lundi 18 mars 2024

Ne vous vengez pas d’Emmanuel Macron. Ne lui ressemblez pas. C’est ce qui le détruira.

https://twitter.com/zoesagan/status/1769296311830905244?t=LSnmXfjKPfEcdtE5VOa8jg&s=19
Zoé Sagan
@zoesagan
Ne vous vengez pas d’Emmanuel Macron. Ne lui ressemblez pas. C’est ce qui le détruira. La colère, vous savez, fait plus de dégâts que la cause de cette colère. Ne vous laissez pas attraper par les effets de la colère qui restent beaucoup plus graves que les causes.

Allez jusqu’à aimer ceux qui vous dénigrent. Continuez d’aider et d’être aidé. Ne vous lassez jamais de recevoir de l’aide ni d'en apporter. C’est un acte conforme à la nature. Et ne vous attachez pas aux événements.

N’espèrerez que ce qui dépend de vous. Tout en entrant le plus possible dans l’âme de celui qui vous parle. N’imitez pas le couple 14-39. Ne faites pas semblant, évitez l’agitation et l’hypocrisie.

Rejetez les opinions sur vous et vous serez sauvés. Même quand on vous dit qu’on dit du mal sur vous, si vous êtes sûrs de ce qui vous anime, n’abandonnez pas. Allez jusqu’au bout.

La mort n’est qu’un changement de place. Qu’on vous maudisse ou qu’on vous diffame, restez droit, restez digne, tapez plus haut et tapez plus fort. Écoutez votre cœur. Aimez-vous plus que de raison, les autres ne le feront pas pour vous.

Qu’on vous quitte, qu’on vous remplace ou qu’on vous laisse sur le bas-côté de la route, continuez malgré tout de voir le verre à moitié plein. C’est que vous dérangez. Vous êtes en vie. C’est déjà immense. Savourez chaque seconde, chaque souffle, chaque respiration, vous êtes. Là. Et c’est déjà un exploit.

Ne doutez pas. Relevez toujours la tête. Regardez droit devant vous et avancez. La vie est toujours pleine de surprises. D’inattendu. L’histoire se répète et change en permanence. C’est ainsi. Depuis la nuit des temps. Acceptez de ne pas tout comprendre. Laissez jouer la providence.

Ne vous déconnectez jamais de votre cœur. Seul lui dit vrai. Votre cœur. Qui donne le tempo et qui, si vous l’écoutez, fera toujours écho au grand tout. À ce qui est juste. C’est immuable. C’est une loi universelle.

Le reste, ce n'est rien. Des bruits de couloir, des chuchotements, des médisances. Du macronisme au pire. Un truc qui apparaît et disparaît tout aussitôt.

Vivez en paix avec vous-même et vous vivrez en paix avec le monde entier.

Eric Verhaeghe réagit à la video de Candace Owens : De Jean-Michel à Brigitte Trogneux...


 

Réponse aux attaques subies suite aux révélations que j’ai faite sur l’affaire Jean-Michel Trogneux


 

L'affaire-brigitte-fait-enormement-de-bruit-aux-etats-unis-la-premiere-dame-de-france-est-elle-vraiment-un-homme-candace-owens-sexprime

Article ici :  https://qactus.fr/2024/03/16/usa-laffaire-brigitte-fait-enormement-de-bruit-aux-etats-unis-la-premiere-dame-de-france-est-elle-vraiment-un-homme-candace-owens-sexprime/

 

De Jean-Michel à Brigitte Trogneux, mensonges à l'Elysée

 

Retour à l'accueil - The same page in english - Adresse courte de cette page : pressibus.org/brigitte - Derrière la légende de Brigitte Macron

#brigittegate, le dossier Pressibus 2022, journal d'enquête citoyenne
Vous pouvez télécharger ce dossier au format pdf (inclus Post-Scriptum jusqu'au 9 mars 2024) (20 Mo, 240 pages)
De Jean-Michel à Brigitte Trogneux,
mensonges à l'Elysée


McMacron, le clown de guerre au Nez-Rouge

Source : https://www.dedefensa.org/article/mcmacron-le-clown-de-guerre-au-nez-rouge

• Désignons-le comme “le clown de guerre” avec son Nez-Rouge, ou bien encore McMacron, l’homme de la “stratégie de l’écrevisse”. • Il y a trois jours, Macron allait dévorer tout cru la puissante Russie grâce à une habile manœuvre d’un corps expéditionnaire de 15 000 hommes. • Il y a deux jours, il se réfugie dans des imprécations venues de l’Olympe et l’on verra plus tard. • Entretremps, il voit Scholz et tout va bien. • Le clown au Nez-Rouge a tant de maître qu’il ne sait plus qui flatter. • Même des yankees-black s’intéressent au sexe de Brigitte.

________________________


Jeudi devait être une grande journée, couronnée dans la soirée par un “discours de Guerre” du type 18-juin certifié du président Macron (nom de code/de guerre : McMacron), et adressé au peuple français certifié “aux armes, citoyens”. Alexander Mercouris, – nous allons lui laisser une place importante dans ce texte, – l’attendait avec impatience et, dans la matinée de ce jeudi, avait tenté de l’anticiper dans son programme, en même temps qu’il parlait d’une intervention de Poutine qui est bien entendu passée totalement inaperçue dans nos étranges cintrées.

Hier matin, il put donc développer à  loisir son jugement et ses critiques que certains, tel le citoyen Malhuret, jugent en général exagérées... Le plus étrange dans cette intervention est bien que, dans les premières minutes, Mercouris rappela, en beaucoup plus appuyé une partie de ce qu’il disait le jour précédent, semblant ainsi nous dire que le plus important se trouvait là, hier et pas aujourd’hui, et pas chez Macron mais chez Poutine !

