jeudi 24 avril 2025

"Virus Covid" la version officielle passe du pangolin au labo de Wuhan. Trump accuse Fauci et la Chine. (article + interview Tocsin)

 

Des informations et des réactions que vous ne lirez pas dans la presse mainstream


Encore un récit bien utile...



Article publié le 22 avril sur Essentiel News, interview sur Tocsin

Après s’être désigné comme sauveur avec le lancement de l’Opération Warp Speed, qui a permis de produire des vaccins “miraculeux” anti-Covid, Trump revient dans le rôle du grand justicier de la pandémie. Au banc des accusés, la Chine, l’OMS, l’ONG Eco Health Alliance, Anthony Fauci, et toute une série d’acteurs que le nouveau Secrétaire à la santé Robert Kennedy Junior avait également dénoncés dans son ouvrage “Labo P4 de Wuhan: que nous a-t-on caché?

Désormais, la thèse officielle est celle d’un accident survenu au laboratoire de Wuhan qui a été dissimulé par le gouvernement chinois et les autorités de la santé mondiale, dont le Dr Anthony Fauci. Ce dernier est coupable d’avoir manipulé l’enquête sur les origines du virus et d’avoir recommandé des mesures sanitaires inutiles et désastreuses.

L’annonce intervient dans le climat de guerre économique avec la Chine et renforce le lobby de la biosécurité. En revanche, les éléments pointant vers une responsabilité propre ou un évènement planifié et orchestré par un “Etat profond” transnational ne font pas partie du tableau. “Le marais à assécher” semble donc bien délimité.

LA vérité selon Trump

Enième bouleversement à Washington: Trump et son équipe imposent une révision du ‘narratif’ Covid. La Maison Blanche vient de modifier son site d’information sur la pandémie de manière radicale. Au lieu d’une page présentant des données, des tests et différents types de mesures sanitaires, on y découvre aujourd’hui le président Trump au milieu d’un titre géant: “Lab Leak”, the true Origins of Covid-19. Ce visuel choc se réfère bien entendu à la thèse selon laquelle une fuite de laboratoire est à l’origine de la pandémie.

La page reprend les éléments du rapport final de la sous-commission chargée de l’enquête sur les origines du virus dans le cadre de la Commission de contrôle de la gestion pandémique, soumis à la Chambre le 4 décembre 2024. En guise d’introduction, on y lit la phrase suivante:

La publication « The Proximal Origin of SARS-CoV-2 » – qui a été utilisée à maintes reprises par les responsables de la santé publique et les médias pour discréditer la théorie de la fuite de laboratoire – a été réalisée à l’initiative du Dr Fauci afin de promouvoir la thèse privilégiée selon laquelle le Covid-19 est d’origine naturelle.

L’argument se décline ensuite en 5 points clés:

  1. Le virus possède des caractéristiques biologiques qui ne sont pas naturelles.

  2. Les données montrent que tous les cas de Covid ont émergé suite à une transmission unique vers l’homme. Cela contredit les épidémies où il y a eu différentes sources de contamination par les animaux.

  3. Wuhan abrite le plus important laboratoire de recherche sur le SRAS en Chine, qui mène depuis longtemps des recherches sur le gain de fonction (modification génétique et aggravation de la dangerosité) dans des conditions de biosécurité inadéquates.

  4. Des chercheurs de l’institut de virologie de Wuhan ont été malades et ont présenté des symptômes typiques du Covid, à l’automne 2019, plusieurs mois avant que l’on ne parle de patients provenant du marché de Wuhan.

  5. Selon presque toutes les recherches scientifiques, s’il existait des preuves d’une origine naturelle, elles auraient déjà été découvertes. Mais ce n’est pas le cas.

Revirement sur les “mesures Covid”

La suite est une série d’affirmations brèves et incisives, incluant la condamnation de plusieurs politiques sanitaires et de leurs auteurs. On y lit par exemple que:

Les confinements prolongés ont causé des dommages incommensurables non seulement à l’économie américaine, mais aussi à la santé mentale et physique des Américains, avec des effets particulièrement négatifs sur les jeunes citoyens. Plutôt que de donner la priorité à la protection des populations les plus vulnérables, les politiques fédérales et étatiques ont contraint des millions d’Américains à renoncer à des éléments essentiels d’une vie saine et financièrement stable.

Ou encore que:

La recommandation de distanciation sociale — qui a entraîné la fermeture des écoles et des petites entreprises dans tout le pays — était arbitraire et non fondée sur des données scientifiques. Lors d’une audition à huis clos, le Dr Fauci a déclaré que cette recommandation «était en quelque sorte apparue toute seule».

Et à propos des masques:

Qu’il n’existait aucune preuve concluante que les masques protégeaient efficacement les Américains contre la Covid-19. Les responsables de la santé publique ont changé d’avis à plusieurs reprises sur l’efficacité des masques sans fournir de données scientifiques aux Américains, ce qui a entraîné une forte augmentation de la méfiance du public.

