Je
sais que la plupart d’entre vous le savent depuis longtemps et que vous
avez probablement déjà vu cette vidéo…Mais ça fait tellement de bien et
c’est tellement important qu’il fallait que je la republie.
Les
mythes sur la vaccination sont en train d’être démontés, un par un.
Bien sûr, Pharma n’a pas abdiqué, il y a toujours des vaccins ARNm en
circulation et on cherche toujours à fabriquer ‘des vaccins
innovants’..MAIS c’est quand même un gigantesque pas en avant d’attaquer
ce mythe. Aucun responsable de la santé publique ne l’a jamais fait!
Thank you Bobby:)
La
baisse de 70% de la mortalité aux Etats-Unis et en Europe occidentale
due aux maladies contagieuses depuis 1900, marque l’une des avancées les
plus fondamentales en santé publique de toute l’histoire humaine.
Etait-ce vraiment dû à la réussite des programmes de vaccination de
masse?
L’étude
la plus complète et basée sur des preuves qui examine rigoureusement
cette question, est une étude financée par les CDC publiée en 2000,
réalisée par une équipe de chercheurs des CDC et de l’Université Johns
Hopkins, et dirigée par le Dr Bernard Guyer.
Un
scientifique a minutieusement analysé 100 ans de données
gouvernementales sur la mortalié due aux maladies infectieuses. Ils ont
conclu que presque toutes les réductions de mortalité sont survenues
avant l’introduction des vaccins et que les vaccinations ne pouvaient
s’attribuer que peu de mérite.
Par
exemple, en 1900, environ 13’000 Américains mouraient chaque année de
la rougeole. En 1960 ce nombre était tombé à quelques centaines. Le
vaccin contre la rougeole n’a été introduit que 3 ans plus tard, par
conséquent presque toute la mortalité due à la rougeole avait disparue
avant le vaccin, de sorte que le vaccin contre la rougeole ne peut
vraiment pas s’attribuer le mérite d’avoir sauvé toutes ces vies.
Regardons
la coqueluche, là encore nous voyons que la plus grande baisse de
coqueluche s’est produite avant l’introduction du vaccin. Il en est de
même pour la grippe. Les mortalités massives dues à la grippe avaient
déjà disparu dans les années 1960, mais le vaccin n’a été largement
diffusé que dans les années 1980. Donc une fois de plus le vaccin ne
peut pas s’attribuer les mérites.
Et
regardez comment les décès dus à la tuberculose ont simplement disparu
en suivant exactement le même schéma que toutes ces autres maladies
infectieuses, bien qu’il n’y ait pas eu de vaccination de masse contre
la tuberculose aux Etats-Unis, la mortalité a disparu sans aucune aide
d’un vaccin.
De
même, il n’y a jamais eu de vaccin contre le scorbut, mais les décès
dus au scorbut ont aussi disparu de la même manière. Il en est de même
pour la scarlatine, dont j’ai souffert enfant. Les décès dus à la
scarlatine ont disparu aux côtés des baisses de mortalité due à toutes
ces autres contagions.
Alors qu’est-ce-qui a réellement causé la baisse de la mortalité due aux maladies infectieuses?
Une
étude de référence de 1977 par McKinlay et McKinlay était une lecture
obligatoire dans la plupart des écoles de médecine américaines pendant
les années 1970 et le début des années 1980. Cette étude attribuait la
baisse non pas aux avancées ou innovations médicales mais presque
exclusivement aux innovations agricoles et en ingénierie qui
amélioraient la nutrition. Celles-ci incluaient de meilleures routes, le
transport aérien et la réfrigération, ainsi que des systèmes
d’assainissement plus performants.
C’est
à cette période que les toilettes à chasse d’eau et la chloration de
l’eau sont devenues courantes. Les McKinlay attribuent moins de 3,5% des
baisses de mortalité à toutes les mesures médicales combinées, y
compris antibiotiques, chirurgies et vaccins. L’introduction de la
chloration correspond assez parfaitement à la baisse de la mortalité due
aux maladies infectieuses.
