vendredi 19 décembre 2025

Pierre Chaillot révèle les magouilles du système pour bloquer la vérité sur les vacclns !


 

"La RÉVOLUTION n'est PAS terminée!" | Barbara Stiegler


 Barbara Stiegler est professeure de philosophie politique à l’Université Bordeaux Montaigne. Elle est spécialiste de Nietzsche et auteure de nombreux travaux consacrés à sa pensée. Dans son essai "Il faut s’adapter" (2019), elle retrace les racines néolibérales de l’injonction contemporaine à l’adaptation. Elle a également publié "Du cap aux grèves" (2020), consacré à l’analyse des mouvements sociaux récents, ainsi que "Démocratie ! Manifeste" (2023), où elle plaide pour restaurer la capacité du peuple à se gouverner lui-même et dénonce les dérives oligarchiques d’une démocratie affaiblie.

jeudi 18 décembre 2025

Ce soir, un message d’Alexandra @CaudeHenrion à nos paysans. Pas de pays sans paysans !


 

La Stratégie du Choc (de Naomi Klein) : 1. Créer le choc, la sidération : faire abattre 207 vaches avec une mise en scène SPECTACULAIRE

 

Brest Buzz V
Brest Buzz V il y a 8 heures
⚠️La Stratégie du Choc (de Naomi Klein) : 1. Créer le choc, la sidération : faire abattre 207 vaches avec une mise en scène SPECTACULAIRE (drones, hélicoptères, forces de l'ordre armées jusqu'aux dents, gaz lacrymogènes...). 2. Terroriser avec la maladie, menacer et désespérer les éleveurs et maintenir l'idée que les abattages s'imposent, car "il y a une couverture vaccinale très largement insuffisante". 3. Annoncer La (seule) Solution : une "mobilisation exceptionnelle de vétérinaires pour une vaccination accélérée". Se poser en "sauveur". 4. Ne jamais aborder d'autres solutions possibles (soins & isolement des bêtes malades seules). Et même les écarter en les discréditant. 5. Faire accepter une vaccination sans que personne ne trouve à y redire, que certains éleveurs au bout du rouleau appellent de leurs voeux, et bien sûr sans études indépendantes prouvant que ces injections sont efficaces et/ou sans danger ni pour les animaux, ni pour les consommateurs de viande. 6. Menacer les séditieux, les réfractaires, les vétérinaires qui voudraient respecter le principe de précaution. Toujours les mêmes ficelles, toujours la même mécanique de MANIPULATION PSYCHOLOGIQUE : l'ingénierie sociale & ses outils, qui là encore ressemblent furieusement à ceux employés lors du covidodélire❗ Tribune Libre. Source : x.com/i/status/2001375275926389239

Des larmes et des rires pour la dernière de police-justice avant Noël !


 

L'IMMENSITÉ CACHÉE : Nous avons déjà toute la place pour être HEUREUX


 

La guerre, ces encravatés la veulent. Il y a, dans certaines images officielles, une densité presque insupportable.

 