«  Hier en début d’après-midi, j’attendais que le président Macron annoncerait [dans son discours du soir] le déploiement de forces françaises et, dans cet intervalle, je discutais du très puissant et même terrifiant interview que le président Poutine avait donné au journaliste Sergei Kiselov, où Poutine disait de la façon absolument la plus claire que si des troupes françaises, européennes ou de l’OTAN entraient en Ukraine, pour ce qui concernerait les Russes elles seraient considérées comme des ennemis combattants, et même des envahisseurs, et traitées comme tels.. Poutine retourna même la formule de Macron contre ce dernier ; Macron disant qu’il était temps pour l’Ouest de ne plus considérer la moindre “ligne rouge” contre la Russie, la Russie de son côté considérerait qu’il n’existait plus aucune “ligne rouge” contre l’Ouest....

» C’est-à-dire que le discours de Poutine fut  extraordinairement dur, là où il ne manqua pas de rappeler que la Russie était une puissance nucléaire, et la plus puissante et la plus moderne du  monde, et qu’elle n’hésiterait pas à en user si elle estimait que la bataille était existentielle pour elle. A un autre moment, Poutine dit que la différence fondamentale entre la France et les autres puissances européennes et la Russie était que le but des Occidentaux était stratégiques, pour obtenir une meilleure position géostratégique, tandis que pour les Russes c’était une question de vie ou de mort... »

Et tout cela, un peu avant de passer au discours de Macron que  nous attendions, où Macron devait annoncer exactement les choses à propos desquelles Poutine avaient lancé un avertissement si terrifiant. Mercouris nous avisa enfin que cette solennelle allocution qui ne vint jamais dans la forme nécessaire et attendue avait été transformée, après un certain délai, en l’annonce d’une conférence de presse qui dura en tout et pour tout trente minutes. Et Mercouris de commenter

«  Franchement, pour ce qui me concerne, ce fut un exercice de la confusion la plus complète qu’on puisse imaginer. »

Ce fut donc du Macron standard : le discours annoncé se transformant en une conférence de presse de 30 minutes au cours de laquelle le minibus français roula quelques mécaniques, déroula ses exigences dans le style de Zelenski et nous donna enfin  l’impression de cette immense confusion dont parle Mercouris, celle qui est du type “Mais qu’on me retienne, à la fin ! Sinon, je fais une colère de dingue et Poutine peut faire ses bagages”. Il reste donc surtout ceci : le programme d’invasion-éclair de l’Ukraine chapardée par les vandales-Russes reste pour l’instant en suspens et en paroles, bien rangée dans la commode Louis-XV dont on a perdu les clefs

Entretemps, Sa Majesté s ‘était précipitée à Berlin pour voir l’Empereur Scholz et son valet de pied, le Polonais Tusk (celui-ci avait laissé de côté le ministre Sikorski qui fait un peu désordre avec sa mine de neocon et sa gueule de Jack La Motta après 15 rounds). Tout cela permit de confirmer que l’heure de l’attaque n’était pas encore fixée et qu’il n’était pas question de faire la guerre à la Russie, – quel soulagement pour elle, ça c’est sûr.

Le  colonel face au Nez-Rouge du clown

Il est difficile d’en dire plus sur cet épisode, pour ce qui concerne Macron  sinon que, face au terrifiant sérieux de Poutine et au poids qu’il pèse réellement (un chef d’État, un vrai, ça impressionne, même un clown au Nez-Rouge), Mercouris ne sait plus exactement s’il faut rire ou pleurer. Bien entendu, un silence glacial ou apeuré, c’est selon, a accueilli les propos d’une dureté incroyable de Poutine dans la presseSystème française. On sent bien que les Russes ne plaisantent pas alors que les culbutes du “clown de guerre” sont tout de même beaucoup plus amusantes à décrire, tant que l’on a de la difficulté à penser que cela concerne sérieusement des spectacles où l’on tire des vrais coups de feu avec partout des explosions qui blessent et qui tuent.

Puisqu’il faut chercher un commentaire sérieux hors des frontières médiatiques françaises gardées par les barreaux impitoyables de l’exquise bonne-bienpensance, après Mercouris on consultera ‘Spoutnik’ qui a trouvé un colonel bel et bien français, quoique à la retraite vu ses jugements, pour nous donner son avis sur le président-clown durant cet épisode si semblable à tous les autres : “en même temps”, un pas en avant, deux pas en arrière, – la stratégie ambiguë de l’écrevisse.

« Le Président français va de revers en revers après ses propos sur l'envoi de troupes européennes en Ukraine et ne sait plus sur quel pied danser, a déclaré à Sputnik Afrique Alain Corvez, ancien colonel de l'armée française.

» Emmanuel Macron se sert du conflit en Ukraine pour masquer les problèmes intérieurs, il “sait bien que de nombreux Français ne sont pas d'accord avec sa politique”...

» “Son projet c'est de devenir le premier Président d'une Europe supranationale qui aurait détruit les nations et qui aurait une structure fédérale. Et donc toute sa démarche est de se présenter comme le meilleur européen susceptible de remplir cette mission”, a indiqué M.Corvez. Mais devant les hésitations de ses partenaires européens, il n'hésite pas à changer son discours sur l'envoi de troupes, comme le prouve sa dernière allocution.

» “Le Président, dans son entretien, n'est pas revenu sur ces déclarations de l'envoi de troupes en Ukraine, qui avaient soulevé un tollé dans l'ensemble de l'Europe et de l'Otan […]. Donc il n'a pas repris la même rhétorique, mais néanmoins, vous avez vu la façon elliptique qu'il a eu de parler”, souligne le haut gradé.

