Mes chères impertinentes, chers impertinents,
Sébastien Lecornu, le ministre de la Défense est en train de devenir le ministre de la guerre. Il vient, hier, d’évoquer son recours dans les semaines qui viennent aux réquisitions.
Je vous explique dans l’article que je consacre aux propos de Lecornu dans cette édition pourquoi le temps presse pour déployer nos troupes au sol et quelle est la stratégie poursuivie. Bien évidemment, nous n’allons pas aller occuper Moscou. C’est plus « simple » que cela. Nous allons envoyer des soldats pour que les Russes réfléchissent à deux fois avant de les attaquer car cela reviendrait à entrer en guerre contre l’Otan. La stratégie de la dissuasion de notre Professeur Trouposol va foirer, lui qui se prend pour le Roquet Balboa du palais. Et pour une raison simple.
Pour les Russes, la Russie est déjà en guerre contre l’Otan.
Déploiement de troupes. Réquisistions. Problèmes budgétaires. La France coche toutes les cases qu’il conviendrait de ne pas cocher. Mais c’est ainsi.
L’Union Européenne se rêve en Etats-Unis d’Europe. Hélas. L’histoire nous enseigne que les empires et les pays naissent toujours des guerres et du sang des peuples. Le chemin pris par cette Europe qui n’a plus rien à voir avec le rêve de paix porté par mon pépé, qui a fait toutes les guerres les plus stupides du siècle dernier, 39/45, l’Indochine, l’Algérie etc, ne jurait que par la « réconciliation » et la paix. Lui, la guerre il savait ce que c’était. De Dresde en Allemagne à Dien Bien Phu, il a toujours dit que la guerre c’est moche. La paix c’est mieux. Futé le pépé.
Tous les indicateurs sont donc au rouge pétillant et qui clignote. Les réquisitions potentielles sont un marqueur évident d’aggravation. J’avais tout expliqué dans cette vidéo.
Si vous regardez la photo ci-dessous du dernier dossier STRATEGIES, il est intitulé « et si l’erreur était de croire que la guerre était impossible » (accessible dans vos espaces lecteurs ici).
Je suis à peu près certains de mon analyse.
L’erreur est de croire la guerre impossible.
Et là on peut enchaîner les pensées sur étagères.
La plus commune est la suivante… « la guerre est impossible car elle deviendrait nucléaire et ce serait la fin du monde ».
Dans ce dossier je démontre que non.
La guerre peut advenir sans devenir nucléaire et c’est exactement le pari de Macron avec l’envoi des troupes au sol. Un pari qui va foirer comme tout ce que touche ce bien piètre dirigeant… parce que les Russes font exactement le même pari, à savoir que Macron n’appuiera pas sur le bouton pour un contingent de 5 000 gus et la brigade française qui sera massacrée comme jadis les mêmes aux Dardanelles.
Mais et c’est le plus important, même si la guerre nucléaire advenait, on peut parfaitement survivre à une guerre nucléaire.
Vous pouvez donc télécharger dans vos espaces lecteurs ici un dossier de 42 pages dans lequel Piero San Georgio explique par le menu comment il est parfaitement possible de survivre à une guerre nucléaire.
Et c’est à ce moment-là que l’on me sort de nouvelles pensées sur étagère du genre…
« On va tous mourir ! »
« Je préfère mourir tout de suite que survivre dans ce qui suivra ! »
« Je me suicide direct ! »
« C’est la fin de l’humanité ! »
« C’est la fin de toute vie sur Terre ! »
« Seuls les scorpions et les insectes vont survivre »
« Il y a de quoi détruire la Terre plusieurs fois ! »
« Personne ne pourra survivre ! »
Et bien non, et c’est justement ces croyances-là, qui permettent l’erreur d’analyse majeure.
Nous allons envoyer des troupes au sol.
Les Russes ne se laisseront pas impressionner par cette opération de type « tripwire ».
Les soldats français y laisseront des plumes sérieuses.
Et à partir de là, nul ne sait ce qu’il se passera et ou les évènements nous mèneront. Pour le moment, nous avons choisi la voie du pire.
Pour ceux qui veulent comprendre, se préparer et ne pas faire l’erreur d’analyse majeure de la majorité, vous pouvez vous abonner ici. Le dossier « survivre à une explosion nucléaire » est dans vos espaces lecteurs ici. Enfin le prochain dossier est consacré à l’or bien évidemment, mais aussi à la réorganisation du patrimoine pour la nouvelle étape qui arrive entre guerre et crise de la dette de l’Etat français, tout étant intimement lié.
Il est déjà trop tard, mais tout n’est pas perdu.
Préparez-vous !
Charles SANNAT
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