"Il n'existe rien de constant si ce n'est le changement" BOUDDHA; Nous devons apprendre à vivre ensemble comme des frères, sinon nous allons mourir tous ensemble comme des idiots." MARTIN LUTHER-KING; "Veux-tu apprendre à bien vivre, apprends auparavant à bien mourir." CONFUCIUS ; « Nous savons qu’ils mentent, ils savent aussi qu’ils mentent, ils savent que nous savons qu’ils mentent, nous savons aussi qu’ils savent que nous savons, et pourtant ils continuent à mentir ». SOLJENITSYNE
jeudi 30 septembre 2021
INFO en QUESTI0NS #68 - LIV3 avec Lucie Laurier - Actrice québécoise
C'est ici : https://formations.emergences.net/products/chaine-privee-gratuite-de-jjc/categories/2148393455/posts/2152343701
Plateformes de diffusion pour cette semaine :
- https://www.twitch.tv/jeanjacquescrevecoeur
- https://dlive.tv/J-Jacques.Crevecoeur
- https://www.facebook.com/chloe.fra.9
- https://www.facebook.com/LeLibrePenseur.org/
- https://formations.emergences.net/iln0002-chaineprivee
- https://odysee.com/@Chloe_F:b/infoenquestions68
- https://odysee.com/@LeLibrePenseur.org:2
- https://odysee.com/@Jean-Jacques-Crevecoeur:f/IFQ68:75
- https://crowdbunker.com/v/rFvECLfh
Dans cette 68e édition de votre émission hebdomadaire, nous avons le plaisir d'accueillir Lucie Laurier, actrice professionnelle du cinéma et de la télévision québécoise.
Quelques liens pour retrouver Lucie Laurier
• Facebook perso : https://www.facebook.com/lucie.laurier/
• Facebook professionnel : https://www.facebook.com/lucielaurierofficiel
• Instagram : https://www.instagram.com/lucielaurierofficiel/
• Twitter : https://twitter.com/LucieLaurier
• YouTube : https://www.youtube.com/channel/UCmX5NWTSd7mvtxp7ZsAo_Eg
• La vidéo du septembre 2020 : https://www.noovomoi.ca/en-vedette/video.lucie-laurier-manifestation-anti-masque.1.13255879.html
L’émission hebdomadaire « l'info en QuestionS » est une émission née d'une demande grandissante d'informations libres et échappant à la censure. Les conflits d'intérêts étant désormais légion dans le monde médiatique, une équipe de lanceurs d'alerte s'est mobilisée pour partager ses dernières informations et les questions qu'elles suscitent.
Le but de l'émission « l'info en QuestionS » est également d'inviter des experts, des scientifiques et professionnels dans différents domaines afin qu'ils répondent aux questions des citoyens. Notre équipe est à géométrie variable, en fonction des disponibilités de chacun-e.
Lien pour l'envoi des lettres aux députés du Québec : https://www.infoslibres.info/2021/09/27/contre-le-passeport-vaccinal-lettre-a-envoyer-a-vos-deputes/
Les coordonnées de l’équipe :
👉 JEAN-JACQUES CRÈVECŒUR :
Chaîne privée : https://formations.emergences.net/iln0002-chaineprivee
Chaîne publique : https://fulllifechannel.com/channel/JeanJacquesCrevecoeur
Site officiel : https://jeanjacquescrevecoeur.com
Solidarita : https://solidarita.net
Odysee : https://odysee.com/@Jean-Jacques-Crevecoeur:f
Twitch : https://www.twitch.tv/jeanjacquescrevecoeur
DLive : https://dlive.tv/J-Jacques.Crevecoeur
👉 SALIM LAÏBI :
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Facebook : https://www.facebook.com/LeLibrePenseur.org/
Blog Le libre Penseur : https://www.lelibrepenseur.org/
Odysee : https://odysee.com/@LeLibrePenseur.org:2
👉 TAL SCHALLER :
Blog de Tal : https://www.santeglobale.world/le-blog-de-tal/
👉 SOPHIE MEULEMANS :
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Site officiel : Initiative Citoyenne : http://initiativecitoyenne.be/
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Le Monde Moderne - Revue de presse mercredi 29 septembre
Le Monde Moderne
C'est la Revue de presse, la FED, les banques, un système de spoliation bien rodé ! et plein d'autres choses. -- Watch live at https://www.twitch.tv/lemondemoderne
mercredi 29 septembre 2021
Santé Non Censurée, les nouvelles alternatives affranchies des lobbys - La Commission Bronner va-t-elle nous plonger en pleine dictature orwellienne ?