» L'état de l'armée française rend irréaliste un conflit avec la Russie. “Nous ne sommes pas préparés à un conflit avec la Russie, qui est une grande puissance nucléaire. Nous, nous n'avons plus qu'un corps de bataille réduit et qui n'est pas en mesure de mener une guerre de plus d'un ou deux jours", souligne-t-il.

» Les propos de Macron sur l'envoi de troupes en Ukraine vont aussi à l'encontre de la doctrine française en vigueur depuis le général de Gaulle, explique encore Alain Corvez. Celle-ci est fondée sur la dissuasion, notamment nucléaire, et non sur l'agression.

» “La doctrine française depuis le général de Gaulle est que nous ne voulons attaquer personne et que nous souhaitons que personne ne nous attaque. Le concept de base, c'est la dissuasion. Or, les propos du Président Macron sortent complètement de cette doctrine. Il s'égare complètement”, affirme l'ex-colonel. »

La trans et le Nez Rouge du clown

Que nous reste-t-il alors pour mettre un peu d’animation originale autour du clown de guerre ? Eh bien, il nous reste Candace Owens et le mythe grandiose du trans évoluant et papillonnant autour de son clown bien-aimé. C’est dans ‘La Matinale’ de Florence Houdiakova du 14 mars que l’on eut l’écho le plus fort d’une grande nouvelle venue d’outre-Atlantique.

Candace Owens, noire, trumpiste conservatrice acharnée et très populaire comme représentante célèbre de la fraction de la communauté africaine-américaine qui se range de plus en plus nombreuse du côté de Trump (22% contre 7% en 2016,  selon les sondages), a sorti sur son podcast deux épisodes consacrés au statut sexuel de la femme du président, dont on sait, ou dont on dit, ou dont on chuchote enfin, qu’il est fort trouble et incertain. Les Français peuvent donc être satisfaits : les petites affaires de l’en-dessous du lit du président,  de ce point de vue de ce personnage fort original, très Woke et hyper-postmoderne, un vrai transhumain humaniste – ont enfin atteint la notoriété de la toile chez nos parrains et protecteurs américains.

Il faut dire qu’Owens n’a peut-être pas fait ça par hasard, sinon par le biais du dossier que Trump affirme avoir sur le président Macron. Cela signifierait que Macron risque d’avoir de solides problèmes si Trump (re)vient au pouvoir, car le monde politique aux USA ne fait pas de cadeaux dans ces domaines de la rumeur publique répandue par le courant de l’internet, des podcast et des réseaux sociaux. Le candidat républicain, par contraste avec 2016, a une troupe sérieuse d’influenceurs, et surtout d’influenceuses particulièrement pétroleuses, agissant sur l’internet et extrêmement rompues à la polémique, régulièrement alimentées en informations qu’il peut être utile de dispenser.

Dans tous les cas le ‘Candace Owens podcast’ a sorti, à deux jours d’intervalle (11 et 13 mars), deux sujets sur les tribulations de Brigitte Macron (« MEDIA MELTDOWN! France’s First Lady EXPOSED ») :

• Le 11 mars, avec 1, 2 millions de vues.

• Le 13 mars, avec 627 000 vues.

Ce n’est rien qu’un peu d’“écume des jours” et des cabrioles du clown  de guerre tournant comme une toupie sur son Nez-Rouge. Mais le labyrinthe sexuel de Brigitte Macron est-il vraiment moins important que le plan d’Emmanuel pour mettre KO la Russie ? Dans l’époque étrange que nous vivons, nul ne pourrait le jurer, nous sommes plusieurs à le jurer..

Comme l’on voit, il est bien vrai comme Poutine l’affirme, et nous avec lui, que les problèmes sociétaux de type LTBGQ sont absolument proches de la guerre en Ukraine. Tout ça, c’est le même bazar, avec un clown de guerre au milieu de la piste, le Monsieur Loyal au sexe en format Nez-Rouge.

 

Mis en ligne le 16 mars 2024 à 17H35

samedi 16 mars 2024

"OMS: contrôle de la population, santé numérique, business pandémique, le Traité pandémie et la révision du RSI menacent la démocratie". (!77ème assemblée le 27 mai!)

Les “traités pandémies” seront votés fin mai.

Publication originale sur Covidhub.ch, le 14 mars 2024

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Traité Pandémie, Règlement Sanitaire International et Politique «Une seule santé» : à travers ces différents instruments, l’OMS sera-t-il l’organe exécutif de la gouvernance mondiale ?

Lors de la prochaine Assemblée mondiale de la Santé, fin mai 2024, Tedros Adhanom Ghebreyesus, directeur de l’OMS, et son armée d’experts et de lobbyistes, tenteront un tour de force : prendre les pleins pouvoirs et transformer cette agence onusienne de conseil en un organe de direction et de centralisation.

La journaliste Senta Depuydt a suivi cette saga durant deux ans, a présenté les enjeux essentiels de ces prochaines tractations dans une conférence récente. Elle y a aussi relaté les différents épisodes qui ont mené à la réécriture des textes, face à la mobilisation croissante de lanceurs d’alerte, politiques et mouvements citoyens, pour rejeter ces accords. Travail à huis clos, langage opaque, dépassement des délais prescrit, l’on comprend comment les parties intéressées s’y prennent pour contourner tous les processus et garde-fous démocratiques afin de réaliser leurs objectifs.