En
1970, le Professeur Edward Kass de la Faculté de médecine de Harvard
était sans doute l’autorité mondiale en matière de maladies
infectieuses. Il était à la fois le fondateur et le rédacteur en chef de
longue date du Journal des maladies infectieuses, et président et
membre fondateur de la Société américaine des maladies infectieuses.
Cette
année-là, lors de son discours lors d’une réunion conjointe de la
Société américaine des maladies infectieuses et de la 10ème conférence
internationale sur les agents antimicrobiens et la chimiothérapie, le Dr
Kass a émis un avertissement public prémonitoire selon lequel des
acteurs au sein de l’industrie médicale essaieraient de revendiquer le
crédit pour la réduction monumentale des fatalités dues aux maladies
afin d’avancer leurs profits, leur prestige et leur influence.
Le
Dr Kass a contesté l’affirmation émergente selon laquelle les vaccins
ont sauvé des centaines de millions de vies. Le docteur a observé que le
déclin des morts massives dues aux grands tueurs de l’histoire s’est
produit avant la prolifération généralisée des vaccins. Et il a mis en
garde contre ce qu’il appelait les demi-vérités et le fait que la
recherche médicale avait éradiqué les grands tueurs du passé comme la
tuberculose, la diphtérie, la pneumonie, la septicémie, etc.
Il
a mis en garde contre l’affirmation selon laquelle la recherche
médicale et notre système supérieur de soins médicaux étaient des
facteurs majeurs dans l’extension de l’espérance de vie. Le graphique
trompeur que le sénateur Cantwell a montré à la nation est précisément
le genre de dispositif de propagande scientifiquement infondé contre
lequel le professeur Kass nous a mis en garde.
Et
pourtant c’est un argument couramment utilisé par l’industrie
pharmaceutique, les associations alliées, et leurs politiciens hautement
payés. Ils nous ont évangélisés pour nous faire croire que les vaccins,
seuls, ont sauvé toutes ces vies. Le sénateur Cantwell a reçu environ 456’000 dollars des compagnies pharmaceutiques.
L’affirmation
selon laquelle les vaccins ont sauvé des centaines de millions de vies
est si ancrée dans la sagesse conventionnelle qu’elle reçoit rarement le
genre de scepticisme et d’examen scientifique rigoureux que les agences de santé publique devraient appliquer à tous les dogmes.
Les
vaccins sont une partie critique de la santé publique, ils peuvent
prévenir complètement les infections comme la rougeole et les blessures
graves qui l’accompagnent parfois, et cela peut vous empêcher de
propager la rougeole aux autres. Mais la foi aveugle en la vaccination
seule comme seul recours contre l’infection a incliné notre système
médical à sous-estimer le rôle des médicaments thérapeutiques,
vitamines, de l’alimentation, de l’exercice, et d’autres changements de
modes de vie qui pourraient fortifier les systèmes immunitaires humains
contre toutes sortes de maladies.
L’idée
que la bonne santé ne vient que dans une seringue déforme les priorités
de santé publique et mène à des allocations érronées des ressources de
santé publique. L’administration Biden et la réponse déséquilibrée du
gouvernement américain à la pandémie de Covid ont parfaitement illustré
ce danger. Les citoyens américains en ont payé un lourd tribut. Les
Etats-Unis ont enregistré plus de décès liés au Covid que tout autre
pays.
Sous
la direction du président Trump, nous allons veiller à ce que
l’Amérique dispose du meilleur calendrier de vaccination infantile. Nous
allons nous attaquer aux problèmes liés aux vaccins. Nous allons
moderniser les vaccins américains grâce à une science transparente et
standardisée. Nous allons éliminer et corriger les conflits d’intérêts
et les incitations inappropriées, et nous allons garantir la liberté
scientifique et médicale.
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