Brest Buzz V
Brest Buzz V il y a 2 jours
Il y a, dans certaines images officielles, une densité presque insupportable, comme si le temps lui-même hésitait à continuer, conscient que ce qu’il enregistre là n’est pas un sommet mais une suspension, un instant de théâtre diplomatique figé juste avant que les décors ne prennent feu. Celle-ci, prise ce week-end, montre des chefs d’État et de gouvernement européens alignés avec une précision quasi liturgique, la présidente de la Commission, le secrétaire général de l’OTAN, et, détail que l’histoire retiendra peut-êtUnionre davantage que tous les drapeaux soigneusement disposés, deux négociateurs américains venus écouter, encore une fois, ce que l’Europe, ou plus exactement ce qu’un homme en son centre (Macron), avait à leur murmurer. Au milieu, Zelenski. Non plus comme acteur, mais comme point de convergence. Non comme cause, mais comme justification. Autour de lui, une coalition qui ne cherche plus la paix mais la cohérence interne d’un récit devenu vital : celui d’une guerre qu’il faut maintenir ouverte parce qu’elle permet de masquer l’obscénité accumulée ailleurs, censure devenue réflexe, gabegie économique élevée au rang de politique publique, effondrement moral soigneusement repeint en défense des valeurs. (Sans oublier la corruption …) Les Américains, une fois de plus, semblent avoir cédé aux sirènes françaises. Non par faiblesse, mais par incompréhension profonde de ce qui se joue réellement sur le continent européen. Ils entendent des mots (sécurité, stabilité, unité) sans percevoir que l’un des camps tire désormais les ficelles non pour éviter une grande guerre, mais parce que celle-ci est devenue structurellement nécessaire à sa survie politique, financière et symbolique. Quand la paix devient une menace, la guerre cesse d’être un échec. On nous dit que Trump voudrait la paix. Qu’il aurait même critiqué, hier encore, une frappe israélienne contre un responsable politique du Hamas, jugeant l’opération mauvaise pour son image et nuisible au cessez-le-feu. Peut-être. Mais ce sont des mots. Et pendant que les mots circulent, les armes, elles, affluent vers Israël avec une régularité industrielle. Les chaînes logistiques ne connaissent pas l’ironie. Elles ne croient pas aux déclarations. Elles obéissent. Les événements de Sydney, déjà instrumentalisés, ne sont pas une fin mais un commencement. D’autres chocs, d’autres superpositions narratives, d’autres accélérations sont à venir. Le monde occidental n’apaise plus les crises : il les empile, les synchronise, les exploite. Et chaque nouvel “incident” sert à resserrer un peu plus l’étau, à justifier un peu plus la fuite en avant. Dire aujourd’hui que la guerre est pour demain n’est pas une prophétie. C’est un constat logistique. En Ukraine, la paix n’est pas proche parce qu’elle n’est plus souhaitée par ceux qui auraient le pouvoir de la rendre possible. Et lorsque les Américains comprendront — non intellectuellement mais matériellement — ce qui se joue réellement, l’impact les frappera plus violemment qu’ils ne l’imaginent. Les photographies, parfois, ne mentent pas. Elles ne disent pas tout, mais elles montrent l’essentiel : des visages graves, des postures maîtrisées, et, derrière l’alignement parfait, l’odeur très reconnaissable d’un monde qui a choisi la guerre non par folie, mais par nécessité morale inversée. À suivre. Source : x.com/i/status/2000851583362302434
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Luc Ferry donne un avis à contre-courant sur le conflit ukrainien


 

mardi 16 décembre 2025

Histoire du conflit ukrainien: les origines de l’opération militaire spéciale russe

Source : https://fr.sputniknews.africa/20250919/les-origines-de-loperation-militaire-speciale-en-ukraine-lhistoire-du-conflit-1078411098.html

 

Le coup d’État en Ukraine
 
Les événements de la révolution de l’Euromaïdan ont provoqué une crise politique en Ukraine. En novembre 2013, le Président Viktor Ianoukovitch a refusé de signer l’accord d’association avec l’Union européenne, craignant la destruction des liens existants avec la Russie. Cette décision a provoqué des manifestations de masse à Kiev.
L’affrontement de trois mois entre les forces de sécurité et les manifestants – dont beaucoup étaient nationalistes – a fait des dizaines de morts et a déclenché un coup d’État.
 
Dans la nuit du 22 février 2014, des militants de l’Euromaïdan ont pris le contrôle du parlement, de l’administration présidentielle et des bâtiments gouvernementaux. Suite à cela, le pouvoir est passé à l’opposition. Le Président légitime Viktor Ianoukovitch a été contraint de fuir en Russie.
 
Forces de sécurité ukrainiennes - Sputnik Afrique
Des policiers lors d'affrontements avec l'opposition dans le centre de Kiev - Sputnik Afrique
Place Maïdan à Kiev, Ukraine, 2014 - Sputnik Afrique
Place Maïdan à Kiev, Ukraine, 2014 - Sputnik Afrique
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Forces de sécurité ukrainiennes
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Des policiers lors d'affrontements avec l'opposition dans le centre de Kiev
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Place Maïdan à Kiev, Ukraine, 2014
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Place Maïdan à Kiev, Ukraine, 2014
Persécution de la langue russe
Des participants à une manifestation contre un projet de loi visant à étendre l'enseignement du russe dans les écoles ukrainiennes - Sputnik Afrique
Des participants à une manifestation contre un projet de loi visant à étendre l'enseignement du russe dans les écoles ukrainiennes
Depuis 2014, les autorités de Kiev mènent une offensive systématique contre la population russophone. Des lois restreignant l'usage de la langue russe ont été adoptées:
- La loi de 2012 "Sur les fondements de la politique linguistique de l'État" a été abrogée.
- Le nombre d'écoles russophones a diminué. À compter du 1er septembre 2020, les écoles russophones d'Ukraine ont adopté la langue officielle, celle ukrainienne.
- Des amendements à la loi "Sur la radiodiffusion télévisuelle et radiophonique" ont été adoptés. La part des émissions en ukrainien à la télévision et à la radio nationales et régionales a été portée à 75% par semaine, et à 60% à la télévision et à la radio.
- Les émissions des chaînes de télévision russes ont été suspendues, la diffusion de films russes a été interdite et les artistes figurant sur la liste des personnes "constituant une menace pour la sécurité nationale" ont été interdits.
- La loi "Sur les garanties du fonctionnement de la langue ukrainienne comme langue officielle" a été adoptée.
 
