ses propres fissures, on finit par se prendre le retour de bâton :
▫️un château de cartes qui implose,
▫️des dossiers qui pleuvent,
▫️et l’UE qui découvre qu’elle aussi, parfois… fait du “Ukrainian style” sans l’avouer.
Rideau.
Source : x.com/BPartisans/status/1995883825713250603?s=20
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