Les coupables du désastre

Dans ce véritable pamphlet, les coupables sont désignés: en premier lieu la Chine, l’Institut national de la santé et son directeur Anthony Fauci, Eco Health Alliance, la société qui finançait les recherches de gain de fonction et son patron Peter Daszak, mais aussi Joe Biden et son gouvernement, le gouverneur de New York, Andrew Cuomo ou encore les scientifiques et les médias impliqués dans la censure et la manipulation des informations.

Pas de pitié non plus pour l’OMS, dont la réponse est qualifiée d'”abominable échec” (an “abject failure”), parce qu’elle se serait pliée à la pression du Parti communiste chinois. Et le texte en profite d’ailleurs pour rappeler que selon Trump et son gouvernement:

L’initiative visant à résoudre les problèmes exacerbés par la pandémie de Covid-19 — par le biais d’un « traité sur les pandémies » — pourrait nuire aux États-Unis.

En somme, il s’agit non seulement d’imposer avec force une nouvelle vérité officielle sur le Covid, mais surtout d’en faire une arme politique.

Le renseignement en renfort

S’il n’y a pas de grandes révélations, puisque ces conclusions avaient déjà été exposées il y a quelques mois, la force et le ton surprennent. D’autant que ces annonces sont appuyées par le patron de la CIA, John Ratcliffe, qui a ordonné la divulgation d’un rapport de synthèse sur l’origine du Covid, au lendemain du retour de Donald Trump à la Maison Blanche. Dans ce document, l’agence privilégiait la thèse de la fuite de laboratoire, sur celle d’une transmission naturelle par les animaux.

Ratcliffe, qui avait déclaré à la commission sur les origines du Covid que cela lui semblait être la seule explication plausible, répète depuis 2021 que la Chine est coupable d’avoir orchestré une gigantesque opération visant à masquer sa responsabilité dans la pandémie. Selon lui, le CCP aurait procédé à “la destruction de tests médicaux, d’échantillons et de données, à l’intimidation et à l’élimination de témoins et de journalistes, en passant par le mensonge et la coercition des autorités sanitaires mondiales, voire la diffusion de propagande”.

Par ailleurs, 2 autres agences, le FBI et le Département de l’énergie, avaient rendu les mêmes conclusions, mais sans révéler leurs sources. Christopher Wren, le directeur du FBI, avait déclaré que la Chine faisait tout pour entraver l’enquête. Et le Département de l’énergie, qui supervise le programme américain d’armement nucléaire et gère un réseau de laboratoires nationaux, avait rendu un avis similaire.

Tensions renouvelées avec la Chine

Il faut dire que dès le départ, Donald Trump n’a cessé de pointer son rival du doigt, en parlant du Covid comme du “virus chinois”. Dans une interview datée de mai 2021, il dressait le contexte géopolitique de cette obsession à un journaliste de la BBC:

Qu’est-ce qui vous donne un haut degré de confiance dans le fait que le Covid provient de l’Institut de virologie de Wuhan ? Donald Trump :

Je ne suis pas autorisé à vous dire cela, mais poursuivez vos questions.

Monsieur le Président, envisageriez-vous que les États-Unis ne paient pas leurs dettes envers la Chine en guise de punition pour le virus ?

Donald Trump :

Disons que je peux agir différemment. Je peux faire la même chose, et même pour plus d’argent, en imposant des droits de douane. Je n’ai donc pas besoin de recourir à cette solution. Il s’agit d’environ un trillion de dollars, un peu plus si j’ai bien compris, un trillion de dollars. Mais nous pouvons le faire d’une manière, je pense, probablement un peu plus directe. Quand on commence à jouer à ces jeux, c’est difficile. Mais, nous devons protéger le dollar. Nous devons protéger le caractère sacré et l’importance du dollar.

En réaction au rapport du Département de l’énergie américain de février 2023, le ministère chinois des affaires étrangères avait exprimé son vif mécontentement. Son porte-parole Mao Ning avait déclaré que «les parties concernées devraient cesser d’agiter des arguments sur les fuites de laboratoires, cesser de dénigrer la Chine et cesser de politiser la question de l’origine du virus».

La nouvelle doxa sur l’origine du virus s’inscrit donc bien dans ce théâtre politique d’une escalade face à la Chine, avec des perspectives qui dépassent la seule guerre commerciale. Car, si la Chine était accusée d’avoir voulu développer une arme biologique à Wuhan, cela ouvrirait potentiellement la porte à une réponse nucléaire des États-Unis.

La course aux armes biologiques

La saga de l’origine du virus, qui a été décrite de manière très détaillée dans le livre de Robert Kennedy Junior, “Labo P4 à Wuhan: que nous a-t-on caché?”, revêt ici une importance particulière dans la mesure où elle s’attarde sur les expériences de “gain de fonction” menées dans le cadre d’une “terrifiante course aux armes biologiques“, pour reprendre le sous-titre de l’ouvrage.

En exposant de manière passionnante les décennies de recherches visant à développer des armes biologiques, de l’Allemagne nazie aux États-Unis, en passant par le Japon, Kennedy confirme l’importance de cette thématique dans les programmes militaires. Malheureusement, cet éclairage alimente la rhétorique de la menace bioterroriste ou des risques liés à l’utilisation d’armes de destruction massive.