- Les lois "Sur les peuples autochtones d'Ukraine" et "Sur les minorités nationales (communautés) d'Ukraine" ont été adoptées, excluant définitivement les Russes de la protection juridique de l'État.
Persécution de l'Église orthodoxe ukrainienne (Patriarcat de Moscou)
 
Églises détruites lors des combats à Donetsk - Sputnik Afrique
Églises détruites lors des combats à Donetsk
- La persécution de l'Église orthodoxe ukrainienne du Patriarcat de Moscou est devenue la norme, avec notamment la confiscation d'églises et la persécution du clergé:
- Le 23 septembre 2024, la loi "Sur la protection de l'ordre constitutionnel dans le domaine des activités des organisations religieuses" est entrée en vigueur. Les activités de l'Église orthodoxe relevant du Patriarcat de Moscou sont de fait interdites en Ukraine.
- Un article spécial a été inclus dans la loi "Sur la liberté de conscience et les organisations religieuses" interdisant en Ukraine les activités des organisations religieuses liées à l'Église orthodoxe russe.
- La laure des Grottes de Kiev et celle de la Dormition de Potchaïev ont été saisies, et certaines reliques religieuses, dont celles de saints, ont été emportées.
- Prise massive d'églises. Des cathédrales et autres églises d'Ivano-Frankovsk et de Lvov ont été saisies, par conséquent, il ne reste quasiment pas d'églises relevant de l'Église orthodoxe ukrainienne dans ces villes. Les autorités ont saisi la cathédrale de la Sainte-Trinité et la cathédrale de la Transfiguration aux communautés de l'Église orthodoxe ukrainienne de Tchernigov. Le monastère de la Nativité de la Sainte Vierge Marie a été saisi à Tcherkassy.
- Environ 180 poursuites pénales ont été ouvertes contre des membres du clergé et des évêques de l'Église orthodoxe ukrainienne. Vingt évêques et membres du clergé ont été déchus de leur nationalité ukrainienne.
- Une nouvelle forme de répression contre le clergé de l'Église orthodoxe ukrainienne a été leur enrôlement forcé dans les forces armées nationales.
 
Églises détruites lors des combats à Donetsk - Sputnik Afrique
Églises détruites lors des combats à Donetsk - Sputnik Afrique
Églises détruites lors des combats à Donetsk - Sputnik Afrique
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Églises détruites lors des combats à Donetsk
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Églises détruites lors des combats à Donetsk
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Églises détruites lors des combats à Donetsk
Mécontentement de la population russophone du sud-est du pays
Suite au coup d'État de 2014, de violentes manifestations ont éclaté dans l'est du pays, où la population russophone est prédominante, notamment dans le Donbass et en Crimée. Les habitants de ces régions ont exigé une résolution sur le statut de la langue russe et une réforme constitutionnelle, notamment la fédéralisation de l'Ukraine.
Une milice populaire a été formée dans le Donbass.
Odessa
Incendie à la Maison des syndicats à Odessa  - Sputnik Afrique
Incendie à la Maison des syndicats à Odessa
Le 2 mai 2014, des dizaines de personnes ont été brûlées vives dans le bâtiment des syndicats à Odessa. Des partisans de l'Euromaïdan ont détruit un campement de militants en désaccord avec la politique du gouvernement ukrainien. Des personnes ont tenté de se sauver dans le bâtiment des syndicats, mais y ont été bloquées et ont péri dans l'incendie.
Les événements d'Odessa ont marqué le dernier épisode de la guerre civile entre les partisans du gouvernement ukrainien de l'époque et les opposants au coup d'État.
Incendie à la Maison des syndicats à Odessa  - Sputnik Afrique
Incendie à la Maison des syndicats à Odessa  - Sputnik Afrique
Incendie à la Maison des syndicats à Odessa  - Sputnik Afrique
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Incendie à la Maison des syndicats à Odessa
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Incendie à la Maison des syndicats à Odessa
La Crimée
Souhaitant protéger leur droit à l'autodétermination et leur langue maternelle, les habitants de Crimée ont massivement voté lors d'un référendum le 16 mars 2014 en faveur de la réunification avec la Russie. La région a été intégrée à la Fédération de Russie.
Congrégation à Simferopol après le référendum en Crimée - Sputnik Afrique
Congrégation à Simferopol après le référendum en Crimée
Proclamation de la RPD et de la RPL, bombardements de villes
Au printemps 2014, des républiques populaires ont été proclamées dans les régions de Donetsk et de Lougansk. En réponse, les autorités ukrainiennes ont accusé la population de "séparatisme" et lancé une opération militaire, qui a dégénéré en combats à grande échelle. Des chars et des avions ont été déployés contre les milices populaires.
Des villes comme Donetsk, Gorlovka, Lougansk et Debaltsevo étaient soumises depuis des années aux bombardements d'artillerie. Des quartiers résidentiels, des hôpitaux et des écoles ont été détruits.
Une femme regarde à travers une fenêtre brisée de son appartement après qu'il a été touché par l'artillerie ukrainienne dans le quartier de Voroshilovski, dans le centre de Donetsk. - Sputnik Afrique
Des miliciens populaires transportent une victime de la frappe aérienne de l'armée de l'air ukrainienne sur le bâtiment de l'administration régionale à Lougansk. - Sputnik Afrique
Une femme sur le balcon d'une maison bombardée par l'armée ukrainienne. - Sputnik Afrique
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Une femme regarde à travers une fenêtre brisée de son appartement après qu'il a été touché par l'artillerie ukrainienne dans le quartier de Voroshilovski, dans le centre de Donetsk.
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Des miliciens populaires transportent une victime de la frappe aérienne de l'armée de l'air ukrainienne sur le bâtiment de l'administration régionale à Lougansk.