La Commission Bronner va-t-elle nous plonger en pleine dictature orwellienne ? |
Chère lectrice, cher lecteur, 55 % des Français se méfient des médias1. C’est le résultat d’un sondage IFOP qui a été réalisé en juin dernier en pleine crise sanitaire. Conséquence logique, les Français cherchent à diversifier leurs sources d’informations. Ils ne croient plus en la seule version servie par les médias traditionnels. Et c'est tout ce qu'il y a de plus normal : nos concitoyens tentent de chercher par eux-mêmes la vérité. Pour le Gouvernement et les médias c’est une catastrophePour le Gouvernement et les médias c’est bien sûr une catastrophe. Les médias voient leur audience s’effondrer. Et le Gouvernement se rend compte qu’il n’a plus le monopole de la vérité. Plutôt que de réfléchir à ce qui provoque cette crise de confiance (les mensonges, les erreurs non reconnues, les censures plus ou moins directes etc.) l’Etat et les médias préfèrent crier au loup et tirer la sonnette d’alarme. C’est ainsi que se multiplient les déclarations indignées des hommes politiques sur les plateaux TV. Ou que fleurissent un peu partout les gros titres sur le thème : les Français tombent dans le panneau des théories du complot ! Les Français seraient manipulés par d’obscures organisations et seraient prêts à se jeter tête baissée dans les bras des plus grandes fake news qui soit :
La dernière initiative en date pour contrôler la véritéCe mercredi 29 septembre, le président Macron lui-même s’est emparé de l’affaire. Il a ouvert une commission contre la désinformation et le complotisme : la "Commission Bronner"2 du nom du sociologue Gérald Bronner. Comme toujours avec ce genre d’initiative, l’objectif est louable. Il s’agit de mesurer l’impact d’internet sur la démocratie et les dangers du numérique sur la cohésion nationale. Moi qui commence à avoir un peu d’expérience, je pense que cette démarche est déplorable et dangereuse. Le résultat final est prévisible. Cela se traduira à nouveau par recul des libertés : liberté de s’exprimer, liberté de s’informer. Cette surveillance permanente des opinions est une menace grave pour nos démocraties. Ces derniers mois nous ont prouvé que la notion de complotisme s’était considérablement élargie. Sous cette étiquette infamante on ne met plus seulement les huluberlus qui expliquent que le voyage sur la Lune n’a jamais eu lieu ou que nous sommes gouvernés par des reptiliens... On y met désormais tous ceux qui osent simplement discuter, réfléchir et émettre une opinion différente sur la crise sanitaire et sa (mauvaise) gestion. Faut-il rappeler que cette crise a été une formidable occasion pour Big Pharma, le Gouvernement et les médias de lancer une attaque massive et globale contre toutes les médecines alternatives ? Depuis 18 mois :
Nous réveillerons-nous demain dans une dictature orwellienne où la pensée unique aura triomphé de la vérité scientifique et du bon sens8 ? Cette question me hante et c’est pourquoi, plus que jamais, je travaille avec mes équipes pour recréer une communauté d’expression libre de la santé. Prenez soin de vous, Thibaut Masco de Santé Non Censurée |
PS : Et vous, n’avez-vous pas l’impression de perdre un peu plus chaque jour vos libertés ? Cliquez ICI pour réagir. |
Si vous souhaitez commenter cet article, je vous invite à le faire ici. |
On va devoir défoncer la porte du cockpit, le pilote s'est enfermé tout seul
Le Monde Moderne - La Revue de presse du mardi 28 septembre
Les brocantes, les anticorps, les HLM, l'institut anti fake news de Macron, c'est la revue de presse.