Tout surveiller, tout contrôler, tout détecter

…et ouvrir de nouveaux marchés

Avec la santé au coeur de la politique de l’urgence, l’OMS aura une place centrale dans un système de gestion supranational organisé entre les différentes agences onusiennes. Selon le ‘Traité pandémies’ (ou “Accords de convention et protocoles”) et la version révisée du Règlement sanitaire international, son directeur serait habilité à déclarer, à lui seul, des urgences sanitaires réelles et potentielles. L’OMS aurait ensuite pour mission de recommander, voire imposer, tout le cortège des “mesures pandémiques”, y compris des quarantaines ou des mesures de vaccination.

Entre deux urgences, son rôle est de développer et de gérer les réseaux de surveillance des personnes et des microbes, en particulier avec le réseau mondial de certificats de santé numériques (ou ‘passes sanitaires’).

Par ailleurs, avec la politique “One Health, Une seule santé”, l’organisation pourrait s’immiscer dans l’ensemble des activités humaines, du climat à l’information, en passant par l’éducation, les transports, le logement, la nourriture, la culture, l’aide sociale, les activités économiques, le sport et même “les habitudes comportementales”.

Contourner les processus démocratiques

La journaliste relate comment, suite à l’épisode de la ‘variole du singe’ lors de la 75ème assemblée mondiale de la santé, Tedros et ses partenaires ont échoué à imposer en urgence la révision du Règlement sanitaire international. Un certain nombre de pays se sont alors réveillés pour dénoncer les atteintes à leur souveraineté nationale et condamner les violations des droits fondamentaux. Face à ces critiques, les rédacteurs du traité ont finalement été forcés de jeter leurs premières copies et d’opérer un changement de langage significatif. Mais malgré une formulation plus séduisante, les objectifs fondamentaux restent inchangés.

Hors délai pour soumettre les textes, il n’est pas certain que le Traité pandémie soit adopté lors de la prochaine assemblée. Par contre, le risque de voir les éléments les plus contraignants passer dans les amendements du Règlement sanitaire international est élevé. Enfin, il est possible que seuls certains éléments ‘essentiels’ soient adoptés, comme par exemple le certificat de Santé numérique international, la création d’un réseau de laboratoire pour détecter (et breveter) les nouveaux pathogènes ou la “lutte contre la désinformation” sur les réseaux sociaux.

La rencontre s’achève sur les différents arguments et moyens d’action à mettre en oeuvre pour empêcher l’adoption de ces instruments, qui s’inscrivent en droite ligne dans le déploiement du ‘Grand reset’.

La lettre de Senta est une publication soutenue par ses lecteurs. Pour recevoir de nouveaux posts et soutenir mon travail, envisagez de devenir un abonné gratuit ou payant.

L'edito du weekend ! En version karaoke, sur le Titanic.


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PITRES & CLOWNS 15.3.2024 — Le briefing avec Slobodan Despot


 Où l’on essaie de garder son sérieux en songeant que la farce peut à tout moment tourner à la IIIe guerre mondiale, mais où l’on ne se prive pas, tout de même, de savourer le moment…
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UKRAINE : LA RUSSIE A-T-ELLE VRAIMENT GAGNÉ LA GUERRE ? | SYLVAIN FERREIRA | GÉOPOLITIQUE PROFONDE


 

Sur les pas de Pierre et Lena : "Une certitude est acquise : la Roumanie accueille des troupes de l'OTAN, y compris des troupes françaises (...)"

 Sur les pas de Pierre et Lena

Sur les pas de Pierre et Lena il y a 1 jour
Quelques commentaires de méthode et de précision dans le prolongement de mon message de tout à l'heure : https://x.com/Verhaeghe/status/176832... 1) une certitude est acquise : la Roumanie accueille des troupes de l'OTAN, y compris des troupes françaises, dans une opacité qui pose aujourd'hui un problème démocratique. Mais nous dirons que le secret militaire justifie, aux yeux des autorités, les norias de troupes dans ce pays 2) nos sources ont affirmé sans ciller que des troupes françaises y sont envoyées pour y être prochainement déployées à Odessa, en cas de nécessité sur le front. Macron n'a pas infirmé ces allégations, et n'a pas nié ce soir la possibilité d'envoyer des troupes sur le sol ukrainien... bien au contraire. Le scénario que nous présentons me semble conforté par l'intervention du Président de la République. Je veux bien croire que tous les détails comptent : il n'en reste pas moins que, globalement, Emmanuel Macron a répété ce soir que des troupes seraient envoyées en Ukraine s'il le fallait, pour éviter la défaite ukrainienne, ce qui corrobore notre affirmation 3) nous répétons le conditionnel de notre information : les troupes qui nous ont été désignées sont peut-être envoyées en simple renfort. Ce seront peut-être d'autres régiments qui seront déployés en Ukraine s'il le fallait. Nous maintenons l'hypothèse selon laquelle l'intervention à Odessa, si elle a lieu, se fera avec des troupes stationnées en Roumanie 4) nous maintenons qu'un plan de déploiement existe depuis dix-huit mois, et qu'il a fait l'objet de manoeuvres de préparation pour vérifier la faisabilité de l'opération. L'idée d'envoyer des troupes au sol ne date pas d'il y a trois semaines. Elle est conçue depuis bien plus longtemps 5) Emmanuel Macron a beaucoup accusé ce soir Vladimir Poutine de mensonge. Je n'ai aucun doute sur le fait que le dirigeant russe soit, lui aussi, capable de mensonge. J'aimerais savoir combien de Français, dans le même temps, imagine que Macron ne ment pas. Personnellement, lorsque Macron affirme de prétendues vérités la main sur le coeur, je me méfie 6) nos sources nous ont affirmé sans ciller que Macron annoncerait le déploiement de troupes en Ukraine ce soir. Nous n'avons pas repris cette affirmation telle quelle, et l'avons présentée comme très hypothétique, car nous savons - et Macron excelle dans cette incertitude jusqu'au bout - qu'un Président de la République, surtout sur des sujets aussi sensibles, peut changer ses éléments de langage jusqu'à la dernière minute 7) je note précieusement que, timidement relancé par des journalistes peu audacieux, Emmanuel Macron n'a pas affirmé qu'il n'enverrait pas de troupes au sol. C'est probablement l'information du jour que tout le monde devrait retenir en priorité