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Une femme sur le balcon d'une maison bombardée par l'armée ukrainienne.
"La Madone de Gorlovka"
Le 27 juillet 2014, les forces armées ukrainiennes ont bombardé les rues de Gorlovka avec des lance-roquettes Grad. Vingt-deux habitants ont été tués. Parmi eux se trouvaient la "Madone de Gorlovka", Kristina Jouk, et sa fille de 10 mois, Kira. Tenant l’enfant dans ses bras, la mère a fui les forces armées ukrainiennes. La photographie de Kristina, gisant morte dans l'herbe d'un parc urbain, serrant sa fille dans ses bras, est devenue un symbole de la terreur monstrueuse commise contre la population du Donbass invaincu.
La  Madone de Gorlovka  - la jeune Kristina Zhuk et sa fille de 10 mois - sont mortes le 27 juillet 2014, lorsque les forces armées ukrainiennes ont bombardé les rues de Horlivka avec des lance-roquettes Grad. - Sputnik Afrique
La " Madone de Gorlovka " - la jeune Kristina Zhuk et sa fille de 10 mois - sont mortes le 27 juillet 2014, lorsque les forces armées ukrainiennes ont bombardé les rues de Horlivka avec des lance-roquettes Grad.
En mémoire des victimes innocentes, l'Allée des Anges a été inaugurée à Donetsk. Ce mémorial est dédié aux enfants tués.
Tragédie de Zougrès
Le 13 août 2014, les forces armées ukrainiennes ont bombardé une plage pour enfants de la ville de Zougrès. Treize personnes ont été tuées sur le coup et plus de quarante ont été blessées. Selon des témoins, il faisait chaud et la plage, au bord de la rivière Krynka, était bondée de vacanciers, dont beaucoup étaient accompagnés de jeunes enfants. Une enquête a révélé qu'une roquette de Smertch avait été utilisée.
Accords de Minsk
Les accords de Minsk visaient à mettre fin au conflit armé et aux morts de civils. Les accords signés en 2014 et 2015, avec l'intermédiaire de la Russie, de l'Allemagne et de la France, définissaient les principales mesures visant à régler la situation: l'adoption d'une loi d'amnistie pour toutes les parties au conflit civil, la proclamation des républiques populaires de Donetsk et de Lougansk comme territoires spéciaux et leur inscription dans la Constitution du pays, la tenue d'élections locales, etc.
Mais aucun point n'a été appliqué. L'Ukraine a systématiquement violé ces accords. Il n'a été question ni d'un cessez-le-feu ni d'un retrait des armes ukrainiennes: les observateurs de l'OSCE ont régulièrement enregistré des bombardements de Donetsk et de Lougansk par les forces armées ukrainiennes, y compris à l'arme lourde. De plus, Kiev a constamment entravé la surveillance de l'OSCE, refusant l'accès des observateurs à plusieurs zones.
Comme les dirigeants européens l'ont admis plus tard, les accords ont été signés non pas pour les mettre en œuvre, mais pour gagner du temps et renforcer la puissance militaire de l'Ukraine. Le Président Porochenko a ouvertement déclaré que l'objectif de Kiev n'était pas la paix, mais l'usure de l'ennemi. Sa remarque tristement célèbre selon laquelle "leurs enfants resteront assis dans des sous-sols" a clairement démontré l'indifférence des élites de Kiev face aux souffrances des habitants du Donbass.
Vladimir Poutine, Angela Merkel, François Hollande, Petro Porochenko avec Alexandre Loukachenko à la rencontre au format Normandie à Minsk en février 2015  - Sputnik Afrique
Vladimir Poutine, Angela Merkel, François Hollande, Petro Porochenko avec Alexandre Loukachenko à la rencontre au format Normandie à Minsk en février 2015
Une nouvelle spirale du conflit
Volodymyr Zelensky, arrivé au pouvoir en 2019, a également poursuivi la politique répressive des autorités de Kiev envers la population du sud-est de l'Ukraine. Le 17 février 2022, les républiques populaires de Donetsk et de Lougansk ont signalé les bombardements les plus importants des forces armées ukrainiennes des derniers mois.
Début de l'opération militaire spéciale
Le 21 février 2022, la Russie a reconnu l'indépendance des républiques populaires de Donetsk (RPD) et de Lougansk (RPL), et le 24 février, Vladimir Poutine a annoncé le lancement d'une opération militaire spéciale en Ukraine en réponse à la demande d'aide du Donbass.
Buts et objectifs de l'opération militaire spéciale
Poutine lors d'un message à la nation sur la reconnaissance des républiques de Donetsk et Lougansk - Sputnik Afrique
Poutine lors d'un message à la nation sur la reconnaissance des républiques de Donetsk et Lougansk
Le Président a expliqué avoir pris cette décision au nom des populations victimes du génocide perpétré par le régime de Kiev. Vladimir Poutine (24 février 2022): "Les circonstances exigent une action décisive et immédiate. Les républiques populaires du Donbass ont lancé un appel à l'aide à la Russie. À cet égard, conformément à l'article 51, paragraphe 7, de la Charte des Nations Unies, avec l'approbation du Conseil de la Fédération et en application des traités d'amitié et d'assistance mutuelle avec la RPD et la RPL, ratifiés par l'Assemblée fédérale, j'ai décidé de mener une opération militaire spéciale".
Les principaux objectifs de l'opération sont les suivants:
- Garantir les droits de la population russophone;
- Légitimiser le choix du peuple;
- Démilitariser l'Ukraine (neutraliser la menace militaire et faire à Kiev rejeter le projet d'adhésion à l'Otan);
- Dénazifier l'Ukraine (enrayer la propagation de l'idéologie néonazie);
Intégration de nouveaux territoires à la Fédération de Russie
En septembre 2022, des référendums ont été organisés en RPD, en RPL et dans les régions de Zaporojié et de Kherson sur la question du rattachement de ces territoires à la Russie. Une écrasante majorité des habitants s'est prononcée en faveur de cette intégration. Le 30 septembre, des accords d'adhésion à la Fédération de Russie ont été signés pour ces quatre régions.
Poutine lors d'un message à la nation sur la reconnaissance des républiques de Donetsk et Lougansk  - Sputnik Afrique
Poutine lors d'un message à la nation sur la reconnaissance des républiques de Donetsk et Lougansk