mardi 28 septembre 2021
Dr Denis Agret - Démission de l’ordre des médecins et de mon statut de praticien hospitalier ! - 27 septembre 20 + ONDES DE CHOC (20) invité Dr Denis Agret - 27/09/2021
Denis Agret annonce sa démission ici : https://odysee.com/@HORIZONS:d/Dr-Denis-Agret---D%C3%A9mission-de-l%E2%80%99ordre-des-m%C3%A9decins-et-de-mon-statut-de-praticien-hospitalier-!---27-septembre-2021:e
ONDES DE CHOC (20) invité Dr Denis Agret - 27/09/2021
C'est ici : https://odysee.com/@LaUneTV2:c/OndeDeChoc(20)DrDenisAgret:d
Plus de 5.000 médecins et scientifiques accusent les gouvernements d’incompétence (criminelle)
Ils sont déjà plus de 5.000. Ils ont constitué une "Alliance Internationale des médecins et des chercheurs en médecine. Et ils ont signé l'appel de Rome, lancé à l'occasion d'un Global Covid Summit qui s'est tenu du 12 au 14 septembre à Rome. Parmi les premiers signataires, on compte Robert Malone, l'un des inventeurs du vaccin à ARN messager, Peter McCullough, cardiologue américain qui est intervenu précocement pour prévenir des dangers de vaccins encore insuffisamment testés, Geert Vanden Bossche, spécialiste mondialement reconnu de la recherche sur les vaccins. Ils rappellent ce qu'implique le serment d'Hippocrate, avertissent les gouvernements sur les dangers qu'ils courent à ne pas laisser les médecins prescrire et expérimenter librement des traitements. Et ils demandent que l'on "restaure confiance, intégrité et professionnalisme dans l'exercice de la médecine". Le Courrier des Stratèges vous propose la traduction française de ce texte, qui rappelle l'appel de Great Barrington lancé en 2020 et que vous pourrez aussi consulter dans la version anglaise:
DÉCLARATION DES MÉDECINS
SOMMET MONDIAL DU COVID – ROME, ITALIE
Alliance Internationale des Médecins et des Scientifiques Médicaux
Septembre 2021
Nous, médecins du monde, unis et fidèles au serment d’Hippocrate, reconnaissant que la profession de médecin telle que nous la connaissons est à la croisée des chemins, sommes contraints de déclarer ce qui suit ;
ATTENDU QU’il est de notre plus grande responsabilité et de notre plus grand devoir de maintenir et de restaurer la dignité, l’intégrité, l’art et la science de la médecine ;
ATTENDU QUE notre capacité à prendre soin de nos patients fait l’objet d’une attaque sans précédent ;
ATTENDU QUE les décideurs publics ont choisi d’imposer une stratégie de traitement “taille unique”, entraînant des maladies et des décès inutiles, plutôt que de défendre les concepts fondamentaux de l’approche individualisée et personnalisée des soins aux patients, qui s’est avérée sûre et plus efficace ;
ATTENDU QUE les médecins et les autres fournisseurs de soins de santé qui travaillent en première ligne, en utilisant leurs connaissances en épidémiologie, en pathophysiologie et en pharmacologie, sont souvent les premiers à identifier de nouveaux traitements susceptibles de sauver des vies ;
CONSIDÉRANT que les médecins sont de plus en plus découragés de s’engager dans un discours professionnel ouvert et d’échanger des idées sur les maladies nouvelles et émergentes, ce qui met en danger non seulement l’essence de la profession médicale, mais surtout, plus tragiquement, la vie de nos patients ;
CONSIDÉRANT que des milliers de médecins sont empêchés de fournir un traitement à leurs patients, en raison des barrières érigées par les pharmacies, les hôpitaux et les agences de santé publique, ce qui rend la grande majorité des prestataires de soins de santé impuissants à protéger leurs patients face à la maladie. Les médecins conseillent maintenant à leurs patients de simplement rentrer chez eux (permettant ainsi au virus de se répliquer) et de revenir lorsque leur maladie s’aggrave, ce qui entraîne des centaines de milliers de décès inutiles de patients, en raison de l’absence de traitement ;
CONSIDÉRANT que ceci n’est pas de la médecine. Ce ne sont pas des soins. Ces politiques peuvent en fait constituer des crimes contre l’humanité.
PAR CONSÉQUENT, IL EST
RÉSOLU, que la relation médecin-patient doit être restaurée. Le cœur même de la médecine est cette relation, qui permet aux médecins de mieux comprendre leurs patients et leurs maladies, de formuler des traitements qui donnent les meilleures chances de succès, tandis que le patient est un participant actif à ses soins.