Macron-Brigitte : désormais le monde entier en parle ! (direct)


 

vendredi 15 mars 2024

De « l’effondrement de la Russie comme clef de l’Histoire universelle » (Georges Nivat, traducteur de Soljenitsyne)

... en attendant Martyanov confirme l’incroyable domination technique russe et l’effroyable imbécillité occidentale – anglaise en particulier. On ne passera pas l’été donc (mais si, mais si.)

https://smoothiex12.blogspot.com/2024/03/this-is-very-big.html

https://smoothiex12.blogspot.com/2024/03/sure-sure.html

https://smoothiex12.blogspot.com/2024/03/the-gap-is-gigantic.html

L’expression serait de Georges Nivat, traducteur de Soljenitsyne, et date de 2016. En fait elle a été empruntée à Parvus, l’associé de Trotski dans la destruction de l’empire russe, bastion du conservatisme et de la réaction encore en 1914.

Elle résume très bien notre histoire séculaire : Charles X de Suède puis Napoléon puis Hitler puis les autres (le complexe Biden-BHL-Leyen) tentent d’abattre le monstre croquemitaine de cette bonne vieille Histoire universelle. Elle résume très bien l’atmosphère du jour : la Russie seule contre tout le monde ou presque, avec l’empire américain et ses colonies, l’Europe apeurée et le reste du monde plus ou moins entraîné dans cette croisade antirusse, qui succède à la croisade antiallemande de la dernière guerre mondiale. Mille ans de croisade.

Car pour l’occident Poutine est moins Staline qu’Hitler. Simplement c’est un Hitler qui n’a pas à se coltiner l’Armée rouge, qui dispose d’une terre riche et immense, d’une économie autarcique, des gisements de gaz et de pétrole et d’une armée sensationnelle. Snyder a rappelé que seuls 14% des soldats américains (oublions le F35, les Stinger de M. Cadbury et tout le reste) s’estiment opérationnels (Contre les russes ou contre les irakiens ?). On sent en tout cas une haine frémissante, et tout cela risque de mal finir pour nous surtout.

La lutte contre l’empire russe sourd à travers toute notre histoire depuis le dix-neuvième siècle : voyez le livre de Lesur qui en 1812 dénonce la montée de la puissance russe au moment où les troupes napoléoniennes dévastent la Russie. On pense à la haine du tsarisme, à la Guerre de Crimée, au Grand Jeu britannique (voyez le Kim de Kipling qui lui donne une aura ésotérique) ; puis on passe à l’homme au couteau entre les dents, au stalinisme et à la situation actuelle. J’ai évoqué la lutte occidentale contre la Russie dans mon livre sur Dostoïevski contre la modernité occidentale. Dans L’Idiot, le prince Muichkine attaque l’Église de Rome (que dirait-il d’elle aujourd’hui !!!) ; dans Les Possédés Dostoïevski évoque l’adoration de l’Amérique et ces libéraux russes qui sont (et seront) toujours les laquais de l’occident. Dans son Journal (texte admirable disponible sur Wikisource.org) Dostoïevski annonce la guerre germano-russe, les problèmes avec la minorité juive (qui s’adonnera, comme disait Poutine, au bolchévisme), l’effondrement de la France devenue républicaine, et le racisme ontologique antirusse. Dostoïevski est souvent drôle et pince-sans-rire (plus que Poutine) ; et cela donne :

… Il y a en Russie des hommes très bizarres, constitués comme les autres hommes et pourtant ne ressemblant à personne. Ils tiennent à la fois de l’Européen et du Barbare. On sait que notre peuple est assez ingénieux, mais qu’il manque de génie propre ; qu’il est très beau ; qu’il vit dans des cabanes de bois nommées isbas, mais que son développement intellectuel est retardé par les paralysantes gelées hivernales.

Dostoïevski reprend l’éprouvant pamphlet de Custine (les russes sont des automates) avec humour :

On n’ignore pas que la Russie encaserne une armée très nombreuse, mais on se figure que le soldat russe, simple mécanisme perfectionné, bois et ressort, ne pense pas, ne sent pas, ce qui explique son involontaire bravoure dans le combat ; que cet automate sans indépendance est à tous les points de vues à cent piques au-dessous du troupier français.

Enfin les russes ont trop de barbe :

L’effet du rasoir surtout fut merveilleux : une fois glabres, les Russes devinrent très vite quelque chose comme des Européens.

C’est d’ailleurs leur point commun avec les islamistes, aux russes : ils ont trop de barbe !

Mais la barbe revêt une dimension religieuse et culturelle. Et là on rentre dans le domaine de la guerre de civilisation, celle qui oppose les anglo-saxons aux russes depuis un siècle et demi.

Je cite un libéral dans Les Possédés :

Hélas ! nous sommes des pygmées comparativement aux citoyens des États-Unis ; la Russie est un jeu de la nature et non de l’esprit.