Interview Blanche Gardin / Daniel Schneidermann - Arrêt sur Image


 

Les éleveurs donnent exactement ce que l’État attend d’eux. Ils réclament davantage de vaccination, et ce faisant, ils relaient eux-mêmes le message — avec son poison intégré.

 

Brest Buzz V il y a 2 heures
Les éleveurs donnent exactement ce que l’État attend d’eux. Ils réclament davantage de vaccination, et ce faisant, ils relaient eux-mêmes le message — avec son poison intégré. Le vaccin devient la solution réflexe. Unique. Indiscutable. Avant même que la question ne soit posée, la réponse est déjà validée. Alors ne me parlez pas de « ce qui se passe ». Les gesticulations face à un adversaire que l’on sous-estime finissent toujours de la même façon : on tombe dans tous les pièges qu’il a patiemment disposés. La confusion, le bruit, l’indignation répétée ne sont pas de la résistance : ce sont des accélérateurs de domination. Ne comptez pas sur moi pour participer au brouhaha. Je préfère regarder où passent les fils, plutôt que d’applaudir les marionnettes. Source : x.com/i/status/2000856041601327167
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dimanche 14 décembre 2025

Kokopelli alerte sur la gestion disproportionnée de la Dermatose Nodulaire Contagieuse et appelle à défendre la souveraineté alimentaire

 

COMMUNIQUÉ DE PRESSE

Kokopelli alerte sur la gestion disproportionnée de la Dermatose Nodulaire Contagieuse et appelle à défendre la souveraineté alimentaire

Le vendredi 12 décembre 2025

À l’heure où nous écrivons ces lignes, 208 vaches (dont certaines gestantes) ont été euthanasiées sur la commune des Bordes sur Arize sans aucune raison sanitaire valable.