L’on voit déjà comment Trump et ses supporters sont prêts à s’en saisir. Il suffirait de quelques nouveaux rapports de la CIA pour lancer de telles accusations et enclencher des logiques guerrières, ou à tout le moins leur financement massif. Pourtant, il ne faudrait pas grand chose pour calmer le jeu. Si l’on investit bien des montants astronomiques dans ce type de recherches, cela ne signifie pas que la menace soit aussi importante qu’on ne le prétend.

C’est en tout cas l’avis du prof. Martin Zizi, ancien expert en armes chimiques et biologiques auprès du Conseil de sécurité de l’ONU durant 15 ans. À l’entendre, la possibilité de concevoir des armes biologiques pour créer des pandémies est quasi nulle, et cela pour plusieurs raisons. Tout d’abord, si le fait de manipuler un virus dans un laboratoire n’est guère compliqué, en faire une arme de destruction massive efficace que l’on peut contrôler à l’échelle planétaire est particulièrement difficile. Ensuite vient la difficulté de se protéger soi-même des conséquences de cette arme (il serait bien plus simple d’utiliser des vaccins qui permettent de sélectionner et limiter les cibles). Enfin, il est assez aisé de détecter une trace biologique de ce type d’armes, ce qui ouvre la porte à une réplique par l’utilisation d’armes de destruction de masse.

D’un narratif à l’autre

La version “chauve-souris et pangolin” servait l’agenda d’un gouvernement mondial protecteur face à un ennemi insaisissable composé de virus, de chaleur et de carbone. C’est le récit qui promeut la surveillance et le contrôle des populations par l’anticipation de menaces communes invisibles. L’on parle ici des politiques de l’OMS et des agences onusiennes telles: “une seule santé”, “la santé liée au climat”, “le traité pandémie” ou le passe sanitaire.

Le manque d’enthousiasme des peuples à la démesure de ce projet devait fatalement conduire à acclamer sa version contraire (accélérer).

La présentation de la saga du “supervirus expérimental venu du laboratoire de l’ennemi” correspond à la réaction en miroir. Ici, plus question de noyer l’individu dans la masse du “one world” contre le virus, ni de mettre l’accent sur le bien commun. C’est le versant complémentaire qui prend le relais: celui où chacun est clairement identifié. Le héros agit en surhomme pour défendre ses intérêts propres, face à des ennemis nommés comme tels. C’est Trump contre Fauci, Daszak, Cuomo et l’OMS ou même la Chine toute entière.

Ce ne sont pas les traités de l’OMS ni ‘le consensus scientifique’ qui imposeront leur loi, mais “celui qui a été élu”.

Cette fois la stratégie accélérationiste, qui vise à “démolir pour mieux reconstruire” un nouvel ordre mondial, se déclinera sous d’autres motifs: la nécessité de sauver le dollar et l’hégémonie américaine face aux BRICS et à la concurrence chinoise, et le besoin de durcir le ton face à des nations hostiles, quitte à provoquer une 3ème guerre mondiale.

La version manquante

Plusieurs éléments manquent au nouveau “narratif” pour qu’il soit réellement inspirant.

Tout d’abord une tentative, une once de mea culpa ou de prise de responsabilité personnelle de la part de Trump, qui a toutes les circonstances atténuantes d’avoir été trompé, aurait été de bon ton. Ou faut-il se contenter d’admirer le tour de force qui consiste à se poser en justicier pour dénoncer des politiques que l’on a soi-même approuvées?

Car, s’il veut réellement s’opposer à l’État profond qu’il prétend combattre, Trump a ici tous les éléments nécessaires et l’occasion rêvée pour le faire. A titre d’exemple, il peut citer le rôle de Bill Gates et d’un nombre d’acteurs impliqués dans la “planification” des pandémies comme Robert Kadlec ou des compagnies mafieuses comme Emergent Biosolutions.

Il peut déconstruire la notion même de pandémie, en dénonçant la supercherie des tests PCR en provenance d’Allemagne et en expliquant qu’il s’agit d’une fausse menace. Et il peut même en profiter pour retirer du marché les fameux vaccins Covid, en disant qu’on lui a caché les traitements existants, efficaces et bon marché et que la pandémie est finie.

Mieux encore, il peut pointer du doigt les géants de la finance et les banquiers centraux qui se sont réunis le 22 août 2019 pour approuver le plan de Blackrock et lancer le grand reset économique “de la prochaine grande crise/pandémie en arrivage” (le plan monétaire lié à la pandémie est connu sous le nom du “Going down reset“).

Et, dans ce monde parallèle, Trump pourrait même renvoyer la balle vers la communauté scientifique en lui demandant de prouver l’existence du virus Sars-cov-2… et de tous les autres. Histoire d’avoir la paix pendant la suite de son mandat.

Pourquoi pas? Puisque Trump peut tout.