Là-dessus les occidentaux sont tombés sur un os. Brzezinski avait parlé du scandaleux refus du monde LGBTQ et du reste à Moscou. Et Poutine a dit dans son discours à la nation :

Mais non – un état d’euphorie né de leur supériorité absolue, une sorte d’absolutisme moderne, qui plus est, sur fond de faible niveau de culture générale et d’arrogance de ceux qui ont préparé, adopté et fait passer les décisions qui n’étaient profitables que pour eux-mêmes. La situation a commencé à évoluer d’une manière différente.

Et il ajoute :

En fait, jusqu’à récemment, les tentatives de nous utiliser dans leurs intérêts, de détruire nos valeurs traditionnelles et de nous imposer leurs pseudo-valeurs, qui nous rongeraient, nous, notre peuple, de l’intérieur n’ont pas cessé. Ces attitudes ils les imposent déjà agressivement dans leurs pays et elles mènent directement à la dégradation et à la dégénérescence, car elles sont contraires à la nature humaine elle-même. Cela n’arrivera pas [ici], cela n’a jamais marché pour personne. Cela ne marchera pas non plus maintenant.

Là on est au cœur du problème : avec Poutine la Russie (qui était plus tolérée du temps du bolchévisme furibard) est redevenue la bête noire de l’ordre libéral mondialiste. Revoyez d’ailleurs mon texte publié sur fr.sputniknews.com à ce sujet : Dostoïevski (visionnaire et théologien comme Flaubert ou Baudelaire à la même époque – tous nés en 1821) et la prophétie du nouvel ordre mondial auquel nous arrivons aujourd’hui, incarcérés, sous la coupe du totalitarisme libéral anglo-américain.

Poutine a compris qu’il faut frapper (sans faire trop mal, mais ça dépend qui) parce que l’occident veut le détruire lui et sa terre. Hitler disait dans son Testament qu’il ne saurait jamais faire la paix à la Russie, qu’il faudrait toujours qu’il lui saute à la gorge. Blinken, Biden et leur clique n’ont pas évolué. Ils en sont au stade suprême du nihilisme impérial : détruire leur peuple, la culture, les sexes, la religion, la nature (comme dit justement Poutine), tout ce qui Est.

Il leur reste comme je l’ai dit à affronter la meilleure (la meilleure ou la dernière ?) armée du monde, ses armements et à éviter des contre-sanctions ruineuses. Pour parler comme mon ami Jean Parvulesco, auteur d’un beau livre traduit en russe par Alexandre Douguine, on ne pouvait rêver de meilleur Endkampf.

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Des mafias transnationales au pouvoir


 

Cette semaine, Macron a continué d’exhiber ses petits muscles

 Madame, Monsieur, chers Patriotes,

Cette semaine, Macron a continué d’exhiber ses petits muscles, enchaînant les déclarations guerrières et chargeant son ministre des Affaires étrangères de constituer une coalition avec la Pologne et les Pays baltes. Macron a cette posture irresponsable par vanité, parce qu’il veut être le meilleur pion de l’OTAN, le plus zélé à obéir aux projets de guerre de l’État profond, et parce qu’il veut entretenir en France un climat de tension, de division et de peur. Comme d’habitude avec lui ! Comme pendant le covid ! Cet homme est dangereux, il est un homme de manipulations, de culture de mort et de souffrances. Et il est terriblement grotesque : c’est le même qui, déjà par deux fois, a reporté son déplacement à Kiev, parce qu’il craint pour sa propre sécurité !…

Face à cette fuite en avant folle, nous devons plus que jamais porter haut l’indépendance de la France et la Paix ! Force est de constater, une nouvelle fois, que les « oppositions » au parlement ne sont pas à ce rendez-vous. Cette semaine, elles ont laissé passer l’accord militaire avec l’Ukraine alors qu’un grand STOP aurait mis Macron en minorité ! Les députés PS et LR ont voté pour, les RN se sont juste abstenus…Ces partis portent une lourde responsabilité dans la marche à la guerre et dans la soumission de la France à des gens et à des intérêts qui veulent notre destruction. Les Patriotes sont le mouvement de la paix et de la France libre. On ne lâchera pas l’affaire, nous. Notre action au jour le jour monte en puissance. Je vous attends nombreux ce samedi 16/03 à Paris pour la première Marche nationale contre la guerre ! Donc contre Macron, l’UE et l’OTAN, et pour la France libre et la Paix !

Marche nationale contre la guerre - Samedi 16/03 rdv Paris 14h Place du Palais Royal

Certains politiques démarrent leur campagne des élections européennes en ciblant uniquement Ursula Von der Leyen. En la virant, on réglerait tout... Certes cette dame est irritante et doit rendre de sérieux comptes, mais limiter le débat européen à Ursula Von der Leyen est une vraie tromperie ! Ursula ou pas, on aura si on reste dans l’UE les méga-camions sur nos routes, les insectes dans nos assiettes, le libre-échange, l’identité numérique, le pacte migratoire, la corruption, les milliards pour Zelensky,…Il faut dégager Ursula, mais il faut surtout dégager l’UE par le Frexit ! Ne jamais tomber dans la facilité, toujours garder le cap de la vérité, même si celle-ci dérange et que le Système fait tout pour nous faire taire. Alors secouons le débat, ne leur laissons pas une seconde de répit, faisons nous entendre de plus en plus fort, dans le rassemblement et la résistance !

La vérité est le ciment qui unit l’action des résistants ! Sans vérité, pas de libertés, pas de France libre et éternelle, pas de Paix ! Oui, on gagnera ! Bienvenue à tous dans le combat !