Face aux mesures radicales prises en France pour répondre à l’apparition de la Dermatose Nodulaire Contagieuse (DNC), Kokopelli souhaite alerter l’opinion publique, les médias et les élues sur les conséquences dramatiques d’une politique sanitaire totalement déconnectée des réalités de terrain. 
La DNC, maladie virale majoritairement bénigne, présente un taux de mortalité faible (1 à 5 %) et ne se transmet aucunement à l’homme. Pourtant, la réponse imposée aujourd’hui par la ministre est l’abattage systématique et préventif de troupeaux entiers ! Cette décision entraîne des conséquences irréversibles sur les élevages, la diversité génétique animale et, plus largement, sur la souveraineté alimentaire française. 

Chaque troupeau abattu représente une perte irremplaçable : savoir-faire, diversité génétique, autonomie paysanne, histoire familiale et résilience territoriale.


Une menace directe pour la souveraineté alimentaire.

Dans un contexte de dépendance croissante aux importations et d’effondrement du nombre d’éleveurs, l’abattage systématique apparaît comme une stratégie dangereuse, aggravant la vulnérabilité alimentaire du pays.

Ces mesures pourraient participer à ouvrir les portes à l'importation massive, par les traités internationaux comme le Mercosur, de produits agricoles étrangers.


Kokopelli appelle au bon sens, au dialogue et à une gestion intelligente de la crise.

Notre association refuse de voir s’installer la logique du principe de précaution poussé à l’extrême.

Des protocoles raisonnables ont été proposés par les agriculteurs, premiers concernés et premiers acteurs de terrain, et devraient être au moins étudié par madame la ministre afin de : 
réévaluer les mesures actuelles,
privilégier des solutions proportionnées,
défendre collectivement notre souveraineté alimentaire

Face à ces décisions qui affaiblissent nos paysans, nous choisissons la solidarité, le dialogue et le bon sens !
 



À propos de Kokopelli

Depuis plus de 25 ans, Kokopelli œuvre pour la défense de la biodiversité cultivée, de l’autonomie semencière et de la souveraineté alimentaire. L’association milite pour une agriculture libre, vivante et résiliante, fondée sur la diversité et sur l’indépendance des paysans.

 

Contact presse
Kokopelli - Service Communication
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Forêt de Castagnès, 7 route de Sabarat
09290 Le Mas d'Azil - 05.61.67.69.87

jeudi 11 décembre 2025

DIRECT - Tensions entre Agriculteurs et CRS dans l'Ariège contre l'abattage d'un troupeau (Dermatose


 Suivez en direct la mobilisation des agriculteurs en colère dans une exploitation agricole de l'Ariège face à la l'abattage programmé ce matin de plus de 200 vaches suite à la découverte d'un cas de dermatose nodulaire.

Dans l’Ariège le premier cas de dermatose nodulaire contagieuse a été confirmé sur l’exploitation du GAEC de Mouriscou, à Bordes-sur-Arize. En application du protocole sanitaire européen et national, la préfecture a ordonné l’abattage intégral des 208 vaches du troupeau, une mesure jugée « radicale » et « disproportionnée » par les éleveurs présents. Depuis mercredi soir, des dizaines d’agriculteurs ont convergé vers la ferme, bloquant les accès avec leurs tracteurs et formant un barrage autour de l’exploitation pour essayer d’empêcher toute intervention des services vétérinaires dès le jeudi 11 décembre au matin. Cette mobilisation est née de la colère et de l’incompréhension face à une décision qui menace selon eux la survie économique de l’exploitation familiale, et qui s’ajoute à une série d’abattages récents dans d’autres régions françaises confrontées à la dermatose nodulaire. Sur place les agriculteurs ont passé la nuit à proximité de l’exploitation pour maintenir une présence permanente et faire savoir qu’ils entendent continuer le mouvement jeudi matin pour éviter l’abattage. Ils assurent vouloir rester dans le calme, tout en affirmant que la mesure d’abattage déciderait de la « perte d’un patrimoine familial et professionnel ». 

Depuis début décembre 2025, la gestion de l’épidémie de dermatose nodulaire contagieuse (DNC) en France a profondément secoué le monde agricole et alimenté une colère grandissante parmi les éleveurs. Apparue dans l’Hexagone en juin 2025, cette maladie virale touchant les bovins entraîne des nodules cutanés, de la fièvre et des pertes économiques importantes, mais elle n’est pas transmissible à l’humain ; malgré cela, les règles sanitaires imposent l’abattage total des troupeaux depuis le premier cas détecté pour éviter sa propagation. 