La lettre de Senta est une publication soutenue par les lecteurs. Pour recevoir de nouveaux posts et soutenir mon travail, envisagez de devenir un abonné gratuit ou payant.

Vous êtes actuellement un abonné gratuit à La lettre de Senta. Si vous l’appréciez, vous pouvez soutenir son travail en passant à la version payante

Lab Leak : « Tout a été caché par Anthony Fauci avec une série de complices ainsi que l’OMS »


 

Interdisons les PFAS à la source !

Les PFAS – prononcé « Piface » et acronyme d’alkyls perfluorés et polyfluorés – désignent une famille de 4700 produits chimiques de synthèse.

Le robinet des PFAS doit être fermé, sans exception. Les PFAS présentent une multitude de risques sanitaires scientifiquement établis. Affaiblissement de notre système immunitaire, problèmes de fertilité, … cette liste ne cesse de s’allonger!

Les coûts de santé et les souffrances humaines occasionnés par l’amiante et le DDT au cours des dernières décennies devraient nous inciter à appliquer le principe de précaution et endiguer la propagation des PFAS sans tarder.

Nos décideurs politiques doivent protéger notre santé: leur responsabilité est claire!


Les PFAS sont dangereux et doivent être interdits

Sans rentrer dans les détails de leur composition chimique, les PFAS – prononcé « Piface » et acronyme d’alkyls perfluorés et polyfluorés – désignent une famille de 4700 produits chimiques de synthèse.

On en retrouve un peu partout : ustensiles de cuisine antiadhésifs, emballages alimentaires, peintures, textiles, cosmétiques, produits d’entretien, mousses ignifuges, produits électroniques, fil dentaire… Leurs propriétés ? Ils résistent à l’eau, à l’huile, à la graisse, à la chaleur, sont non-tachants, …

Le problème, c’est que les PFAS sont « indestructibles » dans l’environnement et dans l’organisme. Ils font partie des « produits chimiques éternels ». Dans les PFAS, les liens entre les atomes de fluor et de carbone sont tellement forts qu’ils rendent presque impossible leur dégradation.

Ces substances sont facilement solubles dans l’eau et se retrouvent vite dans nos sols et eaux souterraines, … En plus d’être transportées par l’eau, elles sont facilement véhiculées par l’air. Au-delà de leur diffusion dans l’environnement (air – sol – eau), nous y sommes exposés dès qu’on utilise un produit qui en contient !

En s’accumulant dans l’organisme, ils peuvent également entraîner des problèmes de santé tels que des lésions hépatiques, des maladies thyroïdiennes, de l’obésité, des problèmes de fertilité, des cancers (reins, testicules, …), une mauvaise élimination du cholestérol, une perturbation des fonctions endocriniennes et immunitaires, …

Toutes ces particularités font qu’il est nécessaire de limiter à la source les pollutions de PFAS dans l’environnement si nous souhaitons réduire les risques sanitaires associés. Certains ont déjà fait l’objet d’interdiction (PFOA et PFOS) mais il demeure plusieurs milliers de substances appartenant aux PFAS qui se répandent dans l’environnement.

Le problème s’aggrave de jour en jour et il est grand temps que nos décideurs politiques prennent leur responsabilité en fermant le robinet des PFAS, au nom de notre santé!
Que faut-il faire ?

Toutes les sources de PFAS nocifs pour notre santé et pour l’environnement doivent être éliminées. L’industrie chimique doit s’engager à trouver des alternatives plus sûres et plus durables. Nos décideurs politiques doivent prendre des mesures fortes pour remettre les industries dans le droit chemin:

    La Belgique doit voter en faveur d’une interdiction européenne de tous les PFAS dédiés aux usages non-essentiels (*)
    La Belgique doit travailler à l’élaboration d’un plan national de substitution et d’élimination progressive qui remplace les PFAS dans les produits de consommation par des alternatives sûres.

*Les dérogations ne sont possibles que pour les « utilisations essentielles », c’est-à-dire les utilisations cruciales pour la santé, la sécurité, le bon fonctionnement de la société, et pour lesquelles il n’existe actuellement aucune solution de remplacement. Ces dérogations doivent être limitées dans le temps et faire l’objet d’un réexamen régulier.
Votre voix compte !

Voulez-vous contribuer à mettre fin à la pollution par les PFAS ? Voulez-vous protéger votre environnement et vos proches des risques pour la santé que représentent plus de 4 700 PFAS ?

Signez notre pétition pour exiger de nos décideurs politiques qu’ils s’engagent à interdire les PFAS à l’échelle européenne et qu’ils continuent à travailler sur une politique wallonne et fédérale ambitieuse pour éliminer progressivement les PFAS de notre environnement. Faites entendre votre voix et rappelez aux gouvernements leur responsabilité de protéger notre santé. Le robinet des PFAS doit être fermé !
Oui, je veux signer la pétition
Oui, je signe la pétition
Je veux que le Belgique élimine progressivement les PFAS !

