"Le pen ou la future roue de secours du capitalisme financier
(...)Pour les « Frontistes », néanmoins, rien n’est perdu, s’ils se rallient, comme leurs prédécesseurs historiques, aux compromissions « utiles ». Le F.N demeure en effet une ultime « roue de secours » si la solution Macron s’avérait dans quelques années un nouvel échec pour le monde des affaires qui n’a aucune préoccupation démocratique réelle. Nul ne souhaite cette solution « brutale », susceptible de provoquer des réactions contraires dangereuses pour « l’ordre » économique. Mais s’il fallait en passer par là, comme on l’a vu dans le passé, un nouveau syncrétisme affairiste de la droite et du néofascisme pourrait « servir ». Les scrupules n’ont jamais perturbé le monde de l’argent."
Robert Charvin
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