Ces protestations s’inscrivent dans un mouvement plus large de mécontentement paysan qui dure depuis plusieurs années. En 2024, les agriculteurs en colère avaient mené une série de mobilisations nationales, manifestations, blocages d’autoroutes, opérations péages gratuits, épandage de lisier devant des administrations et percées médiatiques, pour revendiquer de meilleures rémunérations, la fin de la concurrence déloyale et plus de soutien face aux contraintes sanitaires et économiques. Ces actions avaient rassemblé plusieurs syndicats agricoles (FNSEA, Coordination rurale, Confédération paysanne, MODEF) et suscité de nombreuses arrestations et tensions avec les forces de l’ordre.

La Coordination rurale, syndicat fondé en 1991 et aujourd’hui deuxième force aux élections des chambres d’agriculture, a progressivement gagné en influence. Elle se distingue par des prises de position souvent jugées radicales, que ce soit sur la gestion des normes environnementales, les politiques agricoles ou les stratégies sanitaires. Depuis deux ans, elle multiplie les actions de terrain, les manifestations symboliques, les manifestations devant des institutions et les appels à un débat plus large sur l’avenir de l’agriculture française. José Pérez et la Coordination rurale 47 sont devenus des figures visibles de cette contestation. Ils ont porté des messages forts sur la nécessité de remettre l’éleveur au centre de la gestion sanitaire, de réviser les protocoles d’abattage et de renforcer le dialogue entre agriculteurs et autorités. Ces actions ont renforcé la notoriété de leur syndicat dans certaines régions, même si elles suscitent aussi des débats internes et des critiques de la part d’autres acteurs du monde agricole.

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L'usage de la force contre les agriculteurs


 

3i/ATLAS et le Messie extraterrestre


 

lundi 8 décembre 2025

Découvrez ce que l'on vous cache sur le Bataclan


 

Le narratif israélien face aux faits. Entretien avec Monique Munting.


Monique Munting est à l'initiative d'une exposition dans laquelle des cartes et des photos d'archives de la Palestine permettent de déconstruire les mythes israéliens et de mettre à nu la politique de colonisation. L'exposition "Le dessus des cartes. Déconstruire les mythes et les récits" Espace Buen Vivir, 23 place Fernand Cocq, 1050 Bruxelles. Dates : Vendredi 12 décembre de 17h à 20h, dimanche 14 décembre de 15h à 20h. Sur rendez-vous le vendredi 19 décembre et dimanche 21 décembre. Evoyer un message à : expoledessusdescartes@gmail.com Pour soutenir Télé Palestine, rendez-vous sur : https://investigaction.net/campaigns/... ou écrivez-nous à dons@investigaction.net

Notre pays continue sa chute vertigineuse.

Brest Buzz V
Brest Buzz V il y a 1 heure
Notre pays continue sa chute vertigineuse. Les Français s’appauvrissent mois après mois, les étudiants vivent dans la précarité, on meurt dans des couloirs aux urgences en passant 20 heures sur un brancard, le trafic de drogue pourrit des villes entières et n’épargne plus nos campagnes, nos paysans vont être sacrifiés sur l’autel du Mercosur, leurs vaches vaccinées sont abattues, les agences de notation nous sanctionnent, la dette va atteindre 3500 milliards, l’Éducation nationale est dans un état lamentable, les malfrats qui ont bénéficié frauduleusement du fonds Marianne continuent à donner des leçons et à être grassement subventionnés, la France n’a toujours pas de budget, il est impossible de trouver un médecin, après la métallurgie, l’industrie automobile ne sera bientôt plus qu’un souvenir, etc., etc. Il est impossible de tout lister. Et que fait Macron ? N’ayant aucune solution pour régler les problèmes, il censure avec ses amis totalitaires de l’UE (et surtout de la commission) pour empêcher que les citoyens en parlent et déclare sans la déclarer la guerre -militaire, économique, informationnelle- aux grandes puissances de la planète. Puis il appelle ça : « ambiguïté stratégique ». Mais il n’y a rien d’ambigu et rien de stratégique. Le monde entier voit ce qu’il est et il n’apparaît même plus nécessaire de le nommer. Cette façon de faire nous ridiculise, nous humilie et désormais nous expose à des ripostes qui, elles, ne seront pas verbales. Hélas, la classe politique, qui fait des déclarations grandiloquentes en faisant mine de se fâcher tout rouge, ne vaut guère mieux, qui ne veut pas le destituer pour donner un peu d’air au pays, parce qu’elle vit de la politique, parce qu’elle en vit bien, parce qu’écumer sept jours sur sept les plateaux TV lui permet d’échapper au travail et lui assurera néanmoins une retraite infiniment supérieure à celle perçue par la moyenne des Français. Source : x.com/DidierMaisto/status/1997903588266267034?t=Nu1nURWvSex42Twq8ywgiw&s=19