RÉSOLU, que l’intrusion politique dans la pratique de la médecine et la relation médecin/patient doit cesser. Les médecins, et tous les prestataires de soins de santé, doivent être libres de pratiquer l’art et la science de la médecine sans crainte de représailles, de censure, de calomnie ou de mesures disciplinaires, y compris la perte éventuelle de l’autorisation d’exercer et des privilèges hospitaliers, la perte des contrats d’assurance et l’ingérence des entités et organisations gouvernementales – qui nous empêchent encore davantage de soigner les patients dans le besoin. Plus que jamais, le droit et la capacité d’échanger des résultats scientifiques objectifs, qui font progresser notre compréhension des maladies, doivent être protégés.
IL EST RÉSOLU que les médecins doivent défendre leur droit de prescrire des traitements, en respectant le principe “D’ABORD, NE PAS NUIRE”. Les médecins ne doivent pas être empêchés de prescrire des traitements sûrs et efficaces. Ces restrictions continuent de provoquer des maladies et des décès inutiles. Les droits des patients, après avoir été pleinement informés des risques et des avantages de chaque option, doivent être rétablis pour recevoir ces traitements.
IL EST RÉSOLU que nous invitons les médecins du monde entier et tous les prestataires de soins de santé à nous rejoindre dans cette noble cause, alors que nous nous efforçons de restaurer la confiance, l’intégrité et le professionnalisme dans la pratique de la médecine.
RÉSOLU, nous invitons les scientifiques du monde entier, qui sont compétents en matière de recherche biomédicale et qui respectent les normes éthiques et morales les plus élevées, à insister sur leur capacité à mener et à publier des recherches objectives et empiriques sans craindre de représailles sur leur carrière, leur réputation et leurs moyens de subsistance.
RÉSOLU, que nous invitons les patients, qui croient en l’importance de la relation médecin-patient et en la possibilité de participer activement à leurs soins, à exiger l’accès à des soins médicaux fondés sur la science.
EN FOI DE QUOI, le soussigné a signé la présente déclaration à la date indiquée en premier lieu.
Signature
Interview de Philippe Guillemant - Dire non au Mordor et recréer des liens dans la Terre du Milieu
KAIROS
Philippe Guillemant, ingénieur physicien français du CNRS, diplômé de l’école centrale de Paris, vient de faire paraître son dernier livre Le grand virage de l'humanité. SOUTENEZ LE JOURNALISME LIBRE! https://fr.tipeee.com/kairos-presse https://www.kairospresse.be/abonnement/ https://www.kairospresse.be/don/ SUIVEZ-NOUS SUR NOS RÉSEAUX! Facebook: https://www.facebook.com/kairospresse Odysée: https://odysee.com/@Kairospresse:e
CDL107 - Les professionnels de santé face aux injections COVID19 (TENIR IV)
C'est ici : https://formations.emergences.net/products/chaine-privee-gratuite-de-jjc/categories/2148653278/posts/2152326104
Dans le quatrième numéro de cette série que j'ai intitulée « TENIR », j'aborde la question qui concerne cette fois les menaces de licenciement et de mise à pied pour tous les membres du personnel soignant qui refuserait de se soumettre à la perspective d'une obligation vaccinale. À nouveau, j'aborderai cette question sous l'angle de la légalité et de la légitimité de telles mesures. Car, comment pourrait-on imaginer que ces professionnels acceptent de prendre le risque de subir les mêmes dégâts monstrueux que ceux dont ils sont témoins chez les patients qu'ils accompagnent quotidiennement, patients qui avaient reçu quelques heures ou quelques jours plus tôt une injection de ce produit bio-terroriste qu'on présente comme un vaccin ?
Et comme je le souligne dans cette conversation, la question n'est plus de croire ou de ne pas croire en « LA Science ». La question n'est même plus d'être pro vaccin ou anti vaccin. La médecine n'est pas une religion à laquelle on est tenu de croire sous peine d'être excommunié. Pas plus que la médecine n'est une science, d'ailleurs. La médecine devrait être un art qui se fonde sur l'observation minutieuse de la réalité du malade. Chose qui semble avoir été complètement oubliée dans le contexte de cette fausse pandémie montée de toutes pièces. Quand on sait, aujourd'hui, que 30% des morts qui suivent les injections surviennent dans les trois jours qui suivent l'injection, on peut mieux comprendre la réticence et la résistance des soignants à subir le même sort.
D'où la nécessité de s'unir, de se fédérer et de s'informer de nos droits pour ne pas grossir le rang de toutes ces victimes du génocide sanitaire qui est en cours. D'où l'invitation que je vous réitère à rejoindre le groupe sur Solidarita et à partager cette vidéo le plus largement possible. Je compte sur vous également pour investir du temps pour rechercher les meilleures informations juridiques et pour les mettre à la disposition des membres du groupe.