Florian Philippot

« Le professeur Trouposol s’adresse à la nation. Pour votre sécurité vous aurez la guerre ! ». L’édito de Charles SANNAT

 Source: https://insolentiae.com/le-professeur-trouposol-sadresse-a-la-nation-pour-votre-securite-vous-aurez-la-guerre-ledito-de-charles-sannat/

Mes chères impertinentes, chers impertinents,

Haaaaaa…. dans la série Tintin chez les Popovs (ceux qui ont connu la guerre froide et les expressions de l’époque comprendront), notre professeur Trouposol nous a doctement expliqué que pour notre sécurité il fallait penser à faire la guerre… sinon nous pourrions avoir la guerre.

En tant que membre émérite de la 7ème compagnie, avec le chef Chaudard, sur le terrain, nous avons une autre perception de la situation.

Vous êtes assis j’espère… non parce que l’intro du grand chef est en mesure de vous faire tomber par terre !

« Vous êtes assis » dit-il aux journalistes. « Vous n’excluez pas de vous lever à la fin de l’émission » ? Donc les troupes au sol, c’est pareil. Voilà.

C’est simple la guerre.

Simple comme une bonne vanne.

Simple comme un « bon mot ».

Les manuels (pas les Emmanuels hein) retiendront donc, que la troisième guerre mondiale a eu lieu parce que Trouposol, ce jour-là n’excluait pas de se lever. Vous écouterez. C’est lunaire.

Un Mozart de l’ambiguïté stratégique.

Mais ce n’est pas tout…

Ensuite le Professeur Trouposol nous a expliqué qu’il produit 100 obus par jour et 75 canons César par an, et je suis heureux de même que nos ennemis les Russes de l’apprendre. Voilà des statistiques utiles pour gagner un guerre d’attrition. Y a personne à l’état-major pour expliquer au Tintin de l’Elysée qu’il ne faut pas donner certains éléments chiffrés ? Ou alors on intoxique et il fallait qu’il dise le professeur Trouposol que nous allions sortir dès 2025 750 canons César. Là le Kremlin aurait tremblé.

Bref.

Selon Trouposol il ne faut pas être lâche et il faut empêcher la Russie à tout prix de gagner en Ukraine, ce qui revient à dire qu’il faut faire perdre la Russie.

Si personne n’accepte au moins de perdre un peu alors il n’y a par définition aucune paix ou négociation possible, il n’y a que plus de guerre.

La sagesse c’est d’être fort, la force c’est d’être sage. 

Macron n’a pas les moyens de cet adage. D’abord avec nos 3 100 milliards de dettes et nous y reviendrons, le professeur Trouposol du Palais, n’est pas fort. Notre armée peut potentiellement tenir un front de 80 à 200km en haute intensité pendant une semaine. Un peu court pour défier la Russie. Evidemment l’idée de génie de Trouposol c’est d’y aller « en Européens » avec les autres « copains ».

Nous n’avons donc pas la sagesse d’être fort.

Enfin l’enfant gâté du Palais n’est pas sage du tout parce qu’engager l’armée contre la Russie, nécessitera de passer par le Parlement. Et non, Macron, ne peut pas s’arroger le droit de décider seul d’emmener la France vers la guerre contre la Russie, de la même manière qu’il ne peut pas avoir la bêtise de tenter de nous faire croire que les intérêts vitaux « existentiels » de l’Europe sont menacés en Ukraine. C’est faux. Les frontières de l’Union Européenne sont connues, par les Russes également. Attaquer un pays membre de l’Union Européenne serait un casus belli. Nous sommes bien d’accord là-dessus.

L’Ukraine n’est pas dans l’Union Européenne. C’est peut-être très triste pour les Ukrainiens, mais ils ne sont en aucun cas dans nos intérêts vitaux et il est important de dire ce que signifie un affrontement potentiel avec la Russie. Nous ne perdrons pas 50 ou 80 soldats sur 8 ans comme en Afrique. Nous perdrons 50 à 60 % d’un corps expéditionnaire de 10 000 hommes. Voilà la réalité. Nous aurons des morts par milliers, pour terminer par la signature d’un traité de paix. Absurde. Sans sagesse.

L’économie de guerre. 

Enfin, Macron l’a évoqué, et l’on voit bien poindre aussi le mobile financier. La guerre en Ukraine contre la Russie, c’est bien évidemment faire avancer les Etats-Unis d’Europe, et la possibilité de lever des nouvelles dettes au niveau européen. Et lorsque nous aurons levé plein de dettes au niveau européen, il faudra bien finir par créer des ressources pour rembourser ces dettes-là.

Vous aurez un impôt pour l’Europe, un impôt pour la guerre… parce que l’Europe c’est la paix !

NON, la guerre n’est pas la solution. 

Non, nous ne sommes pas en 1938 et les Accords de Minsk que nous n’avons pas respectés et sur lesquels les Russes étaient d’accord ne sont pas les accords de Munich.

Non, l’Empereur du mal Palpoutine aussi méchant soit-il n’est pas Hitler. Il n’a pas de camps de concentration et ne liquide pas des millions de personnes, il ne faut pas insulter à ce point l’histoire, et dire cela ne justifie aucun crime de guerre de la part de la Russie ni aucun massacre, ni aucun bombardement de ville.

Non, vouloir la paix avec la Russie ce n’est pas se montrer faible et lui ouvrir l’Union Européenne toute entière alors que l’armée russe n’arrive même pas à traverser le Dniepr. La Russie ne présente à ce stade strictement aucune menace militaire sérieuse pour le reste de l’Union Européenne.

L’analyse du professeur Trouposol est totalement erronée. Fausse. Mensongère. Pas parce que Poutine serait gentil. Non pas qu’il ne faudrait pas aider l’Ukraine. Mensongère parce que nos intérêts vitaux, « existentiels » ne sont en aucun cas menacés.