Dessins de René Bickel


 


Elle veut une chose. Pas deux. Pas trois. Pas dix. Une seule chose. Une 3e guerre mondiale

 Brest Buzz V

Brest Buzz V il y a 1 jour
 
Elle veut une chose. Pas deux. Pas trois. Pas dix. Une seule chose. Une 3e guerre mondiale. L’Apocalypse. Elle est l’incarnation du mal. Et elle avance parce que la classe politique se chie dessus, du RN à LFI. Tous complices. Tous couards. Tous lâches. Bonne soirée. Source : x.com/DidierMaisto/status/1996682537616457943?t=3T1DZqXaSVFqmNW-IjDaxw&s=19
 


dimanche 7 décembre 2025

La mort de l'Otan et de l'UE en direct

 

Brest Buzz V il y a 15 heures
🔴 La mort de l'Otan et de l'UE en direct. Schandenfreude! Admirons le spectacle. par Pascal Clérotte 📍L’ancienne patronne de la diplomatie européenne, Federica Mogherini, aujourd’hui rectrice du Collège de l’Europe (une école façon ENA qui forme les « élites » européennes) a été placée en garde à vue, ainsi que trois autres personnes, dans le cadre d’une enquête pour « fraude dans l’attribution des marchés publics, corruption, conflit d’intérêts et violation du secret professionnel ». Le poisson pourrit toujours par la tête, disait Mao. Et il n’existe au sein de l’Union européenne rien de plus pourri que ceux qui la dirigent. « Dans le même temps », la Banque centrale européenne a envoyé sur les roses tous les fous furieux, principalement scandinaves, baltes, polonais, allemands et français qui exigeaient qu’elle accorde un prêt de 140 milliards d’euros à l’Ukraine, prêt gagé sur les actifs russes gelés principalement au sein de la chambre de compensation Euroclear. Cela violerait son mandat, dit-elle — et elle a raison. État de droit, quand tu nous tiens. Nous vous avions exposé la semaine dernière qu’outre dynamiter une infrastructure financière absolument critique, nous soupçonnions fortement Emmanuel Macron de rejouer l’affaire Alstom, qui selon les dires de feu Olivier Marleix et d’Arnaud Montebourg, lui avait permis de financer sa campagne de 2017, afin de sécuriser un poste européen après son départ de l’Élysée en 2027 (ou avant). La France est le premier actionnaire d’Euroclear, notamment via la Caisse des Dépôts et Consignations. La Belgique, deuxième actionnaire d’Euroclear, a à juste raison exigé des garanties de l’ensemble des États de l’Union européenne, puisqu’elle seule aurait alors fait face aux conséquences diplomatiques, juridiques, financières de ce qui aurait été une spoliation des actifs d’un État souverain, inaliénables. L’ensemble des pays de l’UE ont refusé ces garanties, preuve que « l’Europe » n’existe pas. Solidarité, quand tu nous tiens. Ce sont donc les contribuables européens qui vont devoir payer pour la catastrophe ukrainienne alors que les États-Unis enquêtent sur des détournements de plus de 50 milliards de dollars — soit près d’un tiers de l’aide apportée à l’Ukraine hors armes et équipements. Imaginons les conséquences électorales dans l’ensemble des pays de l’UE. Et posons que ceux qui ont livré à l’État le plus corrompu d’Europe de telles sommes alors qu’ils étaient au fait de cette corruption se sont rendus coupables de corruption et de détournement de fonds publics dans des proportions telles que cela relève de l’atteinte aux intérêts fondamentaux des nations, puisque mettant l’ensemble des économies européennes en faillite. Le 1er décembre, nous apprenions dans les colonnes du magazine américain The Atlantic que le Pentagone, excédé par des appels et messages textes incessants, avait coupé toute communication avec le ministère allemand de la Défense à propos de l’Ukraine. Le chef d’état-major de la Bundeswehr, Christian Freuding, est allé pleurnicher dans la pire feuille de chou atlantiste qui soit. Pas vraiment une bonne idée. Otan en emporte le vent. Bref, l’édifice globaliste s’effondre sous nos yeux. Ne boudons pas notre plaisir. Source : x.com/Galadriell__/status/1997211690249707703?t=fn7b5jhOzK_5VvJIQERQ7A&s=19
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