Les références en lien avec cette vidéo :
— À propos du comptage des morts suite aux injections aux USA, écoutez cette entrevue extrêmement documentée de Christine Cotton : https://www.francesoir.fr/videos-les-debriefings/christine-cotton-vaers
Sous cette vidéo, je vous invite à :
— laisser vos commentaires en lien avec cette vidéo et avec cette nouvelle mouture que je vous ai proposée le 1er septembre ;
— faites-moi part du principal challenge, de la principale difficulté que vous rencontrez, de la plus grosse question que vous portez à cause de cette pseudo-pandémie ;
— ne PAS mettre de renseignements juridiques, mais d'aller les déposer sur le groupe de travail et d'entraide sur la plateforme de Solidarita.
Quelques références pratiques :
— pour vous inscrire et vous rendre sur Solidarita, cliquez sur https://solidarita.net. En cas de problème, communiquez avec le support de Solidarita à l'adresse : info@solidarita.net
— pour vous rendre directement sur le groupe CDL107 dans Solidarita, cliquez sur https://solidarita.net/CDL107
— pour visionner la rediffusion de la session en direct du 1er septembre, cliquez sur : https://formations.emergences.net/products/chaine-privee-gratuite-de-jjc/categories/2148653234/posts/2151645500
— pour inviter vos connaissances à s'inscrire sur ma chaîne privée (ici) : https://formations.emergences.net/iln0002-chaineprivee
Les groupes déjà existants sur Solidarita.net :
— groupe CDL104 - Droits fondamentaux : https://solidarita.net/CDL104
— groupe CDL105 - Droit du travail et COVID : https://solidarita.net/CDL105
— groupe CDL106 - Scolarité et vaccination : https://solidarita.net/CDL106
— groupe CDL107 - Pros de santé et vaccination : https://solidarita.net/CDL107
— groupe Humour, arme de destruction massive : https://solidarita.net/cdl-humour
— groupe CDL-France - Mensonges criminels : https://solidarita.net/CDL-France-mensonges
— groupe CDL-Belgique - Mensonges criminels : https://solidarita.net/CDL-Belgique-mensonges
— groupe CDL-Suisse - Mensonges criminels : https://solidarita.net/CDL-Suisse-mensonges
— groupe CDL-Québec - Mensonges criminels : https://solidarita.net/CDL-Quebec-mensonges
— groupe CDL-Luxembourg - Mensonges criminels : https://solidarita.net/CDL-Luxembourg-mensonges
Publication de cette vidéo : lundi 27 septembre 2021 - Dernière mise à jour des fichiers : 26 septembre 2021.
Réactiver votre potentiel et retrouver votre pleine énergie.- Natacha Calestrémé
La Télé de Lilou Macé
Et si les épreuves que nous traversons étaient dues à nos peurs, nos blocages, nos culpabilités ?
Et si nos blessures remontaient à notre passé, proche ou lointain, voire à un héritage ? (un événement antérieur à notre naissance)
Cela peut cesser et cela va cesser ! Je vous en donne la clé.
Grâce à ces 22 protocoles (grâce aux 22 protocoles que vous trouverez dans ce livre), vous allez réactiver votre potentiel et enfin retrouver votre pleine énergie.
Natacha Calestrémé est journaliste et réalisatrice. Spécialisée dans le domaine de la santé et de l'environnement, elle a été amenée à interviewer des énergéticiens, des guérisseurs, des médiums et des chamanes. Après de multiples épreuves, elle a mis en pratique les techniques de ces thérapeutes un peu spéciaux. Cela a changé sa vie. Depuis, elle propose ces protocoles dans des ateliers qui rencontrent un grand succès auprès du public et même de médecins. Elle partage dans cet ouvrage tout ce qui lui a permis de se transformer.LA TÉLÉ DE LILOU © 2021 http://www.lateledelilou.com
La Librairie de Lilou http://www.lalibrairiedeLilou.com
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Les Oeufs de Lilou http://www.lesoeufsdelilou.com
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lundi 27 septembre 2021
Reporterre, le quotidien de l'écologie - Entretien — Covid-19 « Le passe sanitaire est un moyen extrajudiciaire de désactiver socialement les gens »
Selon le professeur de droit Guillaume Zambrano, le passe sanitaire est une atteinte aux droits fondamentaux ainsi qu’une sanction extrajudiciaire. Il a lancé une requête collective auprès de la Cour européenne des droits de l’Homme.