Les mots ont un sens Monsieur le président.

Si nos intérêts existentiels sont menacés, cela implique que notre existence même est menacée. Il faut dans ce cas être cohérent. Si notre pays est menacé dans son existence même, cela veut dire que la vie de tous mes concitoyens est directement et immédiatement menacée, pas de seulement quelques-uns mais de presque tous. Une invasion d’extra-terrestres voulant nous dévorer par exemple serait une menace existentielle pour la nation (et le monde entier). Dans ce cas, on ne produit pas quelques obus. Non.

On fait la guerre complètement. Totalement.

Dans chaque ville, dans chaque village, dans chaque immeuble, dans chaque cage d’escaliers, dans chaque maison. Tout Français porte fusil et affronte l’ennemi dont les hordes déferlent dans nos villes et villages.

Je rappelle qu’à ce stade, l’armée russe est clouée en Ukraine derrière le Dniepr bien loin des villages de France.

Il n’y a aucune menace existentielle… à ce stade.

Le pari de Pascal… pour Poutine !

Enfin, d’un point de vue analytique et stratégique le Professeur Trouposol est un peu hors sol… parce que de la même manière que la pari de Pascal montre que l’on a rien à perdre à croire en Dieu, on a rien à perdre non plus à parier que Poutine n’ira pas plus loin.

Ce que nous propose la vedette du Palais, c’est de faire la guerre tout de suite à Palpoutine.

Or, la probabilité est forte que Poutine n’aille pas plus loin ce qui nous permettrait de nous éviter la guerre.

Si Poutine va plus loin, il y a aura la guerre car il envahira l’Union Européenne et là nous parlons de nos intérêts effectivement existentiels. Mais si Poutine ne va pas plus loin, alors nous aurions totalement tort de nous lancer dans la guerre maintenant.

La sagesse analytique conduit donc, d’un point de vue totalement rationnel, à faire le pari de la paix.

Si Macron, ne veut pas faire ce pari, c’est qu’il veut nous entraîner volontairement vers la guerre.

Si le Professeur Tournesol est un personnage sympathique, le Professeur Trouposol, lui, nous fait courir de bien grands risques et il est important de montrer et de démontrer qu’une autre analyse stratégique, militaire et diplomatique et largement possible.

Il y a des alternatives.

La guerre n’est en aucun cas une fatalité.

Il ne faut rien céder aux va-t’en, guerre de plateau et de palais qui ne poseront jamais leurs augustes postérieurs dans une tranchée ukrainienne.

Si vous comprenez ce message, vous êtes la résistance.

Il est déjà trop tard, mais tout n’est pas perdu.

Préparez-vous !

Charles SANNAT

jeudi 14 mars 2024

Le général Coustou affirme que Macron avait ordonné à l’armée de tirer sur les Gilets Jaunes

 

Le général André Coustou, ancien militaire français, a accordé une interview à NEXUS dans laquelle il a exprimé ses inquiétudes concernant la situation intérieure de la France et a critiqué la politique du président Emmanuel Macron.

Mise à jour le 15/03/24
Le général Coustou critique sévèrement Emmanuel Macron pour ses propos sur l’envoi de troupes en Ukraine, le considérant comme l’ennemi de la France.

Le général Coustou a récemment exprimé son désaccord avec les propos d’Emmanuel Macron concernant l’envoi possible de troupes françaises en Ukraine. Il a souligné que cette suggestion a été officiellement contestée par de nombreux partenaires de l’OTAN et a interprété cela comme un signe de faiblesse et de vulnérabilité de la France face à la Russie.

Selon lui, le véritable ennemi de la France n’est pas la Russie, mais Emmanuel Macron lui-même. Il a cité plusieurs ouvrages critiquant la politique du président, tels que « Macron, le fossoyeur de la France », « Macron le grand liquidateur », « La France vendue à la découpe », « Les liquidateurs » et « Le Traître et le Néant » de Gérard Davet et Fabrice Lhomme.

Le général Coustou a rappelé que l’armée est chargée de défendre le peuple français et la France. Il a également mentionné qu’il est président d’honneur de Place d’Armes, une association dont la raison sociale est d’entretenir le lien entre l’armée et la nation. Il a conclu en exprimant son opinion selon laquelle Emmanuel Macron est le liquidateur et le destructeur de la France, et a suggéré que ce dernier devrait démissionner s’il avait un peu d’honneur.


 

Six jours plus tard, Armel Joubert des Ouches, journaliste pour le magazine Nexus, est retourné chez le général André Coustou pour une nouvelle interview. Lors de cette rencontre, le général a révélé que pendant la crise des Gilets Jaunes, le président Macron avait donné l’ordre à l’armée de protéger le Palais Bourbon et l’Élysée, en utilisant la force si nécessaire, y compris en tirant sur la foule.

Depuis que le général Coustou a rendu publiques ses déclarations sur les ordres donnés à l’armée pendant la crise des Gilets Jaunes, il a reçu des menaces de mort et a été contraint de se mettre sous protection policière. Certaines personnalités politiques et militaires ont remis en question ses propos, affirmant qu’il n’avait pas reçu d’ordre de tirer sur les manifestants. Cependant, le général Coustou maintient ses allégations et affirme avoir des preuves à l’appui.

Le général Coustou a également exprimé ses inquiétudes quant à la situation politique en France, dénonçant une dérive autoritaire du pouvoir en place. Selon lui, les libertés publiques sont menacées et la démocratie est en danger. Il a appelé les citoyens à se mobiliser pour défendre leurs droits et leurs libertés, et à rester vigilants face aux atteintes à la démocratie.