Signez la pétition : rejoignez-nous pour demander aux gouvernements de fermer le robinet des PFAS. Ces substances nous exposent à de sérieux problèmes de santé (affaiblissement du système immunitaire, augmentation du cholestérol, lésions hépatiques, risque de fausse couche, perturbations hormonales, cancers,…). Le gouvernement doit agir pour protéger notre santé et notre environnement des effets nocifs de ces produits chimiques.

mardi 22 avril 2025

Lab leak : la fausse piste de la fuite de labo


 • Excellente vidéo de Pierre Chaillot sur l'escroquerie viraliste :    • Ne croyez plus aux pandémies !   • Voir ma vidéo sur la pseudoscience des virus : https://crowdbunker.com/v/sWwLm2Z8 • Mon nouveau livre 📕 "Quand les masques tombent" désormais disponible : ► https://www.jeremie-mercier.com/quand... • Club Privé Santé du mois sur l'ozonothérapie : ► https://bit.ly/ClubPriveSanteJM • Les précédents dossiers du Club Privé Santé : ► https://bit.ly/CPSarchives • Inscrivez-vous à ma newsletter ici : ► http://bit.ly/NSLJeremie et à mon canal Telegram ► https://t.me/DeconfineTaSante

lundi 21 avril 2025

Des généraux et officiers lancent une pétition pour un débat sur l’engagement militaire en Ukraine : halte à une intervention sans mandat

Source : https://lemediaen442.fr/des-generaux-et-officiers-lancent-une-petition-pour-un-debat-sur-lengagement-militaire-en-ukraine-halte-a-une-intervention-sans-mandat/

Depuis 2022, la France s’enfonce dans un engagement militaire et financier en Ukraine toujours plus coûteux – humainement, stratégiquement, démocratiquement. Pourtant, ni le Parlement ni les citoyens n’ont été consultés, en violation flagrante des articles 35 et 53 de la Constitution. Pis : les accords franco-ukrainiens de février 2024, engageant 3 milliards d’euros et des troupes sur le terrain, n’ont même pas été ratifiés par les représentants du peuple.

 

Des anciens militaires réclament un débat démocratique sur l’Ukraine

« Des officiers français signent une résolution pour exiger un débat parlementaire urgent sur l’engagement militaire et financier de la France en Ukraine, invoquant des violations de la Constitution. »

Un mépris constitutionnel assumé

L’article L.4111-1 du Code de la Défense est pourtant clair : l’armée sert la Nation, pas les calculs opaques de l’Élysée. Or, malgré les rumeurs persistantes de soldats français en Ukraine, aucune information n’a été transmise au Parlement dans les délais légaux. Pire : les récentes déclarations sur un possible déploiement de troupes en mai 2025 confirment une stratégie du fait accompli, méprisant la séparation des pouvoirs.

Double jeu financier : l’exception ukrainienne ?

Comment expliquer que l’accord avec la Papouasie-Nouvelle-Guinée ait été ratifié, quand celui avec Kiev – bien plus lourd – échappe à tout contrôle ? L’hypocrisie est criante : l’article 53 exige un vote pour tout traité engageant les finances publiques. En l’esquivant, l’exécutif s’affranchit de la loi… et des contribuables qui paieront la note.

L’armée otage d’un pouvoir solitaire

En refusant tout débat, le gouvernement transforme l’armée en instrument de politique personnelle, non plus en « servante de la Nation ». Une dérive dangereuse, dénoncée par des généraux qui rappellent l’article 16 de la Déclaration de 1789 : « Pas de Constitution sans séparation des pouvoirs. »

Cette résolution citoyenne n’est pas qu’un rappel à la loi : c’est un ultime sursaut pour sauver la démocratie. Les parlementaires doivent exiger transparence, voter sur les engagements en cours, et sanctionner les contournements de la Constitution. Avant que la République ne devienne une coquille vide, dirigée par décrets et petits secrets entre initiés.

RÉSOLUTION CITOYENNE

Relative à l’engagement militaire et financier de la France en Ukraine

Signifiée par huissier aux présidents des deux assemblées le 17 avril 2025

L’article L 4111-1 du Code de la Défense dispose que :

« L’armée de la République est au service de la Nation. Sa mission est de préparer et d’assurer par la force des armes la défense de la patrie et des intérêts supérieurs de la Nation ».

Depuis le début de l’année 2022, des informations persistantes, bien que non confirmées officiellement, évoquent une présence de troupes françaises en Ukraine. Si ces faits étaient avérés, ils soulèveraient une grave question de conformité avec l’article 35 de la Constitution, qui impose au Gouvernement d’informer le Parlement dans les trois jours suivant une intervention militaire à l’étranger et de soumettre toute prolongation au-delà de quatre mois à un vote.

Or, à ce jour, aucune communication claire n’a été faite devant les assemblées, laissant les citoyens dans l’ignorance et privés de leur droit à un contrôle démocratique sur l’emploi de leur armée.

Par ailleurs, les accords de sécurité franco-ukrainiens signés le 16 février 2024, prévoyant un soutien militaire et financier de 3 milliards d’euros pour 2024 et un engagement militaire pluriannuel, auraient dû être ratifiés par le Parlement en application de l’article 53 de la constitution qui impose une ratification parlementaire des traités internationaux ayant des incidences financières significatives sur les finances publiques.