Guillaume Zambrano est maître de conférences en droit privé à l’université de Nîmes. Face à la loi imposant le passe sanitaire, il a lancé une requête collective auprès de la Cour européenne des droits de l’Homme.
Reporterre — En quoi le passe sanitaire porte-t-il atteinte aux droits fondamentaux ?
Guillaume Zambrano — Être exclu des transports publics, hôpitaux, cafés, restaurants, bibliothèques, associations sportives et culturelles et autres lieux de réunion est une privation de liberté extrêmement lourde : c’est une privation du droit de réunion, de la liberté d’aller et de venir, une véritable exclusion de la vie sociale. Le plus grave est qu’il s’agit d’une sanction extrajudiciaire. Depuis le XVIIᵉ siècle et le Bill of Rights anglais destiné à limiter l’arbitraire des souverains, notre tradition juridique est fondée sur le principe de l’habeas corpus : toute personne privée de liberté a le droit de passer devant un juge. De fait, quand une personne est assignée à résidence ou condamnée à porter un bracelet électronique, la mesure doit être approuvée par le juge des libertés et de la détention. Quand on condamne des personnes pour des dommages sociaux comme le vol, la fraude fiscale, les coups et blessures, elles ont eu droit à un procès. Et généralement, le but visé est la réinsertion sociale : même pour des délits graves, il y a du sursis, des aménagements de peine. Mais avec le passe sanitaire, toute une catégorie de personnes reçoivent une sanction pénale maximale sans qu’il y ait eu de jugement, sans même avoir pu se défendre.
Qu’est-ce qui justifie cette sanction ? Le fait de ne pas pouvoir (ou ne pas vouloir) présenter un QR code à l’entrée des lieux publics, de ne pas être vacciné ou testé. Ce qui est reproché aux gens, c’est d’être potentiellement contagieux. C’est d’autant plus grave qu’il est très rare en droit que l’on soit condamné pour une infraction par omission. La règle est d’être condamné pour avoir fait quelque chose, et non pour ne pas avoir fait quelque chose. Il existe le délit de non-assistance à personne en danger (article 223-6 du Code pénal), mais ses conditions sont très restrictives et les condamnations rares. Il existe aussi une jurisprudence pour des personnes ayant contaminé d’autres personnes avec le Sida en connaissance de cause, mais les juges ont retenu l’aspect intentionnel : non seulement elles se savaient malades et n’ont pas pris de précautions, mais elles ont déclaré vouloir contaminer d’autres personnes, c’est ce qui a motivé la condamnation [1].
« Ce ne sont plus les juges mais la population elle-même qui applique la sanction. »
Le passe sanitaire — sanction extrajudiciaire selon vous — représente-t-il un basculement ?
Le passe sanitaire sort du cadre ordinaire du droit pénal. Il donne lieu à des sanctions sociales inédites qui sont un mélange de privation de liberté, de stigmatisation et d’incitation à l’humiliation publique. C’est un moyen extrajudiciaire de désactiver socialement les gens, de les débrancher, en quelque sorte. Et ce ne sont plus les juges, mais la population elle-même — les cafetiers, les bibliothécaires, les gardiens de musée ou les employés des hôpitaux — qui applique la sanction. Cela indique que le gouvernement est passé dans une logique de répression massive : comme il ne peut pas mettre un juge derrière chaque citoyen, il se repose sur la population et sur des moyens automatisés pour le faire. C’est une révolution anti-libérale. La seule comparaison possible est celle du crédit social en Chine, une forme de rééducation à la carotte et au bâton : je t’interdis de prendre le train, d’accéder à tel emploi, d’aller au cinéma…
La pandémie de Covid-19 ne justifie-t-elle pas de déroger au droit de manière exceptionnelle ?
