Pour ceux qui souhaiteraient approfondir le sujet la lettre audio Substack suit...
Une Démission qui Sonne l’Alarme
Le
 23 juillet 2025, un séisme discret secoue la France : Thierry Burkhard,
 Chef d’État-Major des Armées, claque la porte. Ce n’est pas un départ 
anodin. Un général de ce calibre, avec 40 ans de loyauté, ne part pas 
sans raison. Surtout pas en pleine guerre hybride, avec des menaces 
nucléaires russes planant sur l’Europe et des risques d’escalade via le 
Liban ou l’Iran. Ce départ hurle une rupture profonde. Un contact proche
 de son cabinet lâche une phrase glaçante : « On ne suit pas un homme 
qui flirte avec l’impensable. »
Qu’est-ce 
qui a poussé Burkhard à quitter le navire ? Un ordre qu’il refuse 
d’exécuter ? Une dérive qu’il veut dénoncer ? Un seuil qu’il sait sur le
 point d’être franchi ? 
C’est un signal. 
Macron, selon certains, ne respecterait plus les équilibres fondamentaux
 de la dissuasion nucléaire. Cette démission, dans un contexte 
géopolitique brûlant, sonne comme une alerte : quelque chose de grave se
 prépare.
Macron et la bombe : un jeu avec l’irréversible - Une doctrine en danger
Depuis
 des mois, Macron multiplie les déclarations qui font frémir ceux qui 
savent écouter. Il a remis en cause l’autonomie stratégique française, 
pilier de la doctrine gaullienne.
- Il a évoqué l’idée de « partager » l’arme nucléaire avec des alliés européens, une entorse à la souveraineté. 
- Il a laissé entendre que la dissuasion, conçue pour un monde bipolaire, serait dépassée face aux guerres asymétriques.  
- Pire,
 il a suggéré que des cyberattaques pourraient justifier des frappes 
réelles, brouillant la sacro-sainte règle de proportionnalité. Une idée 
qui défie la logique de la dissuasion. - Il 
s’éloigne de l’héritage gaullien, moque la souveraineté française, et 
envisage l’arme nucléaire comme une extension de son pouvoir.  
Le
 contexte n’est pas plus rassurant. Des sous-marins nucléaires français 
patrouillent en alerte silencieuse. Les alliances avec l’OTAN et les 
États-Unis s’intensifient, parfois dans l’opacité. La dépendance à l’IA 
et à la finance algorithmique renforce la censure. 
Comparée
 aux autres puissances nucléaires, la France est une anomalie. Les 
États-Unis ont des contre-pouvoirs. Le Royaume-Uni partage ses codes. La
 Chine et la Russie consultent des comités. En France, tout repose sur 
un homme. Et cet homme, c’est Macron – un président que personne ne 
prend plus au sérieux, mais qui n’a jamais été aussi puissant.
Il
 est perçu comme un président affaibli, concentre un pouvoir démesuré : 
l’arme nucléaire, les armées, les algorithmes. Cette invisibilité, 
alimentée par le mépris public, le rend d’autant plus redoutable. Un 
homme seul, sans contre-pouvoirs, avec le doigt sur l’apocalypse. Voilà 
le paradoxe.
Le Feu sous la Mer
Les
 sous-marins nucléaires lanceurs d’engins (SNLE) français – Le 
Triomphant, Le Terrible, Le Vigilant, Le Téméraire – sont des monstres 
de destruction. Chacun porte 16 missiles M51, capables de frapper à 10 
000 km, à 30 000 km/h, avec des ogives équivalant à 10 fois Hiroshima. 
Un seul SNLE pourrait raser des nations entières. Et qui décide ? 
Macron. Lui seul.
Le « feuillet rouge », ce
 dossier secret qu’il porte toujours, contient les codes de lancement et
 la procédure de tir. Personne ne peut l’arrêter. Le Parlement ? 
Informé, pas consulté. Le Chef d’État-Major ? Il exécute. Le peuple ? 
Absent. 
La France, c’est une monarchie nucléaire déguisée en république. 
Le
 « triangle rouge » – Macron, son Chef d’État-Major particulier, le 
commandant de la Force océanique stratégique – peut déclencher 
l’apocalypse en 15 minutes depuis la base de l’Île Longue, près de 
Brest. Aucun verrou, aucun garde-fou. Si l’ordre est donné, le missile 
part.
Le Danger : l’homme qu’on sous-estime
Le vrai danger, c’est celui qu’on ignore. Les dictateurs criards, comme Poutine ou Xi, sont surveillés, analysés, craints. 
Macron,
 lui, passe sous le radar. On rit de ses discours, de ses échecs, mais 
il reste intouchable. Pourquoi ? Parce que son insignifiance est une 
arme. Pendant qu’on détourne le regard, il contrôle la machine la plus 
létale de l’histoire : quatre SNLE, 960 fois la puissance d’Hiroshima, 
et personne pour dire stop.
Pendant que le monde regarde ailleurs 
Vers
 Trump, qui avec Tulsi Gabbard pointe du doigt Obama, accusant l’ancien 
président d’un complot pour saboter son élection de 2016, vers 
Netanyahou, vers les crises qui captent les regards – Macron tient le 
feu sous la mer. Un technocrate cultivé, protégé par les algorithmes, 
avec l’apocalypse dans sa poche. Trump et Gabbard, en dénonçant Obama, 
braquent les projecteurs sur un passé américain, mais ici, à Paris, 
c’est Macron qui avance, président sans peuple, masqué par le mépris.
Ceux
 qui pensent que Macron va « tomber bientôt » vivent dans un autre 
monde. Les hommes comme lui ne tombent pas. Ils franchissent les seuils,
 forcent l’histoire. Il n’a pas besoin d’être aimé, juste d’être 
sous-estimé.
 La démission de Burkhard, en juillet 2025, n’est pas un détail. C’est un avertissement que l’irréversible approche.
La
 France, petite puissance dans l’imaginaire, possède une force nucléaire
 parmi les plus avancées. Et cette force dépend d’un seul homme, qui se 
moque de la souveraineté, flirte avec l’IA comme une extension de 
lui-même, et défie les équilibres stratégiques. Pendant qu’on le croit 
fini, il tient le feu sous la mer. 
Et moi, je me demande : et s’il était là pour ça ? Un pion choisi pour appuyer sur le bouton, pendant qu’on regarde ailleurs.
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