A titre d’exemple, le 7 février 2024, l’accord de coopération en matière de défense entre la France et la Papouasie-Nouvelle-Guinée pourtant bien moins engageant pour les finances publiques que celui conclu avec l’Ukraine, a fait l’objet d’une ratification parlementaire en application de l’article 53.

Or, à ce jour, le Parlement n’est pas intervenu pour ratifier les accords de sécurité franco-ukrainiens, ce qui met en cause leur légalité et leur opposabilité, tant à la Nation qu’aux citoyens français, pourtant appelés à contribuer financièrement au soutien militaire à l’Ukraine.

De surcroît, l’article 55 de la Constitution prévoyant que : « Les traités ou accords régulièrement ratifiés ou approuvés ont, dès leur publication, une autorité supérieure à celle des lois, sous réserve, pour chaque accord ou traité, de son application par l’autre partie », l’absence de ratification régulière par le Parlement pose la question de la légalité des livraisons d’armes issus des stocks de l’armée française à l’Ukraine.

Enfin, les déclarations récentes du Président de la République, évoquant un éventuel déploiement de troupes françaises en mai 2025 ainsi que la mutualisation de l’usage de l’arme atomique, imposent un débat parlementaire préalable pour garantir la légitimité de tels choix au nom de la Nation.

Résolution proposée :

Nous, citoyens et anciens militaires, demandons aux députés et sénateurs :

  1. De faire publier au Journal officiel toutes les informations sur la présence de troupes françaises en Ukraine depuis 2022, comme l’exige l’article 35 ;
  2. D’organiser un débat suivi d’un vote sur la poursuite de cette intervention, en application de l’article 35 ;
  3. De se prononcer sur la ratification des accords de sécurité franco-ukrainiens du 16 février 2024, conformément à l’article 53 ;
  4. De mettre cette résolution à l’ordre du jour dans les 15 jours suivant sa remise, afin de garantir le plein exercice du contrôle parlementaire.

LISTE DES SIGNATAIRES

Généraux d’armée

  • Bertrand de LAPRESLE, général d’armée (2S), Armée de terre
  • Jean-Marie FAUGERE, général d’armée (2S), Armée de terre

Généraux de corps d’armée

  • Maurice LE PAGE, général de corps d’armée (2S), Armée de terre

Généraux de division

  • Philippe CHATENOUD, général de division (2S) Armée de terre
  • Philippe GALLINEAU, général de division, Armée de terre

Généraux de brigade

  • Dominique DELAWARDE, général de brigade (2S), Armée de terre
  • Alexandre LALANNE-BERDOUTICQ, général de brigade (2S), Armée de terre
  • Marc JEANNEAU, général (2S), Armée de terre
  • Paul PELLIZZARI, général de brigade (2S), Armée de terre
  • Marc PAITIER, général de brigade (2S), Armée de terre
  • Antoine MARTINEZ, général de brigade aérienne (2S), Armée de l’Air et de l’Espace
  • Claude GAUCHERAND, contre-amiral (2S), Marine nationale
  • Hubert de GEVIGNEY, contre-amiral (2S), Marine nationale
  • Jean-Marie PARAHY, général (2S), Artillerie
  • Michel DE CET, Général(2S), Gendarmerie
  • Laurent AUBIGNY, Général de Brigade Aérienne (2S), Armée de l’Air et de l’Espace
  • Jean-François BOIRAUD, Général de brigade (2S), Artillerie
  • DANIELSCHAEFFER, Général de brigade (2S), Cadre spécial
  • Michel Georges CHOUX, Général de brigade (2s), Armée de Terre

Colonels

  • Yves BRÉART de BOISANGER, Colonel (er), Armée de terre TDM
  • Alain CORVEZ, colonel (er) INF, Armée de terre
  • Paul BUSQUET de CAUMONT, colonel
  • Bernard DUFOUR, colonel (er) TDM, Armée de terre Inf
  • Daniel BADIN, colonel (er) ART, Armée de terre
  • Jacques PELLABEUF, colonel (er) INF, Armée de terre
  • Hubert de GOËSBRIAND, Colonel (er), Armée Terre, ABC
  • Éric GAUTIER, colonel (er), Armée de terre
  • Didier FOURCADE, Colonel (er), Armée Terre, ABC
  • Pierre BRIÈRE, colonel (er), Armée de terre INF
  • Pascal BEGUE, commissaire colonel (er), Armée de terre
  • Jacques de FOUCAULT, colonel (er) INF, Armée de terre
  • Philippe RIDEAU, Colonel ER Armée de terre
  • Jacques HOGARD, colonel (er) INF-LE, Armée de terre
  • Frédéric PINCE, colonel (er) TDM, Armée de terre
  • François RICHARD Col (ER) – Armée de Terre
  • Erwan CHARLES, Colonel (er), Armée de Terre, ABC
  • Frédéric SENE, colonel (H), Armée de l’Air et de l’Espace
  • Régis CHAMAGNE, colonel, Armée de l’air et de l’espace
  • Philippe de MASSON d’AUTUME, capitaine de vaisseau (H), Marine Nationale
  • Christophe ASSEMAT, officier supérieur (er), Armée de terre
  • Olivier FROT, commissaire colonel (er), Armée de terre
  • Denis KREMER, médecin en chef (er), Service de Santé des Armées
  • Bruno WEIBEL, médecin en chef (er), Service de Santé des Armées
  • Jean-Pierre RAYNAUD, médecin en chef, service de santé aux armées
  • Marc HUMBERT, Cadre spécial, Armée de Terre

Civils

  • Pierre BREUIL, préfet honoraire
  • Gilles de FONT-RÉAULX, Saint-Cyrien

samedi 19 avril 2025

À quoi l'agité-poudré du bocal joue-t-il ?

Source :   https://lesakerfrancophone.fr/a-quoi-macron-joue-t-il

Publié le par


Par Jose Marti − Le 29 mars 2025 − Source Le Saker Francophone

La réponse tient en deux mots : tout ce que fait Macron vise à une seule chose :  

à exister.

8 années d’exercice du pouvoir lui ont permis de réduire la France à peau de chagrin. La dette française a explosé et les agences de notation s’apprêtent à faire baisser la note du pays sous le seuil qui lui permet d’emprunter sur les marchés (à partir de la prochaine dégradation de la note de la France, la majorité des fonds d’investissement ne pourront plus, selon leurs règles de gestion, acheter de la dette française — rendez-vous compte que la France doit emprunter 1 milliard d’euros par jour ouvré pour faire rouler sa dette).

Macron, tel un vampire, a nourri son égo malade et pervers des maltraitances qu’il a infligées sans discontinuer au peuple français. Il agit bien entendu comme faire valoir pour des intérêts mondialistes, mais je suis convaincu que son vecteur personnel, celui qui lui permet de tenir au quotidien, est cette perversité morbide à couler un pays et à voir les gens qui ont cru en lui souffrir et [dé]périr.

Il n’a jamais été aussi faible et isolé politiquement sur la scène politique française. Même Alexis Köhler, son alter ego, vient de quitter l’Elysée pour se préparer aux élections présidentielles de 2027. Mais ce que pensent les Français lui est bien égal. Convaincu qu’il est que gesticuler et vilipender [les Ukrainiens ont un mot pour cela : macroner] suffit à créer sa propre réalité, à la projeter, et à lui donner substance, il se prend pour quelque chose qui est à la frontière entre :

  • nouveau dirigeant du monde libre.
    C’est ainsi qu’il essaye d’agir, de concert (et en concurrence) avec le premier ministre anglais ou le chancelier allemand. Le tout dernier ressort qu’il lui reste est celui d’agiter une menace extérieure. Après le virus durant son premier mandat, il brandit désormais le Russe.
    Sous cette facette, il se considère comme représentant de divers pays d’Europe (ceux dont les dirigeants sont va-t-en-guerre, au mépris de leurs populations) mais aussi extra-européens ; comme le Canada ou le Royaume-Uni. Quand Macron prononce le mot « nous » dans ce contexte, c’est au nom de ce bloc qu’il estime avoir légitimité à s’exprimer.
  • président de l’union européenne
    Dans ce contexte-là, plus abscons, Macron se prend pour le successeur d’Ursula, mais sans doute avec un rôle formellement élargi. Qu’importe que la majorité des pays de l’UE ne soient absolument pas d’accord avec ses positions. Qu’importe que l’Allemagne ou le Danemark signent, au moment même où il fait des discours sur une armée européenne, des contrats d’achat d’avions F-35 inféodés aux États-Unis.

Certes, cela est un peu flou, mais il en sortira bien quelque chose, n’est-ce pas. Par l’application de la stratégie du choc et de la peur, Après le virus mortel tueur très dangereux qui a justifié des restrictions sans précédent de toutes les libertés publiques, voici tout simplement l’application d’une recette qui existe depuis l’apparition des médias de masse : la peur de l’ennemi. Ce n’est pas le casque à pointe, cette fois-ci, qui veut embrocher vos nouveau-nés, c’est le Russe qui veut s’emparer de votre pays. Souvenez-vous de votre auto-satisfaction d’écolier, quand le professeur d’histoire mentionnait la propagande de guerre d’avant 1914, quand vous vous disiez : « tout de même, nos ancêtres, ils étaient bien primitifs de croire des imbécilités aussi criantes. ». Surprise : rien n’a changé dans la nature humaine !

Affiche de propagande britannique anti-allemande, avant 1914. Remplacez la tête de l’Empereur par celle de Poutine, et vous avez un contenu tout à fait intégrable dans n’importe quel média français de nos jours.

Tous ces prétextes, ces crises fabriquées, imaginées, n’auront eu qu’un seul but. Exister, s’avancer sur l’échiquier de débiles, dorer son image de gestionnaire de crise, pour se faire une place à Bruxelles. Merci à Brigitte qui lui murmure chaque soir au creux de l’oreille, de sa voix rauque : « tu es le meilleur« .