Depuis deux siècles, la France a érigé la liberté en tant que principe fondamental, naturel, inaliénable : les restrictions sont des exceptions qui doivent être strictement justifiées et proportionnelles. Dans le cadre d’un raisonnement sur la proportionnalité, les mesures portant atteinte aux libertés fondamentales doivent remplir trois conditions. D’abord, le test d’« aptitude » : la mesure est-elle apte à atteindre l’objectif affiché ? Le passe sanitaire et l’obligation vaccinale peuvent-ils lutter efficacement contre l’épidémie ? On peut en discuter, puisque les vaccins n’empêchent pas forcément la contagion. Ensuite, le test de « nécessité » : y aura-t-il un très grand nombre de morts si le gouvernement ne met pas en place cette mesure ? Vraisemblablement non, ce n’est pas le cas dans les pays qui n’ont pas recours au passe sanitaire comme la Suède ou l’Angleterre. Enfin, le test de « substitution » : existe-t-il des mesures alternatives et moins restrictives qui permettraient de lutter contre les effets de l’épidémie ? Oui : le gouvernement pourrait ouvrir des lits de réanimation, créer des hôpitaux de campagne, vacciner les personnes les plus à risque et les personnes volontaires, et tester fréquemment les soignants, ce qui serait dans ce cas plus efficace que l’obligation vaccinale. Le passe sanitaire et l’obligation vaccinale sont donc des mesures disproportionnées et excessives par rapport à la nature du danger et à leur capacité à y répondre.
L’obligation vaccinale des soignants, ou la quasi-obligation vaccinale imposée par le passe sanitaire, sont-elles contraires au droit ?
Le plus fondamental des droits fondamentaux est le respect de la dignité humaine dont le consentement libre et éclairé à l’acte médical est une manifestation. En principe, les atteintes à l’intégrité du corps humain ne sont jamais permises, sauf dans des circonstances particulières et si et seulement si elles sont justifiées par un intérêt médical pour vous [2]. En avril dernier, les juges européens ont rendu un arrêt justifiant la vaccination obligatoire des enfants contre le tétanos (arrêt Vavřička, 8/04/21) : on note que d’une part, la balance bénéfice/risque est positive pour les enfants, car le tétanos est dangereux pour eux, et que d’autre part, l’ancienneté des vaccins permet de connaître leur efficacité et la nature des risques à long terme. Dans le cas des vaccins contre le Sars-Cov2, c’est différent : non seulement leur intérêt médical pour les enfants et les adolescents fait débat [3], mais le fait qu’ils soient basés sur une technologie nouvelle ne permet raisonnablement pas d’en connaître les risques à long terme.
« Ce qui risque de se normaliser n’est plus seulement l’atteinte à la vie privée, mais l’atteinte à l’intégrité physique des individus. »
Ne risque-t-on pas de voir ces mesures d’exception se normaliser ?
Le risque est d’autant plus grand que la menace épidémique n’est pas de nature provisoire. Nous allons devoir vivre avec ce virus, ou avec d’autres virus. Si on est face à un risque permanent, alors il faut mettre en place des mesures permanentes, et celles-ci doivent bien sûr être compatibles avec les libertés. On peut constater que les mesures antiterroristes temporaires ont été dévoyées pour s’installer de manière permanente dans notre droit. Avec l’opération Sentinelle, le fait d’utiliser l’armée pour exercer des pouvoirs de police sur le peuple s’est normalisé. La surveillance de la population aussi : dans les années 1980, les écoutes de l’Élysée ont fait scandale ; en 2020, l’État peut écouter n’importe qui. Les mesures antiterroristes ont donc progressivement fait disparaître du droit la protection de la vie privée. Si on transpose cette situation aux mesures d’exception sanitaires, les conséquences sont vertigineuses : ce qui risque de se normaliser, ce n’est plus seulement l’atteinte à la vie privée, mais l’atteinte à l’intégrité physique des individus, la privation de sortie et de mouvement.
Quels espoirs placez-vous dans la requête que vous portez auprès de la Cour européenne des droits de l’Homme ?
Il faut rappeler une chose élémentaire : les droits de l’Homme sont au-dessus des lois. C’est la raison d’être de ces textes. Si les droits fondamentaux ont été inscrits dans les juridictions internationales et les constitutions, c’est précisément pour éviter que les gouvernements n’adoptent des lois contraires aux libertés et ne fassent basculer un pays dans la dictature. Il est donc nécessaire (quoique pas forcément suffisant) d’en appeler à la Cour européenne des droits de l’Homme dans la situation actuelle. En pratique, le but est d’éviter que l’obligation du passe sanitaire ne soit prolongée au-delà du 15 novembre 2021 par l’adoption d’une nouvelle loi. La Cour est légalement obligée de traiter toutes les requêtes, or ses moyens sont limités. Si elle est saisie par des dizaines de milliers de personnes, elle sera contrainte d’écouter nos arguments, pour éviter d’être complètement paralysée administrativement. En 2020, la CEDH a reçu un total de 40 000 requêtes de toutes natures. C’est ce chiffre qu’il faut dépasser. Nous sommes déjà à plus de 20 000. Toute personne de plus de 12 ans peut attaquer gratuitement et sans risques la loi sur le passe sanitaire.
