DLV38 Bis - Que répondre à ceux qui doutent des réseaux pédocriminels ?

 

Je t'adresse ce rapide message pour t'informer que je viens de mettre en ligne un épisode hors série où je donne la parole à Chantal Frei, une des femmes qui témoigne à visage découvert dans le documentaire de Pierre Barnérias « Les survivantes ». Cette interview s'intitule : DLV38 Bis - Pourquoi douter de l'existence des réseaux pédocriminels ? et tu peux la visionner en cliquant sur ce lien ou en cliquant sur l'image ci-dessous :

Pour ne rien te cacher, cette entrevue a été déclenchée par les propos calomnieux et gratuitement méchants de mon ami Yves Rasir, dans ses deux infolettres datées des 15 et 22 mai derniers (https://neosante.eu/satan-en-emporte-le-vent/ et https://neosante.eu/dechirons-le-voile/) ! Beaucoup d'entre vous ont été choqués par la virulence de ses propos, totalement injustifiés et assez incompréhensibles de la part de quelqu'un qui a souvent démontré sa quête de la vérité basée sur des faits objectifs. Comme Chantal Frei était nommément mise en cause par le fondateur et rédacteur en chef du magazine Néosanté, nous avons décidé de prendre de la hauteur et de ne pas répondre à ses attaques par d'autres attaques ad hominem. Nous avons préféré traiter la question du doute et du déni de façon générale, parce que c'est un phénomène beaucoup plus répandu qu'on ne l'imagine. En effet, malgré les milliers de témoignages de victimes et de survivants des réseaux pédocriminels, malgré le travail acharné de certains magistrats sur des périodes de plusieurs décennies, malgré la découverte de matériels pédo-pornographiques impliquant des centaines de milliers de photos et de films, malgré les signes évidents d'omerta systématique, énormément de personnes continuent de douter de l'existence de réseaux pédocriminels organisés. Non seulement, ces personnes doutent, mais elles refusent même d'écouter les témoignages, elles refusent de reconnaître les faits, elles refusent d'envisager cette réalité comme une hypothèse à explorer. D'autres personnes vont encore plus loin : elles vont jusqu'à accuser les victimes survivantes de menteuses, d'affabulatrices ou de victimes de faux souvenirs induits.   Comment expliquer de telles réactions qui vont au-delà du déni, puisqu'elles mettent les victimes sur le banc des accusés, allant jusqu'à prendre la défense des bourreaux et des tortionnaires ? Que répondre à ces accusations ? Quelles preuves apporter pour sortir progressivement de l'omerta ? Autant de questions que j'ai posées dernièrement à Chantal Frei. Liens utiles en rapport avec cet épisode : — Pour prendre connaissance des horaires et des lieux de diffusion du documentaire, cliquez ici : https://lessurvivantes-lefilm.com — Pour déposer un commentaire sur Allocine, cliquez ici : : https://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=1000002598.html — Pour vous abonner à la web-TV de Citizen Light (il faut minimum 2.000 abonnés cette semaine), cliquez ici : https://www.citizen-v.com/fr/offres-abonnement Je te souhaite un excellent visionnage de ce nouvel épisode et te donne rendez-vous lundi prochain, pour la suite de mes propos consacrés aux opérations sous fausse bannière.

Jean-Jacques Crèvecœur