Je n’avais pas peur du virus ; j’avais peur de ce qu’ils en faisaient. Je n’ai pas peur des Russes, ni de la guerre nucléaire. Macron n’a absolument pas les moyens de lancer une guerre. Il ne fait que de la politique « intérieure » (par ce mot, je n’évoque pas la scène politique française, j’évoque la scène politique correspondant à l’égo de Macron décrite ci-avant). Et je suis sidéré par l’absence d’opposition politique dans mon pays ; tout comme je suis sidéré par l’absence d’opposition civile, à ce phénomène. Apparemment, Macron a bien réussi à nous projeter collectivement pour nous faire vivre à l’intérieur de son égo.

Ce pays court au désastre, il s’y précipite, il s’essouffle même pour y aller plus vite.

Billet d’humeur écrit par José Martí pour le Saker Francophone

Interview de Philippe Bobola par Luc Bodin : « De la chute à l’éveil »


Dans le cadre de son émission « Parole aux explorateurs de conscience » Luc Bodin interroge Philippe Bobola sur la situation du monde d’aujourd’hui, notamment sur la chute de l’occident, le post-matérialisme, l’IA, la vision quantique de l’univers, la médecine du futur, les nouvelles énergies venant du cosmos… pour en arriver au développement actuel de la spiritualité. Philippe Bobola est docteur en physique. Au fil des années, il s’est intéressé à de nombreux sujets comme la biologie, le chamanisme, l’étude des religions, les peuples premiers, la notion du temps, etc. Il a été enseignant dans différentes universités et est actuellement conférencier et auteur de nombreuses publications. Retrouver Philippe Bobola sur : Sa chaine YouTube : @philippebobola9335

vendredi 18 avril 2025

Mobilisation pour la paix le 20 avril - Interview de Francis Lalanne


 

Lettre de Florian Philippot

 Madame, Monsieur, chers Patriotes,

Quelle indécence ! Alors qu’il a creusé la dette de plus de 1000 milliards d’euros (mesures covidistes criminelles et coûteuses, financement massif de l’Ukraine, de l’UE, etc.), le gouvernement macroniste ose menacer les Français d’un « état d’urgence budgétaire » ! Les 40 milliards d’austérité annoncés sont un véritable détournement de fonds publics : des poches des Français vers celles de l’oligarchie. Au lieu d’attaquer les retraites et d’alourdir les taxes, arrêtons de financer l’Ukraine, la guerre, la corruption ; fermons les agences des copains, comme l’ARCOM ou l’ADEME, quittons l’UE qui nous ruine ! En 2026, ils vont encore augmenter de 7 milliards la contribution française au budget de l’UE…Soyons clairs : cette dette n’est pas la nôtre, c’est LEUR dette ! La dette du Système européiste de privilèges, vol et corruption. La motion de censure s’impose bien sûr ! On ne sera pas les nouveaux Grecs. Honte aux députés PS et RN qui refusent encore la motion de censure : on ne les lâchera pas !

Zéro hasard si l’oligarchie accélère la marche à la guerre maintenant : dans l’Histoire, les guerres servent toujours à masquer des méfaits. En Italie, le peuple s’est réveillé : 100 000 Italiens sont descendus pour la Paix dans les rues de Rome il y a quelques jours ; quelle force ! Le débat est aussi aux Pays-Bas où l’armée a été soudainement appelée à « se tenir prête ». En Allemagne, tous les hommes de plus de 18 ans doivent s’enregistrer. Français : refusons leur folie et exigeons la Paix ! En sortant de l’UE et l’OTAN, la France libre sera puissance de paix ! Arrêtons les fauteurs de guerre, les Macron, Von der Leyen et cie, qui ont un intérêt personnel à la guerre. Le dimanche 27/04 (rdv Paris 14h place du Palais Royal) Les Patriotes organisent la grande manif nationale pour la Paix : la riposte au système de guerre et de peur. N’ayez pas peur ; Patriotes, résistants, soyons debout, unis, forts, pour le grand retour du peuple, de la France et de la paix !

 

Une excellente nouvelle cette semaine : la vaste enquête lancée par le ministre Kennedy Jr pour déterminer l’origine (dans les vaccins, l’alimentation,…?) de l’explosion de l’autisme chez les enfants. Big Pharma et les médias ont détesté cette annonce : c’est bon signe ! De notre côté, nous avons lancé hier la grande campagne pour que la France sorte de l’OMS, comme les États-Unis et l’Argentine, alors que le Traité sur les pandémies menace : mobilisation générale ! Les Patriotes luttent pour la souveraineté des peuples et la souveraineté des individus sur leurs choix de santé !

2025, c’est « l’année chamboule-tout » : tous les débats sont ouverts, tout devient possible ! À nous d’agir chaque jour pour faire gagner la liberté, la vérité, la paix, la France. Bienvenue à tous dans le combat !
Vive Les Patriotes !
Vive la France !
Florian Philippot,
Président des Patriotes.