C’est maintenant que tout se joue…
La communauté scientifique ne cesse d’alerter sur le désastre environnemental qui s’accélère et s’aggrave, la population est de plus en plus préoccupée, et pourtant, le sujet reste secondaire dans le paysage médiatique. Ce bouleversement étant le problème fondamental de ce siècle, nous estimons qu’il doit occuper une place centrale et quotidienne dans le traitement de l’actualité.
Contrairement à de nombreux autres médias, nous avons fait des choix drastiques :
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Enquête — Libertés
Le passe sanitaire, un pas de plus dans « l’autoritarisme » et la « société du contrôle »
Notes
[1] Première condamnation pour contamination volontaire par le virus du Sida par décision du Tribunal correctionnel de Mulhouse, 6 février 1992 : Est coupable de coups portés volontairement ou de violences ou voies de fait le prévenu ayant mordu un agent de la force publique dans l’intention de le contaminer par le virus du Sida dont il se savait porteur. Le 27 juillet 1989, un toxicomane séropositif, en état d’ébriété, se querellant dans un bar, a violemment mordu jusqu’au sang le policier venu l’interpeller, en lui criant : « J’ai le Sida, tu vas crever aussi ! » (Le Monde, 30 juillet 1989 ; La Voix du Nord, 7 février 1992 ; Le Monde, 9 février 1992). Dans une autre affaire, par un arrêt rendu le 2 juillet 1998, la Cour de cassation a invalidé la décision qui avait renvoyé devant une cour d’assises du chef d’empoisonnement, un homme qui, se sachant séropositif, avait eu des rapports sexuels non protégés avec sa partenaire qu’il savait séronégative et dont un test sanguin ultérieur avait révélé qu’elle avait été ainsi contaminée. La Cour relève que « la seule connaissance du pouvoir mortel de la substance administrée ne suffit pas à caractériser l’intention homicide » (Crim. 2 juill. 1998, no 98-80.529, Bull. crim. no 211 ; JCP 1998. II. 10132, note M.-L. Rassat ; D. 1998. 457, note J. Pradel).
[2] Voir les articles 16 et 16-3 du code civil, de la décision du Conseil constitutionnel n°94-343/344 DC du 27 juillet 1994, des articles 2 et 36 du code de déontologie médicale, de l’article 5 de la Convention d’Oviedo de 1997 sur la biomédecine, ou de l’article 3 de la Charte des droits fondamentaux de l’Union européenne.
[3] Le comité vaccinal britannique — Joint Committee on Vaccination and Immunisation (JCVI) — ne recommande pas la vaccination universelle des 12-15 ans mais seulement celle de ceux qui ont des problèmes de santé sous-jacents les exposant particulièrement au virus.
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dimanche 26 septembre 2021
Les Entreprises du médicament (Leem) - Document "SANTÉ 2030" : une analyse prospective de l'innovation en santé
LE LEEM
Les Entreprises du médicament ont pour missions de représenter et défendre l’industrie du médicament, conduire la politique conventionnelle avec l’Etat, négocier avec les partenaires sociaux, promouvoir et défendre l’éthique.
Le Leem, Les Entreprises du médicament, regroupe les entreprises du secteur de l'industrie pharmaceutique en France.
Le Leem compte aujourd’hui plus de 260 entreprises adhérentes, qui réalisent près de 98% du chiffre d’affaires total du médicament en France. L’industrie pharmaceutique emploie 98 780 personnes dans plus de 150 métiers, et recrute près de 10 000 nouveaux collaborateurs par an depuis 10 ans.
Les innovations biotechnologiques qui s'annoncent pour la France et le reste du monde sur ce document de 222 pages à télécharger sur ce lien :
https://www.calameo.com/read/00204928446a3c3ad79b5
Juan Branco : abattre l'oligarchie | Entretien
Livre Noir
vendredi 24 septembre 2021
Elle parle aux morts depuis 25 ans (rencontre avec Patricia Darré)
